Chapitre 10

Ecrit par Jennie390

⚜️Chapitre 10⚜️


Yolande Otando epouse Biyoghe


Je le regarde sans rien dire, il me fait un bisou sur la joue et reprend son magazine comme si de rien n'était. Je continue de l'observer avec des milliers de questions qui me trottent dans la tête. On m'apporte mon repas que je déguste dans le silence. Je m'endors à nouveau et lorsqu'Emile me réveille, l'avion vient juste d'atterrir.

On descend de l’avion et on récupère nos bagages puis nous prenons un taxi.

C'est la première fois que je voyage hors de mon pays, donc j'admire le paysage qui défile sous mes yeux et tout est vraiment très beau.


On ralentit devant un magnifique hôtel hyper luxueux mais au lieu de descendre Emile dit au taximan de continuer. On s’arrête finalement devant un hôtel simple. Confuse, je regarde Emile, mais ce dernier ne me calcule pas.

Arrivés à la réception avec nos valises, nous récupérons directement la clé de notre chambre. Je comprends donc qu'Emile avait déjà réservé.


Quand nous arrivons dans la chambre, je regarde partout. C'est une petite chambre simple, avec une petite salle de bain, un lit au centre de la pièce et rien d’autre. Emile fait le tour de la pièce avec un sourire satisfait. Je suis perdue parce qu’il m’avait dit qu’il avait réservé un hôtel très luxueux pour notre séjour, mais cette chambre ci est 10 fois plus simple que la chambre que j’avais dans la maison que je louais.


—Ceci ne ressemble pas à la chambre que tu m’as montrée quand on choisissait un hôtel. Emile on peut avoir mieux que ça pour notre lune de miel franchement.


—Je pense que c’est le moment de te réveiller Yolande, dit-il avec nonchalance. Voilà ce que j’ai choisi pour la lune de miel, point barre.


En regardant cette chambre et en pensant à son attitude, je finis par me dire que peut-être il a perdu son travail. Ceci justifierait son changement de comportement depuis hier soir. Hier soir on l’a sûrement appelé pour lui dire qu’il était viré et il ne savait sûrement pas comment m’annoncer la nouvelle.


Voilà pourquoi il voulait absolument qu’on soit à Cancún avant de me raconter, il pensait certainement que si j’apprenais qu’il n’a plus de boulot et qu’on allait devoir se serrer la ceinture peut être que j’allais l’abandonner.


 Ce serait aussi la raison pour laquelle il a changé notre réservation d’un hôtel luxueux pour cet hôtel bas de gamme.

À ce moment, toute la colère et la frustration que je ressentais depuis hier soir se dissipent directement. Je ne le laisserai jamais tomber parce qu’il n’a plus de boulot, je vais le soutenir comme il se doit. Je l’ai épousé parce que je l’aime pas pour son argent.


—Qu’est ce qui s’est passé cheri ?, demandé-je calmement en m’asseyant sur le lit. Tu ne devrais pas avoir peur de me parler, je suis ta femme.


—Le conte de fée est terminé Yolande, me dit-il de but en blanc.


—Ca n’a aucune importance, on va se débrouiller, lui dis-je pour le rassurer. Ce n’est pas la fin du monde que tu sois dans une telle situation.


—Tu racontes quoi comme ça?


—Ça n’a aucune importance que tu n'aies plus de boulot, tu es un homme intelligent, compétent et bosseur. Tu vas retrouver un autre boulot en un rien de temps. Tu n’aurais pas dû me le cacher Emile. Je suis ta femme, je ne t’ai pas épousé pour ton argent Emile.


—Tu parles de quel boulot Yolande?


—Bah du tien, je viens de me rendre compte que c’est ça qui te perturbait.


Il me regarde comme une si j’ai visiblement perdu la tête. Il bouscule la tête, totalement amusé.


—Je n’ai pas perdu mon boulot Yolande. Et d'ailleurs, je suis mon propre patron, qui va me virer? Je suis toujours aussi friqué.


 —Dans ce cas, quel est le souci? Pourquoi ce comportement depuis hier et d’ailleurs, cet hôtel, je ne comprends pas... 


—Tu aurais dû choisir ta sœur au lieu de moi, lâche t-il avec un sourire malaisant.


—Comment ça ? Tu parles de quoi là ?


—J’essaye de te faire comprendre que tu viens de te vendre à moi, dit-il en me regardant droit dans les yeux. Tu viens de te vendre et par la même occasion tu m’as offert Melissa sur un plateau en or.


Ses mots, son ton et surtout le regard qu’il me lance actuellement me donnent la chair de poule.


—Je n’apprécie pas tes paraboles, tes insinuations Emile, dis-je peu rassurée. Je ne sais pas à quoi tu joues actuellement mais sache que je n'apprécie pas.


—Pourtant je suis tout ce qu’il y a de plus sérieux ma chérie.


