chapitre 30
Ecrit par D.H
CHAPITRE 30 : Honney Moon part 2
AYMANE BACHIR
J’étais satisfaite de mon exploit et tellement fière d’avoir pu enlever la timidité que j’avais en moi mais je vous assure, voir un homme nu devant moi et lui faire ce que j’ai fais. Je marchais délicatement, la tête bien haute et fière allure quand je me suis sentie soulevée telle une plume.
J’étais plus trop sereine comme il y’a quelques minutes car je redoutais déjà ce qu’allait me faire cet homme a la vue de ses yeux voilés de désirs. Il m’a donc déposé sur le lit en m’étendant tout mon corps et en s’accroupissant au niveau de mes pieds pour je ne sais quoi faire.
Il a entreprit tout doucement de m’enlever mes escarpins en parsemait mes pieds, mes mollets de baisers tendre et tout mouillés. Mon cœur battait peu à peu et je commençais à ressentir des frissons me parcourir le corps tout entier.
Il est remonté jusqu'à mes cuisses et ouvrir légèrement mes jambes pour y mordre un tout petit. Je les ai instinctivement fermés.
Lui : Tu me laisse faire
Il a parlé avec tellement d’autorité que je n’ai pu rien faire de plus que de céder le passage comme l’a prescrit monsieur. De ses dents, il a enlevé mon string en me regardant tout droit dans les yeux. J’avais un sentiment de honte qui m’habillait car c’était une première pour moi qu’un homme me voit nue. J’avais vraiment honte.
Il a déposé un doux baiser sur mon bouton rose bien nettoyer. Il y a ouvert les lèvres tout distinctement pour déposer un baiser. Et De sa bouche il a déposé un glaçon qui me laissait toute tremblante.
Il est remonté jusqu’au niveau de mon nombril pour y enfourner sa langue toute chaude et quant à moi je me torpillais déjà les yeux fermés tel un serpent. Il remontait petit à petit j’usqu’au niveau de mes seins dont les bouts était déjà tout tendus comme des flèches a travers le soutif. D’un geste de maitre il le dégrafe tout naturellement avant de prendre mes seins dans ses mains comme des coupes. Il déposa un baiser sur chacun avant de se détaché de moi pour aller prendre des glaçons dans le bac et déposer sur chacun de mes seins et sur mon nombril.
Je ne savais pas ce que je ressentais en moi car cette sensation de chaud dans mon corps et de froid de glaçons me déstabilisais au plus haut point. Il à laisser les glaçons à leurs places en se moquant des chairs de poules qui envahissaient mon corps.
Il m’a embrassé tendrement et langoureusement au point où j’en perdais haleine. Au niveau des oreilles il a commencé par lécher les lobes, ce qui me faisait tressaillir et j’avais juste envie de le ressentir plus prêt de moi et en plus en bas les hostilités commençaient déjà.
J’ai voulu appuyer le baiser en passant mes bras autour de son cou mais c’est sans compter sur lui qui a furtivement enlevé ma main. J’avais toujours les yeux fermés quand je ressentis une sensation de chaud sur mes seins. Il happa mes tétons de manière a les engloutir en les mordant au passage. Je voulais crier et fuir de là ou j’étais mais je ne pouvais pas. Il redescendit encore au niveau de mon nombril où la glace avait déjà fondu et même celle dans mon bouton rose et donc l’eau descendait déjà dans mes parois vaginales qui me donnaient un sentiment d’explosion surement mélanger avec la cyprine qui émanait déjà de mon intérieur. Je tirai les draps à les déchirer quand il s’est mis à embraser entre mes cuisses en descendant vers mon fort.
Lui : regarde-moi
Je ne pouvais pas ouvrir mes yeux car je ne savais vraiment pas où j’étais en ce moment. Il passa une fraise sur sa bouche et versa du miel sur mon pauvre bouton rose qui en souffrait déjà assez. Il s’est mis à lécher le miel en y mettant de la fraise comme dans mon entre et le remettait dans sa bouche aussitôt. Il remit un glaçon dans sa bouche et il a commencera me lécher le haut du bouton tout doucement avant d’ouvrir les lèvres et mettre sa langue.
La façon dont il tournait sa langue en moi et suçait mon clitoris était exquise. Je n’avais jamais ressentit quelque chose de ce genre et tout ce que je voulais a cet instant précis c’était d’en avoir plus. Je voulais le ressentir en moi.
A un moment je ressentais une forte envie d’uriner et le plaisir était au summum je criais et j’appuyais même sa tête plus fort pour qu’il accentue sa tache.
Il soulève la tête d’un ton moqueur et moi j’ouvris les yeux pour voir pourquoi il avait arrêté sa besogne.
Lui : lève-toi
Je me lève et encore une fois il me porta pour aller e déposer dans le jacuzzi qui donnait sur la terrasse. On s’est tellement embrasser et ressentir sa virilité me frôler dupliquait de plus en plus mon plaisir.
