<< CHAINES INVISIBLES >> Chapitre 1

Ecrit par Le Kpetoulogue

Coucou à vous,

Un nouveau voyage érotique vous attend…

Mon nouveau livre est enfin prêt.

CHAINES INVISIBLES

Plus intense, plus immersif, et toujours avec ma plume que vous connaissez déjà. Je sais que vous aviez apprécié mes précédents écrits, alors je pense que celui-ci pourrait vraiment vous plaire.

Pour vous donner un avant-goût, je publierais les 5 premiers chapitres gratuitement. L’intégrale en contient 27 et est déjà disponible au prix de 2000 Fr CFA / 3 euros pour ceux qui le désire donc

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CHAINES INVISIBLES



Naïa, 27 ans, était une jeune femme douce, au regard pur et à l’innocence presque naïve. Elle pensait simplement commencer une vie stable en devenant secrétaire dans l’une des plus grandes entreprises de la côte ouest-africaine. Mais dès son premier regard sur Alexandre, le vice-président charismatique et dominateur, tout bascula.

Cet homme, puissant et redouté, dégageait une aura sombre qui la troubla profondément. Plus elle travaillait à ses côtés, plus elle se sentait hypnotisée par son magnétisme, sans savoir qu’il avait un plan bien précis pour elle. Alexandre comptait utiliser Naïa pour atteindre ses objectifs, en la faisant plonger dans un monde empli de vice, de pouvoir et de secrets. Un monde si obscur qu’elle finirait par se demander si elle pourrait un jour y survivre… ou si elle y laisserait à jamais son âme et son innocence.


Chapitre 1


Sous le soleil implacable d'Abidjan, dont les rayons dorés semblaient caresser avec insistance chaque centimètre de peau exposée, une luxueuse décapotable blanche avançait de manière erratique sur l'autoroute. Le véhicule, habituellement symbole de prestige et de maîtrise, semblait aujourd'hui partager l'agitation de sa conductrice. À bord, une scène qui aurait paru surréaliste à tout observateur extérieur se déroulait avec une tension palpable.

Naïa, la malheureuse protagoniste de cette situation pour le moins humiliante, était littéralement enchaînée à son poste de conduite. Son poignet délicat, rougissant déjà sous la morsure des menottes en acier, était solidement fixé au levier de vitesse, l'obligeant à garder les bras tendus dans une position inconfortable qui exposait sans pitié sa poitrine nue aux regards potentiels des autres automobilistes. Ses seins fermes et parfaitement formés, aux mamelons maintenant durcis par un mélange de vent, d'adrénaline et de honte, se soulevaient au rythme saccadé de sa respiration précipitée.

À ses côtés, installé avec une désinvolture calculée sur le siège passager, Alexandre, le vice-président de l'entreprise, observait la scène avec un amusement manifeste. Son regard noir, habituellement si intimidant dans les réunions d'affaires, se promenait maintenant avec une lenteur délibérée sur le corps exposé de sa secrétaire, s'attardant sur chaque frisson, chaque réaction de son corps trahi par son propre langage physique.

Naïa d'une voix étranglée par l'émotion : « S'il vous plaît, Monsieur le Vice-Président... Laissez-moi juste fermer le toit de la voiture... Je vous en supplie... »

Ses mots se brisaient en sortant de ses lèvres pulpeuses, son regard fuyant constamment entre la route et les véhicules environnants, terrifiée à l'idée d'être reconnue dans cette position compromise.

Alexandre avec un sourire en coin qui ne parvenait pas à masquer son plaisir malsain : « Et bien, cela me surprend de votre part, Naïa. N'étiez-vous pas celle qui, pas plus tard qu'hier, déclarait avec tant d'assurance que "les conventions sociales sont des carcans dépassés" ? Je croyais qu'une femme émancipée comme vous se moquait de rouler à poil sur l'autoroute ? »

Sa voix traînait avec une douceur trompeuse, chaque syllabe soigneusement choisie pour enfoncer le clou de l'humiliation.

