Nous étions vendredi, le troisième jour de notre plan de partage avec maman Nathalie, notre passage à méditer du jour était très court mais il disait beaucoup. Notre passage à méditer était celui de Genèse 19 le verset 26. Le soir après le boulot, dès que je remis internet sur mon téléphone je reçu aussitôt le message de maman Nathalie. Cette fois ci ce nétait pas une note vocale mais un message écrit :

« Ma chère Johanna, ces trois jours de partage et de prière ensemble ont été très bénéfique pour moi, crois-moi ! j'ai tellement appris de tes partages et je suis fort persuadée que Dieu te réserve de très belles choses mais il te faut savoir t'accrocher et aujourd'hui je veux partager avec toi ma méditation de notre passage du jour qui n'est autre que Genèse chapitre 19 le verset 26 : la femme de Loth regarda en arrière, et elle devint une statue de sel. La statue ne bouge pas, la statue navance pas mais encore plus grave la statue de sel, dès qu'il y a une tempête elle se dissout voilà à quoi nous sommes exposées chaque fois que nous n'aimons pas dépasser notre passé, je veux te dire que le meilleur est devant toi, et je veux que tu te répètes ceci toutes les fois que tu veux regarder en arrière pour regretter :  qu'est ce qu'il y a de si valeureux derrière moi, pour que je refuse davancer vers ce que l'Éternel me montre ? je t'aime et je reste disponible pour toi.                        

                                                                  Maman Nathalie »

Ce message de maman Nathalie, j'avais comme l'impression que je l'avais mémorisé, il était resté dans mon coeur toute la soirée. Et pour le compte de notre dernier jour de partage je notai sa dernière phrase dans mon carnet : qu'est ce qu'il y a de si valeureux derrière moi, pour que je refuse d'avancer vers ce que l'Eternel me montre ?

Puis je fis une note vocale à maman Nathalie pour lui partager ma méditation qui n'était pas bien différente de la sienne quoi que la sienne avait été comme une vraie révélation pour moi. Pour clôturer nos 3 jours de partage, nous étions sensées prier à minuit. Donc j'avais dormi tôt cette nuit pour me réveiller à minuit. Une fois réveillée, quand   je lançai l'appel, maman Nathalie ne laissa pas sonner longtemps, elle était apparemment déjà réveillée pour attendre mon signal, puis toutes les deux on passa une trentaine de minutes dans la prière avant de se déconnecter et je continuai alors ma prière seule pendant encore une trentaine de minutes de plus avant de me rendormir. 

 Le lendemain, j'etais trop en forme, je me sentais trop bien. Je le savais depuis longtemps mais je venais encore de l'expérimenter passer du temps de qualité avec le Seigneur rendait fraîche !  Je me sentais fraiche voilà l'adjectif qui convenait. J'avais comme l'impression d'avoir gagné même en beauté. Le genre de sensation ou tu te sens plus quoi !  Tout de même mes papotages avec Yazie me manquaient quand même. Après avoir pris un petit déjeuner bien copieux que maman avait pris soin de me faire. Je me mis au lit avec mon lap top là une conversation Skype s'imposait avec Yazie. Je savais que généralement elle était toujours connectée, je me connectai à mon routeur et je lançai l'appel Skype:

Tein Tein Tein Tein Tein...  (Après quelques secondes Yasmine décrocha) 

- Ekieeeeeee ma Congolaise préférée, là tu es descendu de la montagne quoi je sens que l'huile coule hein !  

- Ekieeee mais vous les pounous du Gabon hein que le congossa comme ça.

- Hum donne les nouvelles de la montagne oh c'était comment ? 

- c'était trop bien ! Yazie j'en avais besoin. Je me sens prête pour la nouvelle saison donc déjà pour commencer je t'informe que je suis officiellement célibataire là là ! 

- Kiékiékiékié (Yazie se mit à rire fort) 

Cette fille me manquait trop, elle était de loin la meilleure copine que j'avais eu et je crois que ce qui faisait la force de notre relation c'était le fait que cette relation avait Dieu au centre. 

