CHAPITRE 202: CE QUI DOIT ÊTRE SERA

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 102 : CE QUI DOIT ÊTRE SERA.

**LOYD MBAZOGHO**

Nous rentrons tous les deux dans la maison que je ferme derrière moi avant de continuer avec elle jusqu’à dans ma chambre à coucher. On se regarde un moment avant qu’elle de prenne la parole.


Lucrèce : Je peux prendre une douche ?

Moi : Oui. (Prenant son petit sac que je pose sur un meuble) Viens.


Je lui montre la porte de la douche et le nécessaire pour prendre un bain.


Lucrèce : Tu peux me montrer lesquels sont tes produits ? Je n’aimerais pas utiliser ceux de Janaï.

Moi : Ils sont tous à moi.

Lucrèce : D’accord. 

Moi : Il y a des brosses à dents neuves dans le placard à ta gauche.

Lucrèce : Ok. (Se retournant) Tu peux m’aider avec la fermeture ?

Moi : Oui.


Je me suis rapproché, j’ai pris le soin de mettre ses longues tresses sur le côté avant de baisser sa fermeture jusqu’au bas de son dos. Elle m’a remercié et je suis sorti de la douche en la laissant à l’intérieur pour venir m’asseoir sur le lit. Je me suis attrapé le front avant de descendre ma main pour cacher mon visage. J’ai le cœur qui bat vite dans ma poitrine. En la voyant sortir de la maison tout à l’heure j’ai eu peur, peur de la perdre définitivement et sans réfléchir je suis sorti pour la rattraper. En même temps je suis supposé me marier dans 4 mois avec Janaï qui est actuellement à Port-Gentil dans le cadre de son travail pour un mois. Tout mon être veut être avec Lucrèce mais ma raison me dit que c’est une mauvaise idée en me mettant en face tous les blocages qu’il peut y avoir autour de cette relation. 


Moi : (Dans ma tête) Seigneur aide moi.

Lucrèce : Il y a un problème ?


J’ai levé ma tête pour la regarder et elle se tenait debout près de la porte de la douche toute nue. Je l’ai regardée en silence pendant un moment avant de prendre la parole.


Moi : Non.

Lucrèce : Loyd, je te connais et je sais que quelque chose te tracasse (se rapprochant de moi) Tu as changé d’avis ? Si c’est le cas, je peux toujours rentrer à la maison ou alors dormir dans ta deuxième chambre, maman a dit qu’il y a deux chambres. Je pourrais passer la nuit là-bas et rentrer le matin.

Moi : Je veux que tu restes ici c’est juste que je n’ai pas envie de faire du mal à Janaï, c’est quelqu’un de bien. 

Lucrèce : Je vois. On va faire une chose. Dans un mois je m’en vais en Belgique pour mes études comme tu le sais et si je ne me trompes pas je crois que Janaï sera à Pog pendant un mois n’est-ce pas ?

Moi : Oui. 

Lucrèce : Alors je te demande de m’accorder un mois. (Je la regarde) Je veux un mois pour être avec toi, juste tout les deux sans que personne ne le sache. Après ce mois je partirai et je n’essaierai pas de te contacter. Tu pourras ainsi réfléchir à l’orientation que tu veux donner à ta vie. Si tu estimes que ça n’en vaut pas la peine et que j’étais juste un caprice ou un fantasme que tu cherchais à assouvir et que c’est Janaï qu’il te faut alors tu n’auras plus besoin d’hésiter. Tu l’épouseras et je te promets que plus jamais je ne te dérangerai. Comme je te l’ai dit, je n’ai pas l’intention de devenir ta maîtresse alors je m’éloignerai. J’aurais peut-être mal mais j’aurais les 5 ou 6 prochaines années pour m’en remettre et passer à autre chose.

Moi : Tu es en train de me demander de t’utiliser ?

