Chapitre 3
Ecrit par La Vie d'Ielle
Chapitre 3
>>> Dehan
Moi ( prenant mes affaires ) : À ce soir.
Elle me regarde sans pourtant me répondre.
Peu m'importe, je sais qu'elle a compris.
Je sors de la maison et une fois à la voiture je laisse des consignes à ceux qui sont censés la surveiller. Évidemment qu'il faut la surveiller, qui sait ce qu'elle est capable de faire. J'ai déjà eu le coup une fois, j'ai eu la chance qu'elle était tombée sur un de mes gars donc je ne veux pas prendre le risque qu'elle essaye une nouvelle fois. Qui sait sur qui elle pourrait tomber ?
Une fois les consignes données, je monte dans mon véhicule et direction le bureau.?
En ce moment je bosse fort pour gravir les échelons, je passe presque ma vie au boulot. Je fais tout pour espérer avoir la promotion dont je rêve tant. Question boulot, j'ai confiance en mes compétences et je sais que tout stable et contrôlé.
Question vie personnelle aussi, tout est sous contrôle. J'ai toujours aimé avoir le contrôle donc je gère et contrôle tout ce qui se passe autour de moi surtout si ça concerne ma vie, mon foyer.
Je suis marié, tout le monde le sait. Tout le monde sait et voit ce que je montre, ce que je décide d'exposer. Juste ça, rien de plus. Je répète, je contrôle tout donc tout ce que ma femme fait je suis au courant. Tout ce que toutes les personnes qui sont dans ma maison font, je suis informé. Tout ce qui se passe autour de moi ayant un rapport direct ou indirect, je suis informé.
Ce n'est pas que je n'ai pas confiance, c'est juste que je suis maniaque du contrôle et avec mes activités extras professionnelles je dois rester à l'afflux de tout.
Dans mon mariage tout va comme je le désire.
Je suis marié à une très belle jeune femme, le genre que tout homme voudrait afficher ou exposer histoire de frimer un peu. Quand tu es un homme d'affaires être marié, porter fièrement une bague et être assuré qu'il y'a une femme qui porte ton nom ça donne énormément de poids dans tes affaires. Il arrive même des fois où tu passe devant certains, c'est comme s'il y'avait des primes liées au mariage. En gros, tu es à un niveau élevé de l'échelle comparer à d'autres.
Ma femme n'est pas sud africaine comme moi. Mon père, sud africain, dans ses multiples conquêtes, avait laissé une gabonaise enceinte. Quand il a appris cela, il a pris ses responsabilités. Il s'est présenté auprès de ses parents puis retour en Afrique du Sud en attendant qu'il finalise leur relation. La femme en question, sauf que je ne l'ai pas connu. Papa m'a toujours dit qu'elle n'a même pas attendu que je rampe pour quitter la maison et vivre sa vie. Il l'a cherché partout et quand il finit par la trouver, elle lui a simplement dit qu'il doit l'oublier et qu'il se débrouille avec son enfant. Je n'étais n'étais plus son enfant apparemment. Quand papa m'en parlait, je pouvais voir toute la douleur possible.
Il s'est donc battu pour moi tout en me disant de ne jamais sortir avec une gabonaise de nationalité fang surtout.
Quand il est mort j'avais à peine 18 ans, son ami proche m'avait ramener au Gabon chez la mère de ma mère pour qu'elle me garde. J'étais jeune et évidemment que j'avais des copines sauf que jamais je n'étais allé avec une gabonaise. Quand je me lance dans ça, après deux ans, je suis très vite attiré par une jeune fille fang. Avec l'argent que l'ami de papa m'envoyait et mes bricoles, je parvenais très bien à m'occuper d'elle et de moi. Un an de relation sans sexe parce qu'elle disait qu'elle voulait voir si j'étais sincère, si je n'étais pas avec elle juste pour le sexe. Ça m'allait parce que elle me plaisait vraiment et en parallèle, je n'allais pas voir ailleurs. Donc quand arrive enfin le moment où j'ai très envie de consommer notre relation, non seulement j'apprends qu'en réalité elle ne voyait que mon argent parce que je lui en donnait assez vu que papa avait suffisamment travaillé pour que je ne manque de rien plus la part de son ami... mais quand elle me le dit, c'est en présence de sa mère qui riait aux éclats en entendant sa fille me traiter de tous les noms.
