#Chapitre1: #Prélude

#Scène6: Brian 2

#Auteur: Roland Djimadjimbaye

(En chemin pour la maison de David, Raphaël et Patrick reçoivent un appel des inspecteurs Viviane et Amos qui étaient au laboratoire. Ils font demi tour pour s'y rendre).

Patrick : on ne devrait pas se rendre chez David avant ?

Raphaël : David vis loin d'ici, Brian ne le trouvera jamais à temps.

Patrick : n'oublie pas que Brian connait peut-être tous les quartiers ?

Raphaël : ne t'inquiète pas.

(Ils se rendent donc au laboratoire).

Raphaël : alors, l'incendie était-elle provoquée ?

JACQUES (un criminologue) : oui vous avez raison, l'incendie a bel et bien été provoquée, c'était un acte criminel.

Raphaël : j'en étais sûr, comment le saviez-vous ?

JASON (un autre criminologue) : grâce aux analyses faites sur les débris qui restent de l'incendie. On a retrouvé des trace d'essence partout.

Jacques : cet essence a volontairement été utilisé et en grande quantité pour incendier la maison du juge.

Raphaël : c'est l'œuvre de Brian, j'en suis sûr, c'est exactement ce qui s'est passé pour mon père.

Jason : malheureusement nous n'avons pas trouver des empruntes digitales inspecteurs.

Raphaël : ce n'est pas nécessaire, je connais déjà qui a fait ça.

Amos : merci pour votre aide les amis.

Jacques : de rien, c'est notre travail, au-revoir inspecteurs.

(Ils quittent le laboratoire et se rendent au commissariat, ils se retrouvent tous dans le bureau du commissaire).

Commissaire : inspecteur Raphaël, avez-vous obtenu quelque chose de l'interrogation ?

Raphaël : malheureusement non monsieur le commissaire, à notre arrivée, le juge était déjà décédé et sa femme aussi.

Commissaire : c'est dommage.

Patrick : mais avant de mourir, il a parlé à un certain David donc on peut toujours espérer quelque chose.

Amos : monsieur le commissaire, nous savons tout de même que l'incendie était un acte criminel prémédité.

Commissaire : comment le saviez-vous ?

Viviane : les analyses des débris ont révélé que l'incendie a été provoquée en utilisant de l'essence.

Commissaire : bien, maintenant qu'on sait que la mort du juge est un assassinat, reste à trouver les coupables. Amos et Viviane, rendez-vous dans toutes les stations d'essence de la région et interroger pour savoir si une grande quantité d'essence a été achetée dans la semaine qui avait précédé le meurtre et par qui. Raphaël et Patrick, allez interroger ce David et trouver ce que le juge lui a dit. Aller, au travail.

Raphaël : à vos ordres mon commissaire.

(Alice et Amos s'en vont pour visiter les stations d'essence pendant que Raphaël et Patrick quittent pour aller chez David. Entre temps, Brian a réussi à obtenir l'adresse de David et s'y rend immédiatement. Quand il arrive, David était dans la douche, Krist et Sofia jouaient au salon. Il les fait assoir puis il s'assoit au milieu d'eux pour jouer avec eux en leur donnant des bonbons. David sort de la douche, s'habille et rejoint ses enfants, surprise, ils n'étaient pas seuls.

David : qui êtes-vous monsieur ?

Brian : je suis le frère du juge qui venait de mourir et je cherche à retrouver ceux qui lui ont fait ça. Il paraît qu'il vous a parlé, c'est pourquoi je suis là pour que vous m'aidiez dans ma quête.

Krist : papa, c'est un méchant.

David : qui vous a dit qu'il y'a des gens derrière ça si ce n'est pas vous l'auteur ?

Brian : parce que mon frère est un juge et il y'a beaucoup de gens qui en veulent à sa vie.

David : qu'est-ce qui me garantie que vous ne faites pas parti de ces gens ?

Brian : je suis son frère, comment un frère pourrait tué son frère ?

David : non, mais c'est possible lorsque vous n'êtes pas son frère, peut-être que vous êtes le coupable que vous cherchez ?

(Subitement, Brian se rend compte que la diplomatie ne marche pas alors il sort une arme et prend les enfants en otage ainsi que David).

Brian : prenez une chaise et asseyez-vous monsieur David. Si vous tentez quoi que ce soit, je tue vos enfants en commençant par la fille.

David : d'accord, d'accord, ne leur faite pas de mal, je ferai tout ce que vous voulez.

Brian : aller dépêchez-vous.

(David prend une chaise et s'assoit devant Brian, il lui attacha les mains derrière la chaise ainsi que ses pieds puis il s'assoit sur le canapé avec les enfants puis il l'interrogea).

Brian : monsieur David, je ne vais pas tirer de long en large alors dites-moi ce que le juge vous a dit.

Krist : il a dit que les méchants comme toi méritent simplement la prison.

Brian : tais toi petit!

Krist : tu sais que les méchants vont finir toujours mal, tu seras arrêté un jour ou alors tu seras tué.

Brian : monsieur David, dites à votre fils de fermer sa bouche avant que je ne m'énerve.

David : reste tranquille mon fils.

Krist : si vous faites du mal à mon père, je vous tuerez un jour croyez-moi.

Brian : eh David, tu es sûr que c'est un enfant que tu as là ?

(Brian se tourne furieusement vers Krist).

Brian : ferme ta gueule petit.

David : reste tranquille comme Sofia s'il te plait Kristian.

Krist : d'accord papa.

Brian : maintenant je vous écoute, qu'est-ce que le juge vous a dit ?

David : je ne sais pas ce que vous voulez savoir monsieur, le juge et moi on ne se connait pas, il ne m'a rien dit.

Brian : ah oui, et que fait sa fille chez toi si vous ne vous connaissez pas ?

David : elle n'a personne chez qui vivre, c'est pourquoi je l'ai amené parce que j'aime beaucoup les enfants.

Brian : d'accord, maintenant dites-moi ce que le juge vous a dit de peur de perdre les enfants que vous aimez tant. C'est la dernière fois que je vous le demande.

David : je vous jure qu'il ne m'a rien dit.

Brian : d'accord, je vous donne encore une dernière chance.

David : je ne peux pas vous dire ce que j'ignore monsieur, le juge ne m'a rien dit je vous le jure, qu'est-ce que j'aurai à gagner en vous mentant ?

Brian : vous avez raison, vous n'avez rien à gagner. En revanche vous avez beaucoup à perdre n'est-ce-pas ? Vous n'avez pas voulu saisir votre chance alors ce qui va s'en suivre est de votre faute.

(Brian attacha les mains et les pieds des deux enfants puis il prend de l'essence qu'il avait apporté pour verser autour d'eux sous forme de cercle).

A suivre...

????????LE GOÛT DE LA LECTURE ????????