Chapitre 25: Le prix du Sang.

Ecrit par Dalyanabil

Note de l’auteur: Salam les gens,


Je sais, je sais mais vous connaissez le dicton: ‘’l’homme propose et dieu dispose.’’


Pour vous dire la vérité ça vas faire une semaine que je planche sur ce chapitre sans vraiment savoir comment l’écrire sans me brise le coeur. Cette fin me trotte à l’esprit depuis longtemps maintenant et plus j’avançais dans la rédaction de l’histoire plus elle me semblait logique. Croyez moi l’écrire à été épuisant moralement, mais c’était la seule manière de l’écrire. J’espère que vous prendriez plaisir à le lire autant que j’en ai pris à l’écrire. Je vous met l’épilogue demain, je vais évité de vous faire une promesse car je ne sais pas vraiment comment vas se dérouler ma journée. Et pour ce qui ne le savent j’aime écrire autant que j’aime lire voir même plus, alors croyez bien que tous mes moments de libre y passe.


N’hésitez pas à liker, commenter, partager.

XoXo,

Al.


Chapitre 25: Le prix du Sang.


‘’Majid’’


Je ne suis pas de nature superstitieuse mais ça va faire maintenant plus de deux heures que j’ai cette boule à l’estomac. Encore deux heures et nous serons sur le site, Bafana ne nous a toujours pas donné plus d’informations. C’est un peu comme s’il avait pris chacun à part pour les briefer de manière individuelle et chaque personne savait ce qu’ils avaient à faire. 


Après encore une heure de trajet, nous sommes débarqués,

«On ferras le reste du chemin à pied.» Annonce Bafana, «alors que chacun prenne son équipement, restés groupé et surveiller vos arrières. Des questions jusque là?»


J’ai envie de lui dire que distribue les infos au compte goute risque de nous faire tués mais ils dit question alors je me tais. «…»


Il ajoute quand on est tous équipés, «dans une heure si  on avance bien voir moins on seras sur le site, les communications radio doivent être limités au strict minimum.  Une fois sur place, on auras exactement trois minutes pour entrés et désactivés l’alarme avant que des hommes et je n’exagère pas, réplique avec pour ordre de tirer pour tuer. L’équipe bêta seras composé de Majid, Raoul et Saïd. Votre mission principale est de couvrir les arrières de l’équipe alpha composée de moi, John et Bob.» Il marque une pause pour s’assurer qu’on à tous compris avant de reprendre «une fois l’alarme désactivés on aura 90 secondes pour récupérer le paquet et sortir.»


Encore ici j’ai envie de lui demandé c’est quoi ce fameux paquet mais reste muet. «…»


«Une fois dehors, je vous communique les cordonnées satellite pour le point de ramassage que vous devriez entré dans les boussole électrique que vous avez aux poignées. On devra se divisé mais peut importe le chemin que vous prenez vous avez une demi-heure pour être sur place si vous n’êtes pas là on part sans vous: c’est compris?»


Ils hochent tous la tête pour donnez leur consentement, je fais de même pour ne pas être en reste même si tout en moi me crie que quelque chose ne vas pas. Plus on avance du dénouement de cette opération plus la boule à mon estomac s’alourdie. «…» Je ferme les yeux et récité la sourate de protection pour Samia, je ne survivrai pas si lui arrivait quelque chose.


«On maintient une ligne ouverte à partir d’ici, ne vous trompe pas de fréquence car tout autre que la notre ne passeront pas. Il hoche la tête en direction de Bob qui allume ce que je reconnais comme étant un brouilleur et nous nous mettons en route.


‘’Ife Seck alias Bafana’’


Enfin je vais pourvoir clore ce chapitre de ma vie, ce que j’ai appris ces derniers années est que le savoir c’est le pouvoir. Quand j’ai reçu les infos concernant le nouveaux et sa femme mon premier réflexe a été de le liquider. De les liquider et de faire disparaitre les corps. Mais j’ai eu une meilleure idée, si tout ce passe bien d’ici quelques heures je vais pourvoir leur livré le vrai ‘Bafana’ et disparaitre dans la nature avec une fortune estimée en millions de dollar de préférence dans un pays sans accord d’extradition. Parce que le crime que je m’apprête à commettre est beaucoup trop énorme. Je vais joué au robin des bois non pas pour le peuple mais pour moi même.


