Chapitre 17: La fille de passage

Ecrit par Lynadi

 La fille de passage

Deuxième semaine : Lundi fin de matinée

Ève farfouille un peu dans le sac et demande à Christine :

- Est-ce que ça te gêne que je prenne moi aussi un short et un débardeur ?

- Pas du tout. Et je pense que ça ne te dérangera pas de ne pas avoir de sous-vêtement...

Ève sourit et sort un short et un débardeur qu'elle commence à enfiler :

- En tout cas, c'est super sympa de ta part de me prêter des fringues pour la visite.

- J'espère que tu vas aussi participer un peu...

Ève se demande si Christine lui parle bien du chantier. Une fois la jolie blonde en tenue, les deux filles reviennent au chantier de restauration de la grange où Willem est déjà au travail, sur l'échafaudage. Christine montre l'échelle à Ève :

- Allez, monte filer un coup de main à Willem. Moi je vais demander à Sébastien si ça pose un problème que tu participes un peu au chantier.

Ève est surprise que Christine la laisse seule avec son copain. Elle ne s'attendait pas à ce qu'elle lui fasse confiance, surtout dans la tenue qu'elle porte. Elle grimpe à l'échelle et, arrivée en haut, elle dit à Christine :

- On commence sans toi...

Christine admire le cul splendide de sa concurrente. A la fois jalouse et excitée à l'idée de partager Willem, la jeune fille brune part derrière la grange à la recherche de Sébastien. Willem demande à Ève qui vient de le rejoindre :

- Alors ? Qu'est-ce que tu veux que je te montre ? Les enduits ?

- Non... plutôt ça...

Elle lui met la main à l'entrejambe et le masse doucement jusqu'à ce qu'une érection se forme.

Sans la repousser mais quand même un peu gêné par la situation, Willem bégaye :

- Heu... Christine va revenir...

- C'est évident, mais je pense que si elle nous laisse tous les deux seuls, c'est en espérant qu'il se passe quelque chose entre nous.

S'agenouillant devant lui, elle demande :

- Je peux te sucer ?

Willem s'écarte :

- Heu, désolé, mais je préfère que Chris soit là...

Ève se relève, un peu vexée :

- Tu as peur d'elle ? Un grand garçon comme toi ?

- Non, mais je pense que des petits jeux d'exhibitions peuvent suffire dans un premier temps.

- Ah ? Comme tu veux... Alors il faut que je me trémousse en mettant de la boue sur le mur ?

- Du torchis, oui.

Comme Ève lui tourne le dos pour examiner le mur à enduire, Willem en profite pour lui abaisser son short. Elle réagit aussitôt :

- Hey ! Petit pervers !

Elle remonte son short, assez lentement pour laisser le temps à Willem de bien admirer sa croupe, puis se tournant vers lui, elle dit :

- Tu penses que Christine ne veut pas que je te suce mais que ça ne la dérangerait pas que tu me mettes à poil ?

- Disons que je préfère y aller progressivement

- Ouais. En fait, c'est elle qui porte la culotte dans votre couple...

Voyant qu'elle a du mal à remonter son short, Willem lui propose son aide :

- Un coup de main ?

- Non, Christine doit avoir des hanches plus minces que les miennes. Moi j'ai un gros cul.

- Je viens de le voir ce cul, et il me plaît bien. Tes seins aussi d'ailleurs.

Commençant à se sentir en confiance avec la jeune fille, Willem lui soulève son débardeur pour admirer ses seins.

Ève admire la belle bosse qui déforme le pantalon de Willem :

- Tu ne veux pas la sortir ?

- Si, si tu retires complètement ton débardeur...

Lui tournant le dos, Ève fait passer son débardeur par-dessus sa tête.

Cachant ses seins avec ses mains, Ève se retourne :

- Aller, à toi de jouer

Willem fait l'innocent :

- De quoi ?

- Montre-moi ta queue.

Willem commence à déboutonner son short quand ils entendent les bruits d'une conversation qui s'approche : Christine revient, accompagnée de Sébastien. Willem se dépêche de rajuster son short et Ève renfile précipitamment son débardeur, juste avant que Christine et Sébastien n'arrivent dans leur champ de vision, à quelques mètres de l'échafaudage. Alors que Willem fait mine de réorganiser quelques seaux, Ève demande aux nouveaux venus :

- Alors, j'ai le droit de participer un peu ?

Sébastien sourit :

- Evidemment. Fais juste attention à ne pas te blesser...

Christine s'approche de l'échafaudage et demande à Willem :

- Tu as eu le temps de lui montrer deux ou trois trucs ?

- Heu... juste un peu de théorie.

