19. Les coups de la vie
Ecrit par Brenne-junella
Chapitre 19 : Les coups de la vie
*** Fifame ***
Après ce qui s'est passé avec Mr Gabriel j'ai attendu qu'il soit endormi pour sortir de na chambre, j'avais trop honte !
Je n'ai pas pu résister tellement j'étais en manque près. De deux ans sans avoir de rapport, je ne dis pas que je suis accro mais ça. Me manquait de sentir des caresses , Mr Gabriel m'a fait de ces choses que je ne connaissais pas rien qu'en y repensant je frisonne.
J'ai préféré fuir j'avais bien trop honte pour le voir ce matin donc j'ai préféré aller chez kenaya.
- Tu es bien trop pensive
- Pardon, ces vrai j'ai un peu la tête ailleurs
- C'est du à un homme?
- La curiosité est un bien vilain défaut!
- Je disais, que Daniel a décidé de prendre ses responsabilités.
- c'est déjà ça, la suite viendra progressivement
- Oui, je veux fonder une famille
- Tu l'auras ta famille
***
Dans le trajet pour la maison je sors mon portable et je me rends compte que je n’avais plus de batterie donc mon portable est éteint. Je règle mon trajet et franchis le portail, j’ai hâte de revoir mes bébés aujourd’hui.
- Où est ce que tu étais ?
Je vois Mr Gabriel assit avec sa sœur et je crois sa mère
- Bonjour, j’étais sorti un moment, pourquoi Monsieur
- Fifame, tu n’as pas vu les enfants. Demande la sœur de Monsieur
- Non, ils ne sont pas chez votre mère
- Non, on ne sait pas où ils sont, on pensait qu’ils étaient avec toi
- Comment ça ? commence-je à paniquer
- Je sais où ils sont et je vais les ramener. Fait Mr Gabriel en prenant la porte.
Je reste avec sa sœur et sa mère, cette dernière pleure en silence. Je commence à m’inquiéter où sont les enfants, ma petite Maude…
*** Charles ***
Je n’ai aucune envie de me rendre au boulot, je me sens bien trop con de m’être fait avoir comme un idiot par Khelissa, moi qui commencé à l’aimer.
J’aurais dû écouter cette petite voix qui me disait de rester sur mes garde, elle avait cet aire de fille fragile mais c’et son orgueil qui m’a poussé à vouloir l’aider puis je me suis attaché.
Tout était réellement faux ?
Non, ce n’est pas possible, elle m’a donnée sa virginité ça j’en suis sûr mais à quel moment a-t-elle changée ?
La sonnerie de mon portale m’oblige à me lever je le prends mais je ne reconnais pas le numéro.
- Oui ?
- Bonjour Charly, c’est Luce
- Ah Luce comment tu vas ?
- Beaucoup mieux que toi, c’est quoi cette voix ?
- Rien d’important
- Bien, je m’ennuie et j’ai envie de me faire inviter
- Ok, tiens toi prête je passe te prendre, envoie moi l’adresse par message
- Ça marche.
Je vais me changer les idées et ressasser le passé avec Luce ça me fera du bien.
***
- Elle s’est jouée de toi ?
- Oui, j’ai encore du mal à le croire, maman avait raison
- Ah ta maman, vous êtes toujours aussi proche
- Oui, nous sommes fusionnels mais je me suis un peu éloigné quand je me suis mis avec Khelissa
- Je vois, l’amour est bien trop compliqué
- Oui, mais parles moi plutôt de toi
- Rien à dire, je travaille à mon compte et ça ne marche pas comme je veux. Je suis à la recherche d’un homme qui veuille bien m’entretenir
- Et tu l’as trouvé ?
- Je crois bien que c’est plus qu’une question de temps, mais on entandant je vais me remplir les poches grâce à une très bonne affaires (levant son verre) Santé !
- (fessant de même) santé !
*** Khelissa ***
- C’est vrai ?
- Oui, tu es libre.
