20 - Accord parfait
Ecrit par Owali
Partie 20
Jeudi 14h15
Je déposais mes affaires à mon bureau et me précipitais vers la salle de réunion dans laquelle avait lieu le briefing du projet UBS.
Le meeting avait déjà commencé depuis 15min, j’ai fais aussi vite que j’ai à tel point que je n’ai même pas eu le temps de passer chez moi déposer mes affaires.
J’avais rapidement enfilé un costume dans les toilettes de Roissy avant de prendre mon avion pour Zurich. C’est au cours de cette réunion que devait avoir lieu la présentation officielle des différents consultants affectés au projet aux bosses de ma société. Avec une telle opportunité d’être mis en avant et augmenter ses chances de promotion, je ne pouvais pas me permettre d’être absent.
3h plus tard.
Ça y est c'était désormais officiel, j'avais sous ma responsabilité l'audit des applications opérationnelles en l'occurrence les postes de travail des conseillers de la banque.
Une évaluation rapide de ce qui était attendu m’avais permis d’estimer ce travail à environ 3 mois.
Malheureusement, le client ne disposait pas d’autant de temps, il me faudrait alors mettre les bouchés doubles si je ne voulais pas ternir ma réputation d’ « impossible man », celui qui rend possible ce qui est humainement impossible.
Je rentrais tôt ce jour et tombai comme une masse sur mon lit sans manger, n’ayant pas la force de me faire à mettre sous la dent.
A ce moment et rien qu’à ce moment je regrettais les bons petits plats de Laure. On peut tout reprocher à cette fille mais s’il y a une chose que même ses ennemies ne peuvent nier, c’est que c’est une cuisinière hors paire.
Je m’endormis alors le ventre vide mais le gout de son saka saka dans la bouche…
La journée de vendredi était consacrée à la préparation des documents préliminaires car dès lundi je me rendrais directement à la banque pour démarrer à proprement dit mon travail. Les heures défilèrent à une vitesse folle, j’eu à peine le temps avaler un sandwich entre midi et deux qu’il me fallait enchaîner avec des réunions toute l’après midi. C’est complètement lessivé que je quittais le boulot sur les coups de 21h30. Je voulu m’arrêter prendre quelque chose à manger mais le coup de fil de Marcus me fit sortir l’idée de la tête. Il me fit le rappel de tout ce que j’avais raté pendant mes congés. On se parlait sur whatsapp tout le temps mais visiblement il ne m’avait pas tout raconté.
~ Non mais tu te rend compte! Elle ose venir me désigner comme le géniteur de son rejeton! Une malade comme ça??? Elle a fini de coucher avec la moitié du pays et c'est moi le maboule qu'elle a trouvé pour endosser la responsabilité de ses conneries.
~ Ah ah ah! Papa Marcus, on ne nie pas les enfants, si maintenant c'est vraiment toi...
~ Impossible! Nous nous sommes toujours protégés. Qu'elle trouve le responsable ailleurs. Si ça se trouve elle ne sait pas elle même de qui c'est et elle joue à la loterie.
~ Rhhooo quand même pas!
~ Non Mokonzi, la fille la c'est le diable en personne. Figure toi que le week-end dernier alors que je rentrais tranquillement de soirée avec une petite, je l'ai carrément trouvé en train de dormir assise sur le seuil de ma porte!
~ OH! Elle était la bas depuis combien de temps??
~ Tu me demandes?
~ Oh oh oh! Osali nini? Elle voulait quoi?
~ Mbongo Mokonzi! Asengi ngai mbongo! Comme elle m'a vu comme sa banque!
~ Mais?!? Comment ça attend, explique moi bien, je ne comprends pas. Elle n'a quand même pas quitté son domicile de Toulouse pour venir te demander de l'argent à Paris???
~ Tu me parles de quelle maison de Toulouse au juste? Le studio qu'elle sous louait et que je payais???
~ Que tu payais? Comment ça tu payais? Elle a ses parents non?
~ Ah ah ah! tu es drôle toi. C'est l'enfant de qui qu'on va laisser en France sans envoyer d'argent ni même se préoccupé de savoir comment elle vit au quotidien. C'était ta copine mais apparemment tu ne savais rien d'elle hein
~ C'est ce que je réalise la...
~ Hum. Donc elle vit de ses strip teas et du bouffage des mougou qu'elle trouve.
~ kiakiakia donc tu reconnais toi meme que tu étais son mouguou?!?
~ Je ne suis pas un con, j'étais un mouguou consentant. Notre relation était un partenariat de gagnant-gagnant et tout se passait plutôt bien jusqu’à ce qu'elle gâche tout.
~ Tu l'aimais bien avoue...
~ Ah! La question n'est pas la. Elle n'est vraiment pas fiable cette fille.
