Chapitre 3
Ecrit par Nessa.Belmonde
Chapitre 3
Andy UCHEMBA
Un mois plus tard
Assis sur une terrasse a Lekki en attendant mon frère, je réajustai mes lunettes de soleil quand j’ai vue au loin mon père avec deux jeunes femmes de mon âge peut être en train de manger dans le restaurant d’en face, il ne changera donc jamais, je tournai la tête car je ne souhaitais guère le voir.
Mon frère pris place sur le siège inoccupé face à moi
Moi : Pourquoi m’as-tu fait sortir de chez moi si c’est pour être en retard ?
Adrien : Relaxe mon beau ! Nous sommes samedi il faut sortir !
Moi : Je suis très bien chez moi Adrien !
Il a ri
Adrien : Alors quoi de neuf ?
Moi : le boulot et toi ?
Adrien : le travail je profite de la vie aussi
Moi : Comment elle va ?
Adrien : Elle va bien ... Tu es sûr que tu ne veux pas venir la voir ? elle ne va pas te fermer la porte au nez
Moi : Elle m’a bien fait comprendre que je n’étais plus son fils
Adrien : Sa fait des années maintenant ... et puis c’est toi l’enfant c’est à toi de faire le premier pas vers elle
Moi : Adrien je n’ai pas envie de parler de maman s’il te plait
Adrien : D’accord ...
Nous étions en train d’avoir une conversation sur les voitures de sport quand notre paternel s’arrêta devant nous
Papa : Bonjour
Adrien marmonna un bonjour à peine audible et moi je ne répondis pas
Papa : Comment va ta mère Adrien ?
Adrien : elle va bien
Papa : Bien
... : Mon chou tu viens ? disait une des filles avec qui il était accompagné il y a quelques minutes plus tôt
Moi : Sérieux ?
Papa : C’est mon fils qui ne me parle pas qui se plaint ?
Je me suis levé en me mettant à sa hauteur, du haut de ses soixante-cinq an mon père est reste grand et fort, un mètre Quatre-vingt-quatorze, je fais un mettre de plus que lui
Papa : tu veux m’affronter ?! Dans la rue en plus ?!
Moi : Non, je veux rentrer chez moi, toi et moi c’est uniquement au bureau dans un cadre professionnel et pas autrement, même si tu me vois sur ton chemin dans la rue fait comme si tu ne m’avais pas vu
Papa : Andy ... Andy ... Andy ...
Moi : si tu veux bien t’ôter de mon chemin. Dis-je en le bousculant légèrement avant de quitter les lieux
Arriver chez moi j’en avait besoins ! Je me suis fait une ligne avant de m’endormir encore une fois sur mon canapé mais mon sommeil fut de courte durée car je rêvais de Maya qui me tirait dessus et ensuite se suicidait.
Je me dirigeai vers mon frigo et sorti une bouteille de vodka que j’ai bu sans prendre la peine de prendre un verre. Ce n’est pas que le sang innocent des parents de Maya qui me tourmente mais aussi ceux des personnes innocentes que j’ai eu as tuer moi même sans envoyer personne , je me rappelle encore de ses yeux qui me suppliais de ne pas tirer et mon regard froid sans remord sur ses corps sans vie dont je trouer le crâne , toute ses actes de barbaries sans nom que j’ai fait à tant personnes tout étant à l’armée avec mon père , j’étais devenu sa copie conforme , il m’avait façonné à son image, tel père , tel fils , il était tellement fier de ce que j’étais devenu par lui et que entre lui et moi il y est aucune différence de cruautés, ma mère nous haïssent ! Quand elle me croisait elle ne me regardait même pas.
Elle me manque tellement... je regrette tellement mes actes et le fait de ne pas avoir écouté ma mère.
Allongé je repense à comment Maya m’a parler la dernière fois au téléphone, j’avais l’impression qu’elle s’adressait directement à moi et qu’elle savait qui j’étais.
Je voulais me rendre dans ma chambre quand j’entends une clé sur ma serrure, j’ai regardé l’heure à ma montre il affichait vingt-trois heures, je ne pense pas que c’est mon frère et ni la femme de ménage quand la porte s’ouvrît sur Yvette ma masseuse, je l’avais complètement oublié, j’avais oublié qu’elle avait le double des clés aussi
Moi : Yvette ?!