Je coupe toute communication avec l’extérieur, c’est un risque car si mon contact à une quelconque info de dernière minute il ne pourras pas me joindre. Plus on avance plus je me sens confiant, plus rassuré, ce sentiment qui depuis plus de quarante huit heures ne me quitte pas commencé à s’apaiser. Je sais que le fait de mettre enfin un visage sur le ‘’grand patron’’ y est pour beaucoup mais je ne me fais pas d’illusion sur l’issu de cette mission. Si ce n’est pas le vrai Bafana qui nous tombe dessus alors un des gardes y arrivera forcement.


Une fois devant le bâtiment, je jette un dernier coup d’oeil à ma montre 3h40. «Equipe Alpha on entre, bêta couvrez nous, Majid tu as trois minutes pour désactiver l’alarme ensuite toi et le reste de ton vous allez surveille les entrés. Le reste de l’équipe alpha et moi allons chercher ce pour quoi nous sommes venus.»


Tout du  désarmement de l’alarme, jusqu’a la récupération des documents et des plaquettes se passe comme sur des roulettes. Pour tout dire ça me parait beaucoup trop parfait, mais je ne m’attarde pas trop sur les détails. Je me contenterai de la victoire que représenté cette opération, je sais que je devrais attendre d’être hors du bâtiment mais ma curiosité l’emporte sur mon bon sens. 


«MERDE!» Ce que je lis ne peux pas être vrai, ni possible.


«On doit sortir d’ici,» quand je ne réagis toujours pas complètement absorbé par ce que je lis, il reprend. «Boss quoique vous aillez découvert on doit partir maintenant sinon ils vont nous tomber dessus.»


Mais je suis tellement sonné que ces mots n’ont aucun effet sur moi, «maintenant.» C’est au tour de John mais lui, il ne s’est pas contenté des paroles, il a joint le geste avec et je me retrouve à être bousculé comme un enfant pris en faute qui se fait bousculer par ses compères pour ne pas être démasqués. Une fois dehors, c’est au pas de course qu’on se sépare pour rejoindre le point de ramassage. Mais avant il doit savoir, je le prend à l’écart enlève mon micro et lui demande de faire de même, «tu as dû remarqué que je ne suis pas celui qui dirige.» Cette admission me fait vraiment mal, «mais je sais qui c’est et je suis prêt à partagé l’info avec toi et ta femme.»


Rien dans son expression ne trahit une quelconque connaissance de ce que je viens de dire. S’il est surpris ou inquiet que je l’ai démasqué il ne laisse rien paraitre, à la place il joue le jeu «c’est quoi le hic?»


«Je ne veux pas être cité, je veux un moyen de sorti avec de l’argent et une nouvelle identité.»


«Et tes femmes?»


«Quelles femmes?» Ma désinvolture semble le surprendre mais c’est normal je me dis, il ne sais pas qu’elles venaient avec le boulot. Elles ont épousées quelqu’un qui n’existe pas, j’ai trainé des pieds le plus longtemps avant de me marie et je me suis assuré qu’elles auraient le nécessaire pour redémarrer.


«Ok. J’ai combien de temps et de quels sommes on parle?»


«Combien vaut la capture d’un des terroriste le plus prolifiques de notre temps?» Silence, «On en reparle.»



‘’Samia’’


J’ai menti pour gagné plus de temps, mais ça me rattrape. J’ai tout au plus encore deux heures avant que Nenni ne se rendent compte que je n’ai aucune idée de l’endroit où nous allons. J’ai donné mon émetteur à Bintout il y’a déjà plus de trente heures, pourquoi est-ce ‘’T’’ n’est pas encore là? Je n’aurais pas pu faire plus claire que ça. Nous nous arrêtons pour la première fois depuis que nous avons quitté le camp, parce que les hommes ont besoin de se reposer. Tous nous ignore, même lui, j’en profite pour parler avec Bintou je dois absolument la sortir d’ici.


