Chapitre 32

Ecrit par Nessa.Belmonde

Chapitre 32 



** Marie  Daniels ** 


J’ai eu tout ce que je voulais dans ma vie , un mari aimant , la richesse et une bonne santé, enfin .. mais je ne pouvais enfanter, mes trompes étaient bouché . Tu peut avoir toutes la richesse du monde mais tant que tu na pas d’enfant avec qui partager sa, tout cela te semble vanité . 


Devon a été un miracle, mon petit miracle a moi  , je l’ai adopté à l’âge de douze ans , mon cœur c’est directement remplie d’amour pour lui dès que j’ai croisé son regarder. Mon mari et moi avions pris soin de cette enfant du mieux que nous pouvions, nous l’avions remplie de toutes notre amour car il en avait pas, il en avait vraiment besoin . 


Mais une tragédie arriva quelques mois après son arrivé dans la maison. J’avais une amie en qui je posais toute ma confiance, elle venait souvent chez moi car son couple battaient de l’aile, son mari ne la touchait plus car elle n’arrivait pas aussi à concevoir, du coup elle se consolait dans la boisson, les bar et les hommes d’un soir . 


Je l’ai laissé avec Devon le temps que je fasse une course urgente et aussi pour qu’ils apprennent à se connaître les deux car ils allait beaucoup se fréquenté par rapport à moi . 

A mon retour à la maison, Jasmine, mon amie, était parti , voilà ce qu’ils m’ont dis les domestiques, j’ai trouver cela étrange mais je n’ai pas porté mon attention sur sa, quand à Devon, il c’était en fermer dans sa chambre, je me suis dis qu’il avait besoin d’être seul donc je ne suis pas parti le voir . 


Mais plus les jours passées plus Devon ne sortait pas de sa chambre , mon mari me disait de le laisser, que c’était un garçon qu’il avait besoins d’intimité, ce qui est bizarre car Devon aimait passé du temps avec son père . 

Quand je me suis rendu compte que pendant plusieurs jours Devon ne sortait pas de sa chambre, je me suis dis qu’il y avait un problème . 


Arriver devant la porte de sa chambre j’ai tout d’abord toqué à plusieurs reprises mais il ne m’a pas répondu, je me suis donc décidé à rentrer. Je l’ai trouver allongé sur son lit, dans le noir , le regard dans le vide . 


Moi : Devon ?! Devon ?! Devon ?! M’avançant vers lui 


Devon : ... 


Moi : mon petit cœur ?! Lui touchant l’épaule 


Il a levé ses yeux vers moi et la j’ai tout de suite compris que quelques choses n’allait pas 


Moi : qu’est ce qu’il se passe mon amour ?! 


Devon : .. 


Il avait les yeux tout rouge et mouillé 


Moi : tu a pleuré mon cœur ?! 


Devon : je veut .. je veut parler à .. pa..pa. Bafouillant les mots de la fin 


Moi : mais qu’est-ce qu’il se passe tu peut tout me dire je suis ta mère. Lui tenant les mains 


Devon : je veut parler avec lui c’est tout. Dit-il les yeux river sur mes mains 


Moi : dit le moi si quelque chose ne va pas, je suis aussi ta mère , et je peut le régler. Lui caressant le visage 


Devon : .. 


Moi : bon d’accord je vais appeler papa. Soufflant 

 

J’ai fait appeler à mon mari, ils ont discuté ensemble pendant dix minutes. J’ai vu mon mari sortir en furie de la chambre de Devon. 


Moi: qu’est-ce qu’il se passe ?! Demandai-je inquiète 


John : ton amie .. ton amie .. Cherchant ses clés. Mais où sont mes clés bordel ! Criait-il 


Moi : mais dis moi qu’est-ce qu’il se passe John ?! Dis-je inquiète 


John : ta sorcière de copine a abusé de mon fils ! Dit-il sur un ton de dégoût 


Moi : pardon ?! Dis-je la main sur le coeur 


John : je vais la tuer ! La voix remplie de colère 


J’ai courus dans la chambre de Devon, il était assis sur lit le regard dans le vide comme quand je l’avais trouver à des minutes plus tôt 


Moi : mon chéri .. Me mettant à sa hauteur 


Devon : .. 


Moi : dit moi ce qu’elle t’a fait ?! 


Devon : non j’ai honte .. Fermant les yeux 


Moi : tu na pas à avoir honte , je suis ta mère, tu na pas à avoir honte de moi 


Il n’a plus rien dit jusqu’au retour de mon mari. 