Lucrèce : Non Loyd, je veux mettre fin une bonne fois pour toute à la souffrance dans laquelle nous vivons depuis trois ans. Je n’ai pas envie de continuer à souffrir à cause de cet amour que je ressens pour toi ni passer le reste de ma vie à vivre dans le regret et à me demander ce qu’aurait pu être ma vie si nous avions pu être ensemble. À l’issue de ce mois, je serai fixée. Je saurai également si c’est un fantasme d’enfant sur lequel je me suis accrochée durant toutes ces années ou si c’est quelque chose de vraie. Et si jamais tu décides à la fin que c’est Janaï que tu veux, je pourrai au moins dire que j’ai essayé et ça n’a pas marché. Je continuerai ma vie sans aucun regret.

Moi : Et si c’est toi que je veux ?

Lucrèce : Tu sauras ce qui te restera à faire.

Moi : (Silence)

Lucrèce : Alors qu’est ce que t’en dis ? Tu es d’accord pour que nous soyons ensemble durant ce mois ?

Moi : (La faisant asseoir sur mes cuisses) Je suis d’accord.


On s’est regardé dans les yeux avant de nous embrasser. Elle s’est retournée pour se mettre à califourchon sur moi avant de nouer ses bras autour de mon cou. J’ai fait glisser mes mains le long de ses courbes et je me suis arrêté sur ses fesses que j’ai saisies de part et d’autre en la pressant contre ma virilité qui se faisait de plus en plus ressentir à l’intérieur de ma culotte. J’ai fini par détacher ma bouche de la sienne en pensant à un détail.


Moi : Je n’ai pas de préservatifs Reb.

Lucrèce : Comment fais-tu avec …?

Moi : Je ne l’ai jamais fait avec elle (elle me fixe dans les yeux) On attendait le mariage.

Lucrèce : Je vois. Je n’ai connu personne à part toi à SBG et je ne suis pas en mauvaise période.

Moi : D’accord.


J’ai repris ses lèvres pour poursuivre pendant qu’elle me retirait mon débardeur qu’elle a jeté au sol. Elle a pris mon visage en coupe tout en faisant des légers va-et-vient avec son bassin augmentant ainsi la grosseur de mon sabre. Je l’ai serrée dans mes bras avant de me lever et nous faire monter sur le lit pour la poser entre les oreillers. J’ai retiré ma culotte et mon calcif puis je suis revenu vers elle. Nous avons repris à nous embrasser pendant que mes mains caressaient son corps. J’ai laissé ses lèvres pour son cou puis de là j’ai glissé sur ses seins que j’ai pris en bouche tout en envoyant ma main plus bas dans sa cave. Elle était bien humide et prête à m’accueillir. Je me suis placé entre ses jambes et j’ai positionné mon sexe à l’entrée de sa grotte. J’ai fait quelques petits cercles là histoire de lubrifier mon sexe avec sa cyprine avant de m’insérer lentement en elle. Elle s’est cambrée en s’agrippant à ma taille et en gémissant pendant que je serrais les dents à cause de la sensation grisante que je ressentais. Le passage était assez étroit au début puis je me suis sentie aspirer jusqu’au fond de sa grotte. J’ai été pris de frissons.


Moi : (La serrant contre moi) Oh Seigneur Lucrèce.

Lucrèce : (Tremblant dans mes bras en gémissant) Ahn.

Moi : (La serrant d’avantage ) Seigneur ! Qu’est-ce que tu as mis dans ton sexe ?


J’ai l’impression de subir la pression d’une ventouse à l’intérieur de laquelle il y a des coussinets, la chaleur même à l’intérieur contraste avec la fraîcheur de son corps. Je ne peux pas faire long feu à l’intérieur, je vais vite jouir. J’ouvre les yeux et je la regarde, des larmes se mettent à couler sur les côtés de ses yeux et elle esquisse un sourire.


Lucrèce : (Dans un souffle) Je t’aime Loyd.

Moi : Je t’aime aussi Reb, je t’aime comme un fou si tu savais.


Je l’embrasse en commençant des va-et-vient en elle, elle soupire d’aise tout en gémissant contre mes lèvres. Je continue à me mouvoir en elle cette fois-ci en tournant les reins et elle me suit en ondulant les siens. Au bout de deux à trois minutes, la pression est forte dans mes bourses et je sens que je ne vais pas tarder à cracher ma semence. Pour éviter de la frustrer à cause de la petite durée du moment, je le lui dis.


