Le stage de restauration - 6d : Farniente

Première semaine : Samedi fin d'après-midi

Christine s'assoit à la table où Willem l'attend :

- Le café c'est une bonne idée. La journée a été intense et je me sens un peu claquée.

Willem pousse la tasse vers elle, non sans admirer le débardeur sous lequel il devine les seins nus de sa copine.

- On fait quoi maintenant ?

- On s'est occupé de la poutre, donc je peux m'occuper de toi...

- On fait ça où ? Ici dans la grange ?

- Qu'est-ce que tu dirais qu'on fasse ça dehors ?

- On pourrait nous voir...

- C'est bien l'idée...

Excitée, Christine boit son café d'une traite et sort de la grange. Le soleil est au plus fort :

- On crame !

Willem vient la rejoindre :

- Oui, on ferait mieux de se mettre à l'ombre.

- A l'ombre, personne ne nous verra...

Willem retourne dans la grange et revient avec une petite bouteille d'eau :

- Tiens. Bois.

Christine sourit et prend la bouteille :

- J'ai chaud, mais j'ai pas soif...

Ouvrant la bouteille, elle la penche au-dessus de son décolleté.

Mouillant un peu le débardeur, ses mamelons commencent à apparaître. Elle s'attend à ce que Willem lui saute dessus, mais au lieu de cela il part, lui tournant le dos. Elle l'interpelle :

- Hey ! Où est-ce que tu vas, Will ? Qu'est-ce que tu fais ?

- Ça !

Se retournant, il dirige vers elle la lance du tuyau d'arrose et l'ouvre, faisant jaillir un puissant jet d'eau fraîche qui trempe Christine en quelques secondes.

Willem rigole :

- Alors, Chris ? Tu as moins chaud, là, non ?

Christine regarde son débardeur détrempé sous lequel apparaissent distinctement ses seins, puis elle regarde Willem :

- Tu bandes, Will ?

- Carrément... Par contre, j'ai peur que tu n'attrapes un rhume en gardant ce débardeur trempé...

- Alors, il serait peut-être sage que tu me le retires, non ?

Willem repose son tuyau d'arrosage et vient rejoindre Christine. Le regardant droit dans les yeux, elle lève les bras en l'air pour lui permettre de retirer le vêtement dégoulinant d'eau.

- Tu prends si bien soin de moi, Will...

- Evidemment ma chérie. D'ailleurs, je crois que ton petit short est trempé lui aussi.

- Oh, ce serait si gentil de ta part de me l'enlever...

Willem rigole et lui retire aussi son short.

- Tu n'as pas froid, Chris ?

- Non, j'ai même encore trop chaud.

- Tu veux que j'aille te chercher à boire ?

- Merci, ça ira. Mais si toi tu as soif, j'ai quelque chose pour toi...

S'asseyant sur une chaise, Christine écarte grand les cuisses, exhibant sa fente humide. Willem ne se pose pas de question et vient s'agenouiller devant elle pour lui lécher la moule.

Christine commence à gémir. Willem relève la tête, souriant :

- C'est vrai que c'est désaltérant... Tu es certaine de ne pas avoir soif ?

- Je te vois venir, Will. Mais pas cette fois...

- Tu ne veux pas me faire jouir ?

- Si... mais pas dans ma bouche.

Christine se penche pour l'embrasser amoureusement.

Pendant qu'elle l'embrasse, elle lui déboutonne son short et extrait l'érection :

- Mmmmm, c'est vrai que pourtant ça donne très envie...

- Oh tu peux me sucer un peu, sans me faire jouir, tu sais.

Christine s'adosse à la chaise et relève les cuisses :

- Retire ton short. Tu vas goûter à mes lèvres mais plutôt celles-ci.

Willem ne discute pas. La vision de la jolie moule humide de sa copine, offerte de si bon cœur, ne peut que le stimuler. Dès le short retiré, il plie les genoux et guide son membre tendu dans la fente de Christine.

Dès qu'il commence un peu à bouger, Christine gémit mais il voit qu'elle fait la grimace :

- Je te fais mal ?

- Non, c'est la position sur la chaise... Pas terrible...

- Changeons alors.

Willem la fait se lever et s'assoit à sa place. Elle le masturbe un peu avant de le chevaucher tandis qu'il lui caresse aussi la moule.