Naïa rougissant jusqu'à la racine des cheveux : « Euh... Non... C'est... C'est pas ce que je voulais dire... C'était théorique ! »

Le son de sa propre voix, pleine de panique et de confusion, semblait la trahir encore davantage. Elle pouvait presque sentir le regard brûlant de son patron glisser comme une main invisible entre ses cuisses serrées.

Alexandre changeant soudain de ton, d’une voix basse et menaçante : « Attention... »

Naïa : « KYAAA... ! »

Un énorme camion les dépassa à ce moment précis, l'onde de choc faisant vibrer la petite voiture. Dans un réflexe de pudeur désespéré, Naïa tenta de croiser les bras sur sa poitrine, mais les menottes cliquetèrent cruellement, limitant son mouvement à une inutile contraction des muscles abdominaux qui ne fit que mieux dessiner sa silhouette sous le soleil.

Alexandre avec une fausse sollicitude : « Si vous ne vous concentrez pas sur la conduite, nous risquons de finir dans un fossé. Ce serait dommage, ne pensez-vous pas ? D'autant que... » 

Il laissa traîner son regard sur son corps

Alexandre : « ...vous êtes si vulnérable dans votre tenue actuelle. »

Il était terriblement difficile pour Naïa de se concentrer sur la route. Entre le vent chaud qui caresse ses parties intimes à travers la fine étoffe de sa jupe, la honte brûlante qui lui montait aux joues, et cette étrange chaleur qui commençait à se faire sentir dans son bas-ventre malgré elle, chaque seconde au volant devenait un supplice exquis.

Elle se demanda comment sa journée avait pu basculer si rapidement. Ce matin encore, elle était une secrétaire professionnelle, respectée, et maintenant... elle n'était plus qu'un jouet entre les mains de cet homme impitoyable, exposée au regard du monde entier.

Naïa, 27 ans, incarnait cette beauté métisse qui faisait tourner les têtes dans les rues animées d'Abidjan. Métisse d'une mère française disparue trop tôt et d'un père ivoirien, elle portait en elle cette grâce particulière des femmes à la croisée des cultures. Sa peau caramel doré, comme polie par le soleil tropical, semblait absorber la lumière pour mieux la renvoyer en un éclat chaleureux. Grande, élancée, elle se mouvait avec cette aisance féline des femmes conscientes de leur pouvoir de séduction sans en abuser.

Son corps était une véritable œuvre d'art de la nature. Des épaules délicates menant à une poitrine ferme et généreuse, dont les formes parfaites défiaient les lois de la gravité. Ses seins, ni trop gros ni trop petits, semblaient avoir été moulés par des mains divines, des aréoles d'un rose tendre contrastant avec sa peau dorée, des mamelons qui se dressaient maintenant sous les assauts du vent et du regard inquisiteur de son patron.

Sa taille fine s'évasait en des hanches voluptueuses qui mettaient en valeur un postérieur ferme et galbé, véritable appel aux mains qui rêveraient de s'y poser. Ses longues jambes, lisses et musclées, se terminaient par des chevilles fines et des pieds délicats qu'elle avait pris soin de vernir d'un rouge profond ce matin même, sans se douter du sort qui l'attendait.

La quarantaine triomphante, Alexandre incarnait cette catégorie d'hommes qui savent que le monde leur appartient. Vice-président d'un empire industriel valant plusieurs milliards, il respirait l'autorité comme d'autres respirent l'air. Dans les cercles du pouvoir, on ne prononçait son nom qu'avec un mélange de respect et de crainte.

Physiquement impressionnant, il mesurait bien 1m88 d'une carrure athlétique qu'entretenaient des heures discrètes dans une salle de sport privée. Ses épaules larges semblaient faites pour porter le poids des décisions capitales, son torse musclé se devinait sous les costumes sur mesure taillés dans les meilleurs tissus italiens.

Son visage anguleux, masculin était marqué par une barbe soignée qui ajoutait à son aura de dominant. Ses yeux noirs, perçants, semblaient capables de voir à travers les mensonges et les défenses les mieux dressées. Ses mains larges, aux doigts longs, étaient à la fois des outils de travail signant des contrats juteux et des instruments de plaisir démontant méthodiquement les résistances de ses conquêtes.

