
<< CHAINES INVISIBLES >> Chapitre 5
Ecrit par Le Kpetoulogue
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CHAINES INVISIBLES
Naïa, 27 ans, était une jeune femme douce, au regard pur et à l’innocence presque naïve. Elle pensait simplement commencer une vie stable en devenant secrétaire dans l’une des plus grandes entreprises de la côte ouest-africaine. Mais dès son premier regard sur Alexandre, le vice-président charismatique et dominateur, tout bascula.
Cet homme, puissant et redouté, dégageait une aura sombre qui la troubla profondément. Plus elle travaillait à ses côtés, plus elle se sentait hypnotisée par son magnétisme, sans savoir qu’il avait un plan bien précis pour elle. Alexandre comptait utiliser Naïa pour atteindre ses objectifs, en la faisant plonger dans un monde empli de vice, de pouvoir et de secrets. Un monde si obscur qu’elle finirait par se demander si elle pourrait un jour y survivre… ou si elle y laisserait à jamais son âme et son innocence.
Chapitre 5
Après cette nuit brûlante, Naïa sentait en elle une faim nouvelle, insatiable. Ce n’était plus simplement du désir… c’était une soif de danger, un besoin viscéral d’explorer les limites de son corps et de son esprit. Chaque pensée tournait autour de cette quête frénétique d’excitation, d’une montée d’adrénaline qu’elle n’arrivait pas encore à définir. Elle voulait se perdre, se dépasser, sentir son cœur battre si fort qu’elle croirait qu’il allait éclater.
Un jour, en rentrant chez elle, elle fut frappée par une vision. Un bus bondé, rempli à craquer, un véritable écrin d’anonymat et de promiscuité. Cette image déclencha quelque chose en elle, un éclair d’audace. Et l’idée germa, sauvage et urgente.
Le lendemain, au lieu de son habituel Yango, Naïa se dirigea vers l’arrêt de bus. Sous sa jupe, elle portait ce caleçon en cuir. Cet écrin noir et lisse auquel était attaché son vibromasseur secret. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, chaque pas résonnant dans sa tête comme un défi lancé à elle-même.
Les bus défilaient, emportant des foules pressées et désordonnées. Naïa hésitait, paralysée par la peur et l’excitation. Puis, un bus apparut, noir de monde, la poussant avec la foule compacte. Sans pouvoir lutter, elle fut engloutie dans ce flux humain.
À l’intérieur, c’était un étau de chair, une mer de corps pressés, étouffants, brûlants. Impossible de bouger, impossible de respirer librement. Chaque souffle était un effort, chaque mouvement un frisson. Naïa se retrouva au cœur de cette fourmilière humaine, collée contre des inconnus, leurs respirations se mêlant dans l’air chaud.
Dans cette étouffante promiscuité, elle serra la petite télécommande dans sa main. D’un geste tremblant, elle activa le vibromasseur. Aussitôt, un déferlement de plaisir intense l’envahit. C’était comme si des milliers de petites flammes dansaient en elle, s’enroulant autour de ses nerfs, la consumant de l’intérieur.
Son souffle se fit court, son ventre se contracta sous la vague de sensations. Elle était à deux doigts d’exploser, submergée par ce plaisir interdit en pleine foule. Tentant de garder le contrôle, elle voulut baisser la puissance, mais une pulsion plus forte la poussa à augmenter légèrement les vibrations. L’interdit même la rendait plus affamée encore.
Son esprit tanguait entre la peur d’être découverte et le frisson du secret partagé avec ces inconnus tout autour d’elle. Le désir d’exister intensément, d’être regardée sans jamais être vue, d’être au bord du précipice sans jamais tomber.
Soudain, une main glissa sous sa jupe.
D’abord un contact timide, presque maladroit, comme une tentative hésitante. Son cœur s’emballa, ses muscles se figèrent. L’adrénaline monta en flèche. Était-ce une erreur ? Une violation ? Ou le prolongement naturel de son propre désir ?
Cette main devint plus audacieuse, plus pressante. Les doigts s’enfoncèrent doucement dans la chair ferme de ses fesses, la caressant avec une passion fiévreuse, comme s’ils cherchaient à sonder ses limites, à découvrir son secret caché.