«Prépare toi, ça vas bientôt être le moment.»


La peur se lit partout en elle sauf dans ses yeux, eux me dise qu’elle est prête à se battre. «Et toi?»


«Ne t’inquiète pas pour moi, pour l’instant tu es prioritaire ok?» Elle tarde à réponde alors je rajoute d’une voix rassurante «de plus je sais me défendre.»


Elle ne semble pas le moins du monde convaincue mais comprend rapidement que ça ne sert à rien de discuter alors à contre coeur «Ok, que dois-je faire?»


‘’Tariq’’


On a décidé de garer la voiture un peu plus loin pour avancé à pied histoire de ne pas attiré leur attention. L’objectif est d’exfiltré ma soeur sans trop de dégâts mais plus on approche d’elle plus mon inquiétude grandit. Tout est beaucoup trop silencieux, Hamed et Yaya le remarque aussi, on continue d’avancé en silence.


«Ils sont où?» Murmure Hamed


«…» Yaya le regarde et se contente de hausse les épaules.


«On se divise et on cherche, dés qu’on vous trouvez quelque chose transmettez.»


Je n’ai pas fait cinq pas que via mon oreillettes Yaya nous dit avoir trouvé une femme cachée dans les hautes herbes. J’arrive sur les lieux en dernier, ils sont en position défensive mais leurs armes ne sont pas pointés sur elle ce qui ne me rassure qu’a moitié. «Et vous êtes?»


Elle s’humecte la bouche, essaye de parlé mais n’y arrive qu’au troisième essai «Bintou.» Elle nous regarde, «vous êtes qui?»


«Et vous?»


«Bintou.» Elle répète avec beaucoup plus d’assurance que la première fois. 


«Mais encore?»


«…» Elle me regarde en silence mais ne dis rien.


Je baisse complètement mon arme et fais un pas dans sa direction les mains en l’air, «nous sommes là pour aider, vous connaissez Samia?»


Son regard s’illumine au nom de ma soeur, «et vous?»


«Je m’appelle Tariq…»


Je n’ai pas le temps d’en dire plus quand elle s’écrie «’’T’’?» Sa voix est pleine d’espoir, elle regarde autour de nous interrogative «Yaya?»


Il hoche la tête en silence, «…»


«Samia a dit que vous viendriez pour moi mais je commençais à désespérer.»


«Et elle?»


«Ils sont partis nord-ouest il y’a déjà une heure, mais il va rapidement se rendre compte que je manque à l’appel.»


«Ok on vas vous sortir de là,» j’hoche la tête en direction de Yaya car aucun de nous ne peut resté avec elle ici. «Quelqu’un vas venir vous chercher et vous conduire à l’hôpital, pendant qu’il passe l’appel dites moi tout ce que vous savez.»


En deux minutes, elle comble les blancs sur les événements qui se sont déroulés au camp, sur le départ précipité. Le nombre d’hommes qu’ils ont, l’armement, des détails sur leur convoi. 


«Tout est prêt,» annonce Yaya. Nous la laissons sur place avec un nécessaire de survie.


«Et maintenant?» Hamed demande.


«La seule piste qu’on ai c’est le site où se trouve Majid»


«J’ai mieux.» Yaya s’exclame en regardant le moniteur avant lève à nouveaux les yeux vers nous «Majid émet à soixante kilomètre d’ici.»


Je n’attend pas la suite, «ok on fonce, tu nous les détails en voiture.»


‘’Nenni’’


«QUOI?» Mon cris surprend tellement le chauffeur qu’il freine brusquement ce qui entraine une embardée avec les voitures qui nous suivent. «Monsieur je comprend mais vous devez comprendre…»


«Non taisez vous! Quand on a accepté de vous fournir un endroit sécurisé vous nous avez assuré que jamais la menace ne viendrait de votre côté et aujourd’hui des hommes à vous ont violés notre périmètre pour récupérer le contenu de votre casier. Alors je me fou pas mal de vos pitoyables excuses règlé ça.» Silence, «et oh vous out.»


