Chap.7

Ecrit par Brenne-junella

Une semaine et trois jours !

Cela fait une semaine trois jours 12 heures 15 minutes et 6 secondes que je suis mariée. ( rires )

Oui, je suis si heureuse que j'en compte jusqu'aux secondes.

Pour notre lune de miel nous sommes allés à Paris! La ville de l'amour comme on le dit souvent.

J'ai tellement aimé ce séjour!

Nous avons visité tous les beaux monuments et fait plein de belles photos. Nous sommes même aller sur le pont des Arts et on a respecté la tradition qui veut qu'on y accroche un cadena avec nos noms inscrits dessus.

Ce fut la plus belle semaine de ma vie. Nous n'avions plus besoin de nous cacher pour nous aimer.

En parlant d'amour, on a passé la majeure partie de notre lune de miel dans notre chambre d'hôtel, pas besoin d'un dessin pour que vous puisez comprendre ce qu'on y a fait.

Ludovic ne pensait qu'à ça, je ne compte plus le nombre de fois qu'on l'a fait. Dire que je ne prenais pas plaisir à cela serait un grand mensonge, chaque fois Ludovic me faisait vivre des sensations plus intenses les unes que les autres. Il m 'apprenait à chaque fois de nouvelles choses et me montrait comment lui faire plaisir et d'après lui je m'en sortais plutôt bien.

Nous venions de rentrer de notre voyage, on aurait tellement voulu le prolonger mais cela n'était malheureusement pas possible à cause du boulot de Ludo et le fait qu’il me fallait me préparer pour la rentrée.

J'avais rapporté pleins de cadeaux et de petits souvenirs pour tout le monde,.

Le taxi venait de nous laisser devant la maison et je remarquai que la peinture avait été refaite ainsi que le portail.

Moi : Ludo !? Mais qu'est ce qui ...

Ludo : ça te plaît ?

Moi : oui ! C’est trop beau !

Ludo : attends de voir le reste alors.

Il prit nos affaires et m ' ouvrit le portail, en effet la parcelle entière avait été repeinte ainsi que la maison. Ludovic nous ouvrit la porte et en entrant je vis qu'il avait aussi changé les meubles et la décoration de la maison à mon gout.

Moi ( agréablement surprise ) : Mais comment as-tu fait ?

Ludo ( me prenant par la taille ) : Ne t'ai-je pas dit que pour toi je ferais tout ?

Moi ( mettant mes bras autour de son cou ) : Je vois ça !

Ludo ( me faisant des bisous dans le cou ) : Que dirais tu si on inaugurait chaque meuble et chaque pièce de la maison !

Moi : Hum chéri, on vient à peine de rentrer et le voyage a été long, tu ne voudrais pas plutôt qu'on mange un truc et...

Ludo : dois-je comprendre que tu veux te dérober de ton devoir conjugal ?

Moi : non mon chéri, je veux juste manger avec mon mari.

Ludo : très bien, mais après plus d'excuses !

Moi ( me détachant ) : comme tu voudras

Je me dirigeais vers la cuisine quand Ludo me donna une tape sur la fesse, quand je me retourne surprise il me fait un clin d'oeil.

Je vais à la cuisine nous faire un bon repas avec plein d'amour pendant que Ludo prend une douche. Une fois le repas finit je dresse la table et on passe à table, pendant le repas on se faisait mutuellement mangé c'était trop mignon.

Après le repas je débarrassais et j'allai faire la vaisselle, je nettoyais quand je sentis des bras m'enlacer par derrière et le souffle de ludo dans ma nuque.

Moi : chéri que fais-tu ?

Ludo : tu avais dit après le repas

Moi : oui mais laisse-moi finir avec ça, je te rejoins !

Ludo : je ne tiens plus, je veux te prendre là et tout de suite.

Moi : mais ...

Il fit remonter ma robe et fit descendre ma petite culotte avant que je ne sente ses doigts me pénétrer. J ' émis un gémissement a la fois de surprise et de plaisir. Il faisait des vas et viens assez rapide en moi et c'était tellement bon que pour ne pas perdre pieds je m'agrippai à l'évier.

