Chapitre 24

Ecrit par Boboobg


.... Mirna Elongo.... 

Le corps lourd, les yeux au plafond, il m'a fallu plus d'une heure pour trouver la force de me lever du lit,récupérer mon téléphone et l'ouvrir. Plusieurs messages de gens que je ne vois pas la peine de lire. De ma collègue qui me dit qu'un de ses enfants a le palu donc elle ne pourra être là. 

Ding 

Sasa:<<bonjour ma belle, c'est un grand jour aujourd'hui. Nous sommes exités comme des puces ! >>

Je lui réponds que moi aussi en ayant une grimace sur le visage. Ce n'est pas que je ne veuilles pas me marier car j'adore cet homme. Juste le fait de savoir que demain je serai sa femme aurait pu remplir mon cœur de joie sauf que lui il ne veut rien savoir de moi. 

Pas un seul message ou appel pour avoir des nouvelles de nous. Je me suis retrouvé plusieurs fois, à pleurer en attendant que monsieur appelle ou qu'il apparaisse devant ma porte disant qu'il est là pour prendre connaissance de la santé de la grossesse. Mais ça n'a jamais été le cas, il a la rancœur tenace c'est sûr. 

Même mes tantes et cousines qui sont là, n'arrêtent pas de faire des messes basses et de rire sous cape de moi. Normalement je m'en foutrais mais avec la grossesse et ses hormones, ça m'atteint au point d'en pleurer de rage. 

Donc je fais mon lit et dépose le téléphone dessus avant d'aller m'enfermé dans la salle de bain. Aujourd'hui c'est ma dote et je dois etre heureuse pour la santé de mes bébés et aussi pour fermer leur gueule à toutes ces connasses qui me servent de famille.  

Belle maman(Anna) m'a concocté des feuilles avec lesquelles je prends mes bains depuis deux semaines et aujourd'hui n'est pas exception. Je ressors de la douche propre et rafraîchi. 

Maman m'attendait sur le lit avec mes deux vêtements de la journée bien repassé. 

Mama(me regardant) : je ne vois pas pourquoi tu dois te marier avec ton gros ventre. Vraiment je ne comprends pas cette famille là Béni ! 

Moi: maman s'il te plaît pas aujourd'hui ! 

Maman : na lobi kaka (j'ai seulement parlé). Ça fait des heures que la coiffeuse envoyé par ta belle sœur est là ! 

Moi: haï mais pourquoi personne ne m'a réveillé ? 

Maman (sortant) : pour que tu cris sur les gens ? 

J'ai mis un boubou et je suis sortie lui demander ainsi qu'à l'esthéticienne de me rejoindre. 

On a fini avec les tresses à quinze heures, tellement fallait faire des pauses pour que je manges ou que je me degourdisse les jambes. La vie de femme enceinte est trop pénible quoi ! 

C'est au environ de seize heures que le bruit des sirènes de voitures annonçant l'arrivée de la belle famille s'est fait entendre dans tous le quartier. Vane est venu en courant me montrer avec son téléphone, le cortège qui se trouvait devant le portail. J'ai remercié le ciel d'avoir quand j'avais eu un peu de moyens arranger cette parcelle, sinon ils nous auraient pris pour les pauvres que nous sommes ( rire) . 

C'est Salomé qui a tout géré. Un grand chapiteau blanc fermé et climatisé à été placé dans la cour. C'est à l'intérieur que ce déroulera la cérémonie. A cause de mon état, ils savent que le palabre doit durer moins de temps qu'à l'accoutumer. 

Mais contrairement à ce que je pensais, c'est après deux heures que l'on est venu me chercher. Deux heures, je dormais même déjà sur mon lit. Il a fallu qu'on retouche mon maquillage. 

Je suis sorti derrière les filles qui dansaient sur un son traditionnel. Je ne fesais que des petits pas pour avoir l'air de les accompagner. J'ai vidé mon esprit et j'ai plaqué un sourire colgate sur mon visage. Une femme qu'on épouse est sensé être heureuse et j'exploserai de joie aujourd'hui. 