«Allô! Allô! Allô!» Rien. Je descend de la voiture  furieux, c’est clair que je vais la buté, et lui aussi et tous ceux qui ont  jamais cru qu’ils pouvaient me doublé.» J’ouvre la portière et la tire par son voile, elle tombe au sol en gémissant, «amené moi la fille. Je vais la buté parce que tu m’as menti.»


Quelques instant plus tard. «Elle n’est pas là.» 


«Comment ça?» Je me tourne vers celui qui vient de me dire ça «vous avez chercher partout?»


«Oui elle n’est pas là?»


Je la regarde avant que ça me saute aux yeux, «renvoyez quelqu’un à l’arrêt et tué là.» L’ordre est tombé sans hésitation de ma part. Je sors mon téléphone  et lance un appel ça sonne deux fois avant que mon interlocuteur ne décroche. je ne me perds pas en formule de politesse, «j’ai besoin que tu localise Ife Seck alias Bafana.»


L’étonnement se peint sur son visage, «qui êtes vous réellement? Comment avez-vous accès à autant de ressources?»


«Tu es vraiment bête ma parole.» Il marque une pause «tu as besoin de quoi de plus?»


‘’Samia’’


Vous savez quand vous êtes face à un puzzle et n’arrivez pas à voir le tableau dans son ensemble. Tous ces détails  qui n’avait aucun lien entre eux commencent à s’emboité. Le premier jour de notre arrivé au camp il n’était pas là juste pour nous accueillir mais pour nous évalué, le pourquoi n’était pas très clair. Toutes ces fois où il a ouvertement défié l’autorité de Bafana devant témoins, son impunité sur le camp, le fait que Bafana n’ai jamais rien fait contre lui. Et son nom ‘’Nenni’’ n’a rien de familier, c’est là que ça me saute aux yeux. La clé c’est son nom: ‘’Nenni. Nenni. Nenni.’’ Bien sûr c’est un anagramme, un anagramme pour: ‘’B-A-F-A-N-A’’


«Vous êtes BAFANA.» C’est un fait que j’énonce.


«Bravo!» Il joint la parole au geste en applaudissant, «tu semble plus intelligente que ça finalement.» Son téléphone sonne et il décroche, écoute, «bien.» Il le range, s’avance vers moi, ferme son poing et me frappe au visage tellement fort que je me retrouve à moitié évanouie sur le sol. «Remettez là dans la voiture,» son homme de main commence à me trainer vers la voiture où il m’as sorti mais il l’interromps, «Non pas celle-là.» Il désigne la sienne. Trente minutes plus tard nous arrivons sur une péniche, avec en bas une plaine à découvert. Les hommes sortent, s’arment et se placent en position de combat.


Quelques minutes plus tard deux voitures 4X4 noirs, traverse le terrain vague, j’ai du mal avec les vitres teintés pour identifier les different occupants mais j’ai une bile à l’estomac. Car intimement je suis convaincue de connaitre au moins l’un des occupants, je voudrais crier pour le prévenir mais je ne peux pas. Bâillonnée, à moitié sonné, au sol la vue brouillé par des larmes que j’essaie de refouler la panique qui menace de m’envahir. «Majid.» Je répète son nom comme une litanie dans ma tête, ya Allah s’il te plais aide moi, protège le. Protège le.


Le premier coup est silencieux, aucun des hommes avec qui je suis ne l’entend même pas moi. La seule chose qu’on constate avant le carnage, c’est des hommes de Nenni qui tombent comme des mouches. Je n’arrive pas à déterminer d’où partent les tirs ce qui crée la panique chez les hommes de Nenni qui ouvrent le feu. L’un des hommes tire un missile antiaérien sur le terrain vague, la première voiture explose et la deuxième fait une embardée. Mon cri est sourd, meurtrie, j’hoquette de douleur contenue. 