Moi : Excuse moi Lucrèce mais je ne peux plus me retenir, je vais jouir.

Lucrèce : Vas y et oh mon Dieu…. Loyd.


J’ai senti son corps se contracter et elle m’a d’avantage serrer dans ses bras en me griffant dans le dos et en nouant ses jambes autour de ma taille. Son sexe a davantage aspiré le mien m’obligeant à libérer mon liquide dans ses parois en grognant. Nos respiration étaient saccadées et nos cœurs battaient à se rompre dans nos poitrines.


Moi : (Après un moment, respirant par la bouche et la regardant dans les yeux) Tu as joui ?

Lucrèce : (Dans le même état) Oui et j’ai aimé.


Nous avons souris tous les deux avant de nous embrasser et nous caresser mutuellement. Mon sexe a fini par sortir tout seul après s’être totalement ramolli. Je suis quitté sur elle et me suis mis sur le côté, elle s’est couchée sur ma poitrine pendant que je lui caressais le dos et les fesses.


Moi : (Caressant son visage de ma main libre) Ça va ?

Lucrèce : Oui et toi ? Tu ne regrettes pas ?

Moi : Non, je ne regrette rien, bien au contraire. J’ai tellement voulu et rêvé de te faire l’amour que j’ai même l’impression de rêver.

Lucrèce : (Souriante) Moi aussi. 

Moi : (Lui faisant un bisou sur le front) Je t’aime.

Lucrèce : (Souriante) Je t’aime aussi. 


Nous avons repris à nous embrasser jusqu’à ce que le sommeil nous surprenne (…)

J’ouvre les yeux et je ressens la présence d’une personne sur ma poitrine. En baissant la tête, je reconnais le visage de Lucrèce. Ce n’était donc pas un rêve. Je souris avant de caresser son visage et lui faire un bisou sur le sommet de son front, à la frontière de ses cheveux. Elle pousse un soupire dans son sommeil. Comme j’ai envie de me soulager, je la décale et me lève. Je jette un coup d’œil au réveil qui m’informe qu’il est 4h30 avant de foncer dans la douche. Je me soulage et finis par me brosser et me doucher avant de venir enfiler un caleçon et une culotte propre. Je jette à nouveau un coup d’œil sur le réveil et celui-ci affiche 5h10. Je récupère ma Bible et sors au salon pour ne pas la déranger. Je mets la lumière, j’allume un instrumental et je commence la prière. Mise à part le fait d’avoir eu des rapports sexuels hors mariage, je ne ressens aucune culpabilité, je ne vais pas essayer de me mentir en disant ci ou ça. C’est en connaissance de cause que j’ai couché avec Lucrèce et je le voulais pleinement en plus d’avoir aimé le faire. Je connais les implications que cela peut avoir comme nous l’avait expliqué le pasteur Lilian mais à vrai dire, cela ne me dérange pas d’être lié à elle. Je l’ai dit, je ne vais pas me mentir alors je ne perds pas mon temps à demander pardon à Dieu d’avoir couché avec elle parce que je sais que je le referai encore et encore. Je demande plutôt l’intelligence pour bien gérer ces choses et surtout le bon timing pour mettre de l’ordre dans tout le foutoir que j’ai créé sans pour autant que Lucrèce ne soit éclaboussée et qu’on l’accuse de quoi que ce soit. Je prie pendant quelques minutes avant de lire quelques versets bibliques. Quand je finis, je ferme tout et je retourne à la chambre. Il est presque 6h du matin. Je me recouche près d’elle et la regarde dormir une bonne vingtaine de minutes avant qu’elle ne se réveille. Elle se tire telle une chatte puis ouvre les yeux et tombe sur moi en train de la regarder un sourire sur les lèvres.


Moi : Bonjour.

Lucrèce : (Souriante) Bonjour.

Moi : Tu as bien dormi ?

Lucrèce : Oui et toi ?

Moi : Très bien.

