Chap.5Tentative suite

Ecrit par kony ariane

 

Je m’étais réveillée très joyeuse. J'avais comme des papillons dans le ventre. Je ne m'emballe pas vite, je me calme et je laisse faire les choses.

Après  une douche, j’enfilai une robe couleur saumon assez belle et mis des sandales. Je m'apprêtais à descendre rejoindre maman pour le petit déjeuner, quand mon portable sonna. Voix inconnue

-bonjour mademoiselle, c'est Alfred le chauffeur de Monsieur Chukwuma

-ah oui bonjour Alfred, vous vous portez bien j’espère. Que puis-je pour vous ?

-je vous ai ramené votre voiture, je suis devant la grille.

-ah très bien je vous rejoins.

Quand le gardien de maman lui ouvrit, il fit rentrer la voiture et me passa son téléphone comme quoi son patron voulait me parler

-Bonjour ma belle, venait de dire Mike

-Bonjour Mike, bien dormi ?

-super bien, merci et toi

-comme un bébé, après la super soirée que j’ai passée

-que dirais tu de petit déjeuner avec moi ?

-j’avais prévu le prendre avec ma mère car je suis venu passer quelques jours chez elle et ce serait la lâcher

-c'est clair, dans ce cas le te laisse, je te rappellerai plus tard.

-c’est noté à plus tard.

Je rendis le téléphone et récupérai mes clés. Alfred s'excusa puis s'en alla. Maman et moi étions en grande causerie à table quand Moktar vint. Apres salutation il tira une chaise et s’assit. Maman le taquina car elle ne le voyait plus. Il promit de passer la voir. Maman s’excusa et nous laissa seuls. À peine avais je commencé

-tu sais Mike est super, il... (il venait de me me couper la parole)

-mais t'es sérieuse ? Pourquoi avoir coupé tes cheveux ? Ce gars tu le connais pas et tu le laisses te coller au train. Tu conduis sa voiture. Tu voulais te tuer ou quoi ?

Moi dépassée par sa colère injustifiée,

-Mok, tu te calmes. Je suis une femme aujourd’hui, plus la petite pleurnicheuse que tu as connu. Je sais ce que je fais. J’avais parlé en haussant le ton.

-OK, OK si tu le dis, désolé

Et le voilà qui s’était levé pour partir. C est toujours comme ça quand il est contrarié. 

-Mok attend s’il te plait. 

Il ne me prêta pas attention.

Maman nous rejoins et l'interpelle

-Moktar que se passe-t-il ? Pourquoi parts tu fâcher contre ta sœur ?

-non maman, je ne suis pas fâché.

-dans ce cas reste avec nous aujourd’hui j'ai prévu emmener ta sœur faire un tour dans la ferme de son feu père. Et ne me dis pas que tu as un programme.

-D'accord maman.

C'est ainsi que nous prîmes la route pour Dassa. 

Maman était assise devant et moi et Moktar sur la banquette arrière. Le bon monsieur avait mis ses écouteurs histoire de me signifier :<<je n'en parlerai plus avec toi>>.

Une fois à destination, maman, finalement nous demanda de nous débrouiller pour visiter le site. Je pris une des Jeeps et lui demandai de monter. Ce qu'il fit.

Pendant toute la visite, il avait gardé ses écouteurs. 

Sur le chemin du retour, fatiguée qu 'il me fasse la tête, je les lui arrachai.

-purée Marion ! Ne viens pas me chercher des noises encore, je ne suis pas d'humeur.

-promis non, je suis désolée mon frère adoré

-je ne suis pas ton frère

-d’accord…pardonne moi

-idiote tu sais très bien que je n’arrive pas à t'en vouloir longtemps

-merci

-bon ramène nous, j'ai chaud.

Une fois dans la maison, maman nous signifia qu'elle ne retournait pas à Cotonou aujourd’hui. Que le chauffeur reviendrait la chercher demain. Après avoir déjeuné ou plutôt goûter vue l'heure, nous prîmes la route.

De retour chez maman, Mok prit sa voiture et moi j'optai pour une douche et m'affalai sur mon lit. La sonnerie de mon téléphone me réveilla à 22h. Je décrochai sans avoir regardé le nom de celui qui m’appelait.

-allô (voix ensommeillée)

-la boulette, je viens de te réveiller. Je te laisse te rendormir

-Mike ? Je m’étais assoupie

-I see that

-on peut parler. Alors ça va ? Ta journée ?

-je vais bien, merci et toi ?

