Chapitre 24 : l’amour
Ecrit par Nifêmi
Chapitre 24 : l’amour
Elle me rend la pareille. Elle me fait une fellation incroyable. Mon corps propre lui facilite la tâche. Sa langue se balade sur mes balles. Elle les avale aisément. Nom d’une pipe, elle est très experte pour son âge. Le bout de sa langue fait pression sur mon périnée, je sursaute. Jamais je n’ai laissé une femme allée là-bas. Elle insiste, je lui dis non gentiment. Elle sourit et me dit :
Elle : je me suis laissée faire sans résister. Alors à ton tour, montre-moi le grand garçon que tu es !
Moi : qui t’ai appris tout ça ?
Elle : si tu n’aimes pas j’arrête, c’est mieux
Moi : non ! Non ! C’est juste que je suis très sensible et …
Elle : c’est le but… fais-moi confiance chéri
Je la laisse faire. Elle y va lente et doucement, je sens sa salive coulée. Elle revient sur mon pénis et me pompe pendant un instant :
Elle fixant mon pénis : la vache, tu es membré… c’est une anomalie ça !
Moi : cette anomalie est le pur bonheur des femmes.
Elle passe sa langue sur ma verge et la suce comme un loli-pop. Je ferme les yeux pour mieux en jouir. Sa langue me procure du bien. J’admets je l’ai bien gros, je ne l’ai pas non plus demandé, c’est juste un don de la nature. Rare sont les femmes qui savent s’y faire avec mon sexe. Foumi prend son temps. J’adore son jeu de long de ma verge. Elle fait des allers retours de ma verge aux bijoux de famille.
Sa langue me lèche l’abdomen au nombril. Elle me mordille, je gémis. Mon gémissement fut apparemment le top départ pour que je subisse d’autres petites morsures jusqu’au téton. Elle me pince les tétons tout en me fixant droit dans les yeux. Je sens un coup de vent passé dans la chambre, j’ai froid. Elle m’embrasse tendrement, me passe sa langue au lobe de l’oreille droit. Elle abandonne mon lobe pour me laisser une marque succion au cou. C’en est trop. Je dois la basculer sur le côté et l’a culbuté.
Je joins le geste à la pensée et je me mets au-dessus d’elle. Je suis hyper tendu, plus besoin de le guider vers sa cave, il reconnaitra le chemin seul. Ma verge déjà sur sa vulve, continue jusqu’à son vagin qui semble difficile à s’ouvrir à moi. Elle se crispe ! Je transpire je ne comprends pas. Pourtant je l’ai déjà pénétré sans complication. Phénomène étrange avec ses femmes.
Moi voix basse et douce : laisse-moi faire, n’aie pas peur
Elle calme : j’ai très envie de toi.
Je l’embrasse et en introduisant deux doigts en elle. Elle se dilate peu à peu. Je la sens mieux humide.
Moi : ton désir transpire déjà chérie
Elle : prends moi alors, je voudrais te sentir en moi, je n’en peux plus.
Je réussis à entrer en elle, à mon plus bonheur. Mes va et vient sont d’une lenteur jouissif. Elle ondule tout son corps, et je n’arrête pas de transpirer. Elle ferme ses yeux, elle est juste magique. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je lui fais l’amour lentement, en missionnaire. Je ne compte pas la brusquer. Je me retiens autant de fois que je peux pour ne pas exploser en elle mais l’intérieur me serre le long et du pénis et m’aspire.
Moi : ton sexe est doux comme de la soie, je t’ai dans la peau.
Elle : tais-toi et baise moi !
Je me retire pour ne pas jouir. Je cache mon trouble en l’embrassant à nouveau. Elle tend sa main dans mon entrecuisse pour me caresser le sexe. Sa mouille faisait le faisait glisser dans sa main, j’aimais bien jusqu’à ce qu’elle me fasse enter encore dans sa douce soie. Bon sang ! Je ne peux plus aller lentement. Je la retourne, et la mets en quatre pattes. Pour bien finir, ça nécessite une levrette. Je la culbute sans la ménager, je le fait malgré moi. La jouissance est proche. Elle crie de plaisir. Elle chante mon nom :
Elle : vaaaldoo ! Vaaaaldooooo ! Aaaah !!! Ouiii ! Vas-y ! Continue !!