Dans l’eau moussante on ne formait qu’un. Personne a cet instant ne pouvait reconnaitre qu’il y’avait là deux personne tellement nous étions fusionnel et enivré de passion. Moi-même je prenais sa main pour le diriger vers mon intimité car je ne pouvais plus supporter cette torture et surtout que j’avais eu je ne sais plus combien d’orgasme depuis le début de la soirée.
Quand il a senti que je voulais plus, il m’a encore porté pour nous diriger vers les toilettes où il appuyait rapidement sur le jet d’eau qui laissait couler sur nous de l’eau toute froide mais qui était pourtant chaude pour moi.
Il m’a collé sur la baie vitrée en m’embrassant et a un moment, il s’est accroupit, soulevant un de mes pieds pour le poser sur son épaule. Une fois de plus, il à aspirer les moindres recoins de mon corps en passant par mon dos et mon entrejambe.
L’eau brouillait nos visages et mes tétons dans sa bouche ne me laissaient pas de marbre. J’en voulais plus et la façon donc de ses doigts qui touchaient chaque paroi de mes lèvres intérieures me rendait folle.
Moi : Stp prend moi. Je n’en peux plus pitié
Lui : supplie-moi
Moi : je t’en supplie
Lui : tu m’aimes ?
Moi : plus que tout au monde
Il m’a répondu par un baiser bien fougue en me portant pour me déposer dans le lit. J’étais même capable de pleurer a cette heure tellement mon pauvre corps avait plus que besoin de son maitre. Il va s’assoir a coté du lit en récitant le verset pour commencer les rapports sexuels avant de revenir a la charge.
A cet instant déjà, je ressentais une peur de l’inconnu car je devais me faire dépuceler maintenant et d’après les ragots sa faisait mal.
Lui : tu es prête ?
Moi : plus que jamais
Il s’est mis sur moi en parsemant mon corps de baisers plus doux et plus sensuels que tout à l’heure. D’une de ses mains, il envoyait ses doigts vers mon entre et au fur à mesure qu’il accentuait ses baisers.
Lui : si tu as mal tu m’arrête ok ?
Je bougeais juste la tête en signe de ok
Après s’être feint un passage, il a remplacé ses mains par son membre bien chaud et bien dur. Il me regardait droit dans les yeux pour ne pas que j’oublie cet instant. Il s’est installer en moi et tout doucement, il poussait sa verge au fond de moi.
Je m’attendais a ce que sa fasse mal mais j’ai juste ressentie une vive douleur me traverser et quand il a commençait à bouger en moi quelques minutes plus tard, place a une douceur et un délice inexplicable.
Lui : tu es tellement étroite et chaude mon amour
Je ne pouvais rien lui répondre car je savourais cette sensation étrange et de chaud en moi. Quelques instant plus tard, il m’a retourné sur lui et j’ai fais quelques tournages de reins avant qu’on arrive tous les deux a l’orgasme. Lui libérant sa semence toute chaude en moi et moi aussi en liquidifiant de ma cyprine. Nous avons presque criés tellement c’était bon et divin. On aurait vraiment dit que mon corps était destiné l’un à l’autre.
Il m’a prise dans ses bras me berçant comme en me donnant des baisers.
Lui : cava ? Tu as mal ?
Moi : non chéri je me sens plutôt bien
Lui : merci de m’avoir fait cet honneur mon cœur. Tu ne sais pas combien je suis heureux d’avoir été le premier.
Moi : tu seras le dernier in cha Allah mon cœur
Il m’embrassa encor une fois tout en me berçant tranquillement j’usqu’a ce que je tombe épuisé dans les bras de Morphée.
RAHIM KASSIM
Vous ne pouvez pas vous imaginez combien je sui si content d’avoir été le premier avec ma femme. Je m’attendais vraiment à ce qu’elle soit vierge vu qu’elle me l’avait dit mais vivre cette expérience est tout une autre chose.
Ça n’a pas été facile pour moi et vu que j’avais tellement peur de rater et lui faire vivre un enfer mais il faut avouer que c’est ma femme. Si cela dépendait que de moi j’aurai pu passer tout une nuit en elle-même mais j’étais bien épuisé.
Je l’ai encore embrassé une dernière fois avant m’en dormir aussi.
Le matin à 4h j’ai réveillé ma douce colombe pour les grandes ablutions et la prière.
Moi : tu vas bien mon amour ?
Elle : mon amour je vais très bien et surtout je ne suis pas une petite fille et tu ne m’as pas violé non plus.
Moi : tu vas te rendormir ?
Elle : il faut avouer que tu ne m’as pas laissé de répit hier soir
Moi : viens dans mes bras
Elle : seulement dans tes bras mon amour
Moi : et mon petit déjeuner ?
Elle : je le ferai à mon réveil
Moi : non je parle de ce qui m’appartient là en bas. Dis-je en envoyant ma main vers son entre-jambe
Elle : petit coquin
S’en est suivie d’une autre séance bien plus torride en plus car madame ma femme m’a fait une de ses gymnastique sans nom.
Nous avons jouit une fois avant de nous coucher tout essoufflés et cette fois ci on devait dormir car on en a besoin.
…………….. TO BE CONTINUED