C’EST NOËL - Chapitre 10
Ecrit par chrochro241
*** C’EST NOËL ! ***
Chapitre 10
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--- NADIA
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Je viens tout juste sortir du boulot. Il est18h quand j’arrive chez
Marco, un peu stressée de revenir chez lui après qu’il m’ait sauté hier,
justement chez lui. Je cogne à sa porte et attends ! La porte s’ouvre sur
un Marco souriant.
- Bonsoir Marco !
- Bonsoir Nadia ! Entre !
Il se décale devant moi et me fait entrer chez lui….
A peine j’entre dans son salon, Marco m’embrasse directement. Humm, le
gout oh ! Je suis d’abord surprise mais je réponds à son baiser. On
s’embrasse longuement. J’en perds vite le souffle.
Il me retourne sur moi-même pour se mettre derrière moi et m’embrasse
dans le cou. Ça pour une entrée en la matière c’en est une. Il ne dort pas ce
mec. Je ris, me tortille et soupire en frissonnant de plaisir.
- Marco ! dis-je faiblement en me tortillant.
Ma voix est bien faible quand je m’entends dire son nom que je prononce dans
une plainte ou plutôt un gémissement de plaisir. Il cesse de m’embrasser dans
le cou et m’élance par derrière. Puis en me faisant petits bisous dans le cou
il pose ses mains sur mes hanches et me pousse doucement, m’obligeant à
avancer. Je me tortille en riant car ses bisous me chatouillent. On va ensemble
comme ça vers le couloir, je devine qu’on se rend dans sa chambre. Je ne
rechigne pas et jubile sans en savoir la raison, me laissant simplement
entrainer vers la pièce.
Je n’ai eu qu’une fraction de seconde pour sentir ce sexe dur contre
mes fesses. Nous arrivons tout juste au couloir quand il me colle face un mur.
Ma robe noire longue à bretelle fines est soulevé par le bas et remontée
jusqu’à mon ventre. Je sens mes fesses maintenant à l’air puis une main
baladeuse dessus.
La main malaxe ma fesse puis passe sous mes fesses pour atteindre ma fente.
Il me masse la fente par derrière au travers du tissu de mon string rose bonbon
entièrement en dentelle extensible à motif floraux. Son geste m’excite à la
vitesse de l’éclair. Je sens ma grotte s’inonder, mon ventre chauffer, mon
cerveau se retourner et mes idées devenir confuses. J’ai tout de suite envie de
me déshabiller. Je regrette de porter sur moi trop de tissus qui diminuent mon
plaisir en ce moment.
Je me cambre en tendant mon postérieur vers son bassin. Je soupire légèrement
pendant qu’il repousse les bords du petit string. Deux doigts s’insinuent aussitôt
dans ma fente humide. Je retiens bruyamment mon souffle et prend appui sur le
mur en sentant les doigts bouger en moi avec douceur au départ.
Ses doigts se bougent plus rapidement et commence à me faire geindre. J’entends
le bruit qu’ils font en entrant et sortant de cette cavité inondée de cyprine. Pendant
un instant, je fais limer âprement par les doigts touchant plaisamment les
parois de mon sexe, effleurant des nerfs où se cachent çà et là des zones
érogène de mon con.
Je ne contrôle rien et le laisser prendre par ces doigts qui me
font agréablement du bien. Je soupire profondément en frissonnant de bonheur.
- Putain ! Tu mouille beaucoup, ma chérie !
- Normal ! Vu comment tu me chauffes. Dis-je le souffle court.
La seconde suivante. Il frotte son gland dur entre mes fesses et le
présente en dessous sur l’entrée de ma fente détrempée. Rapidement, il colle
son gland contre ma fente par derrière après avoir tiré et calé la ficelle de
mon string qui c’était relogé entre mes fesses. Ce geste dégage le string sur
l’entrée de ma fente dans laquelle il s’introduit en enfonçant sa bite d’un
coup jusqu’à la garde en moi.
La pénétration me coupe le souffle. Je pousse un petit cri de surprise
quand il a d’un seul geste emboité nos deux corps. Il fut inutile pour lui de
forcer pour me pénétrer. Je suis une véritable fontaine. Du coup sa bite s’est
glissé un coup en moi dans un mouvement fluide.
Je sens Marco bien profondément, alors qu’il vient de me pénétrer
debout par derrière. Je recule ma croupe vers lui en cambrant le dos et m’appuie
sur le mur afin d’avoir un certain confort et équilibre. Il démarre vite les
hostilités par des coups puissants qui me coupent le souffle.