-ça va

-je n'ai pas pu te rappeler plus tôt, je m'en excuse

-mais tu n'as pas à t'excuser tu sais. J'aurais pu le faire aussi

-c’est moi qui suis intéressé je te signale, c’est à moi de me rendre à Rome

Sacré Mike, il est drôle.


-j'ai passé la journée à la ferme avec ma mère et je suis rentrée il n'y a pas longtemps.

-ok. As-tu prévue quelque chose ce soir ?

- Je n’en sais trop rien. Pourrais je te rappeler j'ai un autre appel là

-ok

Je m'empressai de décrocher l’appel du numéro inconnu.

-allô ?

-bonsoir Marion, c'est Darwin

-oui ?

- Darwin, l'ami aux SANE

-ah ben oui, comment vas-tu ? Que me vaut ton appel ?

-Je vais bien merci, j’espère qu’il en est de même pour toi

-je vais bien également

-j’aurais aimé te voir ce soir

-ah bon ? Et puis je savoir pourquoi ?

-j'ai à te parler

- ce soir, j'ai déjà un programme

-tu pourrais décommander...

-non

- OK, pourrais-tu enregistrer mon numéro ? Je te rappellerai pour voir ta disponibilité

-pas la peine, mercredi 19h45

-c’est noté.

-passe une agréable soirée dans ce cas

-merci

Que me voulait-il celui là ? Je ne sais pas si j'ai envie de traîner avec lui, Mike me plait bien. En parlant de lui, je relance l'appel

-hey Marion

-oui, alors qu'as tu prévu pour nous ce soir ?

-hum j’aime t’entendre parler ainsi

-c'est ça

- T'as dîné ?

-je n'ai pas vraiment faim tu sais,

-moi je meure de faim

-t'es où là ?

-je suis en route pour chez moi.

-ben viens à la maison je te ferai un petit truc à manger.

-ça veut dire qu'on se rapproche là…mais ce n’est pas une heure pour que je vienne chez toi. Je n'ai pas encore rencontré ta mère

-elle n’est pas là

-raison de plus. Je passe te chercher tu pourras le faire Chez moi.

-sérieux ? Je ne risque rien ?

-touché, je n'ai pas eu l’occasion de te dire que je suis célibataire. C’est d‘accord ? Puis je passer te chercher disons dans une demie heure ?

-OK je t’attends

Je me rafraîchis et mis une jolie robe. Un coup d’œil dans la cuisine, j'optai pour des filets de poulet aux tagliatelles avec une sauce blanche. Le major d’homme vint m'informer que Monsieur Chukwuma m'attendait. Quand je le rejoins avec mon panier, l'air intrigué il s’écria :

-mais que comptes-tu faire de ce panier ?

-ben j'ai fait mon petit marché dans le frigo de ma mère

-tu n'avais qu’à me dire ce dont tu as besoin. Et tu sais chez moi il y a des choses à manger

-peut être mais je me suis dit que je te ferai des tagliatelles avec des filets de poulet

-OK chef, allons y

 


Mike Chukwuma

 

Cette femme est incroyable, je la veux à un point que vous n'imaginez pas. Elle a tout pour elle. Elle est toujours joyeuse et chaleureuse, pour une fille de ce rang, je tire mon chapeau à sa mère. Je me suis un peu renseignée sur elle. Et d’après ce que je sais,elletraine souvent avec des hommes mais sa dernière relation sérieuse date d'il y a six ans. Je me fiche bien de savoir ce qu’il y a bien pu avoir. Ce que je veux c'est la faire mienne.

 Je la regarde cuisiner, ça sent super bon. Elle se déplace avec grâce dans cette cuisine où j'ai subitement un peu trop chaud. Elle me sourit…Ne sait-elle pas que je suis en feu, rien qu'en la regardant ? Je prendrai mon temps pour la courtiser comme il se doit. Je m’excusai auprès d'elle pour aller me rafraîchir vite fait.

Quand je revins, la table était mise et un repas super odorant fumait sur la table.

-ton dîner est prêt m'avait elle dit

-passons alors à table

-si ça ne te dérange pas je vais piquer dans ton assiette pour te rassurer que je n'y ai rien ajouté lol

- je te fais confiance

Le dîner était parfait, l’assaisonnement était au point, franchement elle n'a rien à envier aux chefs cuisiniers de mes hôtels. Ça c'est une femme. Je  suis bluffé. Apres le dîner, je lui proposai de passer au petit salon pour le dessert. J'y avais posé un seau à champagne et un assortiment de fromages et des fraises.

