ACTE 1 : BONJOUR !

Ecrit par Jade Noir

MIRANDA ATOFACK


La vie c'est quoi même eh ?! Vingt-trois ans, je refais le BAC pour la quatrième fois. La vraie force de l'expérience. Si je ne passe pas cet examen d'état, il me reste le plan B : les frères mbenguistes de mes copines. Aka elles croient qu'elles sont toutes malignes à vouloir cacher leur frère prometteur. Mais elles se fourrent le doigt dans l'œil, seuls les montagnes ne se rencontrent pas. Je me rappelle encore 4 ans plus tôt, mon premier, celui qui m'a déviergée. Après avoir obtenu ce qu'il désirait, le cuon1 me dit carrément que la relation ne peut pas continuer car je suis inexpérimentée. *Après avoir bien écrasé le pistache*, le mec a décalé comme un vampire. Si seulement ça s'était arrêté là. Non ! Il a fallu qu'il aille raconter à sa sœur comment j'ai déjà couché avec d'autres hommes, raison pour laquelle il n'envisageait pas une relation plus sérieuse avec moi. Un pauvre technicien de surface de son état. Tsuippp ! Voleur de fesses comme ça !


Je dois m'habiller rapidement, je suis déjà en retard pour mon rendez-vous de cet après-midi : Professeur Mimbang Misseul. C'est grâce à lui qu'on a pu savoir pourquoi je passais autant de temps sur les bancs de l'école : la dyslexie. Bien que mes parents ont eu à m'avancer pour certaines classes, pour le BAC ils ne pouvaient malheureusement rien faire, ils n'avaient pas le réseau. Donc je devais seulement m'efforcer à composer, composer jusqu'à ce que je passe ce foutu BAC. Monsieur Mimbang a été mon professeur de maths lors de ma troisième tentative de BAC. Dès lors, il avait été à mesure de déceler quelles étaient mes lacunes à l'école par mon incompréhension totale des exercices mathématiques. Suite à ses rencontres avec mes parents face à mes difficultés à l'école, il était convenu qu'il sera mon répétiteur jusqu'à l'obtention du BAC. Je ne pus l'avoir lors de ma première année de répétition avec lui car il fût embauché dès le début du troisième trimestre : période de redressement bien trop courte.


— Mlle Atofack, que faites-vous ici ? Vous avez déjà composé le BAC ou vous voulez seulement me donner plus d'argent de répétition gratuitement. Rentrez chez vous et attendons les résultats ensemble. M'interpella Mr Mimbang me tirant de ma rêverie.


— Je ne suis pas là pour les cours de répétition. Je suis venue car j'ai appris par Reina que vous êtes endeuillé actuellement. Je venais comme ça pour voir comment vous allez. D'ailleurs maman m'a demandé de vous apporter ceci. Elle pensait que vous n'auriez pas la tête à cuisiner quoi que ce soit.


Pour la petite histoire, Professeur Mimbang, du haut de ses 34 ans n'est pas marié, pas pour faute de ne pas avoir essayé. Disons juste que sa famille est trop forte pour lui. Il est le cadet d'une fratrie de 7 enfants, et d'après les rumeurs il a passé son temps à jouer la vie pendant que ses frères et sœurs bâtissaient leur avenir. Aussi, quand il décida de devenir sérieux, ses prétendantes ne le trouvaient pas aussi ambitieux que ses frères. Certaines ont eu à le quitter pour devenir des maîtresses attitrées de ses frères ou alors ses beaux-frères. Chacune a cherché à se positionner comme elle pouvait. C'est ainsi qu'il est devenu le mouton noir de sa famille. Certains membres de sa famille lui ont même interdit de leur présenter qui que ce soit. Qu'il n'a qu'à mourir célibataire, c'est pas la fin du monde. Ou alors qu'il aille se fiancer seul comme un orphelin au lieu de ramener ses *bordelles* au sein de la famille.


— Qu'est-ce que c'est ? Ça sent bon en tout cas. Hummm... On dirait le *coki* de Maman Zo qui vend le coki les samedi au carrefour la-bas. En passant, en descendant ici chez moi est-ce que tu as vu Maman Zo dont je parle là ?


— Oui, mais elle ne vendait pas le coki aujourd'hui hein. Elle a plutôt fait la tenue militaire aujourd'hui.


— Ah d'accord.


Finalement en ouvrant le paquet, Misseul était content de constater que maman lui avait bien envoyé du coki, il fallait voir à quel point il était émerveillé.