Je me fais pilonner habillée à deux pas de la porte de sa chambre. Les
coups de reins de cet homme qui me dépasse et secoue mon corps affaibli par la
dure journée de travail fatigant.
Je sens combien c’est si bon quand son sexe bien dur se glisse entre
les lèvres mouillées de ma fente et va s’enfoncer profondément en moi. Je jouis
une première fois et laisse mon sac tomber sur le sol. Cet objet en moins sur
moi me donne encore plus une sensation de légèreté. Je regrette de porter encore
ma robe. Trop de tissus qui diminuent mon plaisir alors que les coups butoir s’accélèrent
plusieurs fois pendant que les coups de bassin ne faiblissent pas sur mes
fesses.
- Oui, bébé ! Oh ! Oui ! Haan… Haan… Haan… !
Marco cesse soudain de me limer et se retire de moi. Je souffle et me retourne
lentement et baisse ma robe.
- Pourquoi tu es sorti ?
- Parce qu’il le fallait !
Je comprends qu’il s’est retenu de jouir dans mon ventre.
- Heureusement ! Tu n’étais pas chaussé en plus.
- désolé ! J’ai oublié la protection !
- C’est pas grave !
- Ah bon ?
- Oui !
- Pourquoi ce n’est pas grave ?
- Parce que j’ai aimé sans la protection ! C’est plus
agréable !
- Si tu veux on recommence sans protection, histoire de faire plaisir.
- ça me tente ! Tu penses pouvoir tenir encore le coup sans verser ?
- Je ne sais pas ! On verra si on fait !
- Ok !
- J’aurais aimé tenir plus longtemps pour faire durer ton plaisir.
- Plutôt ton plaisir de me prendre à cheval en croyant un film X.
- Non pas du tout !
- Ok ! Allons dans ta chambre ! Je suis fatigué ! J’aimerais
m’allonger.
- Vient !
Il me tient la main et me conduit galamment vers sa chambre. Je me
demande si c’est une bonne idée de faire sciemment sans capote. Cela semble
imprudent mais j’ai bien envie de refait un coup sans sans sentir de caoutchouc
sur son sexe. J’aime beaucoup le contact direct de son sexe dans le mien,
surtout quand je ressens en moi cette chaleur qui émane de sa tige gonflée.
La première chose qu'il fait une fois arrivé dans sa chambre, c'est de
se mettre complètement à poil. J'en suis toute moite. Il est vraiment pas mal
tout nu. Comment pourrais-je ne pas craquer devant un tel mec ? Que ce
soit plus vieux que moi ou non. L’important est qu’il a une bonne bite et qu’il
bande tout en sachant baiser plutôt faire l’amour.
Il s'allonge tout nu sur le lit tranquillement en mettant ses mains derrière sa
tête et en écartant ses jambes. Son sexe pend entre ses jambes. Il ne bande pas
à 100%. On dirait qu'il me faisait une faveur en bandant quand il m’a sauté un
instant plus tôt. Et le pire, c'est que maintenant que je le vois nu, je ne
pourrais pas résister pour coucher avec lui.
Je fais lentement descendre alors le zip sous le col du décolleté de ma robe.
Je rougis de honte en sentant mes seins jaillir des pans qu’ouvrent. Ma robe
est ouverte sous ma poitrine désormais à mise à jour. J'écarte les pans pour
dégager et libérer mes lolos qui étaient comprimés.
Je suis honteuse d'avoir pas porté de soutien et de dévoiler si vite
mes seins avec leur bouts qui pointent et signalent que j’ai envie de lui. Je
suis aussi honteuse d'être prête à faire tout ce qu'il veut faire. Après tout
je suis venu pour me soumettre afin de prendre mon pied.
Marco me regarde tranquillement, le sourire aux lèvres. Je me pince les
lèvres et lui souris. Je descends de mes épaules la bretelle fine de ma rode.
J'enlève définitivement ma robe en la faisant glisser sur moi en me
contorsionnant un peu.
Il ne me reste plus que mon string, cachant mon sexe. Je me dirige vers
la porte de la chambre laissée ouverte par Marco à notre entrée dans la pièce.
Je saisis la poignée pour fermer la porte quand il il me vient une d’idée
lumineuse.
Je sourie béatement alors que je suis de dos à quelques pas devant
Marco dont je peux sentir le regard sur moi. Je glisse mes pousses dans les
l’élastique du string cerclant mes hanches pour faire descendre le léger
morceau de tissu en dentelle couvrant mon sexe et laissant mes fesses nues.