Yvette : Salut mon chou. Disait-elle en retirant sa veste avant de la laisser tomber par terre
Elle était vêtue d’un peignoir transparent et on peut apercevoir qu’elle n’avait rien en dessous
Yvette : j’ai envie de prendre une bonne douche tu me rejoins ?!
Elle se dirigea vers la salle de bain, je l’ai suivie en enlevant mon teeshirt.
Le lendemain,
Il est sept heures, Yvette est toujours en dormis près de moi, moi je n’ai réussi à fermer l’œil de la nuit comme à mon habitude. Mon téléphone sonna en me faisaient sortir de ma rêverie, en pensant que c’était mon téléphone initial je le pris directement mais ce dernier ne sonnait pas quand je jetai un regard un peu plus loin sur la table base de ma chambre je vis que c’était le deuxième téléphone que j’utilise pour discuter avec Maya, ayant que son numéro sur ce téléphone je fût très surpris de son appel. Je suis parti récupérer le téléphone et répondre plus calmement dans le salon
Moi : Allô Maya ?!
Maya : ...
Moi : Maya ?!
Maya : ex ... Excusez-moi de vous dérange ... mais ...
Elle s’arrêta, j’ai senti de la détresse dans sa voix
Moi : Tu ne me dérange pas Maya
Maya : Je sais que la dernière fois je vous avais dit de ne pas essayer de prendre contact avec moi ... vous avez respecté ma décision cependant j’ai besoin de vous ... Je ne sais pas vers qui me retourner actuellement, je ne connais personne ...
Moi : Dis moi ce qu’il se passe Maya et je t’aiderais
Maya : Tante Alice ... Enfin ... la personne qui nous héberge ma sœur et moi est grave malade, je n’ai plus rien pour payer les soins médicaux, l’hôpital ne veut pas la prendre en charge car je n’ai rien et ... Et le docteur me propose de ...
Moi : De quoi Maya ?!
Maya : Il me propose de passer un moment charnel avec lui en échange des soins médicaux ... je ne sais vraiment quoi faire et si vous ne souhaitez pas m’aider je le comprendrais et ...
Moi : Maya . Dis-je en la coupant. Ou te trouve tu ?!
Maya : A la clinique pas très loin de la maison
Moi : d’accord ne bouge pas
Maya : Merci ! Merci beaucoup ! Soyez béni
Je n’ai pas répondu à ce dernier car je ne sais pas si un jour un monstre comme moi sera bénie par quoi que soit et Dieu a dû me maudire après tous les actes de barbarie que j’ai faits.
J’ai appelé Pierre je lui ai demandé d’envoyer Nonso avec de l’argent pour payer les tous les frais médicaux et changer d’hôpital à cette dame et pour ce qui en ai de ce médecin je vais personnellement m’occuper de lui se soir. J’ai appelé quelques personnes qui me donnerons toutes les informations dont j’aurais besoins par rapport à se soi-disant médecin ... rien de bien méchant, la prochaine fois il réfléchira à deux fois avant de demander à ses patients dès rapport sexuelle en échange de soins médicaux.
Yvette : Elle doit être très important cette Maya pour que tu puisses tout faire pour elle. Disait-elle en mettant son manteau
Moi : Tu es déjà réveillé
Yvette : Oui, Merci ce fût une nuit magique comme d’habitude mon chou. Elle m’a embrassé. On se revoit ?!
Moi : Je t’appelle
Yvette : comme toujours et si tu n’appelles pas je viens de moi comme hier
J’ai souri
Moi : passe une bonne journée Yvette
Yvette : Merci toi aussi. Disait-elle avant de partir
Comme convenu les informations sur ce fameux médecin me sont parvenues très vite, je me rendrais seul ce soir à son domicile.
Plus tard dans la journée Pierre ma dis que tout a été pris en charge.
Très tard dans la soirée j’attendais devant la maison de ce médecin quand j’ai reçu un appel de Maya
Moi : Bonsoir Maya
Maya : Bonsoir ...
Sa voix été beaucoup plus apaisé que ce matin
Maya : merci pour tout
Moi : tu m’as déjà remercié Maya. Dis-je en fixant la porte d’entrée de la maison du médecin
Maya : Je sais mais ... je tenais sincèrement à m’excuser de vous avoir mal parler la dernière fois
Moi : ce n’est rien Maya
Maya : Je pensais vous voir ...