Je me jette dans ses bras, je ne supportais plus cette endroit, trois long jours que je ne dors plus, je n’ai rien mangé et pire je ne supporte pas mon odeur.
Me rendant compte de mon laissé allé, je me retire doucement des bras de Mr Marcel
- Pardon
- Mais non, je te comprends.
- Vous avez dit que je ne pourrais sortir que Mercredi
- Oui, mais j’ai fait jouer de mes relations
- Merci infiniment, que Dieu vous bénisse
- Je vais voir si tout est prêt pour qu’on quitte cet endroit.
Il me laisse et je suis plus qu’heureuse enfin, ces dernières 72 heures ont étés les pires de ma vie.
***
Le chauffeur de Monsieur Marcel gare à notre ruelle.
- Vas faire la surprise à ta maman. Énonce Mr Marcel
- Merci Monsieur Marcel, je ne sais pas comment vous le rendre
- Moi je sais
- Comment ? dis-je méfiante
- Pour commencer il y a toujours mon invitation qui est en suspend, ensuite plus de Monsieur juste Marcel et enfin (semblant réfléchir) j’y réfléchis encore
- D’accord Mon… Marcel
- Voilà, je vous laisse vous retrouver et je passe demain te prendre
- Euh je n’ai pas récupérer mes affaires et mon portable est resté…
- Une autre excuse
- Non.
- Très bien, (il fuit dans son attache et caisse et y sort un Smartphone) cette fois je vais dire non
- Mais tu n’as pas le choix
- C’est trop Marcel
- Tu me rappelles quelqu’un que j’ai beaucoup aimé, les même traits, la même détermination et comme toi une vraie tête de mule
Il m’arrache un sourire
- Et le même sourire
- Merci, je vais y aller
- Alors à demain
- Oui
Je le remercie une énième fois avant de descendre, je cours presque jusqu’à la maison mais mes pas ralentissent quand je vois l’attroupement chez nous. Je commence à avoir peur, très peur
Je dépasse l’attroupement et force le passage, je reconnais certaines personnes et leur visage désolé ne me dit rien qui vaille.
- Où est ma mère ?
Personne ne répond, j’entre dans notre studio et il y’a un autre attroupement quand je m’approche je crois discerner un corps allongé par terre recouvert d’un drap.
- NOOOOON ! hurle-je en me jetant sur ce corps
Je retire violemment le drap et mon cœur se fond en voyant maman allongé, les yeux fermés, son corps est froid
- MAMAN ? MAMAN REVEILLES TOI MAMAN JE SUIS RENTRE
Je la secoue mais rien n’y fait elle ne se réveille pas, elle n’ouvre pas les yeux.
- Khelissa arrête stp
- Regarde maman je suis sortie
- Khelissa stp. Insiste Zita en s’agenouillant près de moi en larmes
- Zita qu’est ce qui s’est passé
- Elle est rentré hier en larmes, elle disait sentir une douleur sur le côté snif, elle m’expliquait ce qui t’est arrivée quand elle s’est plainte de vertiges snif je l’ai laissé un moment pour appeler le voisin infirmier car elle ne respirait plus bien mais quand on est venu elle (sanglot)
- Quoi Zita ?
- Pardon khelissa, si j’avas fait vite (sanglot)
- Mais ce n’est pas possible hier je l’ai vu. C’était la seule qui me restait. Je veux aussi mourir
Je crie ma douleur, je ne réalise pas qu’elle ne sera plus là no c’est trop cruel tout ça, ces derniers jours elle se plaignait de douleur à la poitrine et elle avait aussi du mal à respirer mais je ne pensais pas que… Mon Dieu non, pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi elle ?
*** Luce ***
Le repas avec Charles se passe très bien, je l’ai écouté me déballer son histoire et je me dis que cette khelissa est vraiment une novice elle aurait dû venir prendre des cours.
C’est vrai quoi pourquoi c’est elle précipité, le gar étai déjà en train de tomber sous son charme !