Celui-ci s’enroule sur lui-même pendant qu’il descend d’un geste très lents le
long de mes cuisses puis plus bas jusqu’à mes genoux.
Dans le même mouvement, je me penche en avant en abaissant mon buste
vers le sol tout en tenant ma petite culotte que j’enlève. J’ai les fesses en
l’air quand ce dernier arrive à mes chevilles. Je suis consciente que ma
position est particulièrement indécente mais je suis certaine que pour Marco
cela ne lui déplait pas de profiter de la vue de mon cul et de ma chatte en
dessous de celui-ci que je lui expose de la plus belle façon qui soit.
J’ai baissé les yeux sur mes pieds que j’ai levé un a un pour ôter mon
string accroché à mes chevilles. Je le ramasse mon string qui s’est enroulé sur
lui-même quand je l’ai fait descendre le long de mes jambes, dans un geste très
lent. Puis je le passe à travers la poignée extérieure de la porte pour
l’accrocher dessus.
Je me tourne vers Marco en souriant fièrement. Désormais toute nue, je
lève les yeux vers Marco qui semble ne pas avoir bougé d’un poil. Je suis comme
hypnotisée par la vision de son beau pipi qui s’est dressé. Je suis contente de
le voir bander, et ça plait beaucoup. Il me regarde surpris et fronce un peu
les sourcils en pointant du doigt mon string enroulé sur lui-même que je viens
d’accroché sur la poignée de la porte.
- Je fais comme dans les grands hôtels. Dis-je en souriant.
- Je ne comprends pas ! dit-il sans visiblement deviner où je veux
en venir.
- Bein dans les grands hôtels on accroche toujours une petite pancarte
sur la poignée extérieure de la porte d’une chambre pour signaler que la
chambre est occupée et qu’il ne faut pas déranger.
- Ah je vois !
- Hihihihi !
- C’est malin, ça !
- Une idée de génie ! Dis-je en souriant.
- Loooool !
- On devrait faire ça dans les hôtels pour signaler qu’une chambre est
occupée par deux personnes faisant une bonne partie de jambe en l’air. Dis-je
en souriant.
- Lool ! Ce ne serait pas bien vu !
- Pourquoi ? Dis-je en souriant.
- Pas discret ! Car trop visible et indécent !
- Si tu le dis ! En tout cas j’inaugure cette idée ici.
- Pas de problème ! Je n’y vois aucuns inconvénients.
- Hum… aucuns inconvénients même si je fais de même sur ta porte
d’entrée ? Dis-je avec un sourire espiègle.
- Tu comptes vraiment accrocher ton string comme ça sur la poignée de
ma porte d’entrée ?
- Bein oui… Au moins on signalera à ton bailleur de ne pas venir cogner
pour nous déranger. Dis-je en souriant.
- Tu plaisantes, j’espère. Dit-il en écarquillant les yeux.
- Non !
- Tu te crois ici dans hôtel de « passes (baises rapides) »,
petite cochonne.
- Oui, mon cochon ! Hôtel LE BON COUP ! Dis-je en souriant
fièrement.
Il rit un peu en secouant la tête doucement. Je ferme la porte de sa
chambre, laissant mon string accroché l’autre côté de la poignée se trouvant
dans le couloir. Il me regarde, la mine amusé.
- Plutôt Hôtel BONOBO, ce serait mieux. Dit-il en souriant.
- BONOBO… tu veux dire le fameux singe baiseur de race
nymphomane ? Dis-je en souriant.
- Exactement !
- Hummmm ! fis-je en souriant.
Sourire aux lèvres, je m'avance lentement vers le lit, en regardant sa
bite tendue. Je monte sur le lit et mets à genoux. Je m’accoude et avance
lentement sur le lit à 4 pattes, le buste courbé et le dos cambré pour lui
donner une belle vue de ma croupe en l’air. Mes bouts de seins lourds se
frottent légèrement sur le drap du lit et me stimulent quelque peu.
- Je ne savais pas si…
- Vicieuse ? Dis-je en souriant.
- En effet !
- Normal ! Tu as réveillé mon côté pervers.
- Ah bon ? dit-il agréablement surpris.
- Oui ! Dis-je en souriant.
- J’aime bien ça !
- Et ça m’aurait étonnée que tu dises que tu n’aimes pas ça. Dis-je en
souriant.