- Eh mais moi je savais déjà que tu étais officiellement célibataire hein Blessings, donc toi il te fallait d'abord monter sur la montagne avant de t'en rendre compte quoi. Ekieeeeeeeee vous les Congolais vous prenez trop de temps pour comprendre les choses. 

- Ah laisse tu te moques de qui comme ça Ahahahahah. Mais je ne sais pas comment expliquer ça hein je me sens nouvelle Yazie ! 

- Je suis trop contente d'écouter ça, moi aussi pendant ces trois jours je me suis de mon côté mise sur mes genoux pour demander au Saint Esprit de consoler ton coeur, j'avais reçu le message que tu m'avais forward là. Celui de Alexis qui tannonçait quil aménageait avec madame, j'étais à terre comme ça mais le garçon là hein ? 

- Vraiment Oh Yazie maintenant la question que je me pose c'est devrais-je lui dire de plus jamais m'écrire ou comment ? 

- Hum hum laisse lui comme ça, il t'écrit, si tu trouves que ça nécessite une réponse genre coucou cmt tu vas et autres tu réponds mais si c'est pour t'informer des changements dans sa vie maman tu ignores. Mais ne le dis pas de plus t'écrire l'ex n'est pas ton enemi oh. En plus lui dire de plus técrire cest trop lui faire croire quil te fait souffrir

- Hum ça me fait un truc bizarre de l'appeler mon ex Oh Yazie. Ici que l'âge qui avance mais là je suis calibrée pour affronter. Mais je ne peux pas ignorer que tout ça ma bien fait du tort. Bien que je me sente mieux je ne peux pas nier que je ne lai pas encore oublié ma puce

- Sois rassurée, le meilleur reste venir, jaime bien dire le meilleur pour la fin. Pour ce qui est de loublier laisse le temps et surtout le Saint-Esprit en toi faire le travail. En ma qualité de servante de Dieu je déclare que la prochaine fois sera la bonne !

- Amen servante de Dieu ! 

- Ah laisse les commentaires hein sur en Christ ! 

La suite de notre conversation portait sur les nouvelles des trois derniers jours, elle me mit au parfum et tout De mon côté il ny avait pas grand-chose à dire. Si ce n'est que je lui parlai aussi de maman Nathalie, de comment cette femme m'avait beaucoup guidée par nos partages. Puis je pris des nouvelles de son chéri, il allait bien et tout allait bien entre eux. Comme Yasmine faisait un tour au mall pour faire des courses, elle se déconnecta puis je me rappelai alors du message de Jemima. Ah oui avec son histoire de grossesse là ! 

Je pris mon téléphone cette fois ci et lançai un appel :

Trein trein trein trein (Au bout dun instant elle décrocha) :

- Hum je me disais que tu m'en voulais jusqu'au point de pas vouloir répondre à mes messages.

- À ce point ?  Toi aussi, je ne t'en voulais pas j'ai été très chargée ces derniers jours voilà pourquoi 

- Hum, je ne te crois pas mais bon...  Tu avais reçu mon dernier message ? 

- Oui, alors tu es fixée sur ça ? 

- Pas tout à fait mais j'ai fait un test et il est positif. Pour le moment c'est trop tôt pour faire une échographie je ferais dans deux semaines 

- Hum Ok 

Je n'avais pas changé d'avis sur cette affaire je sentais que Jemima partait trop vite... Elle avait ce sentiment de vouloir prouver aux gens et à elle-même qu'elle n'était pas une fille seule qui s'ennuyait.  Mais cette fois-là, je préférais garder cette remarque pour moi-même. La dernière fois que j'avais donné mon avis les choses n'avaient pas bien tourné alors... Je fis mine de pas trop m'attarder dessus mais en même temps il ne fallait pas que ça fasse genre je m'en fou. Je lançai une phrase comme ça à la vite fait :

-  Et ton chéri, qu'est ce qu'il en dit ? 