Lucrèce : Tu t’es réveillé depuis ? Il est quelle heure ?

Moi : Je suis debout depuis 4h30 pour la prière et il est (regardant le réveil) 6h25.

Lucrèce : Il fallait me réveiller j’aurais prié avec toi.

Moi : J’ignorais que tu voudrais le faire. La prochaine fois j’y penserai.

Lucrèce : D’accord, laisse moi aller me soulager et me brosser.

Moi : Vas-y.


Elle s’est levée et est partie à la douche pour revenir quelques minutes après en enroulant ses tresses au dessus de sa tête. Je la regarde en souriant.


Lucrèce : Qu’est-ce qui t’amuse ?

Moi : (Souriant) Rien. Je trouve juste que tu es belle et que cette tenue te va à ravir.

Lucrèce : Je suis toute nue.

Moi : (Souriant d’avantage ) Justement, la nudité te va bien.

Lucrèce : (Souriant en me rejoignant sur le lit) Ah bon ?

Moi : Oui.

Lucrèce : (Montant sur moi) Et bien je suis contente de savoir que tes yeux aiment ce que tu vois.


Dès qu’elle finit de dire ça elle m’embrasse sur la bouche avec entrain et je lui réponds avec la même énergie en caressant son corps. Je ne tarde pas à me perdre entre ses jambes pour un autre round qui met beaucoup plus de temps que le précédent (…)

Moi : (La saisissant par la taille) Tu penses que tu auras le temps de nous faire vite un truc à grignoter avant d’aller à l’église ?

Lucrèce : (Ouvrant le frigo) Tu as d’abord quoi ici ?

Moi : Pas grand-chose. Mais il y a des œufs et des saucisses, il y a aussi du fromage si je ne me trompes pas. Mais je peux également partir acheter d’autres choses si tu veux, il y a une supérette non loin.

Lucrèce : Je veux juste des tomates et du lait d’amandes si tu en trouves. Profite aussi à prendre du pain ou des croissants.

Moi : Oui chef. 


Elle se retourne, noue ses bras autour de mon cou et m’embrasse.


Moi : (Souriant) En même temps je ne sais pas comment je vais faire pour partir si tu me retiens de la sorte.

Lucrèce : (Souriante) Ce n’est pas de ma faute si tes lèvres sont douces (se mordant la lèvre inférieure) Ça m’attire. Mais bon vas-y.


Je lui fais un baiser rapide et elle m’accompagne jusqu’à la porte. Je récupère mon portefeuille, mes clés de voiture et mon téléphone, dernier bisous et je m’en vais un large sourire sur les lèvres. Je grimpe dans ma voiture et je vais chercher ce qu’elle m’a demandé. En chemin mon téléphone sonne et c’est Janaï. Je laisse sonner jusqu’à ce que l’appel se coupe, j’arrive au même moment devant la supérette. Mon téléphone se remet à sonner et cette fois-ci, je décroche.


« Moi : Allô ? »

« Janaï : Bonjour mon cœur, je t’ai appelé tout à l’heure . »

« Moi : J’ai vu mais j’étais au volant, je ne pouvais pas décrocher. »

« Janaï : D’accord. Tu étais au volant, tu vas déjà à l’église ? »

« Moi : Non, je suis venu faire quelques courses pour le petit déjeuner. »

« Janaï : Ah d’accord. Sinon, tu as bien dormi ? »

« Moi : Je ne me plains pas. »

« Janaï : Moi j’ai rêvé de toi. »

 « Moi : Ah bon ? »

 « Janaï : Oui. C’était un rêve érotique dans lequel on faisait l’amour tout les deux. » 

« Moi : (Silence) »

« Janaï : Je sais que tu n’aimes pas trop parler de sexe depuis ce qui s’est passé au Ghana pour éviter d’avoir des idées en tête mais bon, c’est le rêve que j’ai fait et que j’ai voulu te dire. De toute les façons je suis à Pog donc il n’y a pas de risques de tentations. »

« Moi : (Silence) »