Je ne comprenais strictement rien de ce qui se passait mais je sais que la semaine qui a suivi j'avais quitté le Gabon pour le pays de mon père tout en me rappelant que mon père m'avait averti.
Je n'ai plus jamais été amoureux au final, les femmes sont toutes pareilles.… C'est ce que je croyais jusqu'à ce que je tombe sur une femme qui disait m'aimer mais sortait avec un homme qu'elle faisait passer pour don frère…
Je suis malchanceux n'est-ce pas ? Le comble c'est que tu ne vois jamais rien venir… surprise !
Désormais, je me limite à leur donner ce qu'elles veulent tant qu'elles me procurent du plaisir, j'avais fini par comprendre que c'était ça en fait... pas d'amour, juste l'intérêt. J'avançais ainsi sauf que au fond de moi, j'avais une certaine rancœur envers la femme m'en fichant totalement de quel pays elle pourrait être, je me suis dis que pour ce que j'ai vécu et pour ceux qui ont été dans mon cas il fallait peut-être je fasse quelque chose histoire de calmer tout ça. C'était devenu comme une drogue, j'ai regardé autour de moi pour voir si des gens que je connaissais vivaient ou avaient vécu une chose semblable avec une femme ( en générale ) et j'ai été surpris de voir que oui. En fait, on dit que les hommes sont comme si ou comme ça mais les femmes sont pires et ce, peu importe la nationalité. Bref, avant tout ça, il fallait que je sois un homme plein... c'est ça la clé de tout.
J'ai donc misé dans la réalisation professionnelle comme mon père sauf que je n'avais pas la patience d'attendre gravir certains échelons et j'avais trop soif d'argent, chaque jour un peu plus. Je me suis donc lancé dans ce que j'appelle des activités extra professionnelles, j'ai jumelé les deux et aujourd'hui ça me vaut cette position que j'ai et j'en suis très fier d'ailleurs.
Mon histoire avec Kimberley NTSAME commence sur facebook. Demande d'amis, discussion et tout a été lancé. J'ai vraiment failli tomber amoureux sauf que l'image de papa m'a très vite fait redescendre sur terre. Elle est plus un bijou qu'une femme, rien de plus. Est-ce que j'ai été amoureux d'elle à un moment ? Je ne vais pas mentir que oui, sauf que je me suis très vite senti en danger surtout voyant qu'elle faisait se retourner plus d'un et qu'en réalité je n'avais plus aucune confiance. En fait c'est devenu viral, quand je vois une femme j'ai juste envie de lui faire du mal. Je ne sais vraiment pas à quel moment c'est devenu aussi passionnel mais ça l'est. La femme est dangereuse.
Lala : Monsieur ?
Moi ( levant la tête ) : Je t'écoute.
Lala : Vous avez votre mère au téléphone.
Il s'agit de ma grand-mère.
Moi : C'est pour quoi ?
Lala : Elle ne m'a rien dit, elle dit vous avoir appeler mais en vain.
Qu'est-ce qu'elle me veut encore ?
Moi : Je la rappellerai.
Lala : D'accord monsieur.
Moi : Lala ?
Lala : Monsieur …
Moi : Approche un instant.
Elle s'exécute.
Moi : Plus prêt.
Lala : Monsieur…
Moi : Approche j'ai dit.
Je me lève et vais vers elle.
Lala : Monsieur ça ne doit plus se reproduire, je suis mariée.
Moi : Tu étais mariée aussi quand on était dans cette chambre d'hôtel ( caressant sa joue ).
Lala : …
Moi : Tu peux faire la dure quand il y'a les gens ( la tirant contre moi ) mais pas devant moi, tu le sais… n'est-ce pas ?
Lala : Oui monsieur.
Moi ( sourire en coin ) : Tu peux t'en aller.
Elle s'en va sans dire un mot.
Je l'ai dit, elles sont toutes pareilles.
Je retourne à mon fauteuil puis je prends mon téléphone pour appeler ma grand-mère.