Ça commençait à être ennuyant ce repas, jusqu’à ce sa mère appelle pour annoncer son arrivée. Une heure plus tard, la grande Madame Wora fait son entrée, on s’affronte du regard jusqu’à ce qu’elle prenne place, Charles s’est déplacé pour saluer un confrère
- Madame Wora bonjour, vous êtes en beauté
- Luce ! c’est à croire que tu t’accroche à mon fils d’ailleurs où est-il ?
- Là-bas. désigne-je
- Faisons vite, combien veux-tu cette fois ?
-De quoi me parlez-vous
- Pas de ça entre nous, je sais quel genre de vermine tu es
- Surement parce qu’en vient du même moule.
- Parles et vite
- Laissez-moi-y réfléchir et je vous recontacte.
Elle veut m’exprimer son mécontentement quand Charles nous rejoint
- Bonjour maman
- Salut mon grand ça va ?
- Oui.
- Je vais vous laisser. Annonce-je
- Mais non Luce
- Resté serait déplacé, j’ai passé un bon après midi maintenant je te laisse avec ta mère
- Très bien on s’appelle
- Oui. Réponde-je en lui faisant la bise
C’est fou comme les personnes comme Madame Wora sont prête à débourser une petite fortune pour sauvegarder leur apparence et moi je sais en tirer profit.
- Bonjour mademoiselle Luce. Lance le Dr en entrant
- Bonjour Docteur
- Comment ça va aujourd’hui ?
- Tout dépend de ce que vous allez m’annoncer.
Il me sourit et je le trouve plutôt mignon, il prend un document qu’il parcoure vite avant de lever ses yeux sur moi
- Eh bien, ce n’était rien de bien grave, tous ces malaises sont tout à fait normale vu votre état.
- Et quel état Docteur ?
- Félicitations, vous êtes enceinte
Je m’en doutais bien mais je voulais avoir une confirmation et sur le coup je ne ressens rien à cette annonce, je le regarde un moment avant de prendre l’enveloppe qu’il me tend.
Une fois dans ma voiture je passe ma main sur mon ventre, je ressens une joie immense, mon plan marche comme sur des roulettes la phase 1 est lancée reste plus que la phase 2.
J’adore quand tout se passe comme je l’ai prévu.
*** Fifame ***
Nous sommes assissent à attendre des nouvelles mais rien n’y fait, ça va faire des heures que Mr Gabriel est parti mais on n’a pas reçu d’appels et ce silence est une vraie torture.
- Vous ne voulez rien prendre ? demande-je
- Non, Fifame merci. Répond la sœur de Mr
- Et vous madame ?
Elle fait non de la tête, elle doit vraiment s’en vouloir car les enfants étaient avec elle. On entend du bruit depuis le portail et c’est à l’unisson qu’on se lève plein d’espoir, mais ça s’envole quand Mr Gabriel franchit le portail avec une mine abattue
- Elle n’est pas chez elle et même ses parents disent ne rien savoir.
- Ce ne sont que des menteurs, je suis sûr qu’ils la couvrent. S’énerve sa mère
- Oui, maman a raison.
- Je me sens impuissant.
- On devrait se rendre à la police, je ne sais pas moi, déposer une plainte ou un avis de recherche. Proposè-je
- Oui, Fifame a raison
Mon portable qui chargeait au salon sonne je m’y précipite c’est un numéro inconnu
- Allo ?
J’entends des sanglots et je commence à paniquer
- Elle est morte Fifa, maman est partie
- Khelissa ?
- Je n’étais pas là (sanglot) je ne vais pas y arriver, j’ai envie de mourir
- Non (voix brisée) comment s’est arrivée ma puce
- Je ne sais pas. Snif j’ai besoin de toi
- Oui, j’arrive
Elle raccroche et je garde le téléphone à mon oreille, je pleure en silence. C’est trop cruel ce qui se passe pourquoi mon Dieu
- Fifame ?