- Pour le moment il m'a dit que nous saurons quoi faire après l'échographie. De mon côté j'ai déjà lancé les commissions pour chercher une maison chez les agents immobiliers là, parce que je ne nous vois pas vivre chez ses parents là-bas.  C'est vrai que son appartement est à l'extérieur mais la cohabitation dans la même parcelle que les belles soeurs et tout ce n'est pas mon rêve.

- Ok, je vois. Laissons passer cette semaine on se verra peut-être le week-end toi et moi au calme

- Vraiment ça fait trop longtemps que je ne t'ai pas vu.  Et comment va Alexis ? 

- Ah, oui je dois aussi te dire quelque chose à propos d'Alexis. C'est mieux en face. Sinon il va bien je pense.

- Hum !  Je sens que tu vas me demander d'être la dame de campanie oh ! 

Hum Jemima !  De toute les façons je me sentais trop fraîche pour m'attarder sur ce genre de remarque. Je préférais ne pas l'en parler au téléphone. Mais ce qui était sûre c'est que connaissant Jemima, elle allait passer toute la semaine à s'imaginer que j'allais bientôt me marier. Mais entre-temps notre conversation continua encore quelques secondes :

- Toi vraiment, kiékiékiékié (je me mis à rire) 

- Moi quoi ? Alexis et toi je sais que vous êtes déjà loin oh en plus lâge avance hein !

- Hum, bon ma puce je vais couper je dois descendre causer avec papa. Prends bien soin de toi ! 

- Bisous glacés 

- Bisous ma Mima à moi ! 

Après ça je descendis pour parler avec papa. Une fois en bas, je vis papa là assis au salon avec maman. Je m'assis sur le fauteuil en face de lui, à côté de maman. 

- Papa, tu voulais qu'on parle, je suis là ! 

Je sentais que cette idée de parler ne plaisait pas à maman je connaissais bien ma mère et je savais lire à travers sa mine. Mais papa avait l'air déterminé :

- Oui maman Johanna en effet !  (répondit papa) 

- On va commencer par confier ses moments à Dieu afin qu'il soit notre guide pendant cette conversation (ajouta maman, qui avait un air inquiet) 

Puis elle continua en faisant une courte prière :

- Père Éternel tu déclares dans ta parole que si quelqu'un manque de sagesse qu'il la demande à Dieu, c'est pourquoi père je nous recommande à ta grâce, remplis nous de sagesse afin que cette conversation soit digne des enfants de Dieu que nous sommes au nom de notre Seigneur Jésus-Christ amen.

- Amen (papa et moi ensemble)

- Bien Johanna ma fille tu es devenue une grande fille et je dirais même une dame. J'ai beaucoup de respect pour toi et surtout je suis très fière de ton parcours. Tu n'as pas cessé de me rendre fière. Tu peux me croire que tes frères et toi êtes mes plus belles réussites. Un père doit veiller sur ses enfants dans tous les plans de leur vie et à côté de ta belle carrière professionnelle, ta vie de prière si modèle, je ne t'ai jamais entendu me parler de ton ami et quand je dis ami je parle de l'homme avec qui tu partages ta vie et avec qui tu as des projets davenir.  Je te vois devenir une femme et j'ai comme l'impression que tu as peur de vivre ta vie de femme de façon libre je pense qu'à ton âge et surtout avec les responsabilités que tu as que ce soit au boulot, à l'église ou ici en famille, tu ne peux plus vivre caché. Si à un instant tu t'es sentie obligé de cacher ce domaine de ta vie sent toi libre de nous en parler maman Johanna !

-  Ecoute ma fille ce que ton père veut dire par là, cest juste que nous respectons ta vie privée et tu ne dois pas te dire que comme avant on ne te permettait pas davoir quelquun dans ta vie alors aujourdhui aussi tel est le cas. Non ! aujourdhui tu as atteint ce que nous visions de mieux pour toi alors tu peux te sentir libre de vivre ta vie privée mais dans la crainte de notre Seigneur. Je ne veux surtout pas que tu le prennes comme une pression sur toi.