Elle : JANSE depuis que je cherche à te joindre ?
Moi : J'étais occupé, je travaille moi.
Elle : Humm… Ça va ? Je n'ai pas eu de tes nouvelles depuis.
Moi : J'étais occupé.
Elle : Tu dis toujours la même chose.
Moi : Parce que c'est vrai.
Elle : Tu vas bien ?
Moi : Je vais bien.
Elle : Pourquoi tu n'appelle pas ?
La porte de mon bureau s'ouvre sur mon chef.
M. Karouck : Dehan ?
Moi : Je te rappelle ( à ma grand-mère )… Monsieur Karouck ( Me levant ).
M. Karouck : Trêve de monsieur je vous ai dit. On peut simplement se vouvoyer sans les '' monsieur '' , en privé bien sûr. Qu'en dites vous ?
Moi : Ça me va si vous le voulez aussi.
M. Karouck : Puis-je ( me montrant la chaise ) ?
Moi : Bien sûr, allez-y !
M. Karouck : Vous allez bien j'espère ? Votre femme ?
Moi : Elle va très bien, la votre aussi j'espère ?
M. Karouck : Très bien… Bon, je suis ici pour vous parler de quelque chose de très importante pour vous j'en suis sûr.
Moi : Dites m'en plus.
M. Karouck : Bureau du haut, nouvelle voiture, nouvelles responsabilités, nouvelle fonction… qu'est-ce que vous en dites ?
Moi : Euh…
M. Karouck : Je suis en train de parler de vous. Vous savez, j'ai envie de nouveau challenge… J'ai envie de tâter un autre terrain mais pour cela j'aurais besoin de quelqu'un qui prendra ma place ici.
Moi : Je comprends.
M. Karouck : Moins de formalités… Tu es mon meilleur employé, c'est pour cela que tu as un poste élevé et je suis tenté de te laisser la société sauf que j'ai besoin d'être sûr de ton implication.
Moi : Comment ça ?
M. Karouck : J'emets une condition, une seule et tout sera à toi. Quand je dis tout, c'est vraiment tout… pense à l'actif surtout. On est ami, n'est-ce pas ?
Moi : Bien sûr.
Comment ne pas voir l'actif ?
Un actif aussi énorme.
Je savais que ça devait arriver mais pas de si tôt donc j'en suis très ravi, voir excité même.
>>> Reine
Je rentre à peine, il est 18h.
Je dois encore m'apprêter pour l'anniversaire de la mère de Jadan.
J'ai trouvé Kimberley dans sa chambre avec Léa.
Moi : Eeeh les filles.
Léa est venu se jeter dans mes bras et ensemble, nous sommes allées dans les bras de Kim.
Kim : Ça va, tu as passé une belle journée ?
Moi : Oui et toi ? Tu ne t'es oaq ennuyé toute seule ?
Kim : Combien de fois vais-je te dire que non ?
Moi : Ça ne ne te dérangé vraiment pas de rester sans travailler ?
Kim : Je t'ai dit que non, j'aime m'occuper de vous et si je prends un boulot je n'aurais plus tout ce temps.
Moi : Mais ce sera bien pour toi.
Kim : C'est déjà bien pour moi comme ça.
Moi : OK. C'est l'anniversaire de la mère de Jadan, il passe me chercher tout à l'heure.
Kim : Tu ne dors pas là-bas j'espère ?
Moi : Non. Il viendra me déposer.
Kim : Tu ne dépasse pas 00h cette fois-ci
Moi : Ça ne risque pas d'arriver en tout cas.
Kim : Hummm… Tu ne dis pas ça d'habitude, tu me supplie souvent pour le contraire. Ça va entre vous ?
Moi : T'inquiète… Par contre, j'aimerais te parler de quelque chose.
Kim : Je t'écoute.
J'ai demandé à Léa d'aller jouer à l'extérieur.
Kim : Ça a l'air important, tu es sûre que ça va avec Jadan ?
Moi : On parlera de ça plus tard… Pour le moment, je veux savoir pourquoi tu avais un bleu sur le visage.
Kim : Reine.