Se tournant vers sa copine, il remarque qu'elle a du sperme au bord de la bouche.

- Heu, Chris... Tu as un peu de... Là, sur la bouche...

- Oups... Je pensais avoir tout essuyé...

D'un revers de la main, Christine s'essuie la bouche comme s'il s'agissait d'un peu de crème chantilly.

Ève demande à Sébastien :

- C'est un sacré chantier ! Vous avez des photos de l'état avant les travaux ?

- Oui, dans la caravane.

Aussitôt, la jeune fille blonde descend de l'échelle pour rejoindre Sébastien.

Une fois qu'elle est en bas, Willem l'interpelle :

- Ève, tu peux m'attraper les seaux vides, s'il-te-plaît ?

- Bien sûr.

La jeune fille se met en extension pour saisir les deux seaux et se penche pour les poser au sol. Elle ne se rend pas compte qu'une bretelle du débardeur a franchement glissé et que celui-ci s'est décalé, révélant sa poitrine nue.

Se tournant vers Sébastien, elle demande :

- Je peux voir ces photos ?

- Heu... Oui...

C'est en voyant les yeux exorbités des garçons qu'elle comprend que sa tenue a un souci :

- Oups...

Sans précipitation, elle attrape les bretelles et les remet en place.

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- Désolée... Le débardeur de Christine est un peu grand pour moi et il a tendance à glisser un peu...

Sébastien sourit :

- Il n'y a pas de mal. On y va ?

- Je vous suis.

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- J'espère que vous ne m'en voulez pas pour cette petite exhibition involontaire.

- Un soutien-gorge aurait pu t'éviter cette déconvenue.

- Quand il fait super chaud comme ça, je ne supporte pas. Apparemment, Christine n'en met pas non plus... Vous pensez que j'aurais besoin d'un soutien-gorge ?

- P... Pardon ?

Ève lui prend la main et la glisse sous le débardeur pour lui poser sur un sein nu :

- Est-ce qu'ils sont assez fermes pour se passer de soutien-gorge ?

Bien qu'ahuri par la situation inattendue, le maître de stage en profite pour malaxer le sein offert.

- Ils... ils sont très doux. Très agréables ?

- Oui ?

Ève relève le débardeur au-dessus de sa poitrine et laisse Sébastien continuer à la peloter.

Sébastien ne dit rien mais admire la jolie poitrine et s'amuse à faire glisser son pouce sur les mamelons pour ériger ceux-ci. Ève demande :

- Vous aimez les sentir se tendre sous vos caresses ?

- Oui...

- Moi aussi j'aime sentir le sexe des hommes se tendre entre mes doigts ou dans ma bouche...

A ces mots, le maître de stage commence à déboutonner son short. Ève s'écarte et semble stupéfaite :

- Mais qu'est-ce que vous faites ?

- Eh bien, tu viens de dire que... J'ai cru que...

- Ne soyez pas gêné. Il y a eu un malentendu, rien de plus.

Rajustant son débardeur, Ève ressort de la caravane et attend dehors :

- On rejoint les autres ou bien vous me montrer le reste du chantier ?

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- Mais les photos ?

- Ah oui... Tant pis, une autre fois.

Ève lui tourne le dos et commence à se diriger vers la grange. Sébastien, à la fois surexcité et frustré, ne parvient pas à détacher son regard de la magnifique croupe d'Ève.

Ève s'arrête et tourne la tête vers lui :

- Vous venez ?

Il la rejoint et quand il arrive à son niveau, la jolie blonde se penche en avant pour renouer le lacet de sa chaussure. La vue de la croupe moulée par le short fait perdre tous ses moyens au maître de stage et, comme sous l'emprise d'un sortilège, Sébastien abaisse le short de la jeune fille pour découvrir les splendides fesses.

- Hé ! Faut pas vous gêner !

Comme elle se redresse pour rajuster le short, Sébastien devient rouge de honte d'avoir osé faire ça :

- Je... je... suis désolé... je ne sais pas ce qui m'a pris...

Ève remonte son short en se cambrant, faisant saillir ses seins à travers le fin tissu du débardeur. Là encore, Sébastien perd le contrôle et soulève à deux mains le débardeur pour libérer la poitrine d'Ève.

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- Sébastien ! Vous êtes un obsédé !

Mais comme elle ne rajuste pas son débardeur, celui-ci prend enfin conscience qu'elle se joue de lui :

- Tu me chauffes...

- J'en assume les conséquences.

Ève retire son débardeur et libère l'érection du maître de stage pour le masturber. Sébastien, plaqué contre elle, commence à déboutonner le short.