- Elle sait que ce nest pas une pression mais en même temps si quelque chose ne semble pas marcher pour notre fille nous avons le droit de nous en informer (fit papa)

Je sentais que le ton de la conversation nétait plus bien entre papa et maman, ça se voyait que maman ne voulait pas que nous ayons cette conversation, aussi papa lui, il tenait vraiment à lavoir. De mon côté, je ne savais pas ou me placer entre les deux mais je savais ou me placer face à cette conversation alors je pris la parole :

- Papa excuse-moi de te couper la parole, mais je comprends tes inquiétudes et compte à toi maman je comprends ta gêne. Seulement je veux vous rassurer quà aucun moment de ma vie je nai senti la peur de vous présenter quelquun mais vous devez savoir quà mes yeux vous êtes les personnes les plus importantes à qui je dois tout mon respect et ce respect ne me permet pas de vous présenter le premier venu. Ce qui fait que...

Je n'avais pas fini de parler que papa me coupa à son tour la parole :

- Johanna, nous ne te demandons pas de nous présenter le premier venu mais quand même cela va faire combien de temps que tu as fini avec tes études et que maintenant tu es responsable de toi-même.  Tu ne vas pas me dire que tout ce temps tu nas toujours pas rencontré quelquun de qui tu es sure ma fille

- Rencontrer quelqu'un ne dépend pas forcement d'elle papa (fit maman avec un ton presque suppliant)

Je pouvais lire dans les yeux de maman, elle n'avait qu'une envie ne pas avoir ce genre de conversation. En même temps je me rendais compte combien de fois à cause d'Alexis j'avais pris du retard, papa navait pas tort mais aussi je sortais dun temps de prière ou javais pris des résolutions je refusais de les compromettre et me remettre à m'inquiéter. Je pris à nouveau la parole :

- Papa, crois-moi j'ai bien reçu le message que tu veux me passer mais pour le moment je ne peux pas vous présenter quelqu'un, je ne suis pas à ce niveau-là. Mais je te demande une faveur, arrête de te dire qu'il y a un problème avec moi juste parce que tu te rends compte que ce n’est peut-être pas à une date proche que je vais me marier, le mariage est une étape de ma vie que je value et je sais que ça va arriver mais ça ne me définit pas.

- Moi aussi ce que je veux que tu comprennes c’est que peu importe combien tu aurais réussi les autres plans de ta vie, ton respect dans la société passe aussi par le fait que tu sois une femme dans un foyer ma fille.

Maman naimait pas contredire papa, surtout pas devant les enfants, elle se retenait je le sentais. Pendant ce temps je répondais à papa :

- Papa, mon respect dans la société passe par ce que je présente de moi, l'image que je renvoi aux gens. Les choses que je promeus et non une bague à mon doigt. 

- Ma fille Johanna cest bien de réussir comme toi aujourd'hui mais sache que tu es une femme 

- Papa, tout ça je le sais et jaspire même au mariage mais en attendant que ça arrive, je ne vais pas me considérer comme une moindre femme pour autant !  Je reste choquée de savoir quapparemment à tes yeux, il y a encore un détail qui fait que tu ne me considère pas comme une jeune femme ou même une jeune fille ayant réussi à se construire. Je me bats tous les jours à gagner ta fierté mais toi je me rends compte que tu ne seras fière de moi que le jour ou un homme me passera une bague au doigt. Jai mal mais je respecte ton point de vue.

- Je suis désolée que tu le prennes comme ça, mais en tant que père je me dois de recadrer les choses dans ta tête même si mon approche doit te faire souffrir si c'est pour ton bien je dois le faire.

-Je pense que tu as recadré ces choses comme tu le voulais, est ce que je peux monter dans ma chambre ?

-Bien sûr que tu peux !