On m'a mis au milieu de la pièce et l'homme qui se charge de parler pour ma famille m'explique que cet homme (Grâce) est venu m'épouser. Il me montre ce qu'ils ont donné pour ça et me demande si je le connais. 


On le demande de servire à boire et d'aller le donné à mon père. Un sentiment de rage s'empare de moi. Ce n'est pas ce soûlard qui va me bénir Ho ça non. 

J'ai servi la boisson dans un verre et je suis allé m'agenouller devant ma mère. Un bruit d'étonnement à suivi ce geste. Mais je m'enfoutais, c'est ma dote et je fais ce que je veux. 

Maman m'a béni en ayant les larmes dans les yeux et Elongo n'a rien dit, il me connaît assez pour savoir que je suis capable de tout. 

C'est après avoir servi ma mère que je suis allé vers lui et après ça je suis allé devant Grâce. Seigneur, comment le mec me regarde, on dirait qu'il va me tuer dans peu. 

Je me suis agenouillé malgré mon ventre et lui ai présenté le verre qu'il m'a presque arracher dès main pour le boire tout seul. La famille a applaudi et tous le monde a demandé le bisou. 

Fallait voir Grace amarré son visage comme un navire de guerre après combat. Avec un gros sourire, je l'ai embrasser contre son gré et ce sont les cris des filles qui en suivi. C'est mon mariage, je fais ce que je veux, qu'il me tue avec ces enfants. 

C'est après ça que j'ai pu m'asseoir et les fête à enfin commencé. La musique, le vin, la nourriture, je n' ai jamais vu autant à un mariage. 

Moi: Grace je suis contente que tu sois venue, j'avais peur que tu ne viennes pas ! 

Grace (froid) : c'est pacrque ma tante m'y a obligé que je suis là et non pour toi ! 

Je n'ai pas voulu continuer la discussion de peur qu'il m'insulte devant tout le monde. 

La fille (m'embrassant) : bienvenue dans la famille Mirna, moi c'est Céleste la fille de la méchante sorcière ! 

Moi(rire) : belle maman Sirani a dit la même chose quand elle est venue me voir ! 

Céleste (rire) :attend, il y'a la sorcière qui n'est pas là mais elle arrive, c'est ta belle sœur céleste ! 

Moi : oui un peu du genre ! 

Céleste :tu es magnifique ! 

Moi: merci et toi encore plus. 

Céleste : tu es fatiguée ? 

Moi:non, je dormais avant qu'on ne vienne le chercher. 

Grace semblait ne pas faire cas de notre discussion. 

Moi(la regardant) : mon père regarde ta mère bizarrement ! 

Céleste :après le coup que tu lui a fait, je penses que tu es plus come la fille de Sirani c'est pour cela qu'il l'a regarde ! 

Moi(rire) :non c'est n'est pas ça, on dirait qu'il se connaisse. 

Céleste :tu sais quoi ? C'est leur problème, comme tu n'es pas fatigué on va danser ! 

Elle m'a tiré de mon fauteuil douillet pour la piste où tout le monde l'a déserté en nous laissant toute les deux. C'est sur le son Aye de Davido que j'ai commencé à bouger mon gros cu. Mama ça fesais trop longtemps. 

Et à ma grande surprise, tous les hommes de ma belle famille ainsi que leur père et aussi le grand père sont venus m'encercler. Je ne savais pas ce qui allait se passer avant qu'une pluie de billet violet (dix milles francs cefa) commencent à s'abattre sur moi. Fallait entendre mes cousines crier n'en croyant pas leur yeux. Merde, j'ai même oublié que j'avais un ventre énorme que j'ai commencé à bouger le cu comme personne. 

Si on m'avait dit que j'allais ainsi m'enjailler, je n'allais pas le croire. 

C'est toute fatigué et épuisé que je suis allé m'asseoir sur le fauteuil qui n'était plus occupé par Grâce. Je l'ai cherché du regard mais le mec n'était nulle part. 