Une fois prête, Elle se redresse et s'installe sur ses genoux. Sans avoir besoin de le guider, elle positionne sa moule sur le gland et Willem et se laisse lentement empaler dessus. Willem ferme les yeux pour profiter de cette délicieuse pénétration. Les jambes repliées sur ses cuisses, Christine contrôle le rythme et l'amplitude des va-et-vient. Willem sent le plaisir monter, trop vite à son goût :

- Doucement, tu vas m'avoir...

- Déjà ?

Par défi, Christine s'amuse à s'immobiliser et à contracter les muscles de son vagin autour de la hampe en elle. Willem ouvre grand les yeux :

- Nooooon !

Ses couilles se contractent. Il veut interrompre le processus et relève Christine pour se dégager, mais il est trop tard. La sève monte et, la bite calée entre les fesses de Christine, Willem se met à éjaculer. Son sperme gicle violemment, éclaboussant de plusieurs jets le dos de la jeune fille.

Christine se relève et se moque de lui :

- Dis donc, c'est pas sympa de jouir aussi vite !

- C'est de ta faute ! Tu as été redoutablement efficace...

- Je crois qu'il va falloir travailler ta résistance, Will.

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- Tu me laisses le temps de souffler un peu ?

- Non. Je pense qu'il vaut mieux battre le fer tant qu'il est chaud.

- Mmmm, j'avoue que je ne suis pas contre tremper à nouveau ma lame dans ta forge !

Christine s'adosse à un arbre et lui demande :

- C'est de baiser dehors qui t'a excité plus que d'habitude ?

- Entre autre, oui...

- Donc on va peut-être essayer de recommencer dans un contexte plus intime, qu'en penses-tu ?

- Dans la grange ?

- Je pensais à la caravane de Sébastien.

Willem ne discute pas. Il adore quand c'est elle qui le dirige question sexe. Il la suit donc sans discuter non sans admirer la croupe nue encore couverte de son sperme. Une fois dans la caravane, Christine s'allonge sur la petite table et écarte les cuisses. Willem sourit :

- Heu, je crois que tu viens de mettre plein de sperme sur la table de Sébastien...

- Tant pis. On nettoiera après. Viens !

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Mais au lieu de la pénétrer, Willem vient se positionner à côté d'elle et commence à lui caresser la moule. Christine semble contrariée :

- Qu'est-ce que tu... ? Mmmmmm...

Christine gémit sous l'action des doigts experts de son compagnon : d'une main il s'occupe du clitoris tandis que de l'autre il la branle avec son index.

- Tu... tu dois t'entraîner à me pénétrer...

- Oui mais ça ne m'empêche pas de te préparer comme il faut pour que ton plaisir se synchronise avec le miens. Et puis j'ai une jouissance d'avance.

Avec un sourire carnassier, il se penche entre les cuisses et se met à lui lécher la moule, se concentrant sur son clitoris. En moins de deux minutes, il lui donne un bel orgasme.

Alors qu'elle est prise de soubresauts, Willem continue son cunnilingus jusqu'à lui arracher un vrai cri de plaisir. Christine doit le repousser pour qu'il s'arrête enfin et qu'elle puisse reprendre son souffle. Se redressant, elle attrape sa verge raide et la guide entre ses cuisses :

- A toi de me montrer combien de temps tu tiens...

Willem enfonce son membre tendue dans la fente chaude et humide.

Christine se met à gémir à nouveau. Haletant, Willem lui demande :

- Toi aussi, tu vas rejouir ?

- C'est... c'est bien parti...

Mais rapidement, la jeune fille le sent ralentir. Elle comprend qu'il se concentre pour ne pas jouir. Elle s'amuse, comme avant, à contracter ses muscles internes. Willem sort précipitamment son sexe palpitant :

- Arrête ça !

Mais déjà il commence à éjaculer et inonde le ventre de sa copine de sa semence épaisse.

Redressant la tête, Christine découvre tout le sperme qu'elle a sur le ventre. Elle tend la main et saisit le sexe de Willem :

- Tu es encore allé trop vite mais je dois admettre que tu as de la ressource.

- Pourquoi tu me fais ce truc, là ? Quand tu me masses avec ta chatte ?

- Tu aimes ?

- C'est divin !

Christine s'amuse à se caresser le clitoris avec le bout du gland :

- Bon, deux à un pour toi. Tu me dois encore un orgasme.

Comme elle se redresse, Christine regarde autour d'elle dans la caravane, puis demande à Willem :

- Will, tu peux récupérer ma serviette dans la salle de bain ?

Willem lui rapporte une serviette blanche. Christine sourit en la prenant :

- C'est celle de Sébastien, mais ça ira.