Naïa sentit son corps se tendre, tiraillé entre la honte et l’envie. Son esprit criait à la fuite, mais son corps, lui, brûlait d’une invitation silencieuse. C’était une guerre intérieure où chaque battement de cœur vibrait d’une urgence impérieuse, où la peur se mêlait au désir dans un ballet hypnotique.
Son souffle devint erratique, son cœur martelait sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle aurait voulu crier, repousser cette main, reprendre le contrôle. Mais aucune parole ne franchit ses lèvres. Une part d’elle-même voulait se laisser aller, se dévoiler, se brûler au feu de ce contact interdit.
Alors que tout semblait suspendu à ce frêle équilibre entre abandon et résistance, le bus freina brusquement et s’immobilisa. La foule commença à se déverser, et Naïa, prise d’une panique soudaine, se précipita vers la sortie, le cœur battant à tout rompre.
Mais la télécommande, toujours serrée dans sa main tremblante, glissa et tomba au sol.
Le vibromasseur s’activa alors à pleine puissance, vibrant avec une intensité décuplée. Naïa sentit une décharge fulgurante l’envahir, un orgasme brutal et sans retenue s’abattant sur elle, au milieu de la foule indifférente. Son souffle se coupa, ses jambes fléchirent sous la force du plaisir qui la submergeait.
Elle se mordit la lèvre pour contenir un cri, les yeux fermés, le visage crispé entre honte, extase et peur. Les battements de son cœur s’emballèrent, elle était prise dans une tempête intérieure, entre l’interdit, l’excitation et la vulnérabilité absolue.
Cette expérience avait profondément troublé Naïa… mais jamais elle n’aurait imaginé à quel point elle en redemanderait. Depuis qu’elle était devenue la secrétaire du vice-président Alexandre, une part d’elle-même, enfouie, indomptée, s’éveillait lentement. C’était un fragment de sa personnalité qu’elle avait toujours ignoré, quelque chose de dangereux… mais terriblement attirant.
Ce jour-là, comme à son habitude, elle se tenait devant le bureau d’Alexandre, le carnet de rendez-vous à la main, détaillant chaque point avec application.
Naïa : « Et pour finir, vous devez assister à un dîner ce soir avec Monsieur Kanga. »
Alexandre : « Je vois. »
Naïa : « C’est tout, Monsieur. Je vous laisse. »
Elle allait tourner les talons quand sa voix, grave et autoritaire, la coupa net.
Alexandre : « Un instant… Enlève tes collants. »
Un frisson lui parcourut l’échine. Elle portait ce jour-là ses habituels collants transparents sous un tailleur sobre, professionnel… trop professionnel sans doute aux yeux d’Alexandre. Elle le connaissait suffisamment pour comprendre qu’une nouvelle lubie venait d’éclore dans son esprit. Sans discuter, Naïa s’exécuta lentement, glissant le tissu le long de ses jambes avec une lenteur presque sensuelle. Elle attendit quelques secondes, debout, collants à la main, l’attente attisant en elle une chaleur sourde, difficile à ignorer.
Mais rien ne vint.
Alexandre : « Qu’est-ce que tu fais encore là ? »
Naïa : « Hein ? Euh… J’ai cru que… »
Alexandre : « Retourne à ton bureau. Ton travail ne va pas s’effectuer tout seul. »
Naïa : « D’accord… tout de suite, Monsieur. »
Un peu surprise. Légèrement déçue. Une partie d’elle avait secrètement espéré autre chose, une nouvelle soumission, une autre folie imprévisible. Au lieu de ça, elle retourna à son poste, le souffle court, les cuisses nues sous sa jupe, incapable d’effacer le frisson d’attente qui vibrait encore en elle.
La journée suivit son cours… jusqu’au soir.
Ils se rendirent ensemble à un restaurant tout juste inauguré. L’extérieur était sublime, moderne, élégant. Tout semblait neuf, raffiné. Mais ce fut l’intérieur qui la frappa… le restaurant était vide. Aucun client. Le silence y régnait, feutré, presque cérémonieux. Ils furent accueillis par un homme d’âge mûr, au regard calme et poli, mais au sourire mystérieux.