- Lool !
- Hihihihi !
Je regarde son beau pipi bandé que je guettais depuis un moment du coin
de l’œil. J’ai tant envie de le prendre
entre mes mains, Puis sans aucune hésitation, je prends dans ma main et ferme
les doigts autour de son méat. Je le branle avec lenteur et douceur, en
regardant son gland tout mignon. Plus je le fixe, j’en ai très envie de goutter
comme une friandise appétissante.
Je lève les yeux vers le visage Marco, sans cesser de lui astiquer la
bite doucement avec ma main. En croisant son regard très calme et souriant. Je me
pince les lèvres et mord ma lèvre inférieure. Son regard tendre m’apaise et
réveillant des sentiments en moi.
Sans le quitter des yeux, j’abaisse ma tête vers sa bite que je mets
devant ma bouche. Je sors ma langue lentement en le regardant dans les yeux
pour la poser sous son gland que je lèche un coup doucement par une petite
pression du bout de la langue. Je refais le même coup de langue deux fois de
suite. Je sens la bite tressaillir dans ma main et grossir doucement, puis se raidir
dans ma main qu’il l’empoigne fermement.
Je vois en même temps Marco fermé les yeux doucement en poussant un
léger soupir qui me fait sourire et m’inspire. Je suis fière de moi, en voyant
que je ne le laisse pas indifférent. Qu’il se tienne bien ! Je vais lui montrer
ma spécialité…
Je dépose un bisou très appuyé sur le haut du gland et j’ouvre alors la
bouche, puis doucement j'enfonce le gland doucement dans ma bouche. Doucement je
vais et viens en serrant mes lèvres très fort autour du bise que je suce
goulument. Je le sort de ma bouche et
j‘agite ma langue pour titiller du bout de celle-ci le petit trou ouverte sur
le gland, au-dessus de son méat avant que je décide de l’aspirer et l’engloutir
pour le sucer lentement et le pomper avidement.
Le pipi se raidi au maximum dans ma bouche pendant que je continue de
lui donner la vigueur. J’y tout mon cœur pour faire à Marco une merveilleuse
pipe dont il s’en souviendra longtemps, je l’espère. Je sais qu'il prend son
pied et qu'il évite de le montrer en restant serein, presque indifférent. Mais
j’entends son souffle qui monte et descends, ses petits soupirs me signalant
son état d’excitation par rapport à la petite gâterie gouteuse que je lui fais royalement.
J’engloutie tout son pipi dans ma bouche jusqu’à sentir son bout dans
ma gorge. Je refais ça plusieurs fois de suite pour lui faire une gorgée
profonde. Son pipi tremblote dans ma bouche et ça, ça ne trompe pas. Je
commence à bien connaître ce qui le stimule. Ce n’est pas une grande découverte
pour moi qui connait les trucs que les hommes préfèrent. Je connais aussi leurs
réactions quand ils prennent leur pied durant la fellation.
- Mmmmhhh… Ça suffit ! dit-il en me bloquant la tête avec ses mains.
- Et pourquoi ? Je vous prie ! dis-je en souriant.
- Je ne crois pas que tu vas appréciée d’avoir la bouche pleine de
purée de lait, si tu continues.
- Ça ne me dérangerait pas ! dis-je en souriant.
- Et tu vas avaler ?
- Hum hum !
- Que dois-je comprendre par-là ?
- Ça dépend !
- Ok ! A ta guise ! Je t’ai prévenue.
Je redresse mon buste et relève la tête, puis je me mets à genoux pour le regarder
et lui sourire. Je l’enjambe pour m’assoir de face sur lui, les cuisses de part
et d’autres autour de son ventre. Sa bite est sous mes fesses. Je me penche
pour l’embrasser langoureusement, frottant mes seins nus sur son torse peu
poilu.
Tout en l’embrassant alors qu’il répond positivement à mon baiser, je
lève mon bassin qui se trouve au-dessus du sien alors que je sens sa bite dure
se coller contre les fesses. Je me mets à genoux et passe la main à entre mes
cuisses pour saisir le méat tenu vers mon trou suspendu au-dessus. Je m’abaisse et guide le gland dans ma fente
pendant que je plie doucement les genoux pour m’empaler sur son pipi dur.