Elle s'essuie le ventre avec puis se lève pour aller la remettre dans la salle de bain. Quand elle revient, elle voit que Willem n'a pas débandé. Elle le rejoint :

- Mmmm, tu penses être en mesure de me faire jouir avec ton gros machin ?

- Faut voir...

Willem commence à lui caresser les seins alors qu'elle le masturbe lentement. Christine se rend alors compte que Sébastien les observe par la fenêtre de la caravane mais elle ne dit rien à Willem et continue à le caresser.

S'écartant de lui, elle s'étire, se cambrant et faisant saillir sa poitrine autant pour exciter Willem que pour s'offrir en spectacle au maître de stage qui joue les voyeurs :

- Tu viens me prendre dehors ?

- Tu préfères ?

- Oui !

Sitôt sortis de la caravane le couple s'enlace à nouveau. Christine saisit le membre encore turgescent de Willem et le masturbe doucement d'une main pendant que de l'autre elle lui masse les couilles. Willem l'embrasse. Christine l'oblige à se tourner un peu, espérant offrir une vision de profil à Sébastien. Quand leurs bouches se séparent, Christine dit :

- Tu ne débandes plus apparemment...

- Tu es particulièrement stimulante.

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Du coin de l'œil, Christine aperçoit le maître de stage les observer à l'angle de la caravane. Le short sur les cuisses, il a sorti son sexe et se masturbe lentement en les regardants. Willem, sentant probablement sa présence, tourne soudain la tête et découvre le maître de stage en train de se branler.

Willem s'écarte de Christine :

- Sébastien ? Qu'est-ce que tu fais ?

- Bah tu vois, je profite du spectacle que vous donnez.

Le voyeur remonte son short et Willem, surpris et un peu gêné par cette situation, se met à débander. Christine, sentant le regard appuyé du maître de stage sur son corps nu, essaye de se montrer un peu pudique pour faire comme si elle ignorait totalement que Sébastien les observait.

Willem file dans la caravane pour se rhabiller et demande à sa copine :

- Chris, tu viens te rhabiller ?

Christine, arrête de cacher sa poitrine et, se mettant face à Sébastien, impudique, elle répond :

- Tu peux me sortir ma petite robe jaune, s'il-te-plaît Will ?

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Willem, rhabillé, ressort de la caravane et voit Christine et Sébastien qui s'observent. Il sent son érection reprendre en voyant que sa copine ne semble pas dérangée par le regard de feu que lui lance Sébastien. Il donne la robe à Christine. Celle-ci l'enfile lentement, laissant le temps aux deux garçons de bien profiter du spectacle.

Une fois la robe mise, Sébastien dit :

- Elle n'est pas un peu courte cette robe ?

Effectivement, Christine a beau tirer dessus, la robe cache difficilement son entrejambe et sa poitrine est largement découverte dans le décolleté.

Willem répond :

- Si, mais quand il fait chaud, c'est mieux...

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Christine rigole et demande à Willem :

- Will, tu me donnes mes chaussures, s'il te plait ?

Willem récupère les chaussures à l'entrée de la caravane et, fin stratège, il va les déposer derrière la jeune fille. Bien sûr, plutôt que de reculer, celle-ci se retourne et, pour les ramasser, plutôt que de plier les genoux, elle se penche en avant, offrant aux garçons une splendide vue sur sa croupe nue.

Quand elle se redresse, Sébastien semble sorti d'un rêve :

- Heu, bon ! Je vais faire un peu de paperasse.

Il entre dans la caravane. Christine est déçue que ça n'aille pas plus loin mais n'insiste pas. Elle va s'asseoir un peu plus loin, sur une chaise longue installée devant la grange. Willem l'y rejoint :

- Je crois qu'il a bien apprécié le spectacle...

- Sans doute autant que toi.

S'approchant d'elle, Willem constate avec amusement que les bretelles de la petite robe ont glissé de ses épaules. Tout en lui parlant, il s'amuse à faire glisser le décolleté pour dégager les seins :

- Je suis surpris qu'il n'ait pas tenter quoi que ce soit...

- Je pense que ta présence le dérange un peu. Tu serais prêt à me partager avec lui ?

- Qu'on te baise tous les deux ?

- Oui...

- On a fait pire avec les Bretons...

Cela ressemble à un "oui" et cette réponse excite Christine.