— Ta mère a fait fort hein Randa, en plus elle a envoyé ça avec le complément un bon manioc juste comme j'aime. Tu m'accompagnes au moins j'espère ?


— Non merci. J'en ai trop mangé à la maison avant d'arriver ici.


— Pas de soucis.


— Le programme du deuil dit quoi alors ?


— Hum hum...Misseul mâchouillait sa première bouchée. Nous étions assis sur des bancs posés face à face dans cette cour commune qui soulevait une poussière rouge à chaque fois qu'un courant d'air passait.


— Nous allons enterrer ma grand-mère dans 1 mois et demi.


— Un mois et demi ? Interloquai-je choquée par autant de délai avant la mise en terre du corps.


— Oui ! Tu sais ma grand-mère a eu à élever beaucoup d'enfants et petits-enfants et une bonne partie vit à l'étranger et tenait à lui faire honneur. Raison pour laquelle nous allons devoir attendre qu'ils arrivent avant d'enchaîner le tout.


— OK. Donc je dis alors à maman de libérer son programme dans un mois et demi. Moi aussi je viendrai t'aider pendant la période de deuil.


— Excuses-moi de te couper Randa. Je peux savoir pourquoi tu fais tout ça?! Écoute si c'est pour venir faire ton marché de mari au deuil de ma grand-mère pardon oublie car tu n'es peut-être pas au courant mais ma famille m'a interdit d'amener n'importe quelle femme lors d'évènements familiaux.


— Monsieur Mimbang je comprends votre scepticisme mais vous devez aussi comprendre quel gros poids vous nous avez enlevé à mes parents et moi.Savez-vous combien de marabouts mes parents ont eu à payer pour savoir qui avait enterré mon cerveau quelque part ? Savez-vous à quel point mes parents ont été la risée de la famille car leur fille n'arrivait pas à s'en sortir à l'école. Grâce à vous, on a su d'où venait mon problème. Et ceci pourrait être le même problème que rencontre ma petite sœur Solei. Si je venais faire mon marchandisage comme vous le disiez si bien, je ne crois pas que je serai venue avec ma mère. C'est d'ailleurs elle qui tient à ce que nous soyons là pour vous soutenir vu tout ce que vous avez fait pour nous.


— OK je comprends. Répondit Misseul plus conciliant. Je vous enverrai le programme du deuil une fois finalisé sur WhatsApp. Il n'est pas complètement finalisé vu les pourparlers qui occurrent actuellement dans la famille.


— Parfait. Dans ce cas on attendra de vos nouvelles. Je vais y aller. concluai-je.


—Bonne route.


— Merci Monsieur Mimbang


PROFESSEUR MIMBANG MISSEUL


Donc comme ça la bonne dame est assise au carrefour alors qu'elle m'a affirmé via texte qu'elle n'allait pas se trouver au Carrefour aujourd'hui ! Tout ça même pourquoi ? Parce que j'ai osé dormir pendant un match. Qui n'a jamais osé dormir en pleine séance de sexe ? Hum ?! Elle aussi, tsuip, je lui ai déjà dit de perdre un peu de poids. Ça demande de plus en plus d'énergie de s'occuper d'elle. Qu'est-ce qu'elle ne comprend pas quand on lui dit ça jusqu'à se fâcher et ne plus honorer ses rendez-vous ?


Je lance l'appel en trouvant son contact dans mon vieux Samsung S6 que m'a offert mon neveu. Il faut même que je pense à gratter ce petit-là Les gens pensent que l'Occident c'est la vie mais ils n'ont pas encore compris que l'Afrique c'est le terminus. Va là-bas travailler comme un malade nous au mboa on a juste à t'envoyer un coucou, te demander de nous sauver de la misère, que les euros pleuvent. Je réitère l'Afrique c'est le terminus ! Montez, descendez, on vous attend ici de pied ferme pour que vous nous distribuiez vos euros, vos dollars. La vie est belle au mboa. Merde ! Elle ne décroche pas ! Non, en fait la bonne dame m'a bloquée.


— Bijou ! Bijou ! Criai-je.