-tiens Marion, trinquons aux belles rencontres. Car pour moi t'en es une

-dans ce cas, aux belles rencontres

Même ses lèvres sur le verre étaient un appel au péché. Nous avons passé la soirée à parler de nos vies, nos passions et de nos rêves. Vers 2 heures, elle demanda à rentrer. Apres cette soirée elle et moi nous nous étions vus tous les jours.

 

Darwin N’ZE

 

Cette fille essaie de se faire désirer ou quoi depuis samedi où je l'avais appelé, elle n'avait plus fait signe et n'avait plus décroché mes appels.

Je crois que j'ai craqué pour elle. La première fois que je l'ai vu dans ce restaurant je me suis senti envoûté par elle. Je ne sais plus quoi faire pour attirer son attention. Pourtant les femmes ne demandent qu’à m'avoir. Je vais lui sortir le grand jeu. Je décroche mon téléphone et appelle ma secrétaire

-Nadine, venez dans mon bureau je vous prie

-très bien monsieur

L’instant d’après

-monsieur vous m’avez appelé ?

-je voudrais que vous fassiez livrer chez Mademoiselle Marion BERIA des fleurs et une boite de chocolat s'il vous plait. Tenez voici son adresse. Merci

-c’est noté, nécessaire sera fait.

Voilà une chose de faite. À tout hasard je lançai l'appelle vers Marion, mais elle ne décrocha pas, pff trop c’est trop. Toute la semaine elle reçu des fleurs mais toujours pas de Marion.

Ce vendredi là las et super à cran, je décidai de partir du bureau plus tôt. Directeur des opérations à la BGFI Bank, je pouvais me permettre ce luxe. Il était 15h30 quand en partant je décidai de traverser l’agence pour sortir au lieu de passer par derrière. De dos je vis une silhouette assez élégante, échangeant avec la jeune dame de l’accueil. Cette voix. Je revins sur mes pas et m'exclamai

-Jocelyne, un problème avec la dame ?

-heu non monsieur, elle cherche à connaitre le nom de son gestionnaire

M'adressant à la dame,

- souhaiteriez-vous faire une opération ?

Toujours de dos, elle se retourna vers moi. On aurait dit une déesse.

-en effet, bonsoir Darwin

-Marion, suivez-moi dans mon bureau s’il vous plaît, et toi Jocelyne trouve moi le gestionnaire qui s’occupe dudit compte s’il te plaît

Je pris les devants et orienta Marion vers mon bureau

Ma secrétaire intriguée ;

-monsieur un problème ? Avez-vous oublié quelque chose ?

-non Nadine,  Mademoiselle BERIA que voici souhaiterait avoir certains renseignements et voudrait faire une opération. Appelle Jocelyne de l’accueil et qu’elle te transmette le nom du gestionnaire à charge.

-bien Monsieur

Une fois installé dans mon bureau et m'adressant à Marion

-j'ai fini par me dire que tu étais absente du territoire

-non, je suis là

-mais tu n'as pas honoré notre rendez vous, encore moins décroché mes appels, je ne te parle même pas du fait que tu n’as même pas pensez à rappeler pour t’excuser

-je ne suis pas là pour ça et je ne pense pas avoir de compte à te rendre.

Cette fille me défis, je reste professionnel.

-tu as raison ce n'est ni le lieu ni le moment.

Quand Nadine revint avec l’information, je lui demandai de conduire Marion dans le bureau de son gestionnaire. Je pris soin d’appeler ce dernier pour lui  demander de s’occuper d’elle, après quoi je sors de la banque dans l'espoir de rejoindre mon domicile. Ce week-end ce sera « détente, sur détente » Il me faut la sortir de la tête.

  


Marion BERIA

Ce Darwin, est certes mignon mais ce qui ne sait pas c'est moi qui mène la dance. Je suis une femme certes, mais dans la tête je suis un mec, un vrai, un viril qui en a dans son pantalon. Pour l’infant celui qui me donne envie c’est Mike. Ce soir je vais me le faire.

En sortant de la banque je lance l’appel vers lui

-bonsoir Mike, je sais qu’il n'est que 17h mais je viens t’enlever.

-Marion ? Heu...heu...

-ben oui c'est moi, tu t'attendais à quelqu’un d’autre ou quoi ? Tu me vexes là.

-non pas du tout, désolé.

-si tu le dis, alors t'es où là ?