 « Janaï : Ça doit peut-être être l’approche de la date du mariage qui me fait rêver ce genre de choses. »

« Moi : Écoute Janaï, on en reparle plus tard car comme je te disais je suis venu faire quelques courses. Je n’ai pas la latitude de parler comme il faut, il y a des gens autour de moi. »

 « Janaï : D’accord. Bon se rappelle cet après midi. »

« Moi : D’accord. Bisous »

« Janaï : Je t’aime. »

« Moi : Ok »

Clic !Je me suis passé la main sur le visage en soupirant. J’ai pris quelques minutes avant d’entrer et faire ce pourquoi j’étais là. J’ai pris les articles avant d’aller à la boulangerie/pâtisserie juste à côté pour prendre des croissants et deux baguettes de pain. Mes courses terminées, je suis retourné à la maison et j’ai vu que la table était déjà dressée sans aliment. 


Moi : Bébé, je suis là.

Lucrèce : Je suis à la chambre.


J’ai posé les achats à la cuisine avant de la rejoindre, elle mettait ses boucles d’oreilles. Elle s’était déjà lavée et avait remis la robe bleue qu’elle avait la veille. 


Lucrèce : J’ai profité à me laver pour gagner en temps.

Moi : Je vois.

Lucrèce : Tu as tout acheté ?

Moi : Oui.

Lucrèce : Ok. Prend donc rapidement ta douche le temps que j’apprête les choses comme ça on pourra partir après avoir mangé vu que je dois encore aller à la maison pour me changer.

Moi : Ok. 


Elle m’a fait un bisou sur les lèvres et est sortie. Je me suis déshabillé et j’ai pris un autre bain. J’ai enfilé un polo et un jet avant de me  parfumer. En prêtant attention au lit j’ai vu que les draps avaient été changé et même la chambre a été rangée. À quel moment cette petite trouve le temps de ranger ?


Lucrèce : (M’enlaçant par derrière) C’est prêt.

Moi : (Me retournant)Ok, j’ai fini aussi.

Lucrèce : (Aspirant mon odeur) Tu sens bon et tu es beau dans ta tenue.

Moi : (Posant mes mains sur ses fesses en souriant) Merci. (Bisou sur les lèvres) On y va ?

Lucrèce : Oui.


Nous sommes allés nous attabler dans la bonne humeur et un peu plus tard, nous étions en route pour le fromager. J’ai garé à une petite distance de la maison et elle est allée se changer avant de revenir me trouver. On a mis le cap pour l’église où nous sommes arrivés avec quelques minutes de retard. Pour éviter d’attirer l’attention sur nous, chacun est rentré de son côté. Après le culte nous nous sommes tous retrouvés dehors. Lucrèce avait les jumeaux mixte de ya Leslie dans les bras.


Ya Leslie : Et donc tu viens avec nous ou tu vas retrouver tes amis ?

Lucrèce : Je vais retrouver les autres mamans, on se voit le soir à la maison.

Ya Leslie : Ok. Je ne veux pas entendre des bêtises là-bas hein ?

Lucrèce : (Souriante) Non maman, promis.

Ya Leslie : Ok, donc le reste c’est au 9 non ?

Moi : Sauf moi, j’ai un programme. Je ne pourrai pas passer la journée avec vous. 

Ya Leslie : Ok. On va même faire comment avec tout ce monde là ? (Regardant Lucrèce) Si je savais même, j’allais te dire de prendre la deuxième voiture en venant. Loyd aide nous au moins en transportant une partie des gens jusqu’au 9 avant de partir où tu pars pardon. 

Moi : Ok. Lucrèce stp, tu peux venir m’aider avec un truc ?

Lucrèce : Oui.