Je comprends qu’il ne rigole pas. La panique me gagne très rapidement, je regarde un peu partout comme pour chercher une échappatoire, n’importe quoi.


—C’est trop tard, ajoute t-il avec un rictus.


C’est de trop, j’empoigne mon sac à main et je me dirige vers la porte de sortie.


—Je rentre!


—Yolande attend, me dit-il,serein.


Je m'arrête en ayant l’espoir qu’il me dise qu’il vient juste de me faire une blague, qu’il me rassure que pendant tous ces derniers mois, je ne suis pas tombée dans les filets d’un manipulateur, pervers/narcissique. Je me retourne doucement et je lui fais face en tenant fermement mon sac contre ma poitrine.


—Tu rentres au Gabon sans ça? Me demande-t-il en sortant un passeport de sa poche. Et oui, il s’agit bien du tien ma chérie.


—Rend moi mon passeport, tout de suite, crié-je en tremblant.


—Je ne te rend rien du tout Yolande, rétorque t-il nonchalamment. Mais si tu estimes être une vraie femme, vient me l’arracher! Et d’ailleurs, même si je te le remettais, tu ne pourrais pas rentrer au pays sans argent.


—Qu’est ce que tu racontes?


Je fouille dans mon sac à main, je ne trouve pas mon portefeuille dans lequel il y a ma carte de crédit Visa, mon téléphone est également absent. J’ouvre ma valise et je ne trouve pas ce que je cherche.


—Emile rend-moi mes affaires, dis-je paniquée. Quand on montait dans l’avion, toutes mes affaires étaient dans mon sac. Tu n’as pas le droit de me les confisquer!


—Yolande quand je t’épousais je ne savais pas que tu avais une trompette dans le gosier, dit-il ennuyé. Pourquoi tu aimes crier de la sorte?


—Tu penses que c’est parce que tu as pris mes affaires que je ne vais pas pouvoir partir d’ici? Hurlé-je. Emile si je veux quitter ce pays même s’il faille que je mendie à la route, je partirai d’ici!


—Bah justement, c’est la où Melissa intervient, dit-il tout souriant.


Je me fige, le coeur battant.


—C’est-à-dire?


—Qu’est ce qui va se passer pour ta soeur si je ne paye plus ses frais à OASIS? Sachant que j’ai beaucoup de relations, ça sera très simple pour moi de la faire passer pour folle et la mettre à l’asile ma chérie, ajoute-il avec le sourire.


Je suis sans voix en entendant le genre d’idée qui trottent dans la tête d’Emile. J’ai l’impression d’avoir eu des oeillères pendant ces derniers mois qui m’ont aveuglée devant le genre d’individus qu’est réellement Emile.

J’ai le sentiment amer d’avoir été manipulée, trompée.


—Pendant toutes ces années j’ai toujours payé les frais de Melissa à OASIS. Je n’ai pas eu besoin de toi, donc je vais recommencer à m’occuper de ça. Emile ton argent ne m’influence pas, mer*de! J'ai mon argent ! 


—Tu parles de quel argent mon bébé?, dit-il amusé. Tu as vendu ton spa et ton fond de commerce, puis tu as pris une partie de cet argent pour acheter des fournitures pour notre nid d’amour. Tu as mis le reste dans ton compte bancaire. La dernière fois que j’ai vérifié, tu avais au total 9.000.000F dedans. Et pour info, j’ai fait gelé ce compte ce matin, donc tu ne peux plus avoir accès à ton fric.


Je suis dans quoi comme ca?!


—Qu’est ce que… tu ne peux pas faire geler mon argent, tu n’en as pas le pouvoir! Et même si c’était vrai, je ne suis pas manchot, je peux travailler. Je vais me chercher un boulot pour prendre soin de Mel et ensuite je vais te porter plainte pour mon argent.


Il regarde sa montre, puis il soupire.


—Je t’ai dit que j’ai des relations partout. J’ai une connaissance à moi qui est DG adjoint à BGFI Bank ma chérie. Donc grâce à lui, j’ai pu suivre les mouvements de ton compte puis le faire bloquer à ma guise. À l’heure actuelle, tu n’as plus un rond et je ne te permet pas de travailler. Je dois aussi te rappeler que grâce à toi, je suis désormais le tuteur de Mel au même titre que toitoi. Je n’aurais donc aucune difficulté à faire ce que je veux d’elle, en commencant par la faire mettre chez les fous.


Je reste debout à l’écouter, j’ai l’impression que le ciel me tombe sur la tête. Je fais un effort surhumain pour ne pas laisser la moindre larme couler. Ce sorcier, oui parce que j’estime que seul un sorcier peut faire ce qu’il a fait, ne devrait pas me voir pleurer davantage. J’ai mal et je suis déçue de me rendre compte que je me suis trompée sur son compte mais je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Je ne sais toujours pas pourquoi il a fait ce qu’il a fait. Mais je dois tout faire pour ne pas le laisser arriver à ses fins et ça commence par sortir d’ici. Je verrai quoi faire quand je serai hors de cet hôtel.