-je viens de finir avec mon dernier rendez vous, je comptais faire un tour à l’hôtel.

-ce ne sera pas possible mon cher. Appelle qui tu veux, délègue mais moi je t’attends à saint Michel rue 18 maison 1b

-heu d’accord, mais tu m'inquiètes là

-mais non, je t’attends

Apres avoir raccroché, je filai dans la salle de bain pour une douche rapide. Je venais de mettre ma dernière touche quand j'entendis l’interphone sonner.

Je me rendis dans le séjour et à travers la baie vitrée je pus voir que c’était lui.  De là je criai au gardien de le laisser entrer.

 


Mike Chukwuma

La maison est somptueuse, vue de l’extérieur on ne se doute pas de sa grandeur. Le jardin y est vaste et au centre une maison moderne en rez. Le luxe y était époustouflant. Elle m'attendait à l’entrée d'un séjour décoré avec soin. C’était spacieux et éclairé. La femme que j'avais sous mes yeux avait l'air différente, il y avait dans ses yeux une lueur de détermination que je ne lui connaissais pas.

Elle avait enfilé un short qui lui arrivait juste sous les fesses. Avec un haut qui tombait juste dessus. Elle n’avait qu’à lever les bras et on verrait son ventre. Elle est parfaite. À sa hauteur je lui fis une bise sur la joue. Elle m'invita à entrer et me proposa un rafraîchissement, il y avait de la charcuterie et des trucs à grignoter

-tu attends des invités Marion ? Je ne suis pas habillé de façon trop sérieuse ? J’étais en costume.

-mon seul invité est déjà là. Non tu es parfait. Laisse-moi te débarrasser de ta veste et de ta cravate

J’étais là impassible la regardant m'enlever ma veste, puis dénouer ma cravate. Elle ne s’arrêta pas là. Elle ôta mes boutons de manchette et se mit à retrousser les manches de ma chemise. Je ne faisais que déglutir. Elle était trop proche de moi, cette proximité m'intimidait.

-Mike, tu m'as l'air tendu. Si tu veux tu peux te déchausser ne pourrais te prêter des chaussons.

-d’accord, c’est tout ce que je pus dire.

-suis moi je vais déposer tes affaires dans ma chambre, tu pourras te rafraîchir si tu veux.

C'est ce que je fis. Quand je sortis de la salle de bain. Je vis les chaussons que je mis. Je jetai un regard sur toute la chambre. Elle m'avait l’air bien trop grande. Elle était rangée, rien ne traînait. La curiosité me poussa à ouvrir les battants de son dressing et mes yeux tombèrent directement sur de la dentelle. Je voulais refermer mais ma main cette traîtresse  m’obligea à la toucher. Ce que je fis. Je regardai avec intérêt le bout de tissu et toute suite j’imaginai Marion dedans. Je me sentis à l’étroit dans mon pantalon. J'avais une trique d'enfer. Mon imagination volait et m'emporta avec elle, de sorte que je n’entendis pas la porte s'ouvrir.

- voudrais-tu me voir l'essayer pour toi ?

-Marion ! Heu désolé je suis honteux. Je ne voulais pas fouiner dans tes affaires.

- donne, je vais les essayer pour toi, je viens de les acheter.

Elle me les prit des mains et alla dans la salle de bain. J'avais chaud, j’étais confus, j'avais honte de moi, mais j’étais curieux de voir cette lingerie sur elle. C’est à ce moment que je l’entendis me dire

- retourne-toi lentement.

Ce que je fais. Le choc. Ma gorge était nouée. Purée ! Non d'un chien ! C’était incroyable. Qu’il me souvienne quand j’étais adolescent et que je feuilletais les magazines de play-boy, aucune de ces femmes ne m’avait donné une trique  pareille. Mon petit homme était en feu, mon cœur battait la chamade. Elle avait enfilé un ensemble couleur saumon, fait de dentelle et de soie. Le soutien gorge était une sorte de demi sein qui relevait ses seins, lourds, ronds et fermes. L'avant du slip était chaste, de la dentelle à la ceinture et la partie du pubis était en soie. C’est comme si elle lisait en moi.

Elle se retourne lentement pour que je vois ce que ça donne de dos. Elle était super cambrée. Le spectacle était magnifique.

- veux-tu toucher ?

-Marion ? Ma voix était rauque, chaude et suppliante.