Alexandre : « Bonsoir, Monsieur Kanga. Félicitations pour votre nouveau restaurant. »
M. Kanga : « Merci beaucoup, Vice-Président. C’est grâce à votre travail acharné que je peux me permettre ce genre de folies. »
Naïa le regarda avec surprise. Elle ne l’avait jamais vu auparavant. Elle ignorait que Monsieur Kanga faisait partie du conseil d’administration. Il semblait discret, presque invisible, mais sa présence ici n’était clairement pas anodine. Si Alexandre l’avait conviée à ce dîner, ce n’était pas pour parler simplement affaires.
Ils échangèrent quelques politesses, puis M. Kanga leur fit signe de le suivre. Il les mena à travers le restaurant jusqu’à une salle privée. Une pièce feutrée, aux murs recouverts de boiseries sombres et de tentures rouge profond. Au centre… une table. Et sur cette table… une femme.
Naïa crut d’abord qu’il s’agissait d’un corps sans vie. Mais non. En s’approchant, elle vit son torse se soulever lentement, régulièrement. Elle respirait. Son corps, entièrement nu, était recouvert de grandes feuilles exotiques sur lesquelles reposaient différents mets délicats : fruits juteux, bouchées de poisson cru, sushis finement préparés, coupes de sauces colorées.
La femme avait un corps magnifique… de petits seins dressés, une taille fine, de longues jambes parfaitement galbées. Ses yeux étaient couverts d’un bandeau noir satiné, ses bras reposaient le long de son corps avec une obéissance troublante. Elle restait immobile, parfaitement calme, comme un plateau vivant.
Le choc visuel laissa Naïa interdite. Fascinée. Troublée.
M. Kanga, sans perdre son calme, se tourna vers elle avec un sourire discret.
M. Kanga : « Secrétaire Naïa… pourriez-vous me servir un verre, s’il vous plaît ? »
Naïa : « Euh… Oui. Bien sûr. »
Elle se dirigea vers le petit meuble à côté de la table, où trônaient plusieurs bouteilles de vin et de liqueurs raffinées. Elle versa un verre avec des gestes appliqués, presque mécaniques, comme si ses mains bougeaient toutes seules pendant que son esprit était ailleurs… absorbé par la scène qui s’offrait à elle. Le corps nu de cette femme, offert comme un banquet… les regards calmes d’Alexandre et Kanga, comme s’ils assistaient à une cérémonie bien connue d’eux… et elle, au milieu, hésitante, incertaine… mais curieuse.
Quelque chose allait se passer. Elle le sentait dans l’air.
C’est avec les mains tremblantes que Naïa s’approcha de Monsieur Kanga. Elle tenait entre ses doigts fins une bouteille de vin d’une rareté précieuse, un cru d’exception au parfum puissant, qui devait coûter à lui seul plusieurs mois de son salaire. Elle sentait le verre glisser légèrement entre ses paumes moites. Chaque pas qu’elle faisait vers lui semblait peser lourd sur ses épaules. Son souffle était court, son cœur battait plus vite que jamais.
Elle s’efforça de garder son calme, mais sa nervosité était visible. Ses gestes étaient hésitants, maladroits, presque enfantins.
Alexandre : « Je m’excuse pour son manque de tact. »
M. Kanga : « Haha, ce n’est pas bien grave. »
Le ton était léger, mais son regard, lui, ne l’était pas. Alors qu’elle se penchait légèrement pour lui verser le vin, les yeux de M. Kanga descendirent aussitôt le long de ses cuisses nues. Il ne chercha même pas à se montrer discret. Sa main se posa sur la peau claire de Naïa, la caressant lentement, savourant chaque centimètre comme s’il s’agissait d’un mets rare.
M. Kanga : « Tu as une peau si claire… si lisse… »
Naïa : « … »
Elle ne trouva rien à répondre. Tout dans son esprit s’entrechoquait. Le luxe, la tension, la gêne, l’incompréhension.
M. Kanga : « Tu ferais une très belle tasse. »
Naïa : « Hein ? Une tasse ? »
Elle crut qu’il délirait. Depuis leur arrivée, M. Kanga n’avait cessé de boire, verre après verre, en bon amateur de grands crus. Elle pensa qu’il avait simplement trop bu, qu’il perdait la tête. Alors, avec un sourire forcé, elle voulut lui resservir un autre verre, pensant détourner l’attention.