Vane (s'approchant) : j'ai tout récupéré avant que les vautours ne s'en charge. Maman garde le sac dedans. Et puis c'est toi qui cris ici que tu es fatiguée, c'est qu'elle façon de dancer avec indécence comme ça devant sa belle famille ? 

Moi(rire) :laisse moi, après tous les malheurs qui m'arrivent, j'ai envie de croire en la vie. Je veux être heureuse petite sœur et personne, je dis bien personne ne va m'enlever cette joie de vivre. 

Moi(sautillant en tenant les pieds) : maman est trop belle ! 

Moi: toi aussi la puce. 

Je cherche Grace du regard et ne le vois nulle part, je penses que je dois le retrouver. Il faut qu'on parle. Si on est sensé vivre ensemble, on doit mettre les choses au plat. Oui j'ai merdé, je l'ai trompé et menti mais on va avoir des enfants ensemble et nous sommes mariés et même s'il ne m'aime pas, nous sommes liées à jamais. Pas seulement à travers ce mariage mais à travers aussi ces deux êtres qui me donnent des coups. 

Je sors de la tante quand maman vient à m'en encontre. 

Maman: ton père à commencer à boire donc je vais demander à tes frères de l'emmener ailleurs car il raconte déjà des bêtises ! 

Moi(rire) :et c'est à ça que vous vouliez que je prennes ma bénédiction ? Et il raconte quoi ? 

Maman: que l'une de tes belles mères est sa femme que c'est avec elle qu'il devrait être marié. 

Moi(rire) :qui ça maman Anna ? 

Maman(rire) :non l'autre, Sirani ! 

Moi(rire) : ton mari a un problème ! 

Maman:je te dis. Mais ou tu vas ? 

Moi : me soulager maman ! 


... Grâce Alfred Mbolo. 

La voir ainsi joyeuse avec ma famille pendant que je suis entrain de passer la journée la plus merdique de a vie, m'enrage d'une manière étrange. 

Elle se trémousse sur la piste comme la femme vulgaire qu'elle est. Cela me conforte encore plus dans l'idée qu'elle a sans doute fait exprès de tomber enceinte de moi. Car oui, depuis que nous venons de lier nos vies, j'arrive à voir les fœtus en elle. C'est sans doute la raison pour laquelle je ne suis pas encore parti d'ici. 

Elle ri avec toute ses dents avec les membres de ma famille et je me sens bouillir de l'intérieur. Cette femme m'a fait souffrir comme jamais personne auparavant et aujourd'hui je suis plus que liée à elle. 

Je serai contraint de croiser chaque matin à mon réveil, le visage de cette traîtresse. A cette pensée, la pression en moi augmente et ma montre s'arrête de fonctionner. Je dois m'aérer, sinon je risque de lui porter main. 

Je quitte le fauteuil d'honneur sur lequel j'étais depuis le début de la cérémonie sans attirer l'attention car ne voulant pas participer à leur dance et à cette représentation de pouvoir que fait les gars. Je sors de ma tente et entreprendre de faire les cent pas. 

Voix derrière moi: vous êtes de loin le marié le plus triste que j'ai eu à voir ! 

Je me retourne sur une femme assez mignonne qui me regarde avec des yeux brillant. 

Moi:de quoi je me mêle ? 

Elle:de rien juste que vous avez tellement débourser pour épouser ma cousine que te voir ainsi triste et en colère me fait du mal ! 

Moi: et tu es qui ? 

Elle: moi c'est Justine, la fille de l'oncle maternelle a Mirna. En principe, na za matabish na yo vu que tu as épousé notre sœur. 

Moi(intéressé) : et qu'est ce que tu crois pouvoir faire pour enlever cette tristesse et cette colère ? 

Elle me dépasse dans une déhanché endiablé puis s'arrête. 

Elle: si tu me suis derrière, je pourrai te le montrer. 

Moi(souriant) :ok

Elle disparaît derrière lui studio de celle là pendant que moi je la suit en surveillant que personne ne me voit. C'est quand même le jour de ma dote lol. 