~ hum. Mais du coup tu as fais quoi quand tu l'as vu en rentrant chez toi.
~ J'allais faire quoi? Il était 4h du matin, je l'ai fais entrez et elle s'est gérée pendant que je me mettais bien avec le jolie bébé que j'avais ramené
~ Encore toi même! Est-ce que tu pouvais laissez?
~ Jamais! Si elle voulait même, elle pouvait nous rejoindre mais bon j'étais trop en boule contre elle pour lui proposer.
~ Tu m'étonnes. Et du coup elle a élu domicile chez toi?
~ Madame s'est installé je te dis! Et je suis peut être un sans cœur, mais avec son affaire de grossesse la je ne pouvais pas la foutre à la porte comme ça. La comme c'est le week-end je vais aller la déposer à Toulouse.
~ Mais tu vas la déposé où? Vu qu'elle n'a plus d'endroit ou vivre la bas?
~ Ça ce n'est pas mon problème, elle va se débrouiller. C'est sa ville, elle va trouver une de ses copines ou un autre maboule à qui attribuer sa grossesse chez qui squatter, ce n'est pas moi.
~ Hum. Ok ok bah bon courage alors.
~ Mais bon trop parlé de mes histoires. Ton affaire avec ta femme du pays la c'est passé comment?
~ Pardon Marcus, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi. Ce n'est pas ma femme!
~ Ah ah ah! Appel ça comme tu veux mais vu tout ce que vous avez déjà fait, il ne te reste plus qu'a lui passer la bague au doigt et ça le sera officiellement.
~ Arrête de raconter des conneries! Elle ne représente rien pour moi. Ma femme tu l'a connais déjà.
~ Qui la petite sauvageonne la? Pardon, moi j'ai déjà fais mon choix hein. Je ne comprends même pas pourquoi tu tergiverses, une belle et vraie femme comme Laure.
~ Pfff tu n'as qu'a aller te présenter si tu tiens tant que ça à elle. Je ne suis pas dans elle.
~ Tu n'es pas dans elle, tu n'es pas dans elle, dit plutôt que tu n'es plus dans elle krkrrk
~ Salaud! C'est définitif je ne te raconte plus mes choses!
~ Krkrkr Nooon! Pourquoi? Tu es mon modèle Mokonzi! Y a pas l'homme pour toi! Mobali Makassi!!! Le tombeur de ses dames kiakiakia
~ Ouai c'est ça!
~ L'international! D'ailleurs qu'est-ce qu'elle devient la petite stagiaire à ton boulot la? Tu n'as pas avancé sur le dossier depuis ton retour.
~ Toi tu es fou hein, tu crois que c'était ma préoccupation?
~ Non mais je ne sais pas tu aurai pu aller te perdre dans son étage comme ça par hasard.
~ Kiakiakia!
J'étais arrivé chez moi et sortait les clés de ma poche pour ouvrir ma porte.
Click clack
Depuis l'entrée, je vis que la lumière du salon était allumée. Bizarre j'étais pourtant sur de l'avoir éteinte ce matin.
~ Non mais toi aussi tu es un dormeur.
~ Gars je te dis que la petite la me cherche depuis!
~ Kiakiakia mais il fallait attaquer ça !
~ Mais toi tu es même comment?!? Une fille qui roule en Mercedes, je ne peux pas m...
Mes yeux venaient de tomber sur une Marie-Claire incroyablement sexy.
~ Gars, je dois te laisser, j'ai un ange devant moi la.
~ Ah tu viens de la voir? Okay ciao.
Comment il savait qu'elle serait la?
Je n'eu pas le temps de me poser la question plus longtemps tellement je restais en admiration devant cette merveille faite femme.
Elle avait changé sa coupe de cheveux, le débardeur attaché de manière à laisser en évidence son sublime ventre et le shorty qui moulait parfaitement ses jambes finirent de me confirmer ce que je savais déjà...Je suis envoûté par cette femme.
=-=
Ça faisait un moment qu'elle était partie à la cuisine et elle ne revenait toujours. Je me levais pour aller voir ce qu'elle faisait. En entrant dans la cuisine, elle me faisait dos. Je m'approchais d'elle et vit qu'elle était fatiguée à sa façon de bailler comme un hippopotame. Je me mis à lui caresser délicatement le dos. J'avais tellement envie d'elle mais j'avais si peur a la fois. Et si je ne faisais pas l'affaire et n'arrivait pas à la satisfaire.
D'une part ça ferait les affaires de ma mère et de Laure qui n'attendent même pas ça pour mettre définitivement le grappin sur moi. Mais d'autre part je me sentirais tellement mal...et humilié. Parce que c'est une chose de se faire rabrouer par un vide bol comme Lola, ça ma laisser de marbre à la limite.