Papa avait presque réussit à me mettre en colère mais je ne sais pas par quel miracle je ne me sentais pas en colère contre lui. Je venais juste de me rendre compte que sa façon de penser qui était dailleurs la façon de penser de plusieurs parents nétait pas bonne. Étaient-ils autant des mauvais parents, tous ceux-là qui pensaient ainsi ? Non ! me disais-je. Ils étaient juste influencés par un monde qui regardait encore la femme comme nétant rien si elle n'était pas la femme de quelquun. Jaspirais au mariage mais je ne voyais pas le mariage comme le final de quelque chose. Pour moi raisonner comme papa était un danger et c'est ce danger qui avait amené bien nombre de femmes une fois mariée, à vivre comme l'ombre de leur mari. Parce qu'avant de se marier, elles ne se voyaient pas comme utiles, cela venait de la pression que certainement les faisait subir leur entourage.

J'aspirais au mariage mais j'avais décidé de construire la femme que Dieu voulait que je sois à la fois pour l'homme qui allait partager ma vie, pour ma famille, pour la société et pour l'église corps du christ.  Je voyais donc cette étape de mon célibat comme une occasion d’investir en moi afin que l'homme qui allait m'épouser trouve le bonheur en mépousant. En montant les marches pour rejoindre ma chambre je me fortifiai intérieurement pour que cette pression ne me pousse pas à faire un choix à la vite fait ou dans l'embarras, il fallait que je sois ferme sur ce que je voulais. Pendant que je pensais au fond de moi j'entendis la voix de maman en bas. Je marrêtai alors sur les marches pour l'écouter :

- Mais quel genre de discours tu as tenu devant notre fille, je ne te reconnais plus ! pourquoi tu t'entête sur cette histoire de mariage, tu penses que Johanna mérite que nous lui poussons dans un mariage à cause de notre pression jusquà ce qu'elle se retrouve entre les mains de quelqu'un qui ne lui était pas destiné ? je suis vraiment en colère contre toi pour avoir ainsi frustrée notre fille et moi je reste persuadée que si elle continue à marcher conformément à la parole de Dieu, au moment opportun elle trouvera cet homme que Dieu lui réserve. Papa Johanna n'a que 28 ans elle n'a pas raté sa vie je te signale !

- Rectificatif, 29 ans dans quelques mois ! et si jusqu'alors elle ne nous présente personne à quel moment elle rencontrera ce dernier et à quel moment elle fera des projets avec lui et à quel moment elle se lancera dans le mariage ? certains débats ne doivent pas rester tabous dans une famille. Si elle ne trouve pas quelqu'un c'est mieux que je le sache, c'est mieux que ses frères aussi le sachent, on ne sait jamais ils connaissent peut-être un garçon bien et sans que cela ne paraisse comme un coup monté nous pouvons leur mettre en contact. Je refuse la honte, je ne veux pas que les gens commencent à se poser des questions sur elle.

- Surtout n'ose pas mêler ses frères à ça ! respectons la femme que Johanna est devenue et n'essayons pas de salir son image aux yeux de ses frères. d'ailleurs, les connaissant ils n'aimeront pas ce que tu racontes. Je te comprends, que tu t'inquiètes pour la vie sentimentale de notre fille cest normal ! mais ton approche est mauvaise, j'ai comme l'impression qu'à ce fait ce n'est plus son bonheur qui compte mais c'est plutôt ton honneur à toi qui te préoccupe le plus et ce n'est pas digne dun père.

On dit souvent que lorsqu'on s'est bâtit des principes et des objectifs il faut éviter d'exposer ses oreilles aux discours qui nous décourage et nous font douter et là, la discussion de mes parents en était un. Un discours auquel je ne voulais pas trop prêter mes oreilles. Pauvre maman ! je savais qu'elle sinquiétait pour moi, pauvre papa ! je savais que lui aussi malgré sa mauvaise approche s'inquiétait pour moi. Mais là, je navais pas le temps pour écouter ce genre de chose alors je continuai tranquillement à monter les marches pour rejoindre ma chambre pendant que mes parents en bas, au salon continuaient leur discussion.