Moi : oui chérie ! Je suis à toi !
Cette position la met en transe ! Mes balles se balancent au rythme de mes va et vient, lui touchent régulièrement le clitoris, ce qui lui fait crier de plaisir. C’est incroyable ! Je prends du plaisir à lui faire l’amour, et je ne veux pas que cela s’arrête. J’aimerais rester dedans sans en sortir. Mais je me leurre. Je sens mon pénis gonfler et je me vide en elle en poussant un grognement. Je grogne pendant… je ne sais plus ! Une éternité ! Je n’ai jamais connu ce plaisir. Je m’affaisse sur son dos, elle s’allonge sur le ventre. Nos cœurs battent rapidement. Je sens encore l’orgasme me secouer. Je n’en reviens pas…
Moi : je t’aime Foumi ! Je t’aime
… et je viens de dire l’impensable à une fille de 19 ans…que dis-je ? À une femme ! Les femmes que j’ai connues ne lui arrivent pas à la cheville. Foumi est une femme : aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années.
Elle : tu viens de dire que tu m’aimes…
Moi gêné : excuse-moi je n’aurais pas dû le dire comme ça. Mais laisse-moi te dire une tu occupes mon esprit depuis le fameux soir où…
Elle : ne m’en parle plus
Moi : d’accord, mais ça nous a réuni tu sais !
Elle : tu me plais aussi, mais jusqu’à te dire que je t’aime…
Moi : chuuuut ! N’en parlons plus. Viens dans mes bras, on va se reposer pour récupérer.
Elle : d’accord ! Mais moi je ne suis pas venue pour dormir.
Je ris, elle est drôle celle-ci ! Elle est spéciale Foumi. Je me dégage de son dos, elle vient se lover dans le creux de mon aisselle gauche. Je l’enlace…
------Sersey-----
Assise sur le lit, je réfléchis. Je me suis faite virée et lui aussi. Et monsieur trouve le temps de faire l’amour et de dormir. Il est insouciant lui. Je le regarde dormir, il est si beau et fort. Je l’aime de tout mon cœur, mais mon cœur refusera une autre trahison. Je dois en savoir plus sur cette affaire avec cette dame. Je le secoue pour le réveiller.
Lui : ‘’J’’ se repose ! Tu l’as bien fatigué
Moi : tu m’énerve avec ton ‘’J’’… je veux maintenant des explications sur ceci
Lui : il est presque 3heures du matin ! Et tu me réveilles pour ça ? quand-même !
Moi : tu vas où le lendemain ? Ton faux travail en ville ? Pardon debout !
Lui se redressant : tu as envie d’entendre des choses qui vont te blesser le cœur pour rien !
Moi : Vas-y ! Je t’autorise à me blesser !
Il me raconte tout ce que je veux savoir sur les Minnies de Disney ! Quelle histoire ? Je suis étonnée. Il aurait pu me dire ça et ensemble on allait gérer ça. Je comprends mieux maintenant. En quoi ça peut me faire mal ! Vraiment les hommes avec leur vie secrète. Et merde ! C’est ma faute si je l’ai fait virer. J’ai vite parlé. Et alors ! Il m’a envoyé demandé au boss.
Lui : voilà c’est tout !
Moi : pourquoi ? Pourquoi ? Tu ne m’as jamais parlé de ça ?
Lui : …
Moi : tu vois ! On s’est fait virer bêtement !
Lui : c’est ta faute !
Moi : tu m’as envoyé lui demander…
Lui : et bête que tu es, tu es allée vraiment demander !? Tu nous as fait rater des opportunités.
Moi : tu parles de quoi ?
Lui : j’ai parlé de toi à Eva, soit disant que tu es la petite sœur à ma mère qui cherche un capital pour se lancer dans son commerce. Elle était venue me remettre les sous quand tu t’es pointée. Et tout est gâté. Et depuis son numéro est éteint.
Moi : je t’accuse jersey ! Tu aurais dû me parler ! Tu sais bien ce que fais comme travail, et pourquoi tu ne m’as pas dit le tien !
Lui : tu sais ce qu’on appelle ‘fierté masculine’’
Moi : trchuuum !
