Chapitre 17
Ecrit par Sherlou
Je me suis réveillée en sursaut et ce qui vient de se passer là me laisse perplexe. C'est comme si le rêve que je faisait était réel.
Je sais que le père d'Adèle est prêt a tout pour me caser avec sa fille, c'est un malfaiteur je sais. Mais est ce que Adèle aussi est après moi? Je ne sais pas et je ne crois pas non plus.
Rien ne peut m'arrêter, j'ai 37 ans et je dois avoir un enfant. Il ne peut me le donner mais une autre peut le faire. Déjà je me suis accentuer sur Leïla, je vais la suivre et la faire sortir du pays une fois enceinte, un point un trait.
***Quelque mois plus tard***
-Adèle!
-Oui père.
-Viens ici, il faut qu'on se parle.
-Oui, je t'écoute.
-J'ai pas vu ton fiancé passer par ici ces derniers moi que se passe t-il? Comment tu le vois? Il continue a mal agir envers toi?
-Il est occuper Père, il prépare son voyage pour l'italie, il doit finaliser ses dossiers et les classer avant de partir. On est sur de bonnes bases, je ne sais pas mais la majeure partie de ses temps libres il les passes avec moi. Donc, ça a marché. Je dois remercier le grand maître.
-Oui, tu dois le remercier, mais et aujourd'hui pourquoi tu ne l'invites pas ici, tu pourrais sceller l'envoûtement.
-J'y ai penser mais il m'a dit qu'il doit passer du temps avec sin vieux Miguel avant d'aller voir un ami malade du coté de carrefour.
-D'accord. Tu peux disposer. Mais attention, si tu n'est pas nette il mourra.
-Hm. Oui père.
D'autre part, Monsieur Pierre lui, est passer prendre Léila pour aller a la plage, en les regardant, on dirait qu'ils sont sincères et heureux, mais vous et moi savons que c'est le contraire. Ils louent une chambre a l'hôtel de la plage, font une partie de jambes en l'air et sortent deux heures plus tard, ils mangent, marchent au bord de la mer, monter à cannot pour explorer la côte, se baignent... Et ils rentrent chez eux heureux comme deux tourtereaux.
Max lui, a passé toute la journée avec son père en dehors de la ville, comme il était occupé, il n'a pas pu appeler sa dulcinée mais pense a elle pendant que elle... Hm!
***tante Tina***
Je ne comprend pas Aurélie, elle me mente, elle fait semblant que tout va bien pourtant c'est non.
Je dois consulter les loas.
-Marvens! Viens me trouver!
-Me voici ma tante.
-Prends cette bouteille, va m'acheter un peu de clairin et une bougie blanche chez Ti-Jean.
Elle commence ses incantation et dans quelques minutes Ti-Jean revient.
Elle s'enferme dans la chambre à loas et boit un coup dans la bouteille, elle jette une goute devant elle, puis à sa droite, sa gauche et derrière elle. Elle prend son foulard rouge le secoue a gauche et a droite puis appelle ses Loas.
- Papa Ogou, maman Heurzulie Dantor, il y a de mauvaises choses qui se passe dans ma maison, je ne peux pas les voir, mais vous oui. J'aimerais savoir ce qu'a ma nièce et qui a fait ce désagrément dans ma famille! Oh mes ancêtres du Guinée je vous implore de me donner une vu sur tout! Ayibobo! Ayibobo!...
L'esprit est venu, elle commence a danser, a chanter a gesticuler afin que les loas lui parle. Au bout de 10 minutes, elle appelle Aurélie, sa voix a changé, Aurélie a compris. Elle la touche, de partout et reste sur son ventre.
-Aurélie ma fille, pourquoi as tu ligoter l'enfant? Pourquoi tu ne dis pas le nom du vrai père? Pourquoi ce garçon? Que veux tu que je fasse pour toi?
-je veux juste être avec Max. Qu'il croit que l'enfant est de lui.
-Hmmm! Ma fille, Max n'est pas un petit homme. Il est plus fort que nous, mais ses maitresses l'ont écarté parcequ'il est avec une fille qu'elles n'ont pas choisi. Il faut que tu arrêtes de parler avec cette fille. Je ne peux pas rester plus, je dois m'en aller.
Et tante Tina s'écroule par terre. Aurélie Malgré elle essaie de la faire revenir a elle meme.
En soirée, Léila appelle Aurélie pour avoir de ses nouvelles, elle ne voulait pas répondre donc elle laisse sonner! Puis le bio d'un message se fait entendre.
<< salut ma belle, je t'ai appelé mais tu n'a pas répondu, tu vas bien au moins?>>
<<Desolé je pouvais pas répondre, je suis a l'hôpital car je me sens pas bien, j'avais très mal au ventre, on dirait que je vais perdre l'enfant>>
<<oh Dieu, c'est quel hôpital? Tu as prévenu Max?>>
<<A l'hôpital. ..... De Delmas. Non j'ai rien dit a Max, je ne veux rien avoir affaire avec lui>>
<<D'accord alors repose toi ma belle. >>
Oh non! Je dois appeler Max pour lui affairer..
-Allô Max, ta femme est a l'hôpital. ... De Delmas, elle dit qu'elle peut perdre l'enfant.
-Ah bon! Qu'ils disparaissent tous les deux. C'est une bonne nouvelle.
A suivre.....