Je me tourne vers la porte et en essayant de l’ouvrir, je me rend compte qu’elle est verouillée. Je me tourne et lui fait fasse. Il est adossé au mur, les bras et les jambes croisés. Avec un air indechiffrable sur le visage.


—Tu ne peux pas me garder prisonnière ici, je veux sortir!


—Tu m’ennuies Yolande! Bon,je veux bien te laisser sortir, mais avant ça, tu vas devoir t’asseoir pour que je te raconte quelque chose, une histoire. Je vais être bref. Tu pourras comprendre exactement, qu’est ce que je veux, pourquoi j’ai agi comme tel. Apres que j’ai raconté mon histoire, si tu veux toujours partir, je te laisserai t’en aller.


—Je n’ai pas le temps pour tes enfantillages Emile, je veux dég*ager d’ici!


—Ecoute moi au moins pendant 10 minutes, après mon histoire je te laisse partir et je te rend ton passeport.


Au point ou j’en suis, je n’ai pas trop le choix, je massois sur le lit le plus loin de lui. Emile reste toujours debout contre le mur.


—Je t’écoute, dépêche toi!


Il me fixe droit dans les yeux avant de me sortir ce sourire malaisant que je n’apprécie pas.


— Il était une fois, commence t-il. Un couple riche qui n’arrive pas à faire d’enfants. Le mari a eu plusieurs maitresses mais aucune d’elle n’a pu tomber enceinte. Apres des examens, on le déclare stérile. C’est quelqu’un d’assez fortuné avec une réputation, une histoire de stérilité de sa part va entacher son image. Il dit alors à sa femme d’aller dehors et de se faire enceinter par un inconnu, ce qu’elle fait par amour pour son mari.


—Emile c’est quoi cette histoire, dis-je agacée. Qu’est ce que ça a à voir avec moi ou toi ?


Il ne me calcule pas et continue son récit.


—La grossesse est menée à terme, la femme accouche un petit garcon. Tu imagines que son mari est heureux, il a enfin un fils pour laver son honneur. Au fil du temps, il commence à se rendre compte que l’enfant ressemble à son père biologique, vu qu’il ne ressemble pas à sa mère. De manière insidieuse, il se met à hair sa femme et cet enfant. Dès que le petit atteint 6ans son père les frappe tous les deux, il les enferme dans le sous-sol en compagnie des rats et dans l’obscurité. Quand il se décide au bout de 2jours à leur apporter à manger, c'est du pain dur et de l’eau. Il trempe souvent l’enfant dans une bassine d’eau glacée sous les yeux horrifiés de sa mère. Ni le petit ni sa mère n’ont le droit de sortir de la maison, l’homme raconte à son entourage que sa femme est allée hors du pays avec leur fils.


—Bon j’en ai assez entendu, c’est horrible mais ça ne m’intéresse pas!


—La ferme, me coupe t-il d’un ton sec. Personne ne peut vérifier ça vu qu’il ne reçoit jamais aucune visite chez eux. Lui-même s’occupe de faire l’école à son fils à la maison, quand l’enfant devient plus âgé, il suit les cours du collège et du lycée en ligne, par correspondance. Il finit par complètement installer sa femme dans le sous sol, c’est dans cet endroit qu’elle vit, 24h/24, 7j/7 pendant des années, au fil du temps elle perd la raison.


Je me demande où il veut en venir avec une histoire aussi sordide, mais je veux en finir donc je l’écoute en silence.


—Le fils commence à s’habituer à cette situation et il y prend du plaisir petit à petit, il vit dans la maison avec son père pendant que sa mère vit dans le sous-sol avec les rongeurs dans la saleté. C’est lui qui descend souvent lui apporter à manger et il aime rester là des heures à la regarder parler avec les rats, il se délecte de la voir aussi folle, sale. Au bout d’un moment cette situation éveille en lui un tout autre type d’intérêt chez lui vis-à-vis de sa mère, la voir comme ça, ça l’excite.

Il lui arrive souvent de se réveiller en pleine nuit parce qu'il fait des rêves non conventionnels dans lesquels il voit sa mère…


—Emile je n’aime pas le tournant que prend ton histoire dis-je mal à l’aise.


—La relation père-fils s’est soudée , à tel point que l'homme lui donne maintenant la possibilité de sortir de la maison, plus de responsabilités et la liberté, l'accès à ses comptes bancaires. Un jour à l’insu de son papa, le fils a finalement possédé la chose qu’il convoite depuis un moment, sa mère.


—Abomination! Grondé-je. C’est quoi cette saleté que tu me racontes ?