A l'heure du repas, Sébastien vient les rechercher et leur propose de manger dans la caravane. Au cours du repas, les yeux rivés au joli décolleté qu'offre la petite robe de Christine, Sébastien demande :

- Il n'y a que le premier jour, quand vous êtes arrivés, où tu as mis un soutien-gorge, non ?

- Oui, me passer de soutien-gorge, c'était une première... Là je n'ai plus le choix, les Bretons m'ont piqué mes soutifs et mes culottes.

- Ah ? Les culottes aussi ? Il faudra que je les félicite !

- De toute façon, il fait trop chaud pour que je supporte des sous-vêtements.

Christine voit que Willem, à côté d'elle, ne se prive pas pour admirer lui aussi son décolleté. Bien évidemment, une belle bosse déforme son short :

- Will ? Ça te fait bander qu'on parle de mes culottes ?

- Plus l'idée que ton sexe soit nu... accessible...

- Pour que tu puisses y accéder autant que tu veux ?

Sébastien ajoute :

- Et les seins libres sous ta petite robe, c'est aussi très excitant...

- Là aussi, parce qu'ils sont potentiellement accessibles aux caresses ?

- Et aux regards !

Par jeu, Christine se penche au-dessus de la table pour qu'il profite encore mieux de ses seins libres dans le décolleté.

Sébastien écarquille les yeux :

- Mmmm, ça met en appétit !

- On a presque terminé le repas... Tu as encore faim ?

- C'est une autre faim dont il s'agit.

- Rince-toi l'œil, c'est déjà pas mal.

A la fin du repas, Sébastien organise le couchage pour la nuit :

- Bon, pour cette nuit, Christine, je te propose de dormir sur un petit matelas par terre. Willem et moi on se serrera sur le lit.

- Très bien, merci. On va voir si on peut trouver une solution pour la semaine prochaine. Eventuellement on s'installera dans la grange.

- C'est très poussiéreux, je ne vous le conseille pas...

Dans la caravane, chacun dort encore tout nu à cause de la chaleur insupportable. Bien sûr, les garçons se délectent de la nudité de Christine qui elle-même mouille en voyant les deux érections qu'elle suscite.

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Après extinction des feux, Christine attend quelques dizaines de minutes avant de se redresser. A la respiration des garçons, elle sait qu'ils dorment tous les deux. Par la lumière de la lune, elle voit se découper au bord du lit, là où dort Willem, l'érection dressée en contrejour. Il bande même en dormant ! Christine s'agenouille à côté de lui et, après s'être assurée que les deux garçons dorment à poing fermé. Se glissant contre Willem, elle s'amuse à placer le sexe tendu entre ses seins pour le caresser doucement.

Willem semble épuisé. Christine ne s'en formalise pas puisqu'elle l'a quand même fait éjaculer deux fois en fin d'après-midi. Vu qu'il semblait pour une troisième fois mais qu'ils ont été interrompus par Sébastien, Christine se dit qu'elle peut essayer de le faire jouir une troisième fois en lui offrant sa bouche.

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Willem se met à gémir doucement. Christine vient se mettre à quatre pattes entre ses cuisses et le suce lentement, se contentant de garder ses lèvres vissée autour de son gland et faire tourner sa langue dans sa bouche. Au fur et à mesure que les gémissements de Willem augmentent, elle s'assure que Sébastien ne se réveille pas. Elle est d'ailleurs surprise de voir que Willem reste assoupi malgré la fellation qu'elle lui prodigue.

Après quelques minutes, elle le sent se tendre. A la lueur de la lune, elle le voit ouvrir les yeux :

- Chris...

- Chut...

Mais Christine sait que la fin est imminente puisqu'il se réveille. L'instant d'après, le sexe tendu se contracte et le sperme se met à sortir lentement, à chaque détente, comme si Willem tente de le retenir.

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Lentement, sans se brusquer, le sperme épais de Willem s'échappe et s'écoule le long des doigts de la jeune fille. Comme il s'apprête à émettre un râle de plaisir, Christine tend le bras et lui pose un doigt sur la bouche pour le faire taire. Tout doucement, sans un bruit, elle continue de le masturber lentement, laissant la semence s'écouler sur le ventre de son amant.

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Christine, fière d'elle chuchote :

- Là tu vas avoir les couilles bien vidées et tu devrais débander.

- A chaque fois que tu m'excites, je bande et mes couilles se remplissent.

- C'est vrai que ton sperme semble intarissable...

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- Oui, je crois que je vais devoir aller me passer un peu d'eau dehors...

- Attends, je vais m'en occuper.

