Chapitre 17 : Le Projet Commun

Ecrit par Ellie chou

Le bruit feutré des vagues résonnait contre les quais du Tage alors que Mariana et Jean-Philippe se tenaient devant un ancien entrepôt abandonné, à quelques pas du centre historique de Lisbonne. L’air était chargé d’électricité, non pas à cause d’un orage imminent, mais parce qu’ils savaient que cet endroit représentait bien plus qu’un simple bâtiment.

Il était le symbole de leur avenir, de leur passion commune.

— Tu es sûre de toi ? demanda Jean-Philippe en tournant son regard vers elle.

Mariana sourit, les yeux pétillants d’excitation.

— Plus que jamais. Et toi ?

Il laissa son regard dériver sur la façade délabrée, imaginant déjà ce qu’ils allaient en faire.

Puis, sans la quitter des yeux, il hocha la tête.

— C’est un pari fou, mais je n’imagine pas le faire avec quelqu’un d’autre.

Ils avaient passé des semaines à discuter de ce projet, à rêver d’un espace où l’architecture et l’art se rencontreraient, où Mariana pourrait exposer ses œuvres et où Jean-Philippe pourrait expérimenter de nouvelles formes architecturales, mêlant structures modernes et inspirations traditionnelles.

L’idée était née d’une conversation anodine, une nuit où ils étaient restés éveillés à parler de leurs ambitions respectives. Mariana voulait un lieu où elle pourrait exprimer son art librement, un espace vivant où peintres, sculpteurs et designers pourraient collaborer.

Jean-Philippe, lui, rêvait d’un projet architectural qui ne se limiterait pas à la fonctionnalité, mais qui aurait une âme, une histoire à raconter.

Ce vieil entrepôt avait tout pour devenir leur sanctuaire créatif.

Un chantier de passion

Les travaux commencèrent rapidement.

Jean-Philippe supervisa chaque étape de la transformation, repensant la structure pour intégrer de vastes espaces lumineux, des verrières laissant entrer la lumière du jour, et des matériaux bruts qui rappelaient l’histoire industrielle du lieu.

Il voulait que l’endroit respire, qu’il invite à la créativité.

De son côté, Mariana imaginait déjà les fresques qui orneraient les murs, les installations qui donneraient vie aux volumes qu’il créait.

Chaque pièce, chaque recoin serait une œuvre en soi, une fusion parfaite entre l’architecture et l’art.

Ils travaillaient d’arrache-pied, souvent tard dans la nuit, épuisés mais exaltés.

Parfois, ils s’arrêtaient en plein milieu du chantier pour s’embrasser, couverts de poussière et de peinture, riant de cette folie qu’ils partageaient.

— On est en train de créer quelque chose d’unique, souffla un soir Mariana en regardant le vaste espace s’animer sous leurs yeux.

Jean-Philippe passa un bras autour de sa taille et déposa un baiser sur sa tempe.

— Et ce n’est que le début.

L’inauguration : un rêve devenu réalité

Le soir de l’inauguration, l’entrepôt transformé en galerie vivante vibrait sous l’excitation des invités.

Les murs exposaient les œuvres de Mariana et d’autres artistes émergents, tandis que la structure elle-même racontait l’histoire d’une renaissance, d’un lieu abandonné devenu temple de la création.

Jean-Philippe observait Mariana évoluer dans cet espace qu’ils avaient bâti ensemble.

Elle rayonnait, son regard illuminé par l’aboutissement de leur rêve commun.

Il s’approcha d’elle alors qu’elle discutait avec un critique d’art, glissant discrètement une main dans la sienne.

— On l’a fait, murmura-t-il.

Elle serra sa main en retour, les yeux brillants d’émotion.

— Oui. Et on n’en est qu’au commencement.

Leur projet n’était pas seulement un bâtiment ou une galerie.

C’était un symbole de leur union, de leur amour fusionnel où l’art et l’architecture se répondaient, se nourrissaient mutuellement.

Un espace où leur passion commune pouvait s’épanouir sans limites.

Alors que la nuit avançait et que la musique résonnait encore dans les vastes espaces, Mariana et Jean-Philippe échangèrent un regard complice.

Ils savaient que cette aventure n’était que la première pierre d’un avenir qu’ils allaient bâtir ensemble, de bout en bout. 


