Chapitre 25

Ecrit par Syab



Une semaine plus tard.




Amivi.




Je fais mon entrée dans le tribunal avec mes enfants à mes côtés.Oui ils ont tenu à être là.Robert et Abigail sont derrière moi,les enfants de celle ci sont rester avec Annia.J'aurais préféré que Willy et ses frères soient rester à la maison mais c'est leur droit de vouloir voir le procès ou pas.




La salle se remplit petit à petit.Je vois des policiers venir avec Josiane et son frère Bernard tous les deux menottes aux poignets.Hummm vraiment c'est triste. Le juge fait  son entré,tout le monde se lève.




Juge: veuillez vous assoir. La séance peut commencer.Les accusés Josiane et Bernard BROOM que plaidez vous ?




Eux deux: non coupable votre honneur.




Un grand ohhhhhh s'est fait entendre dans la sale.willy à voulu se lever mais pardon je l'ai retenu.




Le juge : ok  vous pouvez commencer.





Leurs avocats ont parler, l'avocat que Robert a engager à sorti tous  les documents et toutes les preuves au juge. Il les examine et les remet à son greffier.




Les témoins et les condamnés ,tous sont venu à la barre.



Le juge : avez vous un autre témoin à appeler maître ALOGNON?




Lui: oui je veux appeler madame Amivi.




Hummm je vais à la barre et je jure de dire la vérité.Au fur et à mesure que je raconte mon histoire, l'annonce de la mort de dodji,la manière dont il a été enterré sans qu'on ne l'ai vu les enfants et moi, l'expulsion de la maison et la mort de malaïka. C'est des injures,des cris de mécontentement et de colère qui emplissent la pièce.




Soudain Bernard se lève et commence par rire,il me regarde et dit :




Lui: nous avons enterré dodji le même jour où il est mort, avec les mêmes habits en sang qu'il avait sur lui .Il puait comme pas possible, hahaha.




Comment j'ai fais pour sauter et venir le retrouver où il est je ne sais pas mais ce que je sais c'est que je lui ai asséner deux bonnes gifles avant qu'on ne vienne me tirer de là.




Oh mon Dieu !!!!! Non non pas ça,dodji ne peut pas être enterré comme ça,? Seigneur ils n'ont pas osé.




Voix: vous êtes des monstres,mon père vous a fait quoi hein? Il vous  a fait quoi ? Je vous déteste,je vous déteste jusqu'au plus profond de mon âme.Je vous hais..




Je me retourne pour voir mon fils ,mon prince James parlé les larmes et la morve  sortant en catastrophe. Je cours serrer mon fils dans mes bras, malgré tout ce boukan Josiane est rester maître d'elle même.



Une heure plus tard.




Les avocats ont fini leur plaidoyer, maintenant le juge doit prendre la décision.




Le juge : compte tenu de tous les preuves et de tous les témoignages qui ont suivi dans ce tribunal,je déclare les accusés coupable et les condamne à la prison à vie. Etre méchant au point d'enterrer quelq'un avec qui on a  grandit dans les mêmes habits qu'il avait lors de son accident c'est vraiment être un monstre.Que  Dieu  ai pitié de vos âmes.La séance est levée.




Oh mon Dieu, hummm c'est pénible mais justice a été fait.Ils ne se sont même pas excusez, c'est Dieu qui va se charger d'eux.



Durant ce procès j'ai pris une décision qui va bouleverser ma vie mais c'est pour mon propre bien et il faut que je le fasse.





Robert.




J'ai ramener les enfants et Amivi à la maison chez elle.Apres avoir coucher Malika, amivi dit vouloir me parler.




Moi: ma puce je t'écoute.




Elle:  je te remercie pour tout ce que tu as fais pour moi et pour les enfants.Au cours de ce procès j'ai compris une chose .Je t'aime Robert,je t'aime vraiment mais je ne suis pas encore prête à oublier mon mari dodji et je veux lui rester fidèle alors j'ai décidé qu'on devait en finir  avec notre relation et.......




Moi: tu es sérieuse là ?




Elle: sniff oui je suis  sniff sérieuse.




Moi: ok amivi tu as gagné.Le jour de mon départ te sera communiqué par ton fils Willy.




Elle:  Robert.......





Moi: shut ça sera difficile de t'oublier mais je vais y arriver je ne peux pas rivaliser avec un mort qui est non seulement mon ami.Je te souhaite le meilleur du monde.





Puis je suis parti, décidément je ne comprends pas les femmes.


La gloire de Dieu.