Moi : Malheureusement je ne suis pas dans le pays pour l’instant mais quand tu as besoins de quelques choses, je dis bien quoi que soit Maya n’hésitez pas à m’appeler
Maya : d’accord
Moi : Comment va ta petite sœur ?!
Maya : elle va bien, elle est avec moi, elle est très fatiguée nous avons passé toute la journée à l’hôpital auprès de tante Alice maintenant elle s’est endormie
Moi : Vous avez encore de quoi vous nourrir ?!
Maya : Oui
Moi : Maya je vais te laisser je dois rendre visite à un amie, passe une bonne soirée. Dis-je en le voyant rentré dans sa maison
Maya : Merci à vous aussi
Après avoir raccrocher avec Maya j’entra dans la maison avec facilité, je le trouvai dans son salon entrain de snifé une ligne de cocaïne.
… : Qui êtes-vous ? disait-il en se levant de son canapé
Je lui assignai un coup de poing une pleine figure ce qui le fit retomber directement sur son canapé
… : Laissez-moi tranquille, prenez tous ce que vous voulez et partez
Je lui assignai de coup sur le visage jusqu’à celui-ci se retrouve en sang
J’ai sorti mon calibre 50 et le pointa sous ses yeux
Moi : écoute-moi bien, la prochaine fois que j’apprends que tu as fait du chantage a tes patients ou demander de coucher avec elles en échange des soins médicaux tu vas te retrouver six pieds sous terre tout en étant vivant
… : S’il vous plait ne me tuer pas, je vous en supplie
Je lui donnai un dernier coup avec mon pistolet qui l’assomme directement, je quittai sa maison tranquillement avant de me rendre chez moi.
Le lendemain,
Le réveille fut dur et la matinée fut très longue, je ne pense pas passer la journée dans mon bureau j’ai mal au crane.
Anissa rentra dans mon bureau après avoir toquer
Anissa : Monsieur votre rendez-vous est la
Moi : Quel rendez-vous ?! Dis-je surpris
Anissa : Vous avez rendez-vous aujourd’hui avec Femi Odetola
Moi : Ah oui. Dis-je en me rappelant. Faite le rentré
Mon rendez-vous dura une heure demie et après sa je rentrai chez moi pour m’en dormir, je fus réveillée quelques heures plus tard par la sonnerie de mon téléphone, je regardai autour de moi il faisait déjà nuit, j’ai dormi tout ce temps ? je devais vraiment être fatiguer, je cherchai mon téléphone des yeux mais ce n’étais pas lui qui sonnait, je me redressai quand que c’était mon deuxième téléphone qui sonnait. Je répondais en me posant la question de qu’est ce qu’il peut bien se passer pour que Maya puisse m’appeler dans la nuit.
Moi : Bonsoir Maya
Maya : Bonsoir monsieur ... Disait-elle d’une voix attristée
Moi : est tu triste Maya ?
Maya : sniff ... Tante Alice est décédé
Moi : Je suis vraiment désolé Maya, si j’aurais pu faire quelques choses plus tôt
Maya : Ce n’est pas votre faute sa maladie été déjà à un stade très avancé …
Moi : Comment te sent tu ?!
Maya : fatigué, je suis fatigué de perdre tous mes proches
Je ne dis rien à sa car c’est ma faute si elle se retrouve dans cette situation.
Moi : je vais m’occuper des funérailles, avait-elle des enfants ou de la famille ?
Maya : non elle était comme nous, seul, nous étions devenus sa seule famille
Moi : repose-toi et demain matin je m’occupe de tout sa
Maya : merci ...
Moi : Bonne nuit maya
Maya : Bonne nuit monsieur.
** Maya Bisola Kosoko **
A la mort de grand-mère tante Alice m’a dit « Quand le chagrin est trop fort, il faut le jeter dehors. Les larmes sont là pour ça. » car je n’arrivais pas à pleurer jetais tellement triste, je me forçais de ne pas pleurer, j’avais assez pleuré pour mes parents je finissais à peine mon deuil qui m’a pris quatre années que voilà je venais de perdre la seule personne qui me restait au monde, le seul parent. Et maintenant c’est elle qui est parti.