Moi : Kim est-ce qu'il te bat ?
Kim : Mais qu'est-ce que tu raconte ? Je t'ai déjà dit ce qui s'était passé.
Moi : Et je n'y crois pas jusque là.
Kim : Pourtant je t'ai dit ce que tu devais savoir.
Moi : Est-ce que ce que tu m'as dit est vrai ?
Kim : …
Moi : Tu ne m'as jamais menti mais j'ai l'impression que c'est ce que tu fais pourtant… Qu'est-ce qui se passe ? Ne me dis pas qu'il ne se passe rien parce que je sais qu'il se passe quelque chose et que tu ne veux rien me dire.
Kim : Tu te fais des idées.
Moi : Est-ce que Dehan te porte main ?
Kim : Ça suffit maintenant Reine. Je ne sais pas ce que tu cherche mais arête, vraiment… arrête !
Moi: Kim est-ce que Dehan te frappe ?
Léa : On ne frappe pas les grands.
Kim : Non Reine, tu vois ce que tu fais ? Je t'ai dit ce qu'il en était, que cherche tu encore à savoir ? Arrête parce que tu vas finir par m'énerver.
Moi : …
>>> Kimberley
Je ne sais vraiment pas pourquoi elle insiste.
Elle n'a pas besoin de savoir ce qui se passe, vraiment pas surtout que connaissant Reine si elle l'apprend elle ne va rien garder. Ne rien garder signifie qu'elle ira se confronter à Dehan et ça, non, surtout pas.
Elle sort de la chambre sans ajouter.
Léa : Kim ?
Moi : Oui.
Léa : On tape aussi les grands ?
Moi : Non trésor, on rigolait. Oublie ça, d'accord ?
Léa : Oui.
Moi : Tu veux bien m'aider à faire la table avant que Dehan ne rentre ?
Léa : Je peux placer les assiettes ?
Moi : Bien sûr, allons.
Nous sommes allées nous mettre à la tâche.
S'il rentre et que la table n'est pas prête il va faire su bruit, si la nourriture est froide aussi ce sera autre chsie donc maintenant je sais comment gérer surtout que parfois je suis obligée de lui faire son propre plat.
A 20h tout était prêt et Reine aussi d'ailleurs.
Léa : Tu es belle.
Moi ( souriant ) : C'est vraiment peu de le dire.
Reine : Merci.
Moi : Tu vas à l'anniversaire de sa mère ou tu vas lui donner l'eau à la bouche ?
Reine : Tant qu'à faire !
Sa relation avec Jadan j'ai failli m'y opposer quand Dehan a commencé à devenir violent avec moi… Ce n'est même pas qu'il est simplement violent, il prend des trucs parfois donc le mélange est explosif et quand il s'acharne sur moi je le sens passer. Du coup, j'ai eu peur pour Reine et j'ai toujours peur que Jadan devienne comme Dehan mais j'ai aussi envie de croire le contraire.
Moi : Humm…
Reine : Kim ?
Moi : Oui ?
Reine : Désolée pour tout à l'heure.
Moi : Il n'y a pas de quoi, je peux comprendre ton inquiétude mais saches que tout ce que je peux faire ou vivre c'est…
Dehan : Pour le bien de notre famille.
Nous : …
Léa ( courant vers Dehan ) : Dehan !
Léa : Bonsoir Dehan.
Dehan ( la pourtant ) : La plus, tu vas bien ?
Léa : Oui et j'ai fini mon bol encore.
Dehan : Ah mais c'est super ça.
Je vais vers lui et prends ses affaires.
Moi : Bonsoir De ( souriant ).
Dehan : Bonsoir chérie ( bisou sur la bouche ).
Léa : Beurk !!
Dehan ( amusé ) : Il fallait fermer les yeux… Kim, tu connais très bien monsieur Karouck n'est-ce pas ?
Moi : Bien sûr !
M. Karouck : Je comprends, à chaque fois que je la vois, pourquoi tu es si fier qu'elle soit à ton bras lors de grande cérémonie… Il faut dire que tu conserve bien tes bijoux. Bonsoir belle dame !
Moi ( gênée / sourire forcé ) : Bonsoir Monsieur.