Nenni dévale la pente à toute allure, ce qui lui reste d’hommes le suive, je vois deux silhouette passés que je reconnais comme étant Yaya et Hamed. Je suppose que ‘’T’’ est celui derrière moi à me détacher, «c’est bon, je te tiens.»


«Donne moi une arme.» Un espoir infirme, certes mais un espoir quand même nait en moi.


«Samia…»


«Pas maintenant ‘’T’’, une arme.» J’ai conscience de parler comme une hystérique mais je n’en ai cure.


Il sort une arme et me la tend après quelques secondes de silence, «Tu es blessée.» 


J’ignore sa remarque, lui réclame un deuxième chargeur avant de finalement lui répondre. «les gestes me reviendront naturellement, la douleur passe au second plan parce que là bas,» je montre du doigt le lieu accidenté «il y’a mon partenaire qui compte sur moi pour assurer ses arrière pour qu’il puisse rentrer retrouver sa femme.»


Je suis les autres sans attendre de réponse de sa part, c’est un vrai carnage, les corps s’entassent, les coups de feu sont assourdissant. Et moi j’ai comme l’impression d’être shotté à l’adrénaline, j’avance couverte par l’équipe de ‘’T’’ en essayant d’arrivée jusqu’a la voiture. J’aperçois Bafana alias le pantin de Nenni qui s’éloigne en boitant, je ne vois Majid nulle part. «MAJID?» Un coup de feu, je me met à couvert et crie encore plus fort son nom, un bruit d’hélice me parvient mais c’est tellement loin que ça me semble irréelle. Les tirs cessent peu à peu, la fumé se dissout et là juste sous mes yeux je le vois enfin, amoché certes mais vivant. Il est couché à quelques pas du véhicule accidenté, son pied gauche complètement en sang, il essaye de se déplacé seul mais échoue. 


Je m’élance pour aller le chercher mais mon frère ne l’entend pas de cette oreille, «non.»


Le regard que je lui lance n’a rien d’amicale, s’il croit que je vais laissé Majid sur le terrain alors il me connait mal.


Je suis prête à argumenter quand il lâche, me tenant toujours fermement. «Il faut partir, SAMIA.» me crie ‘’T’’ Quand je me retourne Hamed et Yaya y sont et me tendent la main, comment est-ce l’hélico est arrive aussi vite. «Je te couvre vas-y.» Mon frère rajoute quand je ne bouge toujours pas les yeux rives sur mon mari.


«Majid.» Je n’ai pas besoin d’en dire plus pour qu’il comprenne, partir sans lui est juste impossible.


«Je te le ramène. Promis. Mais pour ça j’ai besoin que tu prennes ce foutu hélico.


Je me dirige finalement vers notre moyen de sorti et prends finalement la main de Yaya pendant que ‘’T’’ vas chercher mon mari, au moment où il l’atteint je vois Nenni sortir de nulle part et lui tiré dessus avant de disparaitre. «Nonnnnn,» Hamed saute de l’hélico, mais je ne peux pas suivre son exemple parce Yaya me retiens. La douleur dans ma poitrine m’empêche de raisonné, je me débat comme une folle pour descendre mais il est plus fort que moi. Comment mon dieu? Comment je n’avais demande qu’une chose: que tu le protège, ne me le prend pas je t’en supplie. Pas encore.


«Yaya lâche moi s’il te plait c’est mon mari. Yaya.» Rien ne semble l’émouvoir, je l’entends vaguement donné l’ordre de recolle pendant que mon regard reste figé sur le corps inanimé dans les bras de mon frère. «Non pas encore.» Je vois ‘’T’’ lui prendre le pouls avant de regardé dans notre direction en secouant la tête. «Non. NON. Ce n’est pas possible. Essaye. Tu. as. Promis. Essaye.» mais il ne fait rien d’autre pendant que je m’élève vers le ciel. La dernière image que j’ai c’est celle de mon Majid baignant dans son sang dans les bras de mon frère avant de m’évanouir.


Fin.


L'appel du sang!