Mais lorsqu'il s'agit de la femme qu'on aime et pour qui on serait près à soulever des montagnes...je ne sais pas comment je le vivrais. Je la pris par la taille et la retournai pour qu'elle soit face à moi. Elle était si belle et semblait si fragile. Je n'avais qu'une envie la prendre dans mes bras et lui montrer à quel point je suis heureux qu'elle soit la. Mais avant ça...
- Marie-Claire, il faut qu’on parle.
- Pourquoi tu prends cet air si grave konzi, me demanda t-elle inquiète. J'ai fais quelque chose de mal? C'est la nourriture c'est ça?!? Je suis désolée konzi, je vais...je vais me rattrapé. Je n'ai pas...
- Ça n'a rien avoir avec ton plat, ne t'inquiète pas pour ça. Merci pour la peine que tu t'es donné pour le rangement et tout ça, j’apprécie vraiment.
- Ah...heu ce n'est rien. C'est à cause de ce qui s'est passé tout à l'heure alors...
- Tout à l'heure...? Ah heu quand on s'est un peu emballé la?
- Hum, hum. Répondit-elle toute honteuse en baissant la tête.
Je la lui relevai et plongeai mon regard dans le sien.
- Je suis désolé d'avoir voulu précipité les choses. On a dit qu'on prendrait notre temps et je n'ai pas...
Elle posa son index sur ma bouche.
- Chuuutt...on a déjà perdu assez de temps tu ne trouves pas.
Elle fit glisser son doigt le long de mon torse avant de le mettre dans sa bouche en me faisant un petit sourire coquin et de sortir de la cuisine avec un déhanchement sans nom...Eh merde!
***Marie-Claire***
J’allais dans la salle de bain me rafraîchir et mettre la nuisette que j’avais prévue pour nos retrouvailles. J’étais quelques peu anxieuse par ce qui allait se passer. C’est tellement facile pour moi de jouer la femme fatale et séduire un homme, vu que ce sont des éléments indispensables dans la danse mais ça c’est un rôle que je joue. Le jeu est finis et maintenant il va falloir passer à la réalité…dur réalité. Quand est-ce que je suis sensée lui expliquer que je ne sais pas m’y prendre ? Que je n’ai jamais fais ça ? Punaise, il est minuit, ce n’est même pas la peine de penser appeler Aude.
Poufff Respire MC, Respire.
'Toc Toc Toc'
- Tu t'es endormi princesse?
- Heu...non non j'arrive.
Ca devait faire 10min que je m'étais enfermé la dedans. Je cherchais le courage mais il ne venait toujours pas. Bon ben...quand il faut y aller, il faut y aller. Je tournai la poigné de la porte et le vit adossé contre le mur d'à coté les yeux fermé.
- Oh...tu dors debout?
- Hum...Non, je t'attendais. On va se coucher?
Fit-il en me tendant sa main.
Il me dit non mais je vois bien que ses trais sont tirés. Il est fatigué
- Ok.
Je pris sa main et il me tira vers la chambre. Arrivés à l'interieur, on s'allongea chacun de notre coté. Il pianotait sur son telephone pendant quelques secondes avant de se retourner vers moi.
- Pourquoi tu restes recroquevillé dans ton coin? Viens la. Fit-il en m'ouvrant ses bras.
Sans me faire prier je me blotti contre lui, me laissant envelopper par sa chaleur et son odeur d’agrume, d’épice et de bois
- C'est quoi ton parfum?
- Mokonzi
- Hein?!? Je te demande le nom de ton parfum pas ton nom.
- Je t'ai répondu.
- Comment ça? C'est un parfum personnalisé?
- C'est cela.
- Cool...il sent bon, tu sens bon. Fis-je en lui faisant le cou
- Merci princesse.
Je continuais mes bisous dans le cou et il repris ses caresses circulaires sur mon dos. C'etait juste grissant les sensations que ça me procurait. Je sentais des petits picotements dans le bas de mon ventre et commençait à gemir legèrement.
- Tu aimes ça?
Je fis un simple mouvement de tête en guise de reponse en poursuivant mes bisous. Très vite il se retrouva au dessus de moi et se mit à me sucer les seins. Je n'étais pas très à l'aise et avait un peu honte de me retrouver à moitié nue devant un homme, mais en meme temps il s'y prenait tellement bien pour faire monter en moi le désir que toute gène disparu. J'entrepris de lui retirer son haut pour lui prodiguer les memes caresses.
Au bout de quelques minutes, il dirigea ses baisers sur mon ventre ce qui me fit gémir plus fort à mesure qu'il decendait. Lorsqu'il se mit à mordiller mon bouton a travers mon string, je perdis tout controle de mon corps qui se mis à se tordre dans tout les sens pour tenter d'échapper à cette exquise caresse. Malheuresement pour moi il me tenait fermemant. Alors que j'étais au bord du précipice, il arreta tout et se redressa pour prendre un preservatif sur sa table de chevet. Le bruit du sachet qu'il ouvrait, me fis rapidement redescendre sur terre et la panique qui m'avait dejà quitté refis son grand retour.
