Chapitre 25

Ecrit par Hübsch

C'est qui le fou qui a dit un jour qu'il faut travailler pour gagner sa vie. J'ai mal partout et j'ai même perdu du poids .Des défilés par ci des privations  par là et il faut garder la tête haute.sourire et paraître. Ce métier est vraiment épuisant mais ça a aussi des avantages. C'est dans les diverses soirées qu'on rencontre souvent des gens qui ont la classe. Des hommes plein au as comme on le dit. Un dernier défilé et on pourra enfin faire une pause.je pourrais enfin me reposer et prendre soin de ma foufoune. Je suis en manque de sexe et ça me met tellement de mauvaise humeur. 

_Julie cesse de rêvasser et bouge ton cup pour la répétition. 

Allez les filles 1,2,3 allez la démarche  souriez. Voilà !  Fantastique ! Bravissimo s'ecriait Eddie notre coach gay. Julie c'est quoi le problème tu traînes les pas. Ne m'oblige pas à te mettre derrière pour le défilé de Demain. On est tous fatigué les filles .Allez on reprend avec un peu de musique. Un petit effort le dernier tour et vous pourrez tous avoir le repos que vous méritez. 

Ohrrrrr il m'énerve. J'ai mal partout., j'ai des courbatures et mes pieds ne tiennent plus à force d'être resté trop longtemps debout.

Moi personnellement je trouve qu'il est une honte pour le sexe masculin. Il a un corps si parfait à damner les saints. Un corps et une bouche qui ferait des merveilles mais il a choisi d'être gay .Quel gâchis. 

Enfin le dernier défilé. Je ne sais pas mais j'ai toujours aimé sentir les projecteurs sur moi. Le meilleur pour la fin dit on. Et c'était moi qui devait la porter l'ultime robe. J'adore être le centre d'attention. Mon corps en harmonie avec la robe eu l'effet escompté. Les gens applausissaient.La soirée fut un total succès. Ouf je vais pouvoir respirer. J'étais entrain de siroter une coupe de champagne quand un homme s'approcha de moi. Apparemment il est pilote. Je me suis passé des présentations.La seule chose que je voulais en cet instant précis c'était sentir quelque chose en moi.  Heureusement que je m'étais changé en quelque chose plus simple. Par simple je veux dire facile à enlever. Je lui fis signe de me suivre ce qu'il fit sans protester. Au moins il était consentant. Je l'entraîne dans les toilettes et verrouille la porte. Je lui tendit un préservatif et il ne se fit pas prier. Pas le temps pour les préliminaires. Il s'enfonca en moi en me titillant les tétons au passage. J'étais adossée au mur alors je remercierai son corps d'athlète qui supportait mon poids. Des coups de reins violents comme je les aime. Lorsque tout deux on n'arriva au bord de l'extase je le remercia par un baiser et lui laissa le temps de reprendre ses esprits. Je redresse ma robe et sortit comme si de rien était. Je me sentais libéré. Oh que ça m'avait manqué de m'envoyer en l'air. Je commençais sérieusement à déprimer. J'étais maintenant plus relaxe. Je buvais cette fois ci un mojito quand mon pilote se décida enfin à sortir des toilettes. Il était sûrement bouleversé par tout ce qui venait de se passer. Tellement c'était rapide. Eh bien quand je veux quelque chose je le prend. Il s'approcha de moi visiblement gêné et me tendit la main. 

_je m'appelle Brice 

On baise et on se présente après.Classique Julie. Je la lui serre quand même sa main. 

_Moi c'est Julie. 