Bijou c'est la petite sœur de la voisine qui me fait des appels de phare depuis et dont j'ignore royalement. Moi et les jeunes non merci ! Déjà il faut t'occuper d'elle financièrement à 100 %, en plus ce sont toutes des panthères. Il suffit de voir toutes mes ex qui sont allées se positionner comme deuxième bureau chez mes frères ou beaux-frères. Sans compter qu'elles font toutes pour te piéger avec une grossesse juste pour que tu les épouses. Non, maintenant j'ai upgrade. Je suis sur des vieilles maintenant, des vieilles mariées. Celles-là dont les maris ont démissionné donc à qui je rends service de temps en temps, en leur offrant ma bite. Elles c'est les plus bonnes. Elles sont agressives au lit. Qu'est-ce qu'on ne peut pas leur faire au lit ? Elles acceptent tout, normal, elles ne savent pas quand sera la prochaine fois qu'elles goûteront à une aussi bonne bite. Obligées d'accepter. Les 40 ans et plus sont les nouveaux 25 ans. Il faut goûter pour comprendre.


—Oui tonton répondis-je enfin Bijou.


—Depuis que je t'appelle là ?! M'énervai-je. Je suis en manque il faut me comprendre.


—Désolée Tonton je faisais la vaisselle, il fallait que je..


—As-tu le téléphone de ta mère ou sœur avec toi ? J'ai un appel urgent à passer. Lui coupai-je.


—Non tonton. Je vais aller chercher.


—Non. Attends. Prends ce billet de 2000 FCFA tu m'achètes une bouteille de guiness avec deux bitacolas et arrête-toi chez le boutiquier Aladi là tu lui demanderas la poudre spéciale du chef ensuite tu m'apportes le téléphone de ta soeur ou de ta mère.


—Je te rapporte le change tonton? Me demandai-je Bijou.


—Tente de ne pas rapporter. Tu comprendras que la vie n'est pas faite pour les non-obeissants. Dépêche toi!


J'étais ravi de voir Bijour revenir quelques minutes après avec mes courses.


—Où est le change? Demandai-je énervé.


—On m'a attaquée en route tonton.


—En plein jour Bijou! Mais tu me prends pour qui ?


Mon téléphone sonna ce qui coupa ma conversation avec ce petit arnaqueur. C'était ma soeur à Paris elle prenait de mes nouvelles. L'appel finit, je constatai que Bijou avait disparu avec mon change mais toutes mes courses étaient là à portée de main. Je me dépêchai de composer le numéro de Zo, elle décrocha à la première sonnerie.


—Tu as intérêt à descendre ici dès que tu finis de vendre tes repas. Je ne me répèterai pas deux fois. Ca fait 2 jours que je m'excuse. Deux jours c'est assez. Toi tu as déjà vu un homme s'excuser. Moi je me rabaisse pour le faire pour toi pour te montrer à quel point je tiens à toi. Mais si tu ne veux plus qu'on continue ensemble, mieux vaut raccrocher maintenant chacun continue sa route. Je ne veux pas les maux de tête, je suis jeune, je suis un bel homme, si une femme de 40 ans me dépasse à gérer mieux je me contente des jeunes. C'est tout ce que j'avais à te dire.Je me retrouve dans cette situation de merde à cause de Blanche, la vendeuse de poissons au carrefour. Nous avons eu un match serré elle et moi une heure avant mon rendez-vous avec ZO. C'est pourquoi je déteste les visites à l'improviste. Blanche est venue ici voulant me parler d'un sujet important paraît-il.


**** Flash Back*****


— Oui Blanche, de quoi tu voulais me parler si urgemment. Tu m'as dit que ca avait un rapport avec les ragots du carrefour?


Quelque chose était différente sur Blanche. Il me fallut une bonne dizaine de minutes avant de réaliser qu'elle ne sentait pas le poisson, au contraire elle sentait bon comme la propriétaire de la Pharmacie Senteurs située au Carrefour. Je les connais toutes car je me les tape copieusement et bien jusqu'à *bisser* même. Je me perds là - oh oui, Blanche arborait un kaba avec un pagne noué autour de la poitrine mais son regard était différent. Il y avait une certaine défiance dans son regard. C'est vraiment à ce moment que j'aurai dû fuir.Blanche il est 11 heures du matin. Si tu n'as rien à dire autant tu disparaîs de ma vue.Blanche prit son temps. Elle enleva son pagne délicatement, elle le plia et le mit sur la chaise. Je me rendis compte qu'elle portait une robe cellulaire mais qui n'arrivait pas à mi-genoux mais au ras des fesses. Je mis du temps à avaler ma salive. Moi qui sortais de la douche, ma serviette nouée autour de ma taille fût un petit obstacle face au sursaut de ma verge. Il a fallu peu de temps pour que mon corps réagisse face à une telle exhibition sensorielle. Biensur il fallut que Blanche se tourna pour m'offrir ce joli spectacle dont elle était artiste et maître. Elle se pencha pour ramasser un objet imaginaire sur le sol, elle ne portait pas de dessous, ses petites lèvres étaient disposées telles une oeuvre d'art comestible. Je décidai de m'asseoir sur le rebord du lit.