Voulant poser une question au maître de stage concernant l'organisation de cette journée, Willem fait le tour de la grange pour se diriger vers la caravane. Quand il arrive à l'angle du bâtiment, il tombe en arrêt sur le spectacle du couple en train de se tripoter. Il reste derrière le coin pour observer discrètement. Sébastien semble ne pas parvenir à retirer son short à Ève. Celle-ci s'écarte :

- Christine est un peu plus fine que moi... Le short est un peu serré. Je vais le faire.

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Sébastien ne souhaite pas rentrer sur le terrain glissant de la comparaison entre Ève et Christine et se contente de répondre :

- Tu... Tu es ravissante...

Ève sourit et lui tourne le dos alors qu'elle commence à abaisser péniblement son short.

Se contorsionnant en ondulant ses fesses de droite à gauche, la jeune fille fait glisser peu à peu le mini-short sur ses cuisses et finit par le laisser tomber à ses pieds. Willem n'a pas trop de doute sur la suite des événements en voyant que Sébastien l'imite et termine, lui aussi, de se mettre nu. Ève admire l'érection du maître de stage :

- Mmmm, vous semblez avoir une grosse envie...

Willem se demande quel serait l'accueil qu'on lui ferait s'il venait les rejoindre. Le jeune homme sent monter le désir de venir lui aussi rejoindre la jeune fille pour faire courir ses mains sur son corps, enserrer ses seins, explorer son entrejambe, pendant qu'elle le masturberait lui aussi. Mais il se retient. Il se contente de baisser son short et de se masturber en observant la scène.

Sébastien caresse le clitoris de la jeune fille. Celle-ci feule et lui dit :

- C'est ma première fois avec un homme plus âgé...

- Quoi ? Je ne suis quand même si vieux que ça !

- Oh, vous êtes vigoureux, c'est le principal.

Le maître de stage ne se formalise pas et s'agenouille devant elle pour lui lécher la moule déjà dégoulinante de cyprine.

Ève feule de plaisir. La langue de Sébastien sur son clitoris semble lui faire beaucoup d'effet car ses jambes semblent ne plus pouvoir la tenir et, après quelques secondes, elle perd même l'équilibre et se retrouve assise par terre, laissant Sébastien à genoux, un peu décontenancé :

- Est-ce que ça va ?

- Oui... mais ce serait plus sage que je reste à terre.

Se retournant, elle se met à quatre pattes et présente sa croupe.

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Sébastien n'a pas vraiment à réfléchir. Il n'a qu'à s'avancer un peu à quatre pattes pour rejoindre Ève. Il lui caresse alors les fesses, rondes et fermes. Ève grogne :

- Non... je préférais avec votre langue...

Il n'est pas contre. Elle se cambre pour dégager sa moule. Il se penche et commence à lécher la fente. Le clitoris étant moins facilement accessible dans cette position, il a tendance à plutôt remonter sa langue vers l'anus.

Ève frétille à chaque fois que la langue investit son petit trou. Après un moment, elle finit par dire :

- Vous vous débrouillez pas mal avec votre langue. Je pense que je suis prête pour passer aux choses sérieuses.

Comme elle regarde son sexe en érection, Sébastien n'a pas de doute sur ce qu'elle veut. Se redressant, il guide son sexe tendu dans la fente trempée et s'y enfonce lentement sans la moindre difficulté.

Ève réagit aussitôt en sentant le membre la pénétrer :

- Oh la vache ! Vous êtes gros !

Sébastien semble plutôt fier de cette remarque et il lui attrape les bras pour l'obliger à se cambrer davantage alors qu'il commence à aller et venir en elle.

Ève se met à gémir de plus en plus :

- Oh ouiiiii. C'est boooooon !

Willem se demande si elle n'en rajoute pas un peu mais il trouve très excitant de la voir se redresser alors que la queue de Sébastien est enfoncée loin en elle.

Sébastien aussi semble très excité par l'enthousiasme de sa partenaire et il accélère significativement la cadence de ses pénétrations. Sous les assauts de plus en plus puissants du maître de stage, Ève retombe à quatre pattes puis, submergée par un violent orgasme et malgré la stabilité que lui offre ses bras tendus, elle finit par se retrouver face contre terre, gémissante. Sébastien semble se tendre soudain. Willem comprend que Sébastien est en train d'éjaculer en elle.

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Willem sent qu'il est lui aussi sur le point de jouir. Il s'assoit alors pour continuer de s'astiquer plus tranquillement, mais ce qu'il voit le fait halluciner. Ève se relève lentement :

- Regardez ce que vous m'avez mis...