Je me rappelle que je ne suis pas seule, en levant les yeux je remarque que tous me fixent
- Une mauvaise nouvelle ? insiste Mr Gabriel
- Oui, snif ma sœur vient de perdre sa mère, pardon je peux y aller
- Oui, bien sûr, je te dépose ?
J’hoche juste la tête, je le suis et il me conduit jusqu’à Kembo. Depuis que j’ai quitté Youssef je n’ai plus mis les pieds ici. Je n’ai fait que pleurer, Khelissa était très proche de sa mère son monde ne tournait qu’autour d’elle, moi-même je suis très proche de ma mère et si… non, je préfère ne plus y penser.
Je remarque que nous sommes immobiles depuis un moment, je reconnais l’entrée de la ruelle de Khelissa
- Merci Monsieur
- J’aurais aimé venir et présenter mes condoléances mais…
- Je comprends, ne pas savoir où sont les enfants pus ça. Snif, c’est un peu trop d’un coup
- (posant sa main sur la mienne) on va les retrouver et si Marie y est pour quelque chose elle va le payer
- Ok, svp donnez-moi des nouvelles
Je descends et marche jusqu’à chez Khelissa et l’attroupement confirme que ce n’était pas une plaisanterie, je la cherche et la trouve assise à même le sol près de Zita. Je cors la prendre dans mes bras et ensemble on pleure.
Je repense à Dounia, elle me manque atrocement
*** Alex ***
Elle ouvre enfin sa porte, elle semble déçue de me voir, je force presque le passage
- Je ne t’attendais pas
- Je sais. Réplique-je en prenant place
- Que veux-tu ? dépêches-toi j’attends quelqu’un
-Et qui ?
Je la regarde elle est debout les bras croisées sous sa poitrine, je suis juste passé pour lui faire chier et savoir qu’elle attend quelqu’un me plait
- Ah mais oui, Jules-Yoann ! vous vous êtes remis ensemble
- Vois-tu ce ne sont plus tes affaires. J’ai d’autres projets et tu n’en fais pas parti.
- Je n’arrive pas à croire qu’il se remette avec toi aussi vite.
- Tu devrais savoir que Luce arrive toujours à ses fins. Je vais prendre ma douche et à mon retour je veux que tu sois parti. Lance t-elle en tournant les talons.
Elle parait bien trop sûre, je suis sûr qu’elle prépare un coup et je dois savoir quoi pour la faire chanter.
Je me mets à fouiller partout, la maison est super bien rangée, je vais dans sa chambre j’entends l’eau coulée je cherche désespérément une chose et alors que je veux baisser les bras, je tombe sur son sac à main je m’y précipite il y’a une enveloppe et je la sors
Non ce n’est pas vrai, la maline elle est enceinte. Ce Jules-yoann me déçoit il prétendait aimer Dounia et à peine morte… un moment, d’après ce qui est écrit elle est à …3 semaines
Mais oui, elle veut me rouler. Ça ne va pas se passer comme ça. Je quitte mes vêtements pour la rejoindre sous la douche, je me colle contre elle et sentir ainsi ses fesses contre mon intimité me réveille d’un coup
- Je pensais t’avoir dit de t’en aller
- Chut (baiser dans le cou) j’ai envie de réaliser un vieux fantasme (titillant le lobe de son oreille) fais-moi plaisir stp
- Et c’est quoi ?
- Coucher avec une femme enceinte
Elle se crispe et me fait face, j’aime cette expression qui confirme que j’ai le dessus sur elle
- De quoi tu parles ?
- Du fait que tu es enceinte
-Ce n’est…
- Je ne t’en veux pas, bien au contraire je suis le plus heureux. Je vais être papa
- Alex, tu ne viendras pas gâcher mon plan ok.
- Bien sûr que non, on va juste remettre les choses au clair, je veux bien te laisser attribuer ma grossesse à cet idiot mais bien sûr ‘ai droit à une compensation pour ce si grand sacrifice (caressant son visage) après tout j’accepte de ne pas profiter de mon bébé
Je passe ma main sur son ventre mais elle la retire vite.