Je m’allonge pour dormir ! J’en ai assez entendu !
Lui : je savais que tu ne savais pas !
Je l’ignore… un inconscient comme ça !
----- Souli----
La maison est vraiment vide sans les filles. Il n’y a que Sahara, Lola et moi. Tem refuse de revenir et Foumi est allée passer la nuit avec son Valdo. Son cas est le dernier de mon soucis actuellement, apparemment Valdo est correcte. Mais le cas de Temi me préoccupe tellement. Elle refuse d’écouter Lola malgré tout. Lola ne mange plus, et se cloitre seule dans sa chambre. Dieu merci Jack n’est pas au courant.
Il est 5 heures, on vient de rentrer. Comme d’habitude Lola va s’enfermer dans sa chambre. Je fermais le port de l’appartement quand j’entends quelqu’un cogner, j’ouvre et je tombe sur Nick :
Lui : bonsoir ou bonjour désolé Souli ! Je… s’il te plait, j’aimerais parler à Lola !
Moi le toisant : je suis fatiguée et tu m’énerves. Par ta faute, mes sœurs se sont séparées et tu oses venir me dire que tu veux parler à Lola ! Tu n’es vraiment pas bien toi !
Lui : je te jure ! Je n’ai rien à avoir avec tout ceci ! Et je ne savais pas que Temi était attirée par moi !
Moi le regardant du bas vers le haut : elles te trouvent quoi même ?
Lui :…
Moi le toisant : si tu veux parler à Lola, tu connais son numéro appelle la !
Lui : elle ne décroche pas et finalement elle m’a bloquée après avoir rompu avec moi ! je ne sais pas ce que j’ai fait mais je dois lui parler.
Moi riant : ahahahaha ! Quand ça commencé entre vous et c’était bon, as-tu demandez mon intervention ?
Lui exaspéré :…
Moi : bien ! Si tu réfléchis bien, tu ne penses pas qu’elle a raison de prendre du recul pour régler la situation avec sa sœur ! Tu es égoïste hein !
Lui avec une lueur d’espoir aux yeux : du recule !! Ça me rassure !
Moi : toi tu es trop con et mes sœurs aveugles ! Ce n’est pas ta faute.
Je referme la porte pour me vautrer au salon en soupirant à peine que Foumi fait aussi son entrée.
Foumi souriant: salut Souli ! Et la soirée ?
Moi : huuuum ! La Foumi ! Tu vis bien hein
Foumi : non ! Ce n’est pas ce que tu crois !
Sahara qui sort de nulle part, sourire aux lèvres.
Sahara : et qu’est-ce qu’il faut croire ? J’ai entendu le bruit d’une voiture lorsque j’étais dans la cuisine, c’est toi on a déposé ici ?
Foumi souriant : oui ! C’est Valdo qui m’a déposé ici. Il s’est dit que ce n’était pas sécurisant que je rentre seule.
Sahara : huum ! Il sait de quoi il parle ! Surement sa conscience lui parle !
Foumi : ne dis pas ça ! Il n’est pas comme tu penses !
Sahara : waouh ! Tu le défends ! Toi tu n’es pas catholique ! Vous avez surement gâté son lit cette nuit ! J’imagine l’état des draps !
Je ris tellement fort que j’ai eu mal au ventre.
Foumi : ahahahaha ! Pardon, penses tout ce que tu veux ! Et Lola ? J’ai vu Nick discuter avec toi quand je refermais le portail.
Je leur fais rapidement le résumé de ce que Nick est venu faire. J’avoue que je suis triste pour Lola.
Sahara : qu’est-ce qu’on peut faire ?
Foumi : et Lola ?
Souli : tu le sais ! Toujours enfermée.
Foumi : on ne peut pas continuer …
Foumi ne finit pas sa phrase lorsque Temi ouvre la porte et entre. On la regarde comme si on rêvait. Foumi se lève la première pour lui sauter au cou.
Sahara : quelle surprise Temi !
Moi : Temi ! Enfin, te revoilà
On était en joie, le bruit de notre jubilé sort Lola de sa chambre.
Lola : Temi !
Lola se met à pleurer et se met à genoux. Temi se sépare de nous et va aider Lola à se relever en la serrant dans ses bras. Une scène émouvante.