Chapitre 29

Ecrit par lelechu


Chap 29

Sydney

J’entends un coup faible donné a la porte, j’ouvre les yeux et les evenement de la veille envahisse aussitôt mon esprit.je n’ai trouvé le sommeil qu’aux environ de 5h du matin, je me redresse pour regarde l’horloge mural qui affiche 8h00. On frappe encore a la porte. C’est forcement Curtis. Il ma assuré que nous ne serons que 2 dans la maison. Je dors nu, je ne veux pas qu’il me voit comme ca, je jette les couvertures et descend prestamment du lit pour me diriger vers mon peignoir a lautre bout de la chambre quand la porte souvre brusquement. Je m’immobilise au milieu de la chambre. Je suis trop loin pour sauter sur le lit et me couvrir et je suis aussi trop loin de mon peignoir. Alors je serre les dents et continue tranquilement prendre mon peignoir, l’enfiler avant de me retourner.je vois un Curtis occupé a dresser la petite table de ma chambre pour le petit dejeuné. Il est encore en pyjamas. Soit il a fermé les yeux ou mon corps ne lui fait plus aucun effet parce qu’il est completement indifferent. Il ne m’accordes pas un seul regard. Et aucun signe d’erection dans son pantalon. Pour en avoir le cœur net, j’attache negligemment la ceinture de mon peignoir. Il devoilera un sein ou un teton si je bouge comme il faut. Je retourne sur mon lit et je m’assois en tailleur de manière innocente.

- Bonjour Curtis

- Bonjour. Bien dormi ? je t’ai apporté le petit dejeuné.

Il sest vraiment donné du mal, il ya des œufs, des croissant, du lait, de la charcuterie, du beurre et du pain. Ca me touche enormément.

- Merci, c’est tres gentil. Mange avec moi, je ne pourrai pas manger tout ca toute seul.

Il me sourit et s’assoit à son tour sur le lit. En tendant la main pour prendre mon verre de lait, le haut de mon peignoir s’ouvre sur un sein. Je fais mine de ne rien remarquer. Curtis qui se retournait pour me parler, garde la bouche ouverte sans qu’aucun son n’en sorte.fesant toujours semblant de rien voir, j’avale une gorgée de mon lait. Quand je me baisse pour deposer mon verre, le peignoir souvre d’avantage. Il ne perd rien du spectable et ne quite pas mon sein des yeux. A un moment je le vois changer de position,je regarde mais toujours aucun signe d’erection pourtant je perçois bien son trouble. Bizzare ! il ferme les yeux quelques seconde et respire un bon coup avant de se mettre debout brusquement, il bredouille une excuse bidon et sors précipitamment de ma chambre. Je reste perplexe. N’aurait il plus envi de moi ? mais alors pourquoi s’etre donné tant de mal pour m’emmener ici ? ou il vient de se rendre compte que je ne l’attire plus ? donc il me fuit ? cette option me brise le cœur. Aucun homme n’a jamais été sensible à mon charme comme Curtis. Et si moi je ne l’attire plus c’est que d’autres femmes oui ? non ! ca je ne suis pas prete à l’assumer. Il est a moi, c’est mon mari. La une evidence m’apparait. Je tiens a Curtis et je n’ai absolument pas envie de le perdre. Mais je ne sais pas si j’aurai la force de rester avec lui apres que Naomie lui ai fait un enfant. Cet enfant va me rappeler chaque jour que mon homme a eu du plaisir avec une autre femme que moi. Je suis de nature jalouse et possessive. Je ne sais si je pourrai gerer ca. C’est toute abbatu que je me dirige dans la salle de bain pour ma douche matinale.