— Tu n'enlèves pas ton kaba là ?


— Je vais le faire, je crois bien que tu détestes ca.


Elle enleva son kaba avec une lenteur inimaginable.Peut-être Jésus est même revenu et puis reparti qu'on ne se serait même pas rendus compte. Mais le goût en valait la peine. Quand le Kaba se retrouva au sol, je compris qu'elle ne rentrera pas chez elle avec 3 petits coups de ma part. Si son sexe était nu, sa poitrine était recouvert de bijoux faits de perles fluorescents un tel plaisir pour la vue.


— Approche toi ma douce.


— Ta bouche est finie? Tu ne parles plus ?


— Ma bouche sera occupée sur ta chatte tout à l'heure. Alors oui je n'aurai rien à dire pour les dix prochaines minutes. Je vois que tu t'es épilée comme j'aime- dis je en caressant son entre-jambe nue, exposée à ma vue. Tellement d'idées me trotte à la tête comment te faire plaisir., dis-je dans un souffle. 


Je soufflai sur sa chatte ensuite je pincai son bouton bonheur. 

— Tu t'es tellement préparée pour moi ma belle que tu mérites que je prennes mon temps pour te chérir, te manger surtout, tu sais à quel point j'aime bouffer ta chatte. Hum... Il me faut du miel car je dois te lécher encore, encore et encore...


— Mais ta queue chéri ? Questionna une Blanche déjà prise par les émotions.


— Oh ne t'inquiète pas pour lui chérie. Que j'éjacule en te bouffant la chatte montrera juste à quel point je n'ai pas besoin de te pénétrer pour me sentir au porte du plaisir.


J'installai Blanche confortablement sur le lit, je disposai les oreillers afin qu'elle soit le plus à l'aise possible afin qu'elle profite du spectacle dont elle est l'égérie. Je sortis mes miroirs fétiches de leur cachette: une en avant du lit et une arrière du lit. Ensuite j'écartai ses pieds le maximum possible, j'y déposai une légère couche de miel, je jetai ma serviette sur le plancher et je commencai ma besogne : me délecter de miel et de nectar sur ma belle douce. Ses gémissements m'indiquaient ou insister dans mes caresses, dans mon lapement. Et sa cyprine, la production de mon dur labeur, une douceur sur ma langue. Langue enfoncée profondément dans sa chatte, deux doigts dans son petit trou et ma main sur sa grosse poitrine dressée par le plaisir: voilà la combinaison du bonheur. Pour lui faire perdre encore plus la tête, le pouce dans sa chatte accompagnée de ma langue avec les deux doigts dans son petit trou. Or là, elle parlait en langues. Le Francais n'était plus d'actualités. S'observer entrain de gémir, m'observer entrain de la labourer tel un terrain fertile, regarder mes boules monter et descendre en fonction des mes mouvements sur son corps sans compter le drapeau majesteux, le trophée de cette balade sensuelle.


— Misseul je n'en peux plus. Pénètre moi pardon qu'on en finisse pardon., supplia-t-elle.


—Qui t'a dit que c'était une punition? Répondis-je. C'est une récompense! Une danse suave à la sensualité et au sexe. Laisse-moi m'occuper de ta majestueuse poitrine.


Joignant les mots à la parole, ma bouche s'empara de son sein droit, pendant que mon sexe s'empalla sur son mont de venus. De ma main droite,je saisis son talon d'achille droit afin de plier sa jambe droite le plus possible vers la droite. La pénétration était tellement profonde. Elle ne put me dire qu'elle ne me sentit pas ooooh la elle me sentait à 100%. La pénétration fût lente et rythmée au départ, mais peu à peu elle devint saccadée et soutenue. Les gémissements devinrent de plus en plus intenses et allèrent crescendo. Blanche ne se laissa pas faire car elle contracta son sexe à chacune de mes allées et venues en elle tel un étau afin que je jouisse vite en elle . Mais ça c'est mal me connaître. Quand je fus sur le point de libérer ma semence je me retirai rapidement et je lui demandai de se mettre sur le ventre.


— Que veux tu maintenant ma douce? Lui demandai- je.


— Le petit-trou chuchota-Blanche. 


J'eus du mal à comprendre ce qu'elle me demand.