Son sexe s’enfonce en moi d’un coup dans un glissement fluide. Le poids
de mon corps rend la pénétration un peu brusque et éprouvante. Je me crispe et
reste immobile. Je regarde Marco en face en lui souriant. Je le fixe, plongeant
mes yeux dans les siens pour le sonder et voir ses émotions. Un sourire étire
le coin de ses lèvres. Son regard est presque sans expression. Le voir ainsi,
allongé avec cet air fier là et ses bras derrière la tête, me trouble. J’ai
l’impression qu’il semble me faire une faveur en me laissant m’empaler sur son gros
méat qui me remplit le ventre. Mais son regard tendre me rassure et ses yeux
qui ne quittent pas les miens m’émoustillent.
Je me pince les lèvres et commence à monter et descendre sur son sexe en poussant
un soupir léger chaque fois que je m’enfonce son sexe dans le ventre. La
sensation physique est peu plaisante mais c’est bon pour mon moral. Je bouge et
sens combien c’est bon de sentir ce membre durci se mouvoir en moi, avec le
contact de sa peau contre mes parois.
Je m’empale doucement et ne le quitte pas des yeux et guette sa moindre
réaction. Au fil des montées et descentes de mon corps sur son méat, ma
crispation diminue et je m’habitude à la présence du pieux dur que je fais
aller et venir dans mon ventre.
Je me mords la lèvre inférieure et pousse un soupir d’aise. Je pose mes
mains sur ma poitrine qui se soulève au rythme de ma respiration devenue
bruyante. Je malaxe mes gros seins tout en montant et descendant le long méat.
Mes mouvements du corps commencent à me fatiguer et me faire un peu mal aux
genoux mais je continue en faisant des efforts.
Je masse ma poitrine. Mes pointes se sont allongées. Je ne suis plus
que soupirs légers et lâche des gémissements faibles qui s’échappent de ma
bouche entrouverte par l’émotion. Je me donne en spectacle à lui, je lui offre la
vision mon corps tremblant et transpirant de plaisir.
Ayant mal aux genoux à force de monter et descendre à genoux, je
m’assois sur son bassin, gardant la bite enfoncée dans mon ventre se contracte
un peu. J'ondule des reins en me caressant les seins de plus en plus forts, en
tirant sur mes pointes violement. Une vague de plaisir me submerge. Mon corps
tremble d’un délictueux frisson qui me traverse.
Je suis à 2 doigts de jouir, et il s'en rend compte car il me dit
soudainement :
- Mets-toi en levrette ! Je vais te baiser ! dit-il en souriant.
Je souris, très ravie de son incitative. Je me lève, soulevant mon bassin pour extraire
alors son sexe de mon ventre en tremblant de plaisir comme une feuille.
Je retourne à genoux vers le pied du lit, en lui tournant le dos. Je remarque
je manque de place pour poser mes mains afin me mettre confortablement à 4
pattes sur lit. Je recule sur mes genoux pour avoir assez d’espace devant moi sur
le bord du lit mais déjà je sens le corps de Marco contre ma croupe. Ce qui me
stoppe ! Il pose une sur mon dos et fait une pression dessus, me poussant
à me pencher en avant.
- Doucement ! Sinon je vais tomber par terre. Je suis déjà au bord
du lit. Dis-je légèrement penchée.
- Ok ! Cambre-toi ! dit-il en plaçant déjà son gland sur ma
fente.
Je n’ai d’autre choix que d’obéir, je me cambre au maximum pour simuler un peu la
position à cheval afin de lui permettre de pénétrer ma fente dans ma position à
genoux, le buste légèrement penché vers le vide. Heureusement il a l’idée de me
tenir par le coude de mon bras droite avec sa main droite, ce qui me donne un
certain équilibre, à genoux au bord du pied du lit.
Entretemps, je n’ai pu m'empêcher de gémir faiblement quand il m’a
pénétré d’une poussée lente de son bassin, entrant et glissant son gland entre
mes lèvres. Je le sens me pénétrer de toute sa largueur et de toute sa
longueur, centimètre par centimètre. Il s'enfonce alors en moi, pas trop vite,
mais sans douceur, et ça me plait énormément que je ne me soucie plus du tout
de ma position inconfortable, la tête et le buste vers le vide.
Il pose une main sur chacune de mes épaules et me tire par là en arrière, m’obligeant
à relever mon buste et plier mon dos en me cambrant encore plus que je l’étais.
Puis il se met à aller et venir dans mon ventre doucement. Moi qui croyait que
nous ne sommes plus au stade de faire l'amour, que cette fois ci il allait me
baiser, je suis très surprise par la lenteur et la douceur par laquelle il me
lime en ce moment. Ce qui n’est pas pour me déplaire !