A bientôt 

 17 : Le Projet Commun

Le bruit feutré des vagues résonnait contre les quais du Tage alors que Mariana et Jean-Philippe se tenaient devant un ancien entrepôt abandonné, à quelques pas du centre historique de Lisbonne. L’air était chargé d’électricité, non pas à cause d’un orage imminent, mais parce qu’ils savaient que cet endroit représentait bien plus qu’un simple bâtiment.

Il était le symbole de leur avenir, de leur passion commune.

— Tu es sûre de toi ? demanda Jean-Philippe en tournant son regard vers elle.

Mariana sourit, les yeux pétillants d’excitation.

— Plus que jamais. Et toi ?

Il laissa son regard dériver sur la façade délabrée, imaginant déjà ce qu’ils allaient en faire.

Puis, sans la quitter des yeux, il hocha la tête.

— C’est un pari fou, mais je n’imagine pas le faire avec quelqu’un d’autre.

Ils avaient passé des semaines à discuter de ce projet, à rêver d’un espace où l’architecture et l’art se rencontreraient, où Mariana pourrait exposer ses œuvres et où Jean-Philippe pourrait expérimenter de nouvelles formes architecturales, mêlant structures modernes et inspirations traditionnelles.

L’idée était née d’une conversation anodine, une nuit où ils étaient restés éveillés à parler de leurs ambitions respectives. Mariana voulait un lieu où elle pourrait exprimer son art librement, un espace vivant où peintres, sculpteurs et designers pourraient collaborer. Jean-Philippe, lui, rêvait d’un projet architectural qui ne se limiterait pas à la fonctionnalité, mais qui aurait une âme, une histoire à raconter.

Ce vieil entrepôt avait tout pour devenir leur sanctuaire créatif.

Un chantier de passion

Les travaux commencèrent rapidement.

Jean-Philippe supervisa chaque étape de la transformation, repensant la structure pour intégrer de vastes espaces lumineux, des verrières laissant entrer la lumière du jour, et des matériaux bruts qui rappelaient l’histoire industrielle du lieu.

Il voulait que l’endroit respire, qu’il invite à la créativité.

De son côté, Mariana imaginait déjà les fresques qui orneraient les murs, les installations qui donneraient vie aux volumes qu’il créait. Chaque pièce, chaque recoin serait une œuvre en soi, une fusion parfaite entre l’architecture et l’art.

Ils travaillaient d’arrache-pied, souvent tard dans la nuit, épuisés mais exaltés.

Parfois, ils s’arrêtaient en plein milieu du chantier pour s’embrasser, couverts de poussière et de peinture, riant de cette folie qu’ils partageaient.

— On est en train de créer quelque chose d’unique, souffla un soir Mariana en regardant le vaste espace s’animer sous leurs yeux.

Jean-Philippe passa un bras autour de sa taille et déposa un baiser sur sa tempe.

— Et ce n’est que le début.

L’inauguration : un rêve devenu réalité

Le soir de l’inauguration, l’entrepôt transformé en galerie vivante vibrait sous l’excitation des invités.

Les murs exposaient les œuvres de Mariana et d’autres artistes émergents, tandis que la structure elle-même racontait l’histoire d’une renaissance, d’un lieu abandonné devenu temple de la création.

Jean-Philippe observait Mariana évoluer dans cet espace qu’ils avaient bâti ensemble.

Elle rayonnait, son regard illuminé par l’aboutissement de leur rêve commun.

Il s’approcha d’elle alors qu’elle discutait avec un critique d’art, glissant discrètement une main dans la sienne.

— On l’a fait, murmura-t-il.

Elle serra sa main en retour, les yeux brillants d’émotion.

— Oui. Et on n’en est qu’au commencement.

Leur projet n’était pas seulement un bâtiment ou une galerie.

C’était un symbole de leur union, de leur amour fusionnel où l’art et l’architecture se répondaient, se nourrissaient mutuellement.

Un espace où leur passion commune pouvait s’épanouir sans limites.

Alors que la nuit avançait et que la musique résonnait encore dans les vastes espaces, Mariana et Jean-Philippe échangèrent un regard complice.

Ils savaient que cette aventure n’était que la première pierre d’un avenir qu’ils allaient bâtir ensemble, de bout en bout. 


A bientôt 


Destins Entrelacés