Chap 2
Ecrit par Wir
QUAND L AMOUR DECIDE DE SE MELER
CHAP 2
JADE
Je suis Jade ROBERT j’ai 22 ans je suis née d’une mère togolaise et d’un père anglais, nous vivons en France depuis que nous étions gamine, nous avons perdu nos parent il y a de cela quelques années et ma sœur Ambre a du arrêter ses études pour s’occuper de moi, je viens d’avoir ma licence en marketing, ma sœur est Ambre ROBERT, elle avait 25 ans et c’était la meilleur sœur dont on pourrait rêver avoir, elle s’occupait de moi comme une mère, elle a toujours tout fait pour que je ne manque de rien et je maudit le jour qu’ elle a rencontré cet homme, cet homme qui n’a apporté que souffrance et tristesse à ma sœur Mateo DE LUCA, cet homme qui lui a promis mont et merveille alors qu’ il était un homme marié, une famille qui nous a fait tellement de mal jusqu’ a la mort de ma sœur.
Je viens d’avoir une violente altercation avec ce sauvage de Gianni DE LUCA qui se pense tout permis et qui se permet de médire sur ma sœur, c’est la dernière personne qui peut se permettre de mal parler d’elle
Je passe voir le médecin qui me donne son accord pour pouvoir amener le petit a la maison je passe, a la caisse pour demander l’addition mais je croise encore ce goujarre laba
Gianni : t inquiète j’ai déjà régler l’addition, c’est l’avantage quand on a un neveu riche
Moi : bah c’est la moindre des choses
Gianni : je savais que c’est ce qui vous a toujours intéressé
Je ne lui réponds pas, je tourne mes tallons pour aller voir le docteur et pouvoir rentrer avec mon petit neveu, mais c’est sans compter sur l’aide de cette bête
Gianni : lorsque je parle on ne me tourne pas le dos
Moi me libérant de son emprise : bah moi je le fais, retourne en enfer frère
Je pars sans lui lancer un seule regard, je n’ai pas la patience de supporter ce gars, je dois faire le deuil de ma sœur, préparer son enterrement et m occupée de mon neveux je ne sais même pas comment je vais pouvoir m’en sortir toute seule, j essuie les larmes de colère, d’impuissance qui perle mon visage
Je passe voir le docteur qui me donne l’autorisation de partir avec mon neveux, je pars ramasser les effets personnels de ma sœur qu’on m’a remis à l’hôpital, je n’ai pas envie de rester toute seule en ce moment je passe prendre quelques affaires a la maison et je pars
Lorsque je sonne elle m’ouvre la porte me prend des mains le bébé qui ne s’arrête pas de pleurer et m insiste a rentrée, je m’assoie dans le fauteuil à coté d elle
Moi : il n’arrête pas de pleurer depuis un moment je ne sais pas pourquoi, j’ai tout fait mais elle n’arrête pas
Ma tante : elle sent ta nervosité c’est pourquoi elle va se calmer d’un moment à l’autre
Comme l’a dit ma tante elle se calme et fine par s en dormir dans ses bras ce qui me soulage, elle part le coucher et reviens s’assoir à côté de moi
Ma tante : comment te sens tu ?
Moi fondant en larme : perdu, vraiment perdu, j’ai l’impression d’être dans un mauvais rêve duquel je n’arrive pas à me réveiller
Ma tante :….
Elle ne dit mot et me prends juste dans ses bras, je laisse libre cour a mes larmes pendant un moment avant de tomber dans un lourd sommeil
Gianni DE LUCA
Je rentre à la maison après ma violente altercation avec cette sauvageonne, l’éducation et le savoir-vivre est une qualité qui fait vraiment défaut à ces personnes
Je me rafraîchis et me prépare pour retourner au travail, lorsque je finie je descends dans le bureau voir mon père avant de partir, lorsque j’ouvre le bureau il était assis entrain de siroter son whisky comme il le fait souvent depuis un moment
Moi : salut père
Mon père : salut fils, tu n’étais pas censé être au travail à cette heure ?
Moi : non j’étais à l’hôpital pour l’accouchement de ton enfant, c’est un garçon si cela t intéresse
Mon père : j’ai rien à avoir avec ces personnes donc je me moque vraiment qu’il soit une fille, un garçon ou vivant
Moi donnant un coup dans la table posé en face de lui : mais père, c’est ton sang, la chaire de ta chaire, comment peux-tu dire de telle chose
Il ramène sont whisky aux lèvres et continu sa lecture comme si de rien était, je sens mon sang faire faire un tour, suis rouge de colère, donc je préfère sortir pour éviter des altercations avec lui, je suis choquée de voir à quel point cet homme peux être insensible, et froids, je ferme violement la porte du bureau et je me dirige vers l’entrée ou je croise sa femme qui me parle mais à qui j’accorde aucune attention
Je m’installe dans ma voiture et je prends la route de mon travail seule lui pourrait me permettre de décompresser et de ne pas penser à tout ce qui se passe
Je me suis toujours pas présentée, je suis Gianni DE LUCA le fils unique de Mateo DE LUCA, euhhhh j’ai un frère maintenant je suis le PDG de GDL consulting, j’ai 30 ans et je pense que les affaires marche plutôt bien donc je n’ai pas à me plaindre
Lorsque j’arrive à mon travail, je monte directement à mon étage et je m’installe derrière mon bureau, je prends le dossiers sur lequel j’étais en train de travailler pour continuer mais j’arrive pas à me concentrer je repense à ce qui s’est passé à l’hôpital avec cette sauvageonne, j’arrive pas croire l’audace qu’ elle a, tout d’un coup j entend quelqu’un ouvrir la porte en fraqua, lorsque je soulève ma tête, Boff une autre impolie que je faire sortir de ma vie le plus tôt possible
Sofia : tu étais passé ou toute la journée et tu étais injoignable ?
Moi : je t’ai toujours dit que mon bureau n’est pas un zoo, soit tu te comportes bien ici ou tu mets plus les pieds ici je vais plus me répété
Sofia : arrêtes de t énerver pour un rien mon bébé
Moi : je ne suis pas un bébé et tu retournes fermer la porte derrière toi
Elle exécute et viens se placer devant moi, vêtue de sa petite robe bleu tellement courte qui ne laisse pas place a beaucoup imagination, perché sur ses talons de 20cm, elle pose sa jambe interminable entre mes cuisse et commence par me caresser l’entrejambe avec, je dégage ses pieds, la soulève et la pose sur mon bureau
Moi : il est temps que je t’apprenne le respect
Sofia souriant : ou mon chéri je suis prête à recevoir la leçon
Je la retourne et l incline pour qu’elle puisse m’offrir son derrière, je caresse ses jambes jusqu’ a ses fesses, je soulève sa robe et descend son string, j écarte ses jambes et je m’introduis d’un coup sec en elle, ce qui lui arrache un petit cri aigu, je lui donne des claques sur les fesses en lui assenant des coups de reins ce qui la fait gémir encore et encore, au fur et à mesure que je continu ses gémissements se transforment en cris
Moi : vas-tu arrêter d’être la petite impolie que t’es ?
Sofia : aaahh…aahhh ouuiiiiiii !