Il cogne doucement son bassin dur contre mes fesses sous mon dos
cambré, et me lime la fente par des va et vient tantôt très lent, tantôt un peu
rapide, mais toujours doucement. La cadence n’est pas intense. Pourtant après
quelques coups de reins lents de sa part, je commence à gémir faiblement puis de
plus en plus, pendant que son sexe ne cesse de faire ses va et vient en moi avec
une lenteur qui devient comme une douce torture pour mes nerfs alors que je
suis dans un état second qui exige qu’on
prenne de plus en plus vite pour cette douce chaleur, qu’il crée en frottant sa
bite dans mon ventre, s’intensifie jusqu’à son paroxysme et explose violemment
dans être pour mon plus grand plaisir. Mais il n’en est rien et je suis
profondément frustrée.
Cette frustration m’agace. Pourtant la sensation en moi des va et vient
de Marco, bien qu’il le fasse très lentement, est assez plaisante mais
insuffisante à mon gout. C'est follement jouissif. J’ai envie de bouger plus
vite mais je suis obligé de rester camper sur ma position à 4 pattes sinon je
vais tomber en avant hors du lit où ma tête se trouve déjà alors que mes mains
sont à peine poser sur le bord du bord du pied du lit.
- Pour… pourquoi tu me fais ça ? dis-je le souffle court.
- Je ne comprends pas ! dit-il dans mon dos en me liment
lentement.
- Pourquoi tu me fais languir ? Prend moi ! Mon corps est
toi ! dis-je le souffle court.
- Mais je te prends ! dit-il dans mon dos en me liment lentement.
- Mmmmhhh… Je ne veux pas comme ça ! dis-je le souffle court.
- Soit patiente ! ou tu gâcheras tout ! dit-il dans mon dos
en me liment lentement.
- Mmmmhhh…
Tout à coup sans cesser de me limer en douceur, il donne une claque sur
mes fesses, puis un coup de bite plus lent que les autres. Je pousse un cri de
surprise. Puis il claque à nouveau mes fesses, et cela se reproduit plusieurs
fois entre quelques coups de butoir qu’il donne par un aussi lents que stimulant. Je pousse des cris
chaque fois qu'il me frappe. Pas des cris de douleurs mais des cris de plaisir
incroyable.
Il continue à frapper mes fesses par moment, et me donne des coups de boutoirs extrêmement
lents qui m’agacent. Je grogne de colère et commence à bouger un peu le corps,
pour accélérer un peu les va et vient de sa bite dans mon tunnel.
Et le moment fatidique que j’attendais avec impatience arrive quand je sens
venir un orgasme qui semble avoir attendu trop longtemps ce moment pour se
manifester. Il donne une claque et un coup de butoir. Là c’est l’explosion… Je tremble
et ferme les yeux, je parts dans un long cri que je pousse avec la dernière
énergie :
- Enfin ! Je jouuuiiiiiiiiiiiissss ! Mmmmmhhh… ouiiiiiiiiii ! Oooooooooooh
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et je jouis d'une manière extraordinaire. Jamais je n'avais d’abord été autant frustrée
puis comblée en même temps. Et c'est cette frustration qui me fait jouir aussi
fort. Je frisonne de plaisir, en sentant mon corps se vider un coup et d’un peu
de mon énergie qui me maintien en forme.
Après quelques coups de reins de plus, il se retire brusquement de moi.
Je me couche directement sur le côté quand il sort de moi. Je m’allonge sur le
dos, les yeux clos, en haletant fortement alors que je sens ma tête pendre un
peu dans le vide au bord du pied du lit.
Des vibrations à côté de moi sur le lit me signalent que Marco quitte
le lit pour aller je ne sais où. Je ne me préoccupe pas de lui et reprend mon
souffle lentement en gardant les yeux clos. Tout mon cors frisonne encore de
cet orgasme que je viens d’avoir.
Je reprends mes esprits et sens qu’on me touche les seins. J’ouvre un
peu les yeux en haletant doucement. La première chose que je vois vaguement est
un gland tremblotant au-dessus de mon nez où perle une petite goutte d’un
liquide un peu blanchâtre. Puis c’est toute une bite tendue qui fait son
apparition au-dessus mon regard ébahi.
- Aka ! m’exclamais-je, avec étonnement.