Curtis

Putain !!! dès que je pénètre dans ma chambre, je retire tout mes vêtements et fonce sous la douche. J’ouvre le robinet d’eau froide et me met en dessous. J’espère soulager la tension qui m’habite. J’ai le corps en feu. J’ai fais un effort surhumain pour ne pas lui sauter dessus. Sydney ! je sais qu’elle adore dormir nue. Et je m’attendais à ce que mon corps réagisse intensément alors ce matin apres que jai finis de lui faire son petit dejeuner, je suis remonté dans la chambre et j’ai enfilé 3 boxer avant d’ajouter mon pyjama. Quand j’ai ouvert la porte de sa chambre, mes yeux sont tombés sur la plus belle chute de rein que je n’ai jamais vu. Mon corps a reagi immediatement mais mes 3 boxers camouflait mon érection et j’ai pu faire semblant de pas etre troublé. Vous vous demandez pourquoi je me donne tout ce mal ? enfait j’ai peur. Dès qu’on va commencer a faire l’amour, on fera rien d’autres ces 2 semaine a part ca et au final, on ne parlera pas et aucun de nos problemes ne sera resolu. Je me dis que si elle sent que je n’ai pas envi, elle ne viendra pas non plus vers moi. Le sexe avec Syd me perturbe beaucoup trop. Si j’y gouttes je ne pourrai plus m’arreter.c’est difficile, c’est meme surhumain comme effort mais je vais le faire parce que mon amour pour elle est au dessus de tout. Je prefere qu’on regle tout ca avant d’y meler le sexe.Tout a l’heure quand j’ai vu son sein, j’ai bien failli abandonné mais je sais qu’elle m’a provoqué expres. Un des plus grands defis de ces 2 semaines sera de resister à l’envi que j’ai d’elle pour que nous puissions parler serieusement. Mon Dieu vient a mon aide !

Je sors de la douche à moitié soulagé, mon erection a baissé mais j’ai toujours envi d’elle. J’enfile un pantalon en coton et un debardeur. Et je descend au salon. Elle n’y est pas. J’allume la télé et fais semblant de me concentrer sur le programme qui passe tout en guettant les bruits que j’entends à l’etage. Au bout de 30 minute je l’entends qui descends les escaliers mais je garde les yeux sur l’ecran. Quand finalement elle passe devant moi pour aller s’installer de l’autre coté du salon, je manque m’etouffer et me met à tousser sans pouvoir m’arrêter. Elle porte un combi short jaune poussin tellement léger que ca se voit clairement qu’elle ne porte rien comme dessous. Comment je gere ca moi ? je ne suis qu’un homme !!

- Curtis cava ? me demande t 'elle en s’approchant de moi, augmentant ainsi l’intensité de ma toux.

- Non, cava. Ne me touche surtout pas. Dis-je en me dégageant.

Je vois ses yeux s’emplir de larmes. Je ne voulais pas qu’elle se sente mal, mais si je la laisse me toucher je vais faire une betise. Je me refugie dans ma chambre et descends quelques minutes plus tard plus calme.

- Il est bientôt 11h, nous devrions peut etre nous mettre à la preparation du dejeuner. Je n’ai pas embaucher de cuisinier et il n’ya pas de restaurant à proximité. 

Elle me regarde à peine pendant que je lui parle. Quand je finis, elle m’ignore encore un peu avant de me dépasser pour se rendre dans la cuisine. Je pousse un soupire à  fendre l’âme. Et pour la 2eme fois depuis qu’il fait jour, je demande le secours du ciel. Je la retrouve dans la cuisine, entrain de decouper des oignons. Un poulet degivre dans un plat dans l’evier.