Il me tendit sa carte et me chuchota qu'il logeait à l'hôtel "Sheraton Laval " et qu'il ne repartais que le lendemain très tôt. Je lui promet d'y penser et il quitta la soirée en espérant que je vienne. Il a aimé on dirait et il veut remettre ça. Je voulais juste me défouler mais qu'est ce que j'ai à perdre. Il est pilote après tout. Ça correspond à mes critères. Inaccessible et riche. En plus j'ai tellement envie de baiser en désordre. Vu qu'on a commencé autant terminer. Il pourra s'occuper de moi avant que je ne retrouve Ari à Montréal. Je prends mon sac et quitte la soirée d'un pas décidé. Ce soir j'allais prendre du bon temps. En plus j'étais loin d'être une fille docile donc j'avais de compte à rendre à personne. J'arrive à l'hôtel par un taxi et je retrouve la chambre facilement.Que dire j'ai l'habitude des hôtels .je cogne à la porte et il vient m'ouvrir vêtu d'un peignoir. Il allait sûrement prendre une douche on dirait et c'est maintenant que je remarque qu'il est plutôt bel homme. Il me laissa entrer et appela la réception pour commander une bouteille de champagne. 

_je suis ravie que tu sois venue. 

Il m'aida à enlever ma robe qui était de trop. Une fois en sous vêtements Je lui demande :

_Alors cette douche on la prend ensemble ? 

_Avec plaisir. 

Il semble un peu choqué de me voir si directe. Je suis une femme qui n'aime pas perdre son temps. Je me débarasse de mes sous vêtements et il nous coule un bain dans lequel nous nous plongeons. Il se mit à me laver délicatement et je fis de même. Ça faisait du bien. Soudain il me tira à lui dans la baignoire et prit possession de mes lèvres. Je ne me plaignit pas. Je lui rendit son baiser avec plus d'entrain et caressa sous l'eau cet outil de plaisir dont on l'avait doté. Il ne me laissa pas aller au bout de ma caressa. Il m'ecarta les jambes et vient nicher sa tête au creux de ma foufoune .Habillement il se mit à lécher à sucer et moi je gémissais de plaisir. C'etait juste inédit.Il ne s'arrêta pas. Il amplifia la caresse jusqu'à ce que j'eus un orgasme. Que c'était bon d'être une femme. On mit un terme à notre bain. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Il avait allumé mon désir. Il est temps d'assumer. Une fois dans la chambre tout nus on se servit un verre de champagne et on trinqua .il se tenait debout et je me mis à genoux puis le pris dans la bouche. Je le suçais, le léchait en malaxant aussi ses couilles. Il aimait ça. Il déposa la main sur ma tête pour lui imposer un rythme ce que je fis avec plaisir. Enfin il éjacula et je lui offrit mes seins pour déverser sa semence. Il me nettoya et enfila un préservatif. Il s'enfonca en moi tel un cheval et nos corps en symbiose allaient et venaient à l'unisson. J'atteignis l'orgasme en premier. Je me mis alors à califourchon sur lui et on s'y adonna de plus belle. On atteignit alors tout deux l'extase. On pris un petit repos et on recommença en essayant de divers positions. Cinq positions différentes exactement. Cette nuit fut un pur délice. À mon réveil mon pilote était parti, il avait laissé une note et m'avait commandé le petit déjeuner. J'ai dormi aussi longtemps que je pouvais pour reprendre des forces. Finalement je suis rentrée à Montréal. Mon appartement m'a vraiment manqué. Je compose alors le numéro d'Ari. Ça sonne mais il ne répond pas. Je suis sans doute un peu fatigué par les galipettes avec mon pilote mais pas jusqu'au point de refuser le pénis D'Aristide. Son pénis est comme une barre de nourriture qui vous rasassie au premier coup. J'appelle encore, toujours pas de réponse. Alors je lui envoie un texto.Et j'espère vivement qu'il répondra s'il ne veut pas de scandale. Il pensait pouvoir me redonner goût à lui et me laisser comme ça ! Non. Ça finira quand je l'aurai décidé et ce ne sera pas de sitôt. Il ferait mieux de ne pas me tenter et de se comporter comme un gentil toutou. Je jette mon portable dans le canapé et entreprend de me reposer. Je m'occuperai d'Aristide plus tard. Si seulement il savait ce que je lui réserve s'il essaie de me priver de ce que je veux. Ça ne se passera pas comme ça. Moi et lui c'est pour toujours. Non plutôt son pénis et ma chatte. 

NB: Likez et commentez. À suivre .

Un secret si lourd à...