J’ouvre grand les yeux, en sortant d’un coup de ma torpeur. Je suis
bouche bée en voyant la bite tendue de Marco juste au-dessus de mon visage. Mes
yeux fixent sa bite avec attention. Je peux voir le moindre tressaillement de
sa verge tendue à l’horizontal. On dirait qu’elle est vivante.
La bite s’éloigne un peu de ma vue en se redressant, et se raidissant
probablement. Je vois une paire de couilles au-dessus de mes yeux, en face à
mon front. Son pipi en érection fait un peu de l’ombre sous mes yeux avant que
je vois son buste se pencher au-dessus de mon visage. Il a posé les genoux
autour de mes tète et est penché vers moi, pour me pétrir les seins.
Plus il se penche pour me les pétrir et les malaxer, plus sa bite se
rapprochent en longueur de ma bouche et ses couilles approche aussi vers mes
yeux. Un peu gênée par le rapprochement des parties intimes de Marco trop près
mon visage, je recule la tête par simple reflexe. Ma tête bascule de ce fait en
arrière et descend sur le bord du lit, ma nuque pend un peu vers le vide.
Je suis comme paralysée et ne fait plus aucun geste a part bouger mes
doigts. Mes yeux entre les cuisses de Marco avec une vision et sur sa raie de
fesses. La vue de tout cela est
troublante. Mon trouble monte d’un cran quand sa paire de couilles gonflées se
posent soudain sur ma bouche.
Je me suis jamais mise ou retrouver dans une telle posture. Tout mon
être est partage entre l’envie de me relever pour quitter cette troublante
position incommode et d’y rester pour sucer les boules sur ma bouche pendant
que Marco me pétrit mes gros mamelons.
Ses attouchements sur mes mamelles ne me laissent pas insensible. Mes bout se
sont bien allonger et pointent comme deux minuscules bites en pleine érection.
Ils ont si durci que j’en ai mal. Ce mal est d’une douleur délicieuse que
j’apprécie et savoure en poussant bien des soupirs d’aise. J’aime la manière
dont les seins sans martyriser en ce moment.
Finalement, j’ouvre la bouche lentement et gode doucement d’abord une
puis l’autre boule de couilles que je suce doucement. J’arrive aspirer les deux
boules dans ma bouche, je les suce goulument puis les tire en refermant la bouche et reculant ma tête avant d’ouvrir
la bouche brusquement pour les lâcher toutes luisant de ma salive dégoulinante
sur leur peau que je m’empresse de lécher du bout de la langue pour les
nettoyer.
Je prends gout à ce que fais et souri béatement. Je pense à profiter pour
sucer cette bonne bite dans cette position renversante et amusante. Je me
contorsionne sur le lit pour remonter un peu ma tête pour avoir ma bouche au niveau
du gland. J’ouvre les mes lèvres et parvient gober le bout du gland en relevant
mon menton en basculant ma tête en arrière vers le bord du pied du lit, autant
que je peux me le permettre pour arriver à mes fins de gourmande.
Je suce goulument le bout du gland, y met beaucoup de salive pour le
faire coulisser plus facilement. Je savoure
ce moment de cochonneries, en appréciant cette façon nouvelle de le sucer, dans
une position renversée qui sort de l’ordinaire. Je suis en train de le pomper
doucement, quand Marco pose une main sur mon menton relevé et fait une forte
pression dessus qui me force davantage à basculer la tête en arrière pour
pouvoir tendre la bouche encore plus vers le gland. Marco l’enfonce brusquement
dans ma bouche jusque dans ma gorge, en prenant au dépourvu.
J’ouvre grand les yeux quand je sens sa bite pénétrer littéralement
dans ma gorge. Cela me coupe la respiration. Je me maque de m’étouffer dès la
seconde qui suit. Je me débats et Marco le sens mais tarde à se retirer avant de
le faire pour que je reprenne mon souffle.
- Marco tu as faillir m’asphyxié !
- Oh pardon !
- Laisse-moi te faire cette gâterie que tu as envie ! Tu ne seras
déçu !
- D’accord !
- Ne force pas les choses ! Sinon tu vas m’étouffer.
- Ok ! Vas-y !
Je reprendre en bouche en inclinant ma tête comme il faut pour arriver
l’engloutir. J’ai vite du mal à faire
des vas et vient pour le pomper. Je trouve vite une idée. J’entreprends
d’agripper Marco par les reins avec mes mains pour prendre appui dessus, pour
les faire bouger ensuite de façon à faire reculer et avancer doucement le
bassin de Marco. De fait des va et vient se font plus ou moins bien dans ma bouche.