- Tiens, fit-il en me tendant le préservatif
- Hein?!? Qu'est-ce que tu veux que je fasse avec ça?
- Ben tu me l'enfile...
Hein?!? il a perdu la tête ou quoi? Il veut que je le lui mette à l'envers ou quoi?
- Heu...non, non vas y toi.
- Tu es sur?
Et comment que je suis sur!
- Oui, oui vas y.
Il l'enfila lui meme avant de se décaler sur le côté pour retirer mon string. Il eu toutes les peines du monde à le faire tellement j'étais crispé. Lorsqu'il se replaça entre mes jambes j'étais littéralement en apné. Il mit son visage en face du mien et me regardai dans les yeux.
- Ca va princess?
- ...
- Qu'est-ce qu'il a ?
- ...
- Il y a un problème? Je t'ai fais mal?
- Non...
- Tu veux qu'on arrête?
- Non, non...c'est juste que...heu...je ne l'ai jamais fait...
- Tu n'as jamais fais quoi?
- Ben ça...
- Tu n'as..? Tu veux dire que tu es vierge?
Je repondis par un signe de tete.
- J'ai envie de le faire, j'ai envie de toi mais...j'ai peur d'avoir mal
- Ah ah ah...ce serait bien la première fois que ça m'arrive ca!
- Hein? Comment ça?
Il me fit un bisou sur le front.
- Je ne te ferai pas mal...ne t'inquiète pas pour ça.
- Tu promets?
- Je te promets...
Il repris ses caresses de plus belle et très vite je ne fus plus que gémissement.
Lorsqu'il se glissa enfin en moi, je me senti entièrement comblé.
J'agrippais mes jambes à sa taille et ses va et viens circulaires finirent de me faire voir les étoiles. Quelques instant plus tard il me rejoignis et s'affala sur moi par la suite.
- OUUchh! Pousse toi, tu pèses!
- ah ah ah, tu ne disais pas ca tout à l'heure, fit-il en se redressant.
Il se leva et alors que je pensais qu'il sortait, je fus surprise lorsqu'il vint me soulever pour me porter jusqu'à la salle de bain ou il me lava comme un bébé.
- Aïe! Criais-je alors qu'il venait de me mettre un jet d'eau chaude dans mon entrejambe.
- Il faut le faire pour raffermir ton vagin.
- Ouai c'est ça! D'ou est-ce que tu as vu qu'il n'était pas ferme?
- Ah ah, je te taquine princess, ton vagin est parfait! Juste taillé pour moi. Tu ne peux pas savoir a qu'elle point je suis heureux. Tu as aimé au moins?
- Non...J'ai adoré! Même si tu n'as pas respecté ta promesse.
- Comment ça?
- Tu m'as fait mal...
- Impossible! Avec quoi? Petit prince?
- Krkrkr! Oui petit prince n'est peut être pas grand mais il est gros.
- Arrete! Tu le compare à quoi d'abord? Je croyais que tu étais vierge.
- Ben oui mais ce n'est pas parce que je le suis que je n'ai jamais regardé de film...
- Hummm coquine!
- Je m'instruisais monsieur!
- Ben j'espère que tu as bien étudier parce que tu as un sacré retard à rattraper!
- Et comment?!? On y retourne?
- Heu...laisse moi juste le temps de dormir un peu et à mon reveil on remet ça sans problème.
- Great! Give me five!
CLAP!
=-=
Bzzzzz BBZZZZ
Huuuummmm
Je m’étirai dans le lit tel un chat en émergent de mon sommeil. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est. Tout ce que je sais c’est que j’ai le corps endolorie par les 2 seances qu’on s’était offerte ce matin et une faim de louve.
Bzzzzz BBZZZZ
Mais c’est quoi ça ?!?
Je me redressai et remarquai au passage que Prince n’était plus dans le lit. Le bruit semblait venir de son coté. Je me roulais dans la couette en rejoignant l’autre bord. C’était son téléphone qui vibrait. Je le pris en pensant que c’était son réveil lorsque je tombai sur la photo d’une certaine Laure qui l’appelait. Je reposai son téléphone mais cette dernière insistait tellement que je voulu décrocher lorsqu’elle interrompit l’appelle. C’est à ce moment que je vis sur son écran l’aperçu d’un message qu’elle avait envoyé :
« Tu me manques bébé, j’ai envie de… »
Mon cerveau s’arrêta de tourner et mon cœur tomba dans mes fesses.
- Ah tu es déjà réveillé ? Regarde ce que je t’apporte un bon petit dej…Qu’est-ce qu’il y a pourquoi tu fais cette tête ?
--------------------------------------------------------------