Dès que nous sommes hors de vu des regards indiscret, je la colle contre le mur et plonge mon visage dans son décolleté un peu trop mis en valeur. Elle grogne et se retourne en me présentant ses fesses tout en les bougeant contre ma virilité. 

Elle: je veux que tu me prennes comme ça ! 

Moi(enjoué) : tu t'offre donc au mari de ta sœur ? 

Elle: c'est juste ma cousine et nous sommes loin d'être proche.

Moi (me dégageant) : ça se voit. Mais c'est mon mariage vois tu et je n'aime pas les choses honteuses, je suis quelqu'un dans ce pays. 

Elle(me carressant les cuillers à travers mon pantalon. 

Elle: je ne dirai jamais rien tu sais, je sais qui tu es et le rang de ta famille. Je ne gagnerai rien à salir ton image, toi qui vient de nous nourrir et nous honorer ainsi. Je rend juste service à ma cousine qui avec son ventre ne pourra certainement pas bien satisfaire son épou. Même si tous dans la famille savons qu'elle ne le mérite pas. 

Moi: et pourquoi donc ? 

Elle: ho c'est juste que c'est une fille orgueilleuse qui se prend pour la reine parce qu'elle est belle et qu'elle attire les hommes riches. Mais c'est qu'une pute qui fait des enfants à tous les mecs pour les retenir ! 

Moi : et si on arrêtait de parler de ma femme janine. 

Elle(rire) : Justine mon coco ! 

Moi:alors Justine que voulais tu me montrer ? 

Elle se retourne encore et soulève sa robe en pagne. Elle avant de décaler son string en me présentant sa chatte luisante. 

Elle: prend moi ici, j'ai envie de savoir ce que ça fait que d'avoir un homme tel que toi dans sa vie ! 

Je fouilles dans mes poches à la recherche d'un préservatif mais rien. 

Elle: tu n'en a pas besoin, je n'ai aucune maladie ! 

Moi: j'ai déjà une femme enceinte, inutile de courir d'autres risques. Bonne soirée ! 

Elle(s'attaquant à ma ceinture) :alors laisse moi prendre soin de toi. 

Elle descend mon pantalon ainsi que le caleçon que je porte jusqu'au genoux pendant qu'elle englouti en un coup mon engin. Je le sens s'engouffrer jusque dans sa gorge et pousse un râle de plaisir. Non mais c'est une mangeuse d'homme ou quoi celle là ? 

Nous restons ainsi pendant tout le temps que dure sa besogne. Moi tête contre le mur, une main remontant ma veste et l'autre imposant un rythme à sa tête,jusqu'à ce que je déverse mon jus chaud dans sa bouche. Elle avale le tout sans brancher et nettoie convenablement celui ci avant de élève sourire . 

Moi: t'es une vraie sacrée salope toi ! 

-oui une vraie salope!

On se retourne tous les deux sur une Mirna dévasté. Le regard qu'elle pose sur moi, traduit de la déception et tout à coup je me sens heureux oui heureux de ce mariage. Car cela m'a permis de me venger et de voir cette même tristesse qu'est la mienne sur son visage au contraire de ce sourire radieux qu'elle avait. 

Mirna s'approche dangereusement de nous pendant l'ajtre, je ne sais plus comment elle s'appelle passé derrière moi. Je fais office de barrière entre les deux. 

Mirna (essuyant une larme) : dis moi ce que je t'ai fait Justine pour que toi ma cousine me fasse ça le jour de mon mariage en plus?

Justine : tu veux que je te dises quoi, tu ne mérite pas ce mariage. Qui a été doté avec autant d'argent dans cette famille hein ? Pourquoi toujours vouloir tout faire pour nous montrer que tu es au dessus de nous ? Voilà, j'ai baiser ton mari, faut encore venir bomber le torse Elongo ! 

Mirna(la fusiallant du regard) : tu as de la chance qu'aujourd'hui (regardant son ventre) je ne sois pas en mesure de te traiter comme la chienne que tu es mais je jure sur la tête de mes enfants que je te réglerai ton temps ! 