Tournant le dos au maître de stage, elle s'écarte les fesses à deux mains pour révéler sa moule béante. Peu à peu, la semence blanchâtre de Sébastien commence à apparaître et des filets de sperme épais s'écoule lentement de l'ouverture.

Toujours à genoux derrière la jeune fille, Sébastien reste béat devant ce spectacle. Ève rigole :

- Apparemment, vous êtes encore très vigoureux...

Willem ne tient plus et, retenant sa respiration pour que le couple ne l'entende pas, il se met à éjaculer, maculant son ventre de sa semence chaude.

Dès qu'il a terminé, il se dépêche de sortir un mouchoir en papier de sa poche pour s'essuyer. Sitôt fait il se rajuste et surgit de l'angle de la grange pour surprendre le couple. Sébastien a eu le temps de se rhabiller mais Ève n'a que remis son débardeur et regarde Willem, un peu surprise :

- Willem ?

Celui-ci joue également la surprise à la perfection :

- Ève ? Sébastien ? Qu'est-ce que vous faisiez ?

Ève prend un air innocent et, sans même montrer la moindre pudeur concernant sa tenue, elle répond stoïquement :

- J'avais un peu chaud.

Un peu agacé par l'irruption de Willem, Sébastien lui demande :

- Qu'est-ce que tu veux, Willem ?

- Heu, juste pour l'organisation de la journée. Est-ce que Ève nous file un coup de main ?

Ève attrape son short et l'enfile. Willem se demande si elle a eu le temps de se nettoyer l'entrejambe. Elle répond :

- Je ne peux pas cet après-midi et la matinée est déjà bien avancée, donc je pense que je vais rentrer au camping.

Sébastien semble surpris :

- Tu ne restes pas ?

- Non. Je vais demander aux garçons les clés du gîte pour récupérer ma robe. Promis, je reviens demain.

Devant la mine un peu déçue de Willem, le maître de stage lui dit :

- Faut t'en remettre, Willem. Tu as ta réponse pour t'organiser pour la journée ?

- Heu oui... J'y retourne. A demain Ève.

Ève laisse aussi Sébastien et va rejoindre Yves et Axel :

- Les gars, je dois retourner au camping. Vous me donnez les clés du gîte pour que je puisse récupérer ma robe ?

- Mieux que ça ! On va t'accompagner.

La jolie blonde ne se fait pas trop d'illusions sur les intentions des deux garçons.

Arrivés au gîte, les garçons la suivent dans la chambre. Elle leur dit en rigolant :

- Je peux avoir un peu d'intimité pour me changer ?

- Oh ? Tu es pudique maintenant ? Nous on veut juste te donner un coup de main pour te changer...

Ève n'a pas le temps de réagir que déjà les deux garçons commencent à tirer sur le short et le débardeur :

- Hey ! Arrêtez !

A moitié dénudée, elle les repousse et tente de se rhabiller.

Comme ils reviennent à l'assaut, elle se dépêche de rajuster son débardeur et, le short sur les cuisses, recule au fond de la chambre :

- S'il vous plaît, vous avez déjà eu ce que vous vouliez tout à l'heure, non ?

Yves et Axel s'approchent à nouveau, apparemment non rassasiés. Ève trébuche et se retrouve sur le lit, le short entravant ses mollets.

Malgré sa position, Ève essaye de ne pas sa crainte aux deux garçons. Elle se relève et, avec aplomb, leur dit :

- Arrêtez. Je dois y aller. Je récupère ma robe et j'y vais.

- Ok, mais on va te donner un coup de main.

Toujours entravée par son short aux chevilles, la jeune fille ne peut empêcher Axel de tirer sur le décolleté du débardeur pour dégager sa poitrine. Elle se contente de prendre un air agacé :

- C'est une manie...

Alors qu'elle rajuste le débardeur, Yves s'accroupit devant elle :

- Ève, je crois que ta moule trempée de mouille trahit ton désir.

- Peut-être que ça n'a rien à voir avec vous...

Ève n'en dit pas plus, ne voulant pas révéler le fait qu'il s'agit en réalité du sperme de Sébastien. Axel profite de son malaise pour lui faire passer le débardeur par-dessus la tête. Elle rigole :

- C'est une idée fixe, de me mettre à poil !

- Une obsession, oui !

Comme il commence à lui caresser les seins, elle le repousse et remonte son short :

- Allez. Assez joués. Sortez de la chambre.

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- Ose dire que tu n'es pas autant excitée que nous !

- Et pourquoi je le serais ?

Yves, par défi, déboutonne son pantalon et extrait son érection. En voyant la jolie blonde troublée poser son regard sur le membre tendu, Axel comprend qu'il doit agir aussi. Il sort lui aussi son sexe :

- Allons, ma belle. Je crois que tu vas être en retard pour rentrer au camping...