- Qu’est ce que tu nous fait à manger ? je lui demande

- Du poulet sauté accompagné de pommes frites

- Ok

Je sors les pommes de terres et commence à les eplucher. Nous travaillons chacun de son coté quand je lui jette dessus un peu de l’eau des pommes de terre que je decoupe pour la taquiner. Elle sursaute et me poursuis la minute d’apres pour m’asperger d’eau aussi. On se debat un moment et je la retiens quelques instants entre mes bras. Elle leve ses magnifiques yeux vers moi et je peux y lire toute la tendresse du monde. Cette fois je ne resiste pas et lui prends les levres pour un baiser d’une douceur sans pareil. Au debut je ne voulais que goutter à ses levres. Juste un peu, juste une fois puis j’ai senti les petites mains de ma femme se faufiler sous mon debardeur. Des frissons me traverse tout le corps. Sans effort, je la souleve et la depose sur le plan de travail et me positionne entre ses jambes.je quitte ses levres et lui embrasse le cou. Elle pousse un gemissement et me petrit les fesses. Nos gestes deviennent désordonnés tant nous sommes pressés d’assouvir notre envie.Tout d’un coup un grand bruit de verre brisé nous fait sursauter tous les 2. C’est mon plat de pommes de terre qui vient de secraser sur le sol de la cusine. Nous avons dû le pousser dans notre fougue, nous nous regardons sans dire quoi que ce soit. Nous devons vraiment etre en manque pour qu’un simple baiser nous mene aussi loin.  Nous reajustons nos vetements. Elle descend du plan de travail et je me baisse pour ramasser mes pommes de terre.,Mon debardeur qui est un peu moulant, remonte sous l’effort, laissant voir une partie infime de mon ventre musclé.

- Qu’est ce que tu as sur le coté gauche de ton ventre ? tu t’es blessée ? me demande t elle.

- Non ce n’est rien, laisse tomber. 

Elle insiste et tend la main pour me soulever le debardeur. Je l’en empeche. 

- Pourquoi tu ne veux pas que je vois de quoi il s’agit ? qu’est ce que tu me caches ?

- Ne t’en fais pas, ce n’est rien de grave, je ne suis pas blessé. Tu verra ce que c’est le moment venu. Pour le moment n’insiste pas. Je lui reponds plus sechement que je ne le voudrai et rejoins ma chambre encore une fois. Un grand garçon comme moi craint par des milliers de personnes, père de famille qui fuit comme ca devant un petit bout de femme. Vraiment l’amour sait mettre la honte aux gens !

Je redescend vers 14h et trouve le repas prêt mais aucune trace de Sydney. Le poulet est entier, elle n’a donc pas mangé. Je me sens coupable de l’avoir traité de la sorte. Je prend une assiete que je rempli genereusement du repas qu’elle a concocté, j’y mets 2 fourchettes et nous sors 2 bieres du frigo. Je prend mon plateau et je vais taper à sa porte. Elle ne reponds pas. Je pousse la porte et la trouve couchée a meme le sol, recroquevillé comme un fœtus. Mon cœur se brise en mille morceaux. La premiere fois que je l’ai vu dans cet etat, c’était pendant sa maladie, les jours ou la douleur était insupportable et elle perdait l’espoir et la foi. Je depose mon plateau repas et je la souleve sans lui demander son avis. Elle ne reponds rien mais pleure silencieusement.

- Je suis desolé mon amour, je voulais pas te faire de mal. Pardonne moi si je t’ai brusqué. Je n’aime pas te voir comme ca.

- Tu m’a enlevé hier parce que tu m’aimes d’apres ce que tu dis mais depuis que je suis arrivée, tu me regardes à peine, tu es distant et irritable. C’est ton droit mais ne m’isole pas des miens pour me faire souffrir. Si tu ne ressens plus rien pour moi, laisse moi rentrer chez moi au lieu de me maltraiter.

J’ai envie de me moquer d’elle en lui signalant qu’il y a a peine quelques heures, elle se debattait comme une folle pour que je la laisse partir et la elle pleure parce que je l’ignore. Ah les femmes ! mais au lieu de ca, je me lève et retire la chemise que j’avais enfilé.

- C’est ce que je voulais pas que tu vois ou du moins pas tout de suite. Je l’ai fai avant-hier. 

Elle se redresse en reniflant et se rapproche pour mieux voir ce dont je lui parle.

- Tu as tatouer mon prenom sur ton ventre ?

- Oui, j’y pensais depuis un moment déjà. Je me suis demandé ce que j’en ferai si jamais tu demandais vraiment le divorce mais je me suis dis que de toute facon ca ne changera rien à ce que je ressens pour toi bébé. T’es mon ame sœur et si je ne t’ai pas toi, alors ce sera fini de l’amour pour moi. Je suis désolé de t’avoir enlevé de cette facon. J’avais besoin de tenter ma chance différemment.je m’y suis peut etre pris de la mauvaise manière. Si tu veux rentrer, je vais appeler le chauffeur pour qu’il te ramene. 

