Je longe un hauts champs de la vie avec mes amis   

   Je les chéris , tapant sur leur tronc bienveillant

   Ils sont cool tel le vent qui amortit la pluie .

   Et puissant tel tels les anges tuant  démons grands.

  Leur précenses apaisent le fer d’une fenêtre

  Et je ressens leur bonté dans mon être  

  Les oiseaux figent leurs ailes à leur précense .

  Les lampes sente  leur entrée et dansent.

  Elles tombent magnétiquement ,

  Cossu et somptueusement .

  Amis touchez les lampes avenantes.  

  De la ville qui vous voyant chante .

 Yaoundé vous agrée  tel les cieux du paradis  

  Ces mêmes cieux se fissure devant une tel bravoure  

 Accueillant sans remords vos âmes aguerris

  La  mièvre  volupté nous unis   je savoure