Mais sous cette apparence policée se cachait une nature bien plus sombre. Ceux qui le connaissaient vraiment savaient qu'Alexandre tirait un plaisir pervers à briser les résistances, à pousser les limites, à transformer l'humiliation en une drogue partagée. Les rumeurs sur ses méthodes peu orthodoxes circulaient discrètement dans les couloirs du pouvoir...

Quelques heures plus tôt, la journée avait pourtant si bien commencé...

Naïa, dans son tailleur chic qui moulait ses formes à la perfection, conduisait Alexandre vers une des usines de la périphérie. En tant que secrétaire particulière, elle devait occasionnellement jouer les chauffeurs, un rôle qu'elle acceptait volontiers pour ces moments privilégiés en tête-à-tête avec cet homme qui la fascinait autant qu'il l'intimidait.

Alors qu'ils approchaient du complexe industriel, Alexandre posa un regard glacial sur les bâtiments vieillissants.

Alexandre : « Je pense sérieusement à faire fermer cette usine. »

Naïa tentant une approche diplomatique : « Ne devriez-vous pas en parler d'abord au président ? »

À ce moment, le directeur de l'usine, un homme bedonnant d'une cinquantaine d'années, s'approcha en courant, visiblement pris au dépourvu par cette visite inattendue.

Le directeur essoufflé et nerveux : « Bonjour Monsieur le Vice-Président ! Je... Je suis désolé, on vient juste de me prévenir de votre arrivée. Votre secrétaire ne m'avait pas... »

Alexandre l'interrompant d'un geste de la main : « Ne vous inquiétez pas. Je suis simplement là pour une visite de routine. »

Son sourire était poli, mais ses yeux restaient froids comme l'acier. 

Le directeur prit son temps pour faire visiter l'usine à Alexandre et à Naïa. Chaque pas dans les ateliers semblait être un combat désespéré pour prouver que son établissement valait encore la peine d'être maintenu ouvert. L'odeur de métal chaud et d'huile mécanique se mêlait à la sueur des ouvriers qui jetaient des regards inquiets vers ce trio improbable. Naïa, bien qu'affichant un visage neutre, sentait une boule d'angoisse se former dans son estomac. Elle connaissait trop bien ce sourire poli d'Alexandre, un masque de civilité derrière lequel se cachait une détermination implacable.

Les ouvriers, leurs mains calleuses et leurs uniformes tachés, travaillaient avec une application visiblement accrue sous le regard du vice-président. Naïa ne pouvait s'empêcher de ressentir une profonde pitié pour ces hommes qui, dans quelques jours peut-être, se retrouveraient brutalement licenciés. Elle imaginait déjà leurs visages décomposés, les familles qui dépendraient soudainement du chômage... Tout cela parce qu'un homme, dans son bureau climatisé, avait décidé de tracer un trait rouge sur un organigramme.

Sur le chemin du retour, Alexandre s'installa confortablement dans le siège passager, ses mains derrière la nuque dans une posture décontractée qui contrastait avec la gravité de ses propos.

Alexandre d'une voix presque mélodieuse : « On ne peut plus rien faire pour cette usine. Les rendements sont bien trop faibles. Le directeur... un vieil homme usé par des années de loyaux services... Je me demande s'il retrouvera un emploi après cela. »

Naïa les doigts se crispant légèrement sur le volant : « Je... je pense qu'il serait possible de reclasser certains employés au moins. Ce serait tellement cruel de les jeter tous à la rue d'un coup... »

Sa voix tremblait légèrement. Elle pensait à ces interminables parcours pour déposer son cv ici et là qu'elle avait connues, à cette sensation d'inanité, à l'humiliation des petits boulots précaires...

Alexandre tourna alors lentement son regard vers elle, ses yeux sombres parcourant avec une intensité dérangeante sa silhouette moulée dans sa chemise sans manches. D'un geste qui se voulait presque paternel, il commença à lui caresser le bras nu, ses doigts traçant des cercles hypnotiques sur sa peau dorée.