Elle s’avança vers moi et prit ma main droite qu’elle posa dans le creux de sa poitrine et la seconde sur une de ses fesses. Je voulais de toutes mes forces lui résister

-touche la dentelle sur ma peau, avait t’elle dit en bougeant légèrement contre moi, avec une de ces voix super sensuelle.

Je ne me fis pas prier longtemps, je touchais timidement, elle m’attira à elle et me fit basculer sur son lit.

-Marion, on ne devrait pas

Elle venait de me faire taire par notre premier baiser.

Trois semaines qu’on se fréquentait,  je n'avais jamais osé l'embrasser. Je ne voulais pas d’une simple relation. Je la voulais entièrement et rien que pour moi.

Sa bouche était chaude, sa langue douce. Je me délectais. Ses mains parcourraient mon visage, mon cou, mon torse et elle faisait une espèce de rotation sur mon sexe déjà à l’agonie.

Quand elle détacha ses lèvres des miennes pour déboutonner ma chemise, jeus le réflexe de lui prendre les mains pour l'obliger à arrêter ; mais la coquine se mit à bouger de plus en plus sur mon pénis. Merde c’était insoutenable. Elle parvint à ôter ma chemise et mon débardeur, parsemant mon torse de baisers humides.

 Elle mordillait mes tétons, revenait aux lobes des oreilles qu'elle léchait, une pince sur les tétons. Je devenais fou. Je ne m’étais même pas rendu compte qu’elle venait de mettre sa main dans mon boxer malaxant mon petit homme.  Je n’étais que gémissements. Je grognais. Elle ramena mon pantalon et mon boxer à mi cuisse et s’était déjà emparée mon petit homme, qu'elle lécha de toute sa longueur, avant de se mettre à me pomper en la caressant de bas en haut. Ses gestes étaient rapides et ensuite lents,pour redevenir rapides, et sa langue tournoyait autour de mon gland. Mais d’où sortait cette femme ? Elle se mit à me faire des gorges profondes et maintenait une pression sur ma bite me donnant l’impression d'être dans une cave super serrée

-Marion,Arhhh! Oh! Merde, Marion!Je ne vais pas pouvoir tenir.

Je voulais l'obliger à s’arrêter mais elle maintint son emprise et me pompa davantage avec fougue et sensualité. J’étais maintenant en position assise et Marion me regardait dans les yeux. Ses yeux, purée ! Parfois j'y vois une garce, la seconde d’après un ange. Et là, mon bouchon céda

-Merde Marion je jouis.

Elle continuait de me pomper et était accroché à mon regard. Je la regardais boire toute ma gicle et elle avait l'air de savourer. Elle me nettoya la bite entièrement. Et vint me donner un baiser chaste et se leva.

-Mike, je t’attends au salon. Elle l’avait dit avec sourire et en me faisant un clin d’œil. Je la voulais encore moi,  je n'avais pas profité de son corps. Mais c'est quoi cette femme ?

 

Marion BERIA

J’ai adoré l’avoir en bouche. Je n'en ai pas fini avec lui.

Le voilà qui vient.

-hey, ça te dit qu’on se fasse un film ?  Ou un jeu de société ?

-Marion, faut qu'on parle

-Mais de quoi ? Viens t’asseoir près de moi.

Dès qu’il s’assit à côté de moi, le sentant mal à l’aise, je profitai pour me mettre à califourchon sur lui. Je pris d'assaut ses lèvres. Le baiser était gourmand, mes mains parcourraient son torse.  Et tout en bougeant j’ouvris le bouton de son pantalon et sa braguette.

Son engin était déjà au garde à vous. J'adore ça. Il me désire si fort. Ça m'excite. Étant restée en sous vêtement je décalai mon dessous et m'empalai sur lui. Mais c'est sans compter ma longue période d’abstinence.

-Marion arête ! T’es vierge ou quoi ?

-non qu'est que tu vas chercher. Laisse-toi faire s’il te plait.

-tu es si étroite et chaude

Je mouillais tellement que je pus le prendre en moi, même si c’était douloureux. Sa bite avait remplis mon entre. Il est gros, long et chaud. Je bougeais lentement. Je lui enlevai sa chemise et son foutu débardeur car j'avais besoin de le sentir contre moi. Mon soutien gorge rejoignit ses vêtements, et le voilà tel un bébé affamé, tétant goulûment mes seins. Je tournais des reins lentement tantôt, rapidement la seconde d’après.

