1.

Ecrit par Uneplumepeul

Je regardai une fois de plus son dernier message, le sourire aux lèvres. Et dire qu'il n'était plus qu'à quelques mètres de moi. Rien qu'à cette pensée mon cœur reprit sa danse de la cucaracha. Je marchai lentement, pour tenter de faire descendre la pression qui montait en moi. Mais rien n'y faisait, j'étais surexcitée à l'idée de le rencontrer. Ça allait bientôt faire un an que lui et moi nous écrivions. Bien sûr l'on s'était échangé des photos mais ce n'était pas la même chose. Cette fois ci j'allais le voir pour de vrai, le toucher, le sentir. J'espérais tant que tout soit parfait. Il le fallait. Mais je ne pouvais m'empêcher de me dire, « Et s'il ne m’appréciait pas , ou ne me trouvait pas à son goût, et s'il regrettait tout simplement cette première rencontre ». Après tout rien ne servais de penser à tout ceci maintenant. De toute façon il était trop tard. J'arrivai dans le parc, et commençai à regarder autour de moi. C'était un endroit assez original. Le parc était vaste et très vert. La plupart des bancs se trouvaient à l'ombre des arbres et au centre se trouvait une fontaine. De plus, de là, l'on arrivait à voir la tour Eiffel. Il n'y avait que très peu de gens dans le parc. Je regardai autour de moi mais ne vis personne lui ressemblant. Il y avait un vieux monsieur de la cinquantaine assis près d'un arbre. Ça ne pouvait être lui ? Non. Soudainement, une paume chaude se posa sur mon épaule. Je sentis un frisson me parcourir immédiatement et quelque chose me dit que je l'avais trouvé. Enfin plutôt lui...

Je me retournai et tombai justement sur son regard sombre. Malgré moi je me mis à sourire. « Alex ? Demandais-je » Il me répondit en se saisissant de ma main et en m'entrainant sur un banc. Après m'être assise, je le regardai s'asseoir à côté de moi. Un silence s'installa entre nous. Il me regardait de ses yeux noirs. Je sentais presque son regard glisser sur chaque parcelle de mon être. C'était extrêmement dérangeant et agréable à la fois.  « Comment vas-tu » Demandais-je pour briser ce silence. « Très bien et toi ». « Je vais bien merci » répondis-je. Son regard toujours agrippé au mien devint plus insistant et il dit presque dans un chuchotement « C'est dingue comme tu as l'air encore plus innocente en vrai ». Je souris, embarrassée par sa remarque. Que voulait-il dire par là ? Je me mis à tripoter mes mains, de plus en plus mal à l'aise. Il était si étrange. Ce qui était curieux car en photo, il avait juste l'air « Séduisant et Attirant » Mais là, je ne sais pas. Il dégageait quelque chose de tout sauf commode.

Sans prévenir il se leva du banc et me prit la main, m'invitant à le suivre. Nous sortîmes du parc et de là s'ensuivit une balade dans les rues de Paris. Il commença à me poser des questions sur ce que j'aimais à Paris. Quelques fois il souriait en me regardant et ça me détendait. Il me parlait de son dernier voyage à Cuba. Du fait qu'il était content d'être Paris, ne serait-ce que quelques jours. D'un air contrit il m'expliqua que Paris était le genre de ville où il aurait aimé vivre, précisément à cause du sentiment de liberté qu'elle communiquait. Je le rejoins sur cet avis. Nous parlâmes de beaucoup de choses, tel que l'art et même la musique. Plus l'on discutait plus je me rendis compte, combien nous avions la même vision des choses sur beaucoup de sujets et je dirais presque les même goûts. Il aimait la littérature autant que moi mais était plus porté sur la littérature sombre. Stephen King était l'un de ses auteurs favoris, pour Moi c'était tout juste la base en matière de littérature. Des fois lorsqu'il parlait, je ne l’écoutais qu'à moitié. Je l'observais, l'air de rien. D'abord son visage carré, sa peau bronzée, son nez un peu droit, ces lèvres rose qu'il ne cessait de mordiller une fois en passant. Ces mains qui bougeait spontanément autour de son corps. Elles étaient vraiment grandes. Malgré moi je me dis qu'à ses deux mains il pouvait empoigner mes fesses. Je me mis à les imaginer glisser sur ma taille pour atteindre mes fesses, les caresser et même me donner des claques. Je les sentais chaudes et douces sur mon corps.