Reine : [ toussant ] Il faut que j'y aille. Bonsoir et bonne soirée.
Dehan : On va où à cette heure ?
Reine : Je dois retrouver Jadan.
Dehan : Okay, bonne soirée.
Il ne demande jamais où elle va parce qu'il sait & surveille tous nos faits et gestes. Il a juste fait semblant à cause de son chef.
Elle sort sans rien ajouter.
Dehan : Prinesse tu vas dans ta chambre , tu devais être endormie déjà parce que tu as cours demain.
Léa : Je t'attendais pour te dire que j'ai fini mon bol.
Dehan : Je suis content et je te réserve une grosse surprise mais pour l'instant, au lit.
Elle nous a dit bonne nuit , je l'ai bordé puis je suis allée retrouver Dehan qui m'attendait dans la chambre. J'entre et je trouve une robe sur le lit et une chaussure à côté.
Moi : On sort ?
Dehan : Tu sors, pas moi.
Moi : Je sors ?
Dehan : Tu tiendras compagnie à monsieur Karouck pour quelques heures.
Moi : Quoi ?
Dehan : Il se trouve que j'ai une énorme promotion… il se trouve que je vais gérer plus que ce que je gère déjà et pour permettre cela il a émis une seule condition.
Moi : …
Dehan : Que je lui laisse ma très douce et dévouée femme le temps que quelques heures.
Moi ( horrifiée ) : Tu es fou !!
Dehan : Répète ?
Moi : Je ne ferai pas ça Dehan… Je ne suis pas une prostituée tu comprends ?
Dehan : Kim ne me tente surtout pas.
Moi : NON Dehan ! Je ne ferai pas ça… tu es malade ? Comment tu peux me traiter aussi salement que ça ? Qu'es-ce qui ne va pas dans ta tête ? Je suis ta femme, un me personne et non un jouet que tu peux passer à qui le souhaite.
Dehan : Tu es un jouet Kim.
Moi : Vas te faire f…
Je n'ai pas pu terminer cette phrase parce qu'il m'a giflé.
Dehan : Attention à ce que tu sors de ta bouche.
Moi : Vas au diable Dehan, je ne ferai pas ça.
J'allais vers la porte, je voulais mais il m'attrape.
Il ferme la porte à clé et se jette sur moi, je n'ai juste eu le temps que de me cacher le visage parce que ce qui a suivi n'avait rien de plaisant.
Je l'ai mordu pour me défendre et J'étais déjà devant la porte mais quand il m'a rattrapé il a fait pire.
Dehan ( me traînant par les cheveux / les bras dans le dos ) : Tu vas m'arranger tout ça et tu t'apprête pour ta soirée.
Moi ( en larmes ) : Tu ne peux pas me faire ça Dehan, s'il te plaît. Je ferai ce que tu veux… Je ne vais plus jamais te contredire, je ne tenterai plus de fuir… Si tu veux me punir pour tout ça fais ce que tu veux mais pas ça s'il te plaît…
Dehan : Pour le meilleur et le pire n'est-ce pas ? Une femme est sensée accompagner et soutenir son mari mais toi tu fais tout le contraire, je ne comprends pas ton sens se l'amour… Tu es ma femme jusqu'à ce que l'un de nous meurt tu es ma femme et je suis ton mari. Femme, soyez soumises… La bible que tu lis tous les jours ne t'apprend pas ça ?
Moi : S'il te plaît Ne me force pas à faire ça… c'est horrible ce que tu me demande, je ne …
Dehan : TU ES MA FEMME ET TU FAIS CE QUE JE DIS KIMBERLEY JANSE. Sauf si… sauf si tu veux que j'envoie ta sœur en prison…
Moi : Dehan !
Dehan : Ah mais tu as le choix… tu sais très bien de quoi je parle, tu sais ce qu'elle a fait et tu sais qu'il y'a des personnes qui seraient très heureuse de savoir que la personne qui a tué leur fils est enfin derrière les barreaux. Tu sais que je peux ajouter autre chose à ça et tu sais aussi ce que je peux faire de la belle petite personne qui dort juste à côté… Tic tac, quel est ton choix ?