Chap.9MISE AU POINT
Ecrit par kony ariane
Moktar Chukwuma
Je ne suis pas du genre à
vivre une relation de loin. Je ne veux pas la brusquer mais je ferai mieux de
lui établir les bases de notre relation.
-Ma puce ?
-oui Mike,
-pas un mot d'amour pour moi ?
Face à son visage qui vient de changer. Je me ravise et lui dit que
je rigolais.
- Je pars à la fin de la
semaine donc dans 72h, toi et moi sommes un couple à présent. Avant toute chose je
voudrais rencontrer ta mère
-hein ?
Pourquoi ? C'est trop tôt. Je ne lui ai même pas parlé de toi. Je ne suis
pas encore … (très bas, plus pour moi) Amoureuse de toi, j'ai cette des sentiments
pour toi, mais…
-stop Marion !
J’ai
été plus radical que je le l'aurais voulu. Mais bon, je continue
Ma puce, chez nous au
Nigeria ,avec l’éducation que j'ai reçu et vue mon âge, tout ceci ne me permet pas de jouer à cache-cache. Imagine, tu es chez ta mère
et je veux te voir, j’estime être en droit de débarquer. Je dois pouvoir te
demander de me rejoindre le temps d'un week-end. Je veux que ta maman ait une
idée de qui je suis, mes intentions à ton égard et…
-voilà les complications
-Marion ne refais plus ça
s'il te plaît
-quoi encore, Dans quoi je
me fourre moi ?
Je la tirvers moi et la
fais coucher sur mes cuisses comme un bébé et lui donne une fessée
-t'es sérieux là, je ne
suis pas ton enfant.
Et une autre tape sur les
fesses.
-chaque fois que tu
n’obtempèreras pas t'auras droit à une fessée. Je l’avais dit avec du désir
dans la voix. Alors je continue. Donc je veux rencontrer ta mère avant mon
départ. Ensuite, je ne veux plus que tu allumes de mec à part moi. Le reste
suivra. Maintenant viens me donner tes lèvres.
-tu me mets des fessées
comme à une enfant et tu veux un baiser ? Je rêve ma parole.
Et une autre tape sur les
fesses. Elle se débattait tellement que je lâchai prise.
Marion BERIA
Non mais je rêve ou quoi
c'est un dictateur, il va finir par me battre, non merci.
-écoute moi bien Moktar,
je te vois venir, je ne suis pas de celles qui se laisse taper dessus. J’étais
en colère parce qu’en plus de tout ça je mouillais. Suis-je folle ?
Je couru m’enfermer dans
la salle de bain. Toc…Toc. Il venait de frapper
-Marion ai-je l'air de
quelqu’un qui bat sa femme ? Je n’ai jamais vu mon père le faire et je ne
pense pas que j'accepterai qu'il le fasse ou qu'aucun autre homme le fasse à ma
sœur. Désolée, ouvre mon petit bout, s'il te plait.
En ouvrant la porte je lui
dis
-si jamais tu oses, penses
bien que je te le ferai payer.
Il se mit à genoux, me faisant
les yeux.
-c’est bon relève toi.
J'avais ma petite idée. Je lui empoignai ses bijoux de famille et fis une
pression, après quoi je glissai ma main dans son jogging et approfondis mes
caresses. De mes lèvres je titillais ses tétons. J'adore l’entendre gémir. Je
me mis à genoux face à lui et tirai sur son jogging libérant sa masculinité. La
pipe que je lui resservais, se traduisait par ses gémissements. Je pris chacune
de ses boules en bouche. Il grognait. Je l'aspirais, le pompais et d'une main
je le branlais de temps à autre. Je bavais sur ma grosse sucette. Mike était mon
cobaye. Il gémissait.
Là j’entrepris de donner de grand coup de langue, et aspirait
de plus en plus fort, lui faisant des gorges profondes, le sentant prêt à
gicler, je le sortis de la bouche le laissant gicler sur mon visage. Il était stupéfait
par ma performance.
Le regardant droit dans
les yeux j'entrepris de me déshabiller avec toute la sensualité digne d’une Start
de porno. Je Marchai à reculons et j'étais dans la salle de bain que je fermai
à clef.
-Marion, ouvre cette
putain de porte, tu continues ce jeu avec moi ? Je ne suis pas ta pute
merde
-Tais toi et écoute,lui
ordonnai je.
Avec la pommette de douche
bien réglée je me mis à me doigter, me masturber avec le jet d’eau. Je hurlais
tellement. c'étais excitant de le savoir
derrière cette porte. J'allais bientôt exploser et je me mis à crier :
-oh Mike ! Oui !
Oui ! C’est bon ! Oh je viens, oh ! Baise-moi ! Fais de moi
ce que tu veux ! Oh !oh !oh !
-ouvre merde, laisse moi
te prendre, laisse moi te donner du plaisir.
Quand j'eus finis, je me coulai
un bain dans lequel je m’endormis.
C’est un bruit de serrure
qu'on défonce qui me tira de mon sommeil et il était là avec le valet de
chambre. Quand il vu, que j’étais nue dans ce bain, il ordonna au valet de
sortir immédiatement.
Il était rouge de colère lol,
je fis la naïve
-Mon chéri, qui y a t’il?
Tu m'as fait peur. Il me releva, m'enveloppa dans une serviette et me souleva.
Je feins de l'ignorer me blottissant davantage contre son torse les yeux fermés,
mine d'être toujours endormie.
- Marion ne joue pas à ce
jeu, je sais que tu ne dors pas.
-je me suis endormie
chéri, je m'excuse si je t’ai fais peur.
Il était à un doigt
d'exploser quand mon portable sonna
-c'est ta mère, décroche
me dit il
Ouf, sauvée par le gong
Berthe Djidoépse BERIA
-Sena Marion BERIA, je
peux savoir où tu es ? Je suis chez toi depuis ce matin et il va être 20
heures et tu n'as pas vu mes appelles en absence ? Tu crois être une
grande fille et que je ne peux plus te corriger ? Tu es où au juste
-heu maman, je... Heu
-tu joues avec qui ?
Dis à l’homme avec qui tu es que tu as encore de la famille. Je veux te voir
ici avec lui avant minuit sinon je te déshérite
-mais mam... Clic elle
avait raccroché
Marion BERIA
Merde encore une
complication. Purée de merde.
Le Salop de Mike riait. Faut
que je pense à diminuer le son de mon
micro.
-tu as entendu ?
-Seigneur si jamais mon
père l’apprend j’aurai la raclée de ma vie. C'est ce que je te disais. Je
devais me présenter à ta mère. Je suis un homme responsable. Elle va me pendre
pour un irresponsable. Zut
-OK merci pour moi qui viens
de me faire engueuler
-pff. Bon debout. Habille-toi,
je vais me rafraîchir.
-mais je n’ai rien à me
mettre, j’ai eu ton sperme sur celle là, et je crois que les vêtements que
j’avais en revenant le valet à dû les emporter pour les laver.
Il appela je ne sais qui,
et demanda une robe en donnant ma taille. Mon Dieu en un éclair j’avais une
robe.
On fila dans la voiture,
direction chez moi.
Quand nous vînmes il était
21h10.