Je l’ai prise à part et lui ai remis la clé de la maison afin qu’elle aille m’attendre là-bas vu qu’on a décidé de passer cette journée tous les deux. Nous sommes revenus trouver les autres et on s’est embarqué dans les voitures pour le 9. J’ai  garé à la route car je ne voulais pas perdre du temps. Dès qu’ils sont descendus, j’ai dit au revoir et mis le cape pour la maison. Quelques minutes après j’y étais, j’ai croisé le monsieur qui est censé m’installer le portail qui m’a dit qu’il le fera en semaine et j’ai continué à la maison. À peine je me suis pointé devant la porte que celle-ci s’est ouverte sur Lucrèce vêtue d’un de mes t-shirt amples qui dénudait une de ses épaules et lui arrivait à mi cuisses. Ses tresses étaient relevées en un chignon haut avec quelques mèches qui retombaient négligemment sur son visage. 


Lucrèce : (Sensuelle et enroulant sa tresse sur son doigt) Salut beau brun, vous cherchez quelqu’un ?


Pour toute réponse je l’ai soulevé et nous sommes rentrés dans la maison. Elle a ceint ma taille avec ses jambes et noué des bras autour de mon cou. J’ai poussé la porte avec mon pied pour la fermer j’ai marché avec elle jusqu’au rebord du canapé où je l’ai posée. J’ai retiré son haut et elle s’est retrouvée en string avant de faire de même avec moi. Elle est descendu du coussin pour me baisser le pantalon et le caleçon avant de me prendre en bouche. Elle m’a pompé avec toute l’expertise dont elle seule à le secret et quand je n’en pouvais plus, je l’ai relevée, soulevée, mis son string sur le côté et l’ai pénétré de tout mon long en soupirant d’aise. C’est debout là que j’ai commencé à la prendre avant qu’on aille sur le canapé. Elle a retiré son string avant de se mettre en levrette. Je l’ai à nouveau pénétrée en la saisissant par les hanches pendant qu’elle tournait les reins pour accentuer notre plaisir. De cette position, je l’ai vu écarter ses jambes, de plus en plus jusqu’à atteindre le grand écart et se cambrer davantage en m’offrant pleinement son derrière et sa croupe. Quelques minutes après, elle m’a repoussé avant de se retourner pour me bloquer contre le fauteuil. Elle s’est empalée sur moi avant de tourner les reins à un rythme soutenu tout en se caressant les seins, suçant les doigts et giflant sur ses fesses. Bien qu’ ayant énormément de plaisir, je me questionnais sur elle. Elle a 19 ans, d’où est-ce qu’elle sortait ces choses ? Elle s’est penchée sur moi pour m’embrasser avant de me faire basculer sur le côté en levant une de ses jambes qu’elle a posé sur mon épaule. J’étais dépassée et au bord de la jouissance. Elle m’a une fois de plus fait basculer pour se retrouver en bas et moi en haut tout en maintenant ses deux jambes suspendues sur le côté. J’ai appuyé dessus et je me suis mis à mettre des coups en profondeur sous ses gémissements. Elle n’arrêtait pas de me crier d’aller encore plus au fond et qu’elle adorait ma queue. Elle s’est contractée en relâchant ses jambes juste au moment où je crachais dans ses parois à bout de souffle et les yeux fermés. Elle s’est mise à trembler en dessous de moi, me serrant contre elle jusqu’à ce qu’elle se calme. 

J'essaie de reprendre mes esprits après ce qui vient de se passer. Je suis complètement essoufflé et je transpire à grosses gouttes. J'ouvre les yeux et me redresse pour la regarder en me demandant intérieurement si cette petite a réellement 19 ans. Qui lui a appris des choses comme ça ? Malgré toute ma bonne volonté, je ne peux m'empêcher de penser qu'elle fait des choses comme les femmes que j'ai vu dans les rares films pornos que j'ai regardé plus jeune.


Moi: (Après un moment) Qui t'a appris à faire ?


Au lieu de me répondre, elle esquisse un sourire en coin avant de me faire basculer pour se retrouver au dessus de moi. Elle se penche ensuite et m'embrasse sur la bouche en frottant son sexe dans un mouvement de bas en haut contre mon sabre pour me signifier qu'elle en voulait encore.


Moi: (Dans ma tête) L'enfant là est dangereuse et risque de me tuer si je ne l'arrête pas...


FIN !

RDV DANS QUELQUES JOURS POUR L’ÉPILOGUE.


SECONDE CHANCE