Se penchant sur lui, elle lui lèche le ventre et la verge jusqu'à ce qu'il en reste plus la moindre goutte de sperme.

Quand elle se rallonge sur son matelas, Willem se penche sur elle :

- Tu sauras jouir en silence, ma belle ?

- Impossible... Tu t'occuperas de moi une autre fois...

Epuisée, Christine s'endort presqu'aussitôt.

Se sentant quand même un peu poisseux malgré la toilette de Christine, Willem se lève pour se passer un peu d'eau sur le bas ventre. Quand il revient, il se rend compte que Sébastien en a profité pour s'étendre sur le lit. Quand il tente de le pousser, Sébastien se décale surtout vers le bord. Ne voulant pas le réveiller, Willem est obligé de l'enjamber pour se coincer à la place le long du mur.

Dans la nuit, Sébastien se réveille en entendant des petits gémissements de Christine, probablement occuper à faire des rêves érotiques. Ouvrant les yeux, il voit qu'il est juste à côté. Tendant les bars, il commence à caresser les seins de la jeune fille endormie.

Encore dans son rêve, Christine se laisse volontiers faire, se disant inconsciemment qu'il s'agit des mains de Willem. Comme il fait sombre et qu'elle dort, Sébastien se glisse au bas du lit et s'agenouille à côté d'elle. Une main caresse les seins tandis que l'autre main glisse doucement vers le ventre. Presque mécaniquement, les cuisses de Christine s'ouvrent comme les pétales d'une fleur qui attend de se faire butiner. Sébastien commence à lui caresser la moule, la faisant gémir.

Alors qu'elle dort encore, la main de Christine part en chasse. Elle se pose sur la cuisse de Sébastien et remonte. Elle s'attarde quelques secondes sur les bourses et les masse un peu. Puis elle remonte et saisit le sexe tendu. Sébastien continue de caresser l'entrejambe de Christine. Elle redresse la tête et semble le regarder. Dans l'obscurité, s'est-elle rendu compte qu'il s'agit du maître stage ? Elle chuchote :

- Doucement Will... Il ne faut pas réveiller Sébastien.

Sébastien sourit, satisfait de tromper la jeune fille et de pouvoir profiter d'elle. A force de lui caresser la moule, il la fait tant mouiller que, en écartant les lèvres de sa moule, elle finit par exprimer un chuchotement implorant :

- Viens... Baise-moi !

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Comme Sébastien n'attend pas mieux, il se relève et vient s'agenouiller entre les cuisses écartées de la jeune fille. Il commence par caresser la moule trempée de cyprine avec son gland pour la rendre folle d'impatience :

- Ooooooh... Prends-moi s'il-te-plaît...

Appuyant contre la fente, il fait lentement entrer son membre dans le doux fourreau qu'elle lui offre.

Elle se met à gémir alors qu'il la pénètre. Ne pouvant pas lui dire de se retenir, de peur qu'elle reconnaisse sa voix, même s'il chuchote, Sébastien se contente de lui mettre le doigt devant la bouche pour lui intimer le silence. Christine rétorque :

- Tu en as de bonne, toi... Oooooh...

Pourtant, elle parvient à rester assez discrète et quand l'orgasme la gagne, elle tourne la tête contre son oreiller et mord le tissu pour étouffer ses gémissements de plaisir. Sébastien ne tient pas davantage et jouit à son tour. Restant planté en elle, il se met à éjaculer une incroyable quantité de sperme, inondant le vagin de Christine de sa chaude semence. Quand il se retire, Christine semble reprendre ses esprits et porte la main à sa moule d'où s'échappe un peu de sperme.

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Etonnée par la quantité, elle chuchote :

- Ta bite est une vraie corne d'abondance. Ça m'étonnerait que tu puisses jouir encore une autre fois ?

Dans le noir et trop fatiguée par sa journée, Christine n'a de toute évidence par reconnu qu'il s'agit de Sébastien et pense encore qu'il s'agit de son copain. Comme elle garde les cuisses écartées, le maître de stage, surexcité, est persuadé qu'elle lui demande de remettre ça. Sans scrupule et sans se soucier de son propre sperme qui semble saturer la fente de la jeune fille, Sébastien plonge à nouveau en elle, faisant déborder sa propre semence.

En moins de deux minutes, il éjacule à nouveau en elle. Le sexe encore dégoulinant de sperme, le jeune homme retourne s'allonger et s'endort rapidement. Avant de se rendormir, Christine attrape quelques mouchoirs en papier pour s'essuyer l'entrejambe