— Blanche on est entre adultes. Si tu n'es pas en mesure d'assumer ce qu'on fait on peut tout arrêter hein.


— Je veux que tu me défonces le petit-cul, mais je veux aussi te sentir dans ma chatte dans ma gorge. Je te veux partout Misseul. S'écria-t-elle à bout de souffle.


Comme je disais, ces femmes de 40 ans laissent faire d'elles ce qu'on veut, en plus elle sont plus dangereuses que nos jeunotes qui ne savent pas s'amuser. Je descendis du lit pour aller vers ma table de chevet. J'y sortis mon attirail.


— Qu'est-ce que tu fais ? demanda une Blanche paniquée. Peut-être croyait-elle que j'arrêtai le match? 


A-t-on déjà vu un lion affamé reculé devant une viante prête à point non.

— Je comble tes attentes, ma chère.

Toujours à quatre pattes, elle se retourna pour voir ce que je manigançais. Quand je la rejoignis, j'enfonca dans son vagin le vibromasseur, pas besoin de lubrifiant elle était déjà bien mouillée ma Blanche. Je posai la télécommande du vibromasseur sur le lit et je l'activai à une vitesse basse. Je mis un penis gag avec harnet au niveau de la bouche pour que ses gémissement se fassent moins entendre. Ici c'est le niveau supérieur, impossible pour Blanche de ne pas entrer en transe, et je vis dans une cour communce, on sait tous les commérages qui vont avec. Ou enfoncer Peep, dans son petit cul, ca fait longtemps que je n'ai pas sodomisé une femme, je ne peux pas rater cette occasion, je lubrifiai un peu son anus, ensuite Peep. Puis ce fut la descente, elle fut lente et silencieuse. Nos respirations précédemment saccadées étaient mesurées c'était le moment de gloire, le moment tant attendu la triple pénétration bien que deux restaient superficielles. 

Quand Peep fut au fond, il fut entièrement absorbé tel un vaccum, alors j'augmentai la vitesse du vibromasseur pour qu'elle soit synchronisée à mes mouvements dans l'anneau. Mes mains sur ses fesses énormes, je n'arrêterai pas de lui donner des gifles repétées qui, je suis sûr, couplés aux effets du vibromasseur augmentèrent son plaisir. Le rythme fut soutenu mais élaboré. Je ne voulais surement pas déchirer mon petit trou du bonheur. Proche de la jouissance, je me mis à masser de façon circulaire ces grosses fesses flasques. Blanche sempla aimer celà vu ces gémissements à peine audibles. Sincèrement, comment un homme peut laisser ça pour aller poursuivre des jeunes femmes qui non seulement vont vous sucer jusqu'à la moêlle mais en même temps vous empêcher de prendre votre pied. Si mari savait vraiment! Quelque coups encore jusqu'au fond de sa grotte, si proche de son point G et j'éjaculai dans un râle qui me sortait du profond de mes tripes. Blanche, Blanche, j'enlevai le gag afin qu'on puisse parler.

Mais on avait pas besoin de mots car tout se disait dans le regard. Ca ce fût le premier round. Impossible d'arriver au troisième car Zo n'allait pas tarder et Blanche venait de recevoir un appel de son mari. Depuis quand celui-là l'appelle même. Zo me rejoignit 30 minutes après le départ de Blanche, deux heures trop tard. Même si Peep sait faire des miracles, il ne peut pas soigner le mal de tête dû à trop de baises. Donc ma stratégie était juste de mousser Zo jusqu'à sa jouissance mais bon, la bonne madame voulait aussi une pénétration en bonne et due forme. Peu importe le nombre de fellations qu'elle me donna ce jour là je ne pus pas démarrer, sans compter que je me suis endormi dans ses bras en essayant de la prendre en missionnaire. 

****FIN DU FLASHBACK***

Un aussi gros échec de ma part remonte à mes années d'école primaire quand je faillis redoubler ma classe de CM2. Je ne suis pas habitué à l'échec. NON! Ca ne fait pas parti de mon vocabulaire. Et puis vous connaissez bouches de femmes non. Il ne faut pas que Zo aille gâter ma réputation là bas au carrefour, elle ne sait pas combien de dossiers je gère là bas. Mais il faut aussi qu'elle se dépêche hein dis donc. Si elle ne vient pas je suis fichu de chez fichu. Le mélange que je viens de boire peut arracher mon sexe comme ça, ma main ne suffira pas pour faire redescendre la pression. À moins que j'appelle la petite fille qui me fait des phares depuis peu là.


Jusqu'à ce que Mbeng...