En cherchant l’engloutir entièrement par une gorgée profonde, je me
cambre instinctivement, au maximum. J’arque mon dos qui se décolle du lit. Mon
buste se soulève fortement et ma tète ma se lève pour permettre à ma bouche
gourmande d’avaler entièrement toute la bite qua je sens un coup dans ma gorge.
Je réalise que je viens de réussir une gorgée profonde. J’entends Marco qui
soupir tandis que son sexe se met tressaillir.
Je le sors entièrement en me recouchant sur le lit. Je prends une
bouffée d’air. Puis je m’arque à nouveau et parviens à bouger la tête de haut
et en bas. De fait je suce la bite plus amplement et l’enfonce plus profondément
dans ma bouche d’où je fais couler beaucoup salive sur le long de la bite qui
coulisse aisément entre mes lèvres serrent autour en ouvrant ma mâchoire.
C’est ainsi que je fais ensuite une fellation pour la moins
acrobatique et des gorgées profondes à
ce cher Marco que je sens frissonner et entend soupirer d’aise. Ma technique
semble lui faire beaucoup d’effet et le met dans un état second. C’est
difficile pour moi de continuer de m’arquer pour continuer à lui faire cette
gâterie à l’envers.
Je me recouche sur le lit, en m’allongeant de dos comme je l’étais
avant d’arquer mon dos. Je me tourne pour être couchée sur le côté gauche
et de profil. En prenant cette position,
mon corps se retrouve maintenant allongé de côté le long du pied du lit. Je me
redresse et prend appui sur mon cou gauche pendant que je sers de mon autre
main pour saisir la bite.
Je regarde le visage de son propriétaire. Son visage est marqué par son
excitation. Je le masturbe délicatement en gardant mes yeux levés vers les
siens baissés vers les miens. Puis je relève sa bite, et glisse ma langue tout
au long jusqu’à ses couilles. Mon partenaire apprécie, écarte un peu les jambes
pour me faciliter l’accès à ses boules que je suce avec avidité.
Puis ma bouche dégoulinante de salive repart le long de la bite dont la
vigueur ne faiblit pas. je vois Marco qui se retire visiblement pour ne pas
verser. Je veuille aussi à ne pas le faire éjaculer, mais a faire durer son
plaisir que ma bouche lui procure.
Alternant les petits coups de langues lascives, les regards coquins
voire vicieux, les suçons torrides, les pompages en règle, je me délecte de sa bite
aussi bonne que succulente. Son méat est plus qu’’agréable à sucer, tout en
caressant les boules.
Manifestement Marco craque, entre deux soupirs évocateurs et en
quelques coups de langue subtils, se crispe. Il prend soudain son sexe dans sa
main gauche et le branle furieusement. Il avance son gland qui est désormais
toute près de ma bouche recouverte de salive. Ses couilles sont vers mon menton
alors qu’il continue de se branler.
Je ne réfléchis pas sur ce que je fais et j'ouvre la bouche en grand,
face à son gland pointé sur l’ouverture de mes lèvres. Il me fourre la bite
bien profonde dans la bouche. Je ne rechigne pas même lorsqu’il me baise un peu
la bouche en passant. Et tout à coup, je reçois une giclée de sperme épais dans
la gorge. Ça sort vite et n'en finit pas de sortir de son gland avant trois
secondes. J'avale tout ce qui sort, tout ce qui reste dans ma bouche. Je me
surprends à aimer faire ça alors que je ne l’ai jamais fait avant ce moment.
Je termine en lui nettoyant et essuie ma bouche du revers la main avant
de le tirer vers moi pour l’embrasser langoureusement. On se couche cote à coté
sur le lit, je me blottis contre lui avec une sensation de légèreté et un
sentiment de joie profonde.
Une la tension sexuelle tombe et s’estompe, je me rappelle avoir avalé
son sperme. Mince ! Qu’est-ce que j’ai fait ? L’incongruité de la situation
et mon attitude de pute me mets à l’aise. Marco est plutôt calme. Il sourit
grandement. Apparemment il est tout content.
Rouge de honte, après avoir lui montré jusqu’où je peux aller en termes
de cochonneries, je colle rapidement mon visage contre son torse où j’entends
le doux battement de son cœur. Qui sait ce qui pense de moi après que j’ai
avalé son sperme ? Je me promets de ne plus refaire ça pourtant une bonne
partie m’applaudit comme si j’avais réalisé un exploit.
A SUIVRE !