Naïa : « Attendez, je vous sers encore un verre, Monsieur Kanga… »
M. Kanga : « Non, non. Assieds-toi sur cette chaise… et enlevons tout ce qui est inutile. »
Naïa : « EEEHII ??? MONSIEUR KANGA ?? ARRÊTEZ !!! »
Mais il ne l’écouta pas. Sa main était devenue insistante, possessive, impérieuse. Il la tira vers la chaise à côté de lui et commença à défaire sa jupe de tailleur, avec des gestes décidés. Elle tenta de se débattre, surprise, désorientée, mais sa résistance se heurta à son calme autoritaire. Son regard glissa vers Alexandre… il était son supérieur, son repère. Mais il ne bougea pas. Il ne leva même pas un sourcil. Il se contentait de picorer les mets déposés sur le corps nu de la femme allongée sur la table, comme s’il s’agissait d’une scène parfaitement normale.
En une poignée de secondes, Naïa se retrouva assise, les cuisses nues, la jupe à terre. Il ne lui restait plus que sa veste et sa chemise entrouverte. Ses mains couvraient son intimité comme elle pouvait, en vain. M. Kanga tourna sa chaise pour être en face d’elle. Il la dévorait des yeux. Le silence se faisait lourd entre eux, chargé de désir et d’inconfort.
Elle ne comprenait pas… Pourquoi cette mise en scène ? Pourquoi elle ? Et pourquoi Alexandre ne disait rien ? Puis, elle se souvint. Ce matin. Les collants. Ce n’était pas anodin. C’était prémédité.
M. Kanga : « Wahou… quelle vue. Tes jambes sont parfaites. Ce teint… cette texture… cette lumière qui glisse sur ta peau. Wahou… »
Son regard brillait de gourmandise. D’un plaisir presque animal. Naïa sentit un mélange de honte, de confusion… et d’excitation insidieuse monter en elle. Elle osa à peine relever les yeux, ne sachant plus si elle voulait fuir… ou rester.
Elle chercha encore une fois le regard d’Alexandre. Et ce dernier, enfin, lui répondit. Par un simple sourire. Un sourire complice, calculé, presque tendre. Il savait. Il avait tout prévu.
M. Kanga : « Parfait. Maintenant… je veux que vous me serviez à boire. »
Naïa : « Qu’est-ce que vous voulez dire exactement ? »
M. Kanga : « Restez comme ça… les cuisses bien fermées… et versez-moi le vin… juste ici… »
Il effleura doucement le creux formé entre ses cuisses fermées, juste au niveau de son bas du ventre.
M. Kanga : « … que j’en boive comme à la source. »
Naïa : « Hum… comme ça ? »
Sa main tremblante leva la bouteille, les yeux rivés dans ceux de monsieur Kanga, rouge de gêne et de trouble, mais incapable de dire non.
Le liquide pourpre coula lentement entre ses cuisses, se logeant dans le creux délicat de son bas-ventre. La sensation fraîche la fit frissonner. Puis, M. Kanga s’agenouilla devant elle, et plongea son visage sans attendre, comme un homme assoiffé.
Ses lèvres, sa langue, s’activèrent avec une ardeur presque animale, mais sans brutalité. Il léchait chaque goutte, savourait chaque trace laissée sur sa peau. Ses mains posées sur ses hanches la maintenaient fermement. Et pendant tout ce temps, Naïa restait immobile, tendue, ses mains crispées sur les accoudoirs.
M. Kanga, relevant la tête, les lèvres brillantes : « C’était divin. Tu es une réserve de plaisir, Naïa. »
Elle ferma les yeux une seconde, cherchant à reprendre le contrôle de ses pensées. Ce n’était pas seulement lui… c’était l’ambiance, la pression, les regards, l’absence de mots… Alexandre surtout. Ce pouvoir silencieux qu’il exerçait sur elle.
M. Kanga : « C’est ton tour maintenant. Tu veux bien ? »
Naïa ouvrit grand les yeux, surprise.
Naïa : « Mon tour ? »
Elle ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. Devait-elle boire le vin comme il venait de le faire ? Mais sur qui ? Sur la femme nue allongée sur la table ? Les questions s’embrouillaient dans sa tête, entre la gêne, l’excitation, et l’ambiance irréelle de la pièce. À suivre …