Je faisais tournoyer mon vagin au bout de sa bite et la seconde d’après je le recevais entièrement en moi. Je sortis complément et le débarrassa de son pantalon et revint sur lui. Ses mains empoignaient mes seins, il les léchait, les mordillait. Il ne faisait que grogner. C’était super excitant. En le caressant je m’aperçu que ses tétons étaient une de ses parties érogènes. En le baisant, je me mis à lui pincer les tétons. Ses grognements étaient de plus en plus rauques, je sentais sa bite grossir en moi. Je me retournai de sorte de le prendre en moi mais en lui donnant mon dos. Mes fesses claquaient sur sescuisses.  Il me prit par la taille, m’obligeant à suivre sa cadence mais je lui pris les mains que je déposais sur mes seins. Et là c’était parti pour un tour. Je faisais tournoyer mes reins, donnais des coups, resserrais les muscles vaginaux encore davantage et là c’était  l’apothéose. Il me claqua mes fesses, plusieurs fois et si fort qu’elles me chauffaient. Je venais de le faire jouir encore. Je me retournai et l’embrassai lentement, de façon sensuelle, puis me blottis dans le creux de son bras droit.

-Marion !

-chut ! On parlera plus tard. Reprend des forces.

-je n’ai pas mis de protection

J’introduis deux doigts dans mon vagin et en fit ressortir un préservatif féminin que j'avais mis pendant que monsieur grognait les yeux fermés.

-pas la peine d’ouvrir de grands yeux, je suis une femme prévoyante. Suis-moi, on va prendre une douche

Apres le bain, on s’était mis devant la télé. C’était moment câlins, quand le gardien sonna l’interphone comme quoi j’avais reçu un paquet. Je lui ouvris la porte et lui demandai de déposer le tout sur la table à l’entrée. Je venais de recevoir encore une boite de chocolat, un bouquet de fleur et une robe. Le mot disait « j'ai été ravie de te voir aujourd’hui. Tu m’obsèdes, si seulement tu savais. Enfile cette robe je passe te chercher à 21h. DN »

Je n’avais pas entendu Mike, dans mon dos.

-c’est qui ?

-un prétendant comme toi

-t'es sérieuse, mais tu te fous de moi ou quoi ? Un prétendant ? Je suis un prétendant  et on a fait tout ça ?

-On ? ‘On’’ dis tu ? Je t'ai baisé, tu en avais envie et moi aussi.

-waouh ! Tu me laisse sans voix. Je vais y aller là.

Il se dirigea vers la chambre sans doute pour prendre sa veste et mettre ses chaussures. Je ne voulais pas dire ça, mais je ne  suis pas prête à rendre des comptes à qui que ce soit. Et merde je vais m’excuser.

-Mike ? Écoute

-non, toi écoute. Je t’ai dit que j’étais libre, que tu me plaisais et même plus. Ces trois dernières semaines nous avons passé beaucoup de temps ensemble. J’ai avec toi une relation qui m’est complètement inconnue. Après ce qui s'est passé, je ne pensais pas que tu aurais pu me sortir un truc du genre.

J'ai 40ans et si je voulais un plan cul, je t’aurais ‘’baiser’’ comme tu le dis si bien depuis le premier soir. Sur ce, bonne soirée.

Pff, voilà ce que me dit Moktar tout le temps. Je suis trop franche. J'ai encore fait mon garçon. Merde. En parlant de lui, je n’ai as eu de se nouvelles depuis hier

-Mok ? Allô ?

-heu, hum ! Mar? Je...Hum

-beurk tu baises et tu décroches ? Dégueulasse bye

Non mais, il m'a donné froid dans le dos ce mec. Bon Mike, fait chier. Je vais m'excuser.

J'enfile une robe sexy, des talons. Je vais le jouer femme fatale. Je prends ma voiture et vais chez lui. 20min plus tard je suis devant chez lui. Son gardien m'informe qu’il n'est pas là. Je lance l'appel et il décroche à la deuxième sonnerie.

-allô ?

-je suis désolée Mike, je te présente mes excuses. Ce n’est pas ce que j'ai voulu dire.

-OK si tu le dis

-non dis pas ça. T'es où, je veux te voir

-non je suis déjà chez moi

-ah bon ? T'es sure

-oui certain

-j'entend une voix de femme t'es pas seul ?

-je dois te laisser, je suis occupé.

 

Il avait raccroché. Je demandai à son gardien de lui dire que j’étais devant chez lui quand j’appelais mais malheureusement il n'était pas là.

Donc comme ça il se jouait de moi ? OK la vie continue.

  

LE BONHEUR COMME UN...