Je me leve et elle me retiens par la main :

- Attends !!

Elle descend du lit a son tour et s’approche de moi, elle caresse delicatement mon tatouage. Ses larmes coulent sans jamais s’arreter.

- Je souhaite rester, n’appelle pas ton chauffeur. Je vais passer ces 2 semaines avec toi. On verra ce que ca donne ensuite

- Merci, je lui reponds vraiment reconnaissant.

- Prends moi dans tes bras stp.

J’entreprends d’enfiler ma chemise avant de lui obéir quand elle m’empeche, retire son combi short et se jette dans mes bras toute nue. Nous restons enlasser de longues minutes. Je resiste du mieux que je peux à ce corps doux et chaud plaqué contre moi. Puis je sens ses tetons pointés contre mon torse. Je commence à me sentir à l’etroit dans ma pantalon. Je porte meme pas de dessous. Cette fois je sortais juste pour manger et je m’attendais à la trouver faché donc j’ai pas pris mes precautions. J’essaie de la repousser mais elle se met a me donné de petits baiser tout leger dans le cou, sur le torse. Je sens ma volonté faiblir. Je ferme mes yeux pour chercher au plus profond de moi, la force de lui dire non, quand je sens ses levres se poser sur mon tatouage. Je suis incapable de parler. Mon erection devient enorme. Je manque m’ecrouler quand elle baisse mon pantalon et m’aspire sur toute ma longueur. A ce moment précis je su que meme si on me mettait un pistolet sur la tempe, je ne pourrai pas m’empecher de lui faire l’amour.

- Fais moi l’amour stp bébé. Je lui murmure completement submergé par l’excitation.

Elle me prend au mot et me suce encore plus passionément. je ne retiens pas mes gemissement. 

- Arretes toi bébé, tu vas me faire jouir.

Elle se redresse et m’entraine vers le lit sur lequel je m’allonge sur le dos, ele s’installe à califourchon sur moi et se remet a m’embrasser, ses tetons frolent mon torse à chacun de ses mouvements. Ce qui me torture par-dessus tout, ce sont les petits gemissement a peine audibles qui sortent de sa jolie bouche.

- Nous prendrons mieux notre temps la prochaine fois Titi, la tout de suite je veux te sentir en moi.

En le disant, elle se saisit de mon sexe et l’introduit tout doucement en elle. Je frissonne de plaisir. Elle est étroite, chaude, douce et mouillée. Elle bouge d’abord lentement le temps de s’habituer à ma presence en elle, puis elle accelere la cadence et je me retrouve à bouger les orteils, a serrer les dents, a eviter de la regarder pour repousser la jouissance. Elle remarque mes efforts et me retire d’elle, elle se met à 4 pattes sur le lit et m’invites à changer de position, elle se cambre et m’offre son postérieur aux courbes affolantes. Si je tiens 5 minutes dans cette position, je serai le premier etonné. Je la penetre neanmoins et commence les vas et viens. La penetration est profonde, je la sens sur toute ma longueur. Je suis tout pres de jouir,  Je ralentis. Elle le prend pour une invite à prendre la releve et se met à twerker contre moi d’une manière que je vois seulement dans les films pornographiques joués par les plus experimentées. La jouissance par du plus profond de mon âme et envahi tout mon corps, meme mes cheveux se dressent sur ma tete tellement l’orgasme est fulgurant. Je deviens comme fou et me dechaine de nombreuse secondes sur son corps fragile. Je l’entends vaguement gemir, elle jouit ou elle a mal ? je ne sais pas, je suis comme dans les vapes. J’ai l’esprit embrumé. Il me faut quelques minutes pour revenir à moi. Je me degage doucement d’elle et m’allonge sur le dos, completement ereinté. Elle se laisse difficilement tombée a coté de moi.