Alexandre d’une voix feutrée : « Si je ne me trompe pas, vous avez une petite sœur au collège, n'est-ce pas ? «

Naïa surprise : « Heu... oui... »

Alexandre tout en continuant son mouvement circulaire : « Toute la charge financière de votre famille repose sur vos épaules... Ces épaules si frêles... «

Ses doigts remontèrent lentement vers son épaule, effleurant la clavicule. Naïa sentit un frisson incongru la parcourir, un mélange de gêne et d'une excitation qu'elle refusait de nommer.

Alexandre en chuchotant presque : « Vos bras sont si fins... Et pourtant si forts... Votre peau est d'une douceur... exceptionnelle... »

Ses propos, enveloppés dans un faux concert, cachaient mal une intention plus trouble. Naïa connaissait trop bien le prix de sa situation familiale. Son père diabétique, ses médicaments coûteux, sa petite sœur à charge... Toute cette précarité qui la rendait si... vulnérable.

Naïa tenta de recentrer la conversation : « Monsieur... ne devrions-nous pas retourner au siège ? »

Alexandre avec un sourire énigmatique : « Bien sûr... J'ai de grands espoirs en vous, Naïa. J'espère que vous saurez vous... adapter à ma manière de faire les choses. »

C'est alors que tout bascula. 

D'un geste trop rapide pour qu'elle puisse réagir, Alexandre sortit un objet métallique de sa poche. Un éclair d'acier dans la lumière du soleil et avant que Naïa ne comprenne ce qui arrivait, le froid des menottes encercla son poignet gauche, l'attachant brutalement au levier de vitesse.

Naïa d’une voix stridente : « EHII ???!!! QU'EST-CE QUE … ? »

Mais le pire était à venir. Les doigts agiles d'Alexandre déboutonnèrent sa chemise avec une efficacité déconcertante, les boutons sautèrent un à un sous ses assauts, exposant progressivement son soutien-gorge de dentelle. Puis, d'un mouvement expert, il fit glisser la lingerie vers le bas, libérant ses seins qui rebondirent légèrement, exposés sans pitié à l'air libre.

Naïa en panique : « NON ! Arrêtez !!! »

Alexandre calme mais ferme : « Concentrez-vous sur la route, Naïa. Ce serait dommage d'avoir un accident... dans votre état. »

Le choc, la honte, la peur se mélangeaient en elle. Elle dut faire un effort surhumain pour ne pas perdre le contrôle du véhicule, ses seins maintenant exposés aux regards potentiels des autres automobilistes, ses bras limités dans leurs mouvements par les menottes. La sensation du cuir glacé du volant contre ses avant-bras nus, l'air qui caressait sa peau découverte comme mille regards invisibles...

Alexandre, lui, semblait parfaitement à l'aise. Il commença à explorer sa poitrine nue avec une lenteur calculée, comme un connaisseur appréciant une œuvre d'art. Ses doigts aristocratiques traçaient des motifs invisibles sur sa peau, s'arrêtant pour pincer doucement les mamelons déjà durcis par le choc et l'excitation involontaire.

Alexandre : « Vous portez toute votre famille sur vos épaules... Comme c'est courageux... Il faut donner le meilleur de soi-même au travail... N'est-ce pas ? «

Chaque mot était ponctué d'une pression plus forte sur ses tétons, faisant naître en Naïa une tension insoutenable entre le désir de se rebeller et cette étrange chaleur qui commençait à se diffuser dans son bas-ventre. Son corps la trahissait, réagissant aux manipulations d'Alexandre malgré son esprit en révolte.

Les minutes qui suivirent furent un supplice exquis. Alexandre alternait entre caresses légères qui la faisaient frissonner et pincements brutaux qui lui arrachaient des petits cris étouffés. Ses tétons, maintenant douloureusement sensibles, pointaient fièrement, trahissant son excitation croissante. Elle devait à la fois, maintenir le contrôle du véhicule avec des mains partiellement immobilisées, Tenter de cacher sa nudité avec des mouvements de bras limités, Lutter contre les vagues de plaisir honteux que lui procurait cette domination. À suivre …


Vices et Perversions...