Ludo ( accentuant ses mouvements ) : petite coquine, tu mouilles déjà !

Il continua un moment avant que je ne le sente me pénétrer d'un coût sec. Je poussai un long gémissement ! Ludovic était violent dans ses assauts et la position certes plaisante devenait douloureuse.

Il arrêta et me tourna avant de me soulever et me mettre sur l'évier pour me pénétrer à nouveau mais cette fois ci en me fixant droit dans les yeux, c'était tellement bon que je ne me contrôlait plus et je criais de plaisir et comme me l'avait appris Ludo je me mise à onduler des hanches.

Ce qui le poussa à augmenter la cadence, moi je n'en pouvais plus mon plaisir avait atteint le point de non retour et Ludo aussi, on se libéra au même moment...

Moi ( repenant mon souffle ) : tu es fou !

Ludo : c'est toi qui me rend ainsi !

Je descendis de là et allai directement dans la douche prendre, mais Ludovic me suivit pour remixer encore. Il était sérieux quand il disait vouloir le faire dans toutes les pièces, il ne me laissa pas me reposer avant que son souhait ne soit exaucé, je n'en pouvais plus il me fallait me reposer.

Ludo ( m'attirant à lui ) : viens par là

Moi ( réticente ) : non, je n'en peux plus Ludovic tu es insatiable

Ludo : Je rattrape mes années d'abstinence, mais t'inquiète c'est tout pour le moment

Moi : Quoi pour le moment ! Parce que tu en voudras encore ?!?

Ludo : peut-être bien…

Moi : quoi !

Ludo ( riant ) : tu devrais voir ta tête

Moi : tu n'es pas normale

Ludo : je ne dis pas le contraire.

Moi ( me blottissant dans ses bras ) : demain j'irai à l'institut, pour ma ré inscription

Ludo : au faite, te sens tu vraiment obligé d'aller jusqu'au Master ? Tu pourrais très bien travailler avec ta licence.

Moi : je veux avoir mon Master, c'est ça mon objectif

Ludo : Mais a présent tu es une femme mariée et tu dois changer tes préoccupations, n'oublies pas " femme soyez soumises à vos maris "

Moi : Ah oui, tu te sers de la parole à tes avantages !

Ludo : non je ne dis que la vérité

Moi : je vais y réfléchir

Ludo : tu verras que c'est une bonne idée, et ainsi on pourra épargner pour notre bébé

Moi : quel bébé?

Ludo : celui qui est en route…

Moi : vraiment ?

Ludo : oui dans quelques semaines tu me diras que tu es enceinte.

Moi : rien ne me fera plus plaisir !

Ludo : je veux un garçon aussi beau que moi

Moi : pour moi peu importe je veux juste un bébé que je pourrais aimer très fort !

Ludo : ça c'est typique des femmes ça!

Moi : mais oui, un enfant est un enfant peu importe son sexe.

Ce soir après notre prière je m'endormis comme un bébé dans les bras de mon mari.

Le lendemain après qu'on ai pris notre petit déjeuner Ludovic parti pour son travail tandis que moi je restais pour faire le ménage et quelques rangements, j'avais toujours du mal à croire que j'étais une femme mariée.

Après les rangements, je décidai d'appeler tout le monde pour leur annoncer notre retour, ma belle mère la première ensuite Diane et pour finir maman et Kelia.

Avec Kelia notre relation n'était pas redevenu à la normale, mais on faisait des efforts ou du moins, moi j'en faisais.

Vers midi Ludovic m'appela

Moi : Allô chéri

Ludo : coucou mon ange, tu sais que tu me manque

Moi : ainsi que toi chéri

Ludo : Que fais-tu ?

Moi : rien, je suivais la télé

Ludo : j'espère bien, je ne veux pas que tu sois dehors

Moi : non mais quel jaloux !