—Il adore, ça lui plait de couc*her avec une folle et il le refait tous les soirs.


Je me lève du lit, je commence à arpenter la pièce. Écouter le récit d’un enfant qui a ce genre de relations avec sa mère, devenue folle me donne envie de vomir mais le fait qu’Émile raconte cette histoire ince*stueuse, dégueulasse avec un sourire carnassier me donne la chair de poule. 


Je suis tombée sur qui comme ça mon Dieu?


—Quand l’enfant a le BAC , il va étudier à l’étranger. Et comme tu le sais chez les blancs, les fous ne traînent pas à la route donc il a du mal à pouvoir assouvir cette pulsion là. Il revient chaque vacances au pays pour voir sa mère.

Quand il termine ses études et qu'il rentre au pays, il trouve que son père a t*ué son petit jouet. 

“Cette chose qui te servait de mère n’était plus d’aucune utilité. Je lui ai donné de la mort aux rats pour qu’elle libère nos vies, lui a-t-il dit”. Il en veut à son père de lui avoir retiré son plaisir sans lui avoir demandé sa permission. 

Deux ans plus tard, il elimine son père par empois*onnement, parce que peu importe les liens qu’ils ont tissés plus tard, il n’a pas oublié tous les mauvais traitements qu’il a subi depuis son enfance.

Ce garçon Yolande après la mort de ses deux parents, se fait un nom, une réputation, il se créé une carrière.

A chaque fois qu’il peut il ramène des femmes folles chez lui pour assouvir ses pulsions. Mais malheureusement on vit dans une société où ce n’est pas facile de vivre de cette manière sans éveiller les soupçons, donc il…


—Emile c’était qui ce garçon ? Lui demandé-je apeurée.


—À ton avis ma chérie? Me répond t-il tout souriant. Pourquoi je te raconte cette histoire ? Je veux que tu comprennes bien le genre d’homme que tu as épousé mon cœur.


J’ai les poils de ma nuque qui se dressent, tellement je suis horrifiée, choquée, et surtout dégoutée par ce que je viens d’entendre. Mon cœur bat si fort que j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine. Mes yeux piquent atrocement.


—Émile tu m’as dit que ta mère est mo*rte à ta naissance et que ton père est déc*édé des années plus tard du diabète. C’est quoi ce que…


—Tu es drôle Yolande, me repond t-il, amusé. tu ne penses quand même pas que pendant que je te faisais la cour, j’allais te raconter la vraie version, franchement !


J’ai les oreilles qui sifflent, les mains moites, la gorge sèche, tellement je n’en reviens pas du guêpier dans lequel je viens de me jeter avec Melissa.


—Donc si tu es un peu intelligente, d’après toi pourquoi je t’ai épousée, ou plutôt pour qui?


Tout se met en place dans ma tête, je comprends quel est son but. Même dans mes pires cauchemars je n’aurais jamais imaginé un tel dénouement. J’ai les larmes qui coulent, je suis sans voix.


—Ma chérie, j’avais besoin d’une vie parfaite, parce que quand un homme atteint déjà un certain âge, sans enfant et sans femme à côté de lui, les gens commencent à se poser des questions. Et moi j'ai deja 36 ans. Donc tu peux imaginer ce que j’ai ressenti quand je t’ai vu avec Mélissa ce jour là à la plage, ajoute t-il avec le sourire. Ma parfaite épouse et ma… Aïe je vais m’amuser!!!


—Mélissa n’est pas folle ! Hurlé-je.


—Oui c’est vrai, mais bon elle est un peu toctoc, attardée, ce que tu veux! Mais au moins c’est mieux que rien. Même si je me prend une vraie folle que j’emmène vivre chez moi, les gens vont toujours se poser des questions. Mais si je vis avec ma femme et sa petite soeur qui est un peu un genre un genre, j’ai la couverture parfaite. J’aurai le beurre, l’argent du beurre et même le pu*tain de fabricant! Et d’ailleurs, sa chambre se trouve au sous-sol, avec le temps elle pourra peut-être devenir comme ma maman, qu’en penses tu?


Je me glisse le long du mur, les larmes aux yeux, j’ai même le vertige. Je prie même que ce soit un cauchemar duquel je vais tout de suite me réveiller.


Bonne lecture.


Note de l'auteur: C’est une histoire inventée, pas besoin de le prendre sérieusement, tout est fictif dans cette histoire. Et je rappelle que je ne fais en aucun cas la promotion de l’inc*este ou des actes psy*chopathes. Et je ne veux évidemment aucune in*sulte s'il vous plaît. Et je comprendrais totalement s’il y a des gens qui ne souhaitent pas continuer la lecture, et oui ce n’est que de la lecture. Mais vous pouvez aussi voir ça comme un film, qui n’est là que pour divertir, enseigner, sensibiliser.

Dans le secret