« On dirais que mademoiselle ne m'écoutes plus »

Je revins subitement sur terre, embarrassée par les pensées que je venais d'avoir.

« Bien sûr que je t'écoute ».

 « Je pense que tu étais plutôt perdue dans ta contemplation »

Je fis une fausse mine amusée, ce sans réellement le convaincre. Il me regarda un instant sans expression puis sans que je le prévoie, saisit mon visage et écrasa brusquement ses lèvres sur les miennes. Je voulus m'éloigner mais il me maintint contre lui sa main sur ma taille me pressant contre lui. Il éloigna son visage du mien puis me regarda dans les yeux avant de me lancer « Je sais que toi aussi tu ressens cette tension sexuelle qui existe entre nous ». Gênée je baissai les yeux suite à sa remarque « Regardes moi ! » m'ordonnât ‘il. « Réponds-moi » enchaina-t-il toujours aussi fermement. « Oui » chuchotais-je. Sa main se détacha de ma taille et il se remit à marcher. Je restais immobile un instant, ne comprenant pas ce qui venait d'arriver. Il marchait tranquillement et s’éloignait de moi. Je décidai alors de trottiner pour le rattraper. Arrivée à sa hauteur j'allais lui demander des explications quand il commença par me demander si j'avais faim. Il n'attendit pas ma réponse et me proposa que l'on se prenne une friandise. Il avait envie de chocolat me dit-il me regardant avidement. Pendant deux secondes je me demandai s'il parlait bien de nourriture ou d'une toute autre chose. Nous trouvâmes très vite une boulangerie où nous arrêter. Je choisis une tarte à la fraise quand lui jeta son dévolu sur un fondant au chocolat. Nous marchions en dégustant nos pâtisseries, ce sans mot dire. C'était assez étrange car il était la première personne avec qui je n'avais pas constamment besoin de parler. Nos silences très répétitifs ne me gênaient pas le moins du monde. Je pense même que je préférais lorsque l'on ne se parlait pas. Je le regardai manger son fondant au chocolat et remarquait une tâche de chocolat au coin de ses lèvres. Je ne savais pas comment réagir, devais-je le lui dire ou juste la lui essuyer avec mon mouchoir. Sentant sûrement mes yeux noisette sur lui il releva la tête et souris avant d'essuyer du pouce la dites tâche. Il rapprocha son pouce de ses lèvres pour ensuite embrasser son pouce avec délice tout en me regardant droit dans les yeux. J'imaginai alors ces mêmes lèvres embrasser mon cou avec autant de passion. Cette langue rose et humide passer et repasser sur ma peau. Suçant, léchant et mordillant. Une sonnerie coupa ma rêverie m'obligeant à revenir à moi-même. Alex répondit au téléphone et de là s'ensuivit une discussion en anglais. Je profitais alors pour terminer ma tarte. Il raccrocha puis me demanda.

 « Ça te dis qu'on aille à mon hôtel ? La vue de mon balcon est tout juste magnifique »

Pourquoi avais-je l'impression qu'il ne m'invitait pas uniquement pour que j'admire la ville Lumière de son balcon ? Je ne savais pas si je devais dire oui. En vrai je le connaissais à peine. Et s'il était un serial killer ou un psychopathe ? Je ris face au ridicule de la chose. « Qu'est-ce qui te fait rire ? » Ne réagit-il « Rien, ne t'inquiète pas ». « Tu passes beaucoup trop de temps dans tes pensées selon moi… mais ne t’inquiètes pas je pense bien y remédier ». « Mon hôtel n'est qu'à quelques pas d'ici, viens allons-y »