Ludo : et oui, je protège mon territoire

Moi : pas besoin, le terrain est miné rien que pour toi

Ludo : ok

Moi : je voulais aller rendre visite à maman

Ludo : aujourd'hui ?

Moi : oui, je n'ai rien à faire

Ludo : tu iras le weekend

Moi : mais...

Ludo : Ne discute pas s’il te plait.

Moi : d'accord...

Ludo : j'ai une bonne nouvelle

Moi : laquelle ?

Ludo : j'ai pu t'avoir un entretien dans une entreprise, le salaire est considérable.

Moi : mais j'avais dit que j’allais y réfléchir

Ludo : c'est tout réfléchi mon amour, une occasion pareille ne se représentera plus.

Moi : Ludo on aurait dû d'abord en parler…

Ludo : Ca ne se refuse pas ! J'emmène un ami ce soir, s’il te plait fais nous un délicieux repas comme toi seule en a le secret.

Moi : très bien !

Ludo : je te laisse mon ange.

Moi : mouais

J'allais en cuisine faire le repas de ce soir, je fis un effort pour que tout soit parfait.

En quittant le boulot Ludovic me fit signe alors je vérifiai une dernier fois que tout était parfait avant de prendre une douche et passer une belle robe noir prêt du corps pas trop moulante avec des compensés.

Je lâche mes tresses et mets un peu de parfum.

J'entends le portail qui s' ouvre puis le bruit du moteur, Ludovic était là alors je vais ouvrir la porte.

Je vois Ludo sortir de la voiture avec un autre homme moins grand assez gros et âgé

Arrivé à mon niveau Ludo m'embrasse sans gêne mais moi je suis encore un peu gênée.

Ludo : Chérie je te présente celui qui sera ton patron si tout va bien.

Le mr ( en me tendant la main ) : bonsoir, vous êtes encore plus belle que le disais Ludovic

Moi ( lui serrant la main ) : bonsoir, merci pour le compliment

Ludo : entrons !

Nous entrons, on s' installe au salon je sers des apéritifs avant le repas.

Ils discutent pendant que moi je suis à l'écart. Ludo discute de mon travail avec le monsieur il est en train de parler de mon salaire tant disque moi la concernée je ne dis rien.

Non mais merde, j'ai envie d'hurler " hé ho je suis là moi " . Je n'ai même pas réfléchis, je n'ai pas encore pris une décision si ça se trouve je continuerai les cours.

On passa à table et là encore j'étais à l'écart, je n'avais qu'une envie que ce repas finisse.

Et Dieu écouta ma prière très vite.

Le mr : si vous cuisinez aussi bien que vous travaillez je ne vais pas regretter de vous avoir comme auditrice

Moi ( sourire forcé ) : ...

Ludo : tu ne seras pas déçu

Le mr : j'espère bien, je vais y aller bonne soirée

Je fais l'effort avec Ludo de le raccompagner jusqu'au portail et une fois qu'il est parti je retourne dans la maison faire la vaisselle. Ludovic me rejoint à la cuisine, il se sert un verre d'eau et reste devant la porte à me regarder

Ludo : Qu’est ce qui te dérange

Moi : rien !

Ludo : Orema, je te connais

Moi : On avait dit que j'allais y réfléchir. Mais toi tu prévois dérangée j'ai tout sans m'en parler.

Ludo : Mais je pensais bien faire...

Moi : Peut-être mais tu aurais pu me le demander où ou du moins me laisser parler

Ludo ( posant le verre violemment sur l'évier ) : si je comprends bien, tu me contredis!

Moi : Non, j'aurais aimé qu'on en parle avant

Ludo ( entrant dans une colère noire ) : Je suis ton mari et c'est moi qui ai le dernier mot dans cette maison!

Moi (apeurée) : Je...je ne voulais pas te fâcher…

Ludo : Je ne veux plus en reparler dès lundi tu commences le boulot !

Il s'en va, on venait d'avoir notre première discute en tant que mariés.

J'ai toujours détesté que l'on décide pour moi, mais à présent que j'étais mariée avais je le choix ? 

Désillusion