Quand l’hôpital m’appela pour m’annoncer la mort de tante Alice j’ai cru d’abord qu’ils étaient trompé car nous somme parti dans le meilleur hôpital de la ville avec Nonso , je ne comprenait donc pas comment cela as pu être possible mais sa maladie été arriver a un stade vraiment très avancé il sont essaie de faire du mieux qu’ils ont pu mais malheureusement elle as fait un arrêt cardiaque avant qu’elle ne puisse passé sur la table d’opération.
Dera a pris la mort de tante Alice très calmement, je la sens très attristé par ça, elle n’a pas souhaité manger, du haut de ses sept ans elle comprend rapidement quand nous perdons les personnes que nous aimons.
Quelques jours plus tard,
Comme il l’avait mon bienfaiteur, c’est comme ça que je l’appelle car je ne connais ni son prénom ni son nom, il s’est occupé des funérailles de tante Alice, nous l’avons enterré à côté de grand-mère et à l’enterrement il y avait que moi, Dera et Nonso, Michael n’as pu être là, ce dernier je le vois très rarement en ce moment. Je lui ai parlé de mon bienfaiteur, il a dit que ça ne lui dérange pas vu que c’était un amie de mon père et qu’il souhaite tout simple nous aider.
Quelques semaines plus tard
J’étais dans ma chambre avec Michael, Dera était à l’école, nous étions en train de nous embrasser après avoir passé un très bon moment intime tous les deux, cela faisait un très bon moment que nous ne nous étions pas vus et c’est vrai qu’il m’avait beaucoup manqué.
Michael : Je t’aime. disait-il en me faisant des bisous partout sur le visage
Je souriais tout amoureuse.
Michael : Et si on vivait ensemble ?
Moi : Michael …
Michael : je veux vivre avec toi, qu’on se prenne notre chez nous
Moi : je ne suis pas seul ... y’a Dera avec moi et je ne veux pas la brusqué, qu’elle a au moins dix, onze ans
Michael : …
Moi : Moi aussi je veux vivre avec toi et je suis follement amoureuse de toi mais je ne peux pas que pensé a moi mais aussi à Dera, c’est ma petite sœur et c’est la seule famille qui me reste et ainsi pour elle, tu comprends ?
Michael : Oui je comprends mon amour
J’aime ce côté de Michael qui est très compréhensible et patient, je l’aime j’espère ne pas le perdre lui aussi.
Nous somme toute les deux parti récupéré Dera à l’école avant de rentré et de diner tous les trois, il passa la soirée avec nous ensuite il est parti.
Quelques jours plus tard j’ai reçu un appel de mon bienfaiteur.
… : Bonjour Maya, comment vas-tu ?
Moi : cava merci et vous ?
… : cava ... Comment se passe ta journée ?
Moi : cava ... j’attends tranquillement l’heure pour aller récupérer Dera à l’école
… : Heu ... Nonso va venir te chercher dans quelques minutes pour te montrer quelques choses que j’ai acheté pour Dera et toi et ensuite vous irez tous les deux récupéré Dera.
Moi : d’accord pas de soucis, si je peux me permettre c’est quoi ?
… : Un appartement
Moi : Un quoi ??!! Dis-je très surprise. Mais ... mais pourquoi ?!
… : Vous ne pouvez pas rester là, il vous faut un meilleur confort
Moi : Je ne peux pas accepter sa … c’est beaucoup trop je ne veux pas abuser de votre gentillesse vous avez déjà beaucoup trop fait pour nous
… : Maya je vous le dois à ta petite sœur et toi, s’il te plait accepte
Moi : Aa ... Je ... je peux au moins y réfléchir ?!
… : Oui pas de soucis
Moi : merci
Nous discutâmes le temps que Nonso arrive. il me ramena dans l’appartement qui se trouve à Ikoyi, l’appartement est magnifique, il est déjà tout meublé
Moi : c’est vraiment beau ? mais je ne peux pas accepter sa
Nonso : pourquoi ?
Moi : je ne veut pas abusé de la gentillesse du patron de patron
Nonso : si c’est lui-même qui te l’offre en quoi tu abuse de sa gentillesse ? pense a ta petite sœur la ou vous vivait un souloulélé n’est pas un lieux sur pour elle, comme pour toi, donne lui la chance de bien vivre et de faire de bonne études dans une bonne école comme elle mérite
Moi : …
Nonso : Pensa à sa car vous avez une chance qui se présente devant vous il faut la saisir et ne pas la laisser passé
Moi : D’accord merci Nonso pour tes conseil je vais accepté