Justine(s'agitant derrière moi) : mais viens, viens ! Tu peux me faire quoi ? D'ailleurs il ne t'aime même pas car il ne m'a même pas fallu discourir pour avoir sa queue dans ma bouche. Et tu sais, mamaeh c'est un gros morceau que tu as là, je comprends comment ton ventre est devenu aussi gros ! 

Mirna à foncé sur elle et je l'ai bloqué. Elle s'est arrêté net quand mes mains ont touché sa peau. Elle me regarde dans les yeux comme si elle lisait en moi mais c'est moi qui lis dans les gens même si là je sais que les enfants m'ont empêche. J'aurai tellement aimé connaître l'étendu de la douleur que je lui cause ainsi. 

Moi: retourne à la fête ! 

Mirna(a regardant) : je t'aurai Justine ! 

Elle tourne le dos et s'en va avec sa démarche de canard. 

Justine : merci de m'avoir protégé bébé. 

Moi:bébé ? C'est qui que tu appelle bébé ? 

Justine (perdue) :mais on vient de... 

Moi(menaçant) : on vient de rien tu m'entends ? Rien ! Si j'ai accepté de plonger mon organe sans ta bouche, c'est parce que tu étais là à ma disposition au moment où j'avais besoin d'évacuer la pression sinon, quand tu vois ma femme, vous vous ressemblez ? 

Justine :.. 

Moi: voilà ! Alors (posant des billets de banque sur son front) : voilà l'argent pour ton travail de pute ! 

Je m'en vais en la laissant là, mais elle croyais quoi cette cruche. 


... Mirna Elongo.... 

Quand j'ai vu ma cousine Justine défaire la ceinture de Grâce, j'ai voulu crier d'horreur mais je ne sais pourquoi je suis resté là, derrière le mur à la regarder sucer mon mari. 

On ne sait jamais entendu celle là et moi car comme toute les filles de la famille, elle est jalouse de moi. Jalouse que j'ai été plus loin à l'école, jalouse que je travaille et aujourd'hui jalouse qu'on m'ai ainsi honoré. 

Lui(ferme) : retourne à la fête!

Je le regarde et malgré ce qu'il vient de faire, je n'arrive pas à le détester. Je ne veux même pas penser qu'il l'a fait car pour moi, c'est ma cousine la fautive et je lui réglerai son compte dès que je serai seule dans mon corps. 

Je repars dans la tente avec une tête d'enterrement dont je fais passé à ceux qui me posent la question pour de la fatigue. C'est ainsi que belle maman sirani demande aux filles de m'accompagner dans la maison de leur frère. J'ai voulu faire une objection mais elle m'a mal regardé avant de me dire que des mariés vivent ensemble et non chacun de son côté. 

C'est ainsi que je me suis retrouvé à zéro heure toute seule dans la maison où il y'a quelques mois, on me poussait à la porte à cause de ma tromperie. 

J'ai rejoint la chambre où j'ai trouvé un string et des préservatifs usagers sur le tapis blanc. J'ai poussé mes valises dans un coin, me suis changer en mettant un boubou simple et avec les détergent de la salle de bain, je me suis mise à nettoyer comme si ma vie en dépendait. 

J'ai changé les draps, nettoyer toute la maison. Une maison de trois chambres, deux salons, bureau et cuisine ainsi que toutes les toilettes. C'est épuisé que je me suis mise sous la douche et que d'un coup j'ai explosé en larmes. 

J'ai pleuré pendant de longues minutes avant de me sécher, mettre le split en marche et rouler mon gros corps dans la couverture. Il est cinq heures sur le réveil et Grace n'est pas rentré. 

Je veux encore pleurer mais il semble que les larmes ont assez coulé sur mes joue car je n'arrive plus à en sortir une seule. J'hurle mon désespoir en étouffant mon cri sur le coussin avant de ramener la couverture sur ma tête et de fermer les yeux pour un sommeil sans rêve. 




Indélébile