Partie 2 (je la publie ici car je n'arrive pas à  la publier dans une nouvelle partie )

Nous marchions déjà depuis quelques temps lorsque la façade de l’hôtel se dessina sous nos yeux. Il n’y avait pas de doute cet hôtel était tout sauf un établissement bas de gamme. Intimidée je rentrais alors à la suite d’Alex, qui ne perdit pas de temps et se dirigea vers l’ascenseur juste avant que celui-ci ne se referme. Une femme de la quarantaine s’y trouvait déjà, les yeux rivés sur son écran on aurait dit que nous n’existions pas. Les portes se refermèrent. Je regardai Alex, il semblait perdu dans ses pensées. Je me demandai presque si j’avais rêvé ce qu’il avait dit quelques minutes plus tôt. A ce moment il tourna la tête vers moi et je baissai le regard comme surprise en flagrant délit. Soudainement je sentis une poigne chaude sur mon fessier. Je sursautais avant de recevoir un clin d’œil de la part du jeune homme. La femme devant nous, toujours aussi concentrée sur son appareil ne pouvait rien voir. Alex lui malaxait mon fessier comme s’il lui appartenait et moi je ne savais pas quoi faire n’y penser. Étais-je une fille facile ? La boule de chaleur présente dans mon bas ventre me donnait l’impression que non. Soudainement les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur le troisième étage et la femme sortît nous laissant seuls. Enfin...

 

En un instant Alex m’avait plaquée contre lui et me regardait intensément avant de murmurer :” J’ai envie de toi “. Ses lèvres fondirent alors sur les miennes. Et comme guidé par le désir qui brulait en nous, nous nous embrassions avec démence. L'ascenseur s'arrêta une nouvelle fois, Alex m'entraina à l'extérieur jusqu'à la suite qu'il avait réservée. Nous entrâmes précipitamment dans la suite puis il claqua la porte me plaquant cette fois-ci contre celle-ci. Il glissa une jambe entre les miennes soulevant légèrement ma robe au passage et déposa une pluie de baisers de ma tempe à mon épaule. Ses lèvres se rapprochèrent de mes oreilles et il dit avec une voix rauque « Ton corps est si désirable qu’il me tarde d’en découvrir chaque parcelle » C’était comme si je n’avais plus de voix, je ne savais que dire et que penser de tout cela. Pour une fois dans ma vie, je n’en ressentais pas le besoin.

 

Je saisis alors son col défaisant les boutons de sa chemise de façon désordonnée. Pour m’aider il finit le travail et se débarrassa du vêtement. Alex me prit dans ses bras et traversa la pièce jusqu’à atteindre ce que je devinais être la chambre. Arrivés dans celle-ci, il me déposa sur le lit et entreprit de me retirer ma robe. Abaissant une à une mes bretelles il fit glisser le tissu léger jusqu’à mes pieds avant de m’enlever mes sandales. Je fermai les yeux profitant de cet instant, voulant graver chaque sensation dans ma mémoire. Je sentis tous d’abord un souffle chaud tout contre mes pieds puis des lèvres chaudes, humides que je reconnaissais pour les avoir dévorées plus tôt. Cette sensation naissant de mon orteil monta jusqu’à mon mollet me procurant des frissons puis poursuivis son chemin jusqu’à la naissance de mes cuisses. J’ouvris les yeux et tombai sur son regard électrisant. « Tu es un véritable délice » me dit-il avant de présenter ses lèvres à la porte des miennes une nouvelle fois. Dans le même temps, il se dévêtit de son pantalon ne gardant que son boxer. Vêtement qui pour mon plus grand plaisir, ne dissimulait pas grand-chose. Me redressant du lit, je dégrafais mon soutien-gorge libérant enfin mes seins de cette prison de tissu. En un instant ses mains se portèrent sur ceux-ci tenant chacun d’entre eux dans une main. Il s’amusait à les malaxer en évitant soigneusement mes tétons. Quel agréable supplice c’était pour moi. Puis comme pour enfin me soulager il se décida à pincer mes tétons qui étaient déjà dur comme pierre. Et tandis que d’une main il maltraitait mon téton de ses lèvres et de sa langue il titillait l’autre. La tête rejetée en arrière, je me perdais dans le plaisir que procurait ses caresses insensées et mon bas-ventre frétillait de plus en plus de plaisir.

