Chapitre 15

Ecrit par Syab




Bernard.





Non non non,ce n'est pas possible pas maintenant !!! Pfff je vais tuer cette femme je vais vraiment la tuer.Maintenant je vais faire comment? Les trente millions que cette fille vient de prendre dans notre compte commun ne sont pas à moi.C'est un baron de la drogue béninois qui m'a demander de lui garder ça. Il était en prison depuis cinq ans,normalement il en avait pour vingt ans,mais je ne sais pas ce qui s'est passer le gars est sorti il y a une semaine. Il m'a appelé hier pour me dire qu'il viendra à Lomé dans une semaine pour récupérer son argent. Je fais quoi maintenant ? Au moins si j'avais pu réunir tous les documents pour la vente des garages de dodji et de ses locaux de motos ça aurait été bien. 





Les femmes vraiment vous me donnez des céphalées, pffff. J'ai deux maisons qui sont à moi.Quoi? Que moi Bernard je les ai mise sur le compte de mes maîtresses ? Qui vous a parler de ça ? Moi? Non oh ce n'est pas moi,hummmm vous me cachez quelque chose mais je vais finir par le découvrir. Je n'ai rien mis sous leur nom c'est ce qu'elles voulaient mais moi je ne suis pas aussi bête que d'autres hommes. Je vais appelé mon ami  démarcheur là, celui qui a démarcher la maison de dodji,il va vite me vendre ses deux maisons là.






Abigail a intérêt à me donner mes trentes millions sinon  elle va mal me sentir. Plus cochon qu'elle y a pas son deux.





Arielle.





Ça fait déjà trois semaines que je n'ai plus de nouvelle de ma fille,je pense que je vais aller lui rendre visite,une visite surprise. Pour l'occasion j'ai préparer une bonne sauce de gingembre écrasé avec de l'oignon ,accompagné de viande de mouton de de poisson fumée ( Akpala). Rien qu'à l'odeur je salive moi même. Pour ne pas trop m'encombrer,je n'ai pas voulu faite la pâte ou du riz.Elle a la machine à piler foufou alors on cherchera juste des ignames,j'ai hâte parce que j'ai trop faim.




Une heure plus tard.





Je sonne chez elle ,c'est le gardien qui est venu m'ouvrir.





Lui: bonjour madame.





Moi: bonjour. Ma fille est elle là ?





Lui: oui madame mais.....




Je n'entends même plus ce qu'il me dit,moi j'avance jusqu'au salon.Je trouve Josiane dans la cuisine dans une nuisette qui en dit long.Après les salutations d'usage je lui présente ma sauce et nous décidons de la manger avec du foufou.




Moi: quoi de neuf?




Elle: maman je suis amoureuse.





Moi: hein? De qui?




Soudain j'entends quelqu'un descendre de l'escalier. Elle est sortie de la cuisine pour aller chercher son amoureux. Je savoure ma pomme que j'ai prise en arrivant ici quand elle apparait derrière moi.





Elle: maman je te présente mon homme.





Dès que je me retourne, la pomme tombe de mes mains.Il est aussi surpris que moi.




Moi: non ce n'est pas vrai, pincez moi.




Josiane : maman?




Moi: tu me présente mon chéri pourquoi faire?




Josiane : ton chéri ?





Valentin.




Wahoo qu'on m'explique ce qui se passe ici? Depuis là je ne voulais pas  me présenter mais je suis obliger de le faire car  ce qui va se passer ici là c'est la troisième guerre mondiale. Je m'appelle Valentin NOUSSI,j'ai trente ans et je pourrais dire que je suis un gigolo. Je suis maçon de profession et je rencontre ses dames d'un certains âge en étant impliqué dans la construction de leurs maisons où des réparations à faire. Josiane elle je l'ai aperçu dans un bar.Je ne l'aime pas mais je la trouve drôle. Quand à sa mère c'est juste son  argent qui m'intéresse.




Arielle : oui mon chéri sale pute.





Josiane : quoi? Moi sale pute,c'est toi qui est là à soixante cinq ans et qui couche avec ton fils.Tu n'as pas honte MAMAN?




Arielle : honte pourquoi ? La stérile aussi veut parler? C'est toi que ton mari a quitter pour une autre qui elle est productive,pas comme toi qui est si sèche.......





Slap.




Pardon je dois  vite décamper sinon ce qui arrive là c'est énorme. Josiane vient de gifler sa mère à cause de  pénis, mon pénis. Hummmm les gens sont folles.Je veux décamper quand je vois Arielle prendre la glaciaire dans laquelle elle avait je ne sais quoi ,l'ouvrir et la renverse  sur sa fille.Le cri qu'a pousser Josiane me rappelle celle d'une bête blessée, à l'odeur on sent que c'est une sauce aux gingembres.




Arielle : sale  pétasse, Valentin est à moi et moi seule.Essaie et tu me verras,les gens ont essayer mais ils n'ont pas vécu assez longtemps pour en témoigner.




Josiane : maman, tu es vampire mais tu as mis au monde un démon, essaie et tu verras.Tu n'auras pas le temps de dire ouf.Valentin c'est mon homme alors oust dégage de ma maison.




Hein? Pardon je vais rentrer chez moi kpoooo.





La gloire de Dieu.