- En attendant et si on profitait de cette douche. Fais-je en l’attirant à moi
*** Une semaine plus tard ***
*** jules- yoann ***
- Luce tu es sûr que ça va ?
- Mouais, juste une petite grippe de rien du tout.
- Très bien, je passe te faire ma recette spéciale
- Ne te dérange pas stp
- J’arrive.
Je boucle tout et fais un tour en pharmacie avant de me garer en bas de son appartement, quelques minutes plus tard je suis assis avec elle au salon
- Tu donnais l’aire d’être sur le point de mourir
- MDR je ne supporte pas la grippe
- Tu verras avec ces comprimés tu seras sur pied en un rien de temps
Nous sommes à table, j’ai tenu à faire le déplacement pour lui rendre l’appareil, elle a été avec moi quand j’étais mal, je me rends compte qu’à défaut de me mettre avec elle peut être une amie.
Je me lève pour débarrasser puis je la rejoins devant la tv, on suit une émission comique, soudain je commence à avoir chaud puis soudain j suis pris d’une grande envie de sexe, je sens mon sexe prendre de la vigueure
- Jules ? ça va ?
- Non, je ferrais mieux de m’en aller
- Déjà ?
- Oui.
En me levant je sens la déformation de mon pantalon et j’en suis gêné. Luce l’a remarqué je ne sais plus où me mettre
- Euh, je suis flatté que tu te mettes dans cet état pour moi.
- Je ne sais pas ce qui m’arrive
Luce se lève et se jette dans mes bras pour m’embrasser je veux la repousser mais j’y parviens pas, elle me pousse sur le canapé et retire chaque bouton de ma chemise l’un après l’autre, je ferme les yeux et revois Dounia, son sourire je repense à nos moment d’intimités en ouvrant es yeux je la vois en califourchon sur moi.
Je l’embrasse avec passion, elle m’a tellement manqué…
*** Fifame ***
Sept longs jours ! Et toujours aucune nouvelles des enfants, aucune trace de Marie. Je suis restée avec Khelissa pour lui apporter mon soutient.
Nous sommes au cimetière, ça été plein d’émotions. Khelissa ne pleure plus elle garde le silence et ça m’inquiète le peu de personne présent est en train de s’en aller.
Khelissa reste immobile à fixer la tombe de sa mère, je m’approche et lui touche le bras, elle lève ses yeux vers moi et son regard est vide, je ne vois plus ses yeux innocents, son regard moqueur. Elle ne sera plus jamais la même après ça
- On devrait y aller
- Fifame, je te prends à témoin. Je te jure sur l tombe de ma mère que ils vont me l payer, je n’ai pas pu être avec elle quand elle se battait pour survivre. Je les déteste du plus profond et je ferais tous mon possible pour les faire payer
Qu’est ce qu’ils ont fait de ma khelissa ? Elle parle avec une haine que j’en ai des frissons
- Khelissa ne devient pas comme eux je t’en prie
- Trop tard, ils ont tué la petite naïve que j’étais, je suis morte avec ma mère Fifa.
- On y arrivera ma chérie, toutes les deux
- J’ai décidé d’accepter de suivre Monsieur Marcel
- Le suivre ? mais où ?
-Il m’a proposé du travail mais pour ça je dois le suivre en côte d’ivoire et j’ai décidé d’accepter
- Quoi ? tu as pris une telle décision sans m’en parler ? cote d’ivoire ?
- J’ai pris ma décision. Conclue t-elle en me laissant planter là
..
Pour poster cette suite je me suis mise une personne importante à dos ( si tu me lis pardon )
Mon irrégularité n'est pas faite exprès je suis très chargée et le bouquet final est que mon trésor est malade et en tant que maman je me dois d'être près d'elle car ELLE EST MA PRIORITE.
Je vais réduire les publications ( à contre coeur ) à une par semaine, je m'en excuse