Ève laisse les garçons s'approcher d'elle. Presque machinalement, elle saisit les deux sexes pour les masturber. Yves et Axel la font s'asseoir au bord du lit et commencent à l'embrasser et à la caresser.

Ève ne montre plus la moindre résistance, tout occupée qu'elle est à sentir se tendre les deux sexes entre ses doigts agiles. Elle laisse Yves la faire mettre debout. Elle le laisse également lui baisser son short sur ses genoux. Impatient, il ne prend même pas la peine de lui retirer complètement et lui laisse le short au niveau des genoux. Ève se hisse à quatre pattes sur le bord du lit. Elle sent le sexe d'Yves la pénétrer doucement, tandis qu'Axel vient lui fourrer sa queue dans la bouche pour se faire sucer.

Sébastien, inquiet de l'absence des deux nouveaux stagiaires, a envoyé Christine voir ce qu'ils faisaient. En passant devant la fenêtre de la chambre, Christine est stupéfaite de découvrir Ève en train de chevaucher Yves et de sucer Axel. Restant cachée derrière la fenêtre Christine ne fait pas un bruit et observe la scène avec intérêt.

Après quelques minutes, Ève commence à gémir de plus en plus et ne parvient plus à sucer correctement Axel. Un peu agacé, il se retire et vient se positionner derrière la jolie blonde, admirant sa croupe :

- Mmmm, la vue est délicieuse et cet anus semble m'appeler...

Ève réagit aussitôt :

- Attends ! J'ai... j'ai jamais été... Oooooh... prise en sandwich...

Appuyant son sexe tendu contre le petit trou, Axel rigole :

- Alors, tu vas adorer !

Faisant lentement pression, il fait pénétrer lentement sa tige raide dans l'étroit canal.

Les gémissements de Ève se transforment rapidement en cris de plaisir. Christine est fascinée de voir les deux queues tendues qui entrent et sortent des deux orifices de la jolie blonde. Quelques minutes après, les gémissements d'Ève sont couverts par les râles des deux garçons. Ils sont de toute évidence en train d'éjaculer. Ève n'est pas en reste puisque son corps, secoué de spasmes, trahit un violent orgasme.

Dès qu'ils ont terminés, les garçons se retirent :

- Quel pied !

Ève, étendue sur le côté, sent le sperme de ses deux amants s'écouler de ses deux orifices.

Pendant qu'elle reprend encore ses esprits, les garçons se rhabillent :

- Ève, on te laisse te rhabiller. On t'attend dehors.

Christine fait alors le tour du bâtiment pour ne pas être vue et entre dans le gîte, sans bruit. Elle découvre Ève toujours étendue sur le lit, l'entrejambe dégoulinante de sperme. Ève pousse un petit cri en sentant la langue de Christine venir lécher sa moule souillée. Tournant la tête, elle découvre Christine occupée à lui faire sa toilette. Elle la laisse faire, le plaisir de ce cunnilingus lui faisant reprendre ses gémissements. Quand Christine a terminé de lui nettoyer la moule, elle remonte et s'attaque à l'anus de la jeune fille.

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Ève sent un nouvel orgasme arriver, moins puissant que le précédent, mais très intense quand même. Sentant qu'Ève va jouir, Christine insiste sur son anus en faisant pénétrer sa langue dans l'orifice encore maculé de sperme. N'y tenant plus, Ève se fourre deux doigts dans la moule pour se masturber et accompagner au mieux ce nouvel orgasme.

La toilette achevée, Christine se redresse et vient s'allonger sur Ève. Celle-ci murmure :

- C'était bon... mais qu'est-ce que tu fais là ?

- Sébastien s'inquiétait. Il m'a envoyé.

- IL a bien fait.

Les deux filles s'embrassent, partageant ainsi le sperme des garçons.

Christine la libère et se rhabille. Ève récupère sa petite robe pour la renfiler. Elle demande à Christine :

- Tu n'es pas jalouse que je me sois tapée Yves et Axel ?

- Oh, tu sais, ça fait plus d'une semaine qu'on est ici et j'ai déjà goûté au sperme de deux hommes autres que Willem...

- Trois...

- Quoi ?

- Tu viens aussi de goûter à celui de Sébastien puisqu'il a aussi joui en moi avant...

Christine sourit, amusée de voir qu'elle n'est pas la seule salope de ce stage :

- Tu reviens cet après-midi ?

- Non, mais je promets de venir vous dire au revoir demain avant mon départ.

- Bon... à demain alors...

Le stage de restaura...