 

Lassée d’être la seule à recevoir du plaisir je posais une main timide et hésitante sur son érection à travers le dernier vêtement qui l’entravait. J’en eu de suite une décharge de plaisir tant il était gorgé de sang et semblait être à la taille qui me convenait. Je le parcourais, le caressais, le découvrais à travers mon toucher pendant que ma poitrine subissait la même torture. Alex quitta enfin mes seins puis entrepris de se débarrasser de son boxer. Mon souffle s’arrêta de lui-même et je ne pus m’empêcher de me mordre les lèvres à la vue de son sexe dressée. Il esquissa un sourire amusée à la vue de ma réaction et revint vers moi pour m’enlever mon tanga. Nous étions tous les deux dans une parfaite nudité et nous ne pouvions nous empêcher l’un et l’autre de dévorer du regard le corps de l’autre.

 

Alex fut le premier à rompre ce contact venant s’allonger tout juste à mes côtés. Je tendis alors ma main et posais celle-ci sur son pénis, comme fascinée. Je caressais au prime abord son gland rose et si bien dessiné puis sa verge striée de veines avant de refermer ma main sur celle-ci. Me mettant alors à califourchon sur lui je donnai un coup de langue sur son gland le regardant. Je continuais mon petit jeu en continuant de lui donner des coups de langues jusqu’à ce qu’il soit luisant. J’approchais alors ma bouche et embrassais son gland avant d’y faire tournoyer ma langue. Alex me regardait toujours et je sentais son corps frémir à chacun de mes assauts. Je le pris alors entièrement en bouche et commençait à monter puis descendre le long de sa verge. Je sentais son sexe chaud de bonne taille dans ma bouche et le léger gout acidulé des premiers écoulements. Ceci m’excitait d’autant plus et je continuai de plus belle mes mouvements accélérant légèrement. A chaque fois que son gland passait la porte de mes lèvres je prenais soin d’aspirer bien fort produisant des bruits de succions qui m’excitaient d’autant plus. Ne pouvant plus attendre, Alex émit une pression sur mes mains m’obligeant à me relever.

 

Je me remis alors sur le dos et lui vint tout juste au-dessus de moi. Instinctivement j’écartais mes jambes pour qu’il vienne se placer juste entre celles-ci. Ses doigts caressèrent mes cuisses pour descendre sur mes grandes lèvres déjà extrêmement humides. Ses doigts s’immiscèrent entre les petites et vinrent chatouiller mon clitoris déjà très sensible. J’étouffais un gémissement. Alex sourit avant d’insérer un doigt dans mon vagin déjà lubrifié. Il ne tarda pas à en rajouter un deuxième commençant un mouvement de vas et viens dans mon vagin. Je sentais ses doigts frotter contre les parois de mon vagins humides et avides de plaisir. Il retira très vite ses doigts et les présenta à ma bouche. Je les suçais sans hésitation me délectant du goût acidulé sucré de ma cyprine. Alex vint alors m’embrasser avant de positionner son gland juste à l’entrée de mon vagin puis d’un coup sec s’introduisit entièrement dans celui-ci m’arrachant un cri de plaisir. Se retirant entièrement, Alex me pénétra une nouvelle fois avec force puis entama un rythme acharné me pénétrant à chaque fois avec rudesse. Je ne me contrôlais plus et criais littéralement de plaisir. Ces grognements de plaisirs m’excitaient au plus haut point…

         




Une journée auprès d...