- Je t’ai fait mal ? je lui demande

- Si tu me fais l’amour 2 fois comme ca, tu va certainement me briser les os et me faire prendre des points de sutures. Me repond t elle avec le sourire neanmoins.

- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je n’avais jamais ressenti ca comme ca. J’ai perdu le contrôle, excuse moi. 

- Tu es tout pardonné

- Je t’aime Sydney. Je t’aime tellement si tu savais. 

- Moi aussi je t’aime Curtis, dit elle en me caressant la jou. 

J’en suis ému aux larmes depuis toutes cette histoire, c’est la premiere fois qu’elle reconnait sans orgueil, sans animosité, et de son plein gré qu’elle m’aime. Elle a juste une petite lueur triste dans les yeux. Est-ce que je vais enfin réussir à la recupérer ?

- Je te demande pardon à genou pour tout le mal que j’ai pu te faire bébé, je m’en veux tellement si tu savais. J’ai attendu ton reveil comme jamais je n’ai rien espéré de ma vie, j’ai prié, j’ai jeuné. Et quand enfin tu es reveillée, tu es eloigné de moi du fait de ma propre betise et ca ca m’empeche de dormir, ca m’empeche de vivre. Pardonne moi cherie,j’ai compris la leçon. Je le ferai plus. Meme quand nous nous disputerons et que je boirai comme un trou, je ne laisserai aucune femme m’approcher.

- Tu es bete, me dit elle en riant.

- Je suis sincere bébé, j’ai tellement envi de te retrouver. De dormir a tes cotés, me reveiller de la meme facon, faire des projets avec toi, te faire un 2eme bébé. Je t’en supplie Sydney, donne nous une chance.

- Je veux bien mais il y a Naomie et sa grossesse, je ne me sens pas capable de gerer ca 

- J’ai acquis une nouvelle maison rien que pour nous, je laisse la maison à Naomie. Nous pouvons vivre ensemble dès que nous rentrerons, tu vas t’occuper de la grossesse si tu veux, moi je la verrai pas et quand l’enfant naitra, on ira à ton rythme. Il vivra avec elle, moi je le verrai de temps en temps et si Naomie est dans les parages c’est que tu y es aussi. Inutile de te preciser, que je vais lui trouver du boulot ailleurs pour l’enfant à naitre. On fera tout comme tu veux Sydney. Je sais que c’est pas sympa de te dire ca mais je t’ai choisi dans la maladie et je souhaite que toi tu me choisisse dans cette epreuve, que tu choisisse notre famille, que  tu nous donne une chance de vivre l’histoire d’amoir que nous avons commencé avant que tu ne tombes malade. Tu es ma femme Sydney, stp defends ton mariage.

C’est en sanglotant qu’elle me dit qu’elle accepte et qu’elle fera ce qu’il faut pour remettre sur pieds notre mariage. Je suis tellement heureux que j’arrive pas à placer un mot. Ca y est j’y suis arrivé enfin, j’ai joué ma derniere carte et il m’aura fallu moins de temps que ce que j’avais prévu. Je sais que la suite ne sera pas de tout repos mais si je l’ai à mes cotés, alors je peux tout affronter. Un poids enorme vient de quitter mes epaules, je respire librement à nouveau. J’ai eu si peur de la perdre !

- Je ne peux pas passer 2 semaines ici Curtis, si je reviens dans ta vie, il faut que je rentres pour prendre certaines choses en main. Je pense que j’ai trop toléré la présence de certaines personnes dans nos vie. 

Je lui adresse un sourire franc. Je retrouve ma Sydney, comme elle m’a manqué. Elle était la sans etre la.

- Je suis d’avis bébé, j’ai meme déjà mis en marche un certain nombre de choses sensées nous aider. Je t’expliquerai mais terminons au moins la semaine, nous l’avons mérité. Moi surtout, tu m’as tellement fait souffrir dernierement. J’ai envi que pendant des jours tu me fasse l’amour comme tout a lheure pour que j’oublie tout.

- D’accord mais promet moi que nous rentrerons dimanche.

- Je te le promet mon coeur


Mon âme sœur