John ma expliquer que Jasmine était en effet  sous l’emprise de l’alcool et avait abusé de Devon, lui forçant de se déshabiller , il a voulu continuer mais cela été déjà beaucoup trop pour moi je lui ai dit de coupé , car elle est parti plus loin , j’ai eu tellement mal pour Devon,  je m’étais fait la promesse de le protégé contre tous , il a eu une enfance très difficile, on m’a appris que c’était son propre père qui la jeté à l’orphelinat comme un mal propre à l’âge de cinq ans, qui fait sa à son enfant !? Quel êtres humains fait ça  à sa propre chair ?! A l’orphelinat certaines bonnes sœurs étaient comme des sorcières, il a subi beaucoup de torture.  Et maintenant j’ai mon entourage qui lui fait du mal aussi , je me sent tellement mal . 


J’ai fait du mal à Jasmine , sa oui je lui ai fait du mal , je l’ai tapé jusqu’à ce qu’elle puisse perdre connaissance, et elle a été envoyé en prison par la suite je n’ai plus jamais eu de nouvelle d’elle . 


J’ai essayé tant bien que mal de faire grandir Devon à mon image, mais il a avait déjà cette esprit de colère, le fait d’avoir souffert à l’orphelinat, sa endurcie son cœur, je ne suis pas arriver trop tard dans sa vie mais je ne suis pas arrivé attend . 


J’ai pris soin de lui , je l’ai aimer de tout mon cœur et de tout mon âme . 




** Devon EDOZIENE ** 


J’ai passé ses dernières mois au près de ma mère , je ne voulais pas raté une seul seconde avec elle, la voir partir comme ça sous mes yeux sans que je ne puisse me rien faire  me déstabilise. J’aurai tellement aimer être prévenu dès le début de sa maladie pour qu’on puisse trouver une solution. Accepter qu’elle meurt c’est comme accepter de laisser une parti de moi partir avec elle, un bout de mon cœur . 


J’ai passé toutes mes journées chez ma mère, elle a dit qu’elle préfère que la mort la trouve à la maison qu’à l’hôpital, j’étais contre cette décision mais je ne voulais lui prendre la tête donc jetait contraint d’accepter cela. 

Je ne vivais plus chez moi mais chez elle, je restais assis à côté de son lit tout les jours et me dire qu’elle va me quitter, je ne serais vous d’écrire ce que je ressentais. 


Elle a était mon tout pendant des années , elle m’a fait passé avant tout , elle m’a porter dans son cœur, elle m’a appeler son fils la première fois qu’elle m’a vu , elle a tout fait pour que j’ai une bonne vie , elle a tout fait pour me changer, que je devienne une bonne personne comme elle aurait voulu que je soit , elle n’a rien lâcher jusqu’a son dernier souffle . 


Une grande femme respectable et admirable dont j’ai la fierté d’appeler ma mère Marie Daniels je t’aime à jamais. 



Deux mois plus tôt 


J’ai poser ma tête sur les pieds de ma mère le temps qu’elle dormait. Je ne veut raté aucun moment avec elle, je n’ai même pas la force d’aller au travail ou de faire quoi que ce soit . 



Marie: comment tu vas ?! Me caressant la tête 


Moi: c’est à moi de te poser cette question  . Me redressant 


Marie : tu sais déjà comment je vais, mais moi j’ai envie de savoir comment toi tu vas 


Moi : comme hier et avant hier .. 


Marie : ne te concentre pas sur moi et ma mort mais sur ta femme et ton enfant à venir 


Moi : maman s’il te plaît .. je ne vais pas envie de penser à sa. Me levant 


Marie : mais avec qui tu va rester Devon ?! Tu a un héritier en route qui va venir comblé ton bonheur,  pourquoi le refuse tu ?! Je ne te force pas à aimer sa mère car j’en ai marre de me battre sur sa avec toi 


Moi : enfin tu a compris que je n’aimerais jamais cette petite. Mettant mes mains dans mes poches 


Marie : mais tu a quand même réussi à lui faire un enfant 


Moi : maman .. Soufflant 


Marie : d’accord je m’arrête la, mais mon fils , s’il te plaît, promets moi que tu assumera ton rôle de père, je veut que cette enfant ai le bonheur d’avoir un papa en or à ses côtés 


Moi : ... 


Marie : je sais que tu sera un bon père, ne prive pas à cette enfant le bonheur d’avoir un père, cette enfant ne t’a rien demandé , ni à sa mère non plus, que ta haine ne te pousse pas à haïr la chair de ta chair , ton sang 


Moi : je ne vais pas le haïr .. mais je pense que il sera mieux avec sa mère qu’avec moi mais vu que tu y tien .. 


Marie : Devon promet le moi s’il te plaît pour que je puisse mourir en paix 


Moi : tu sais que je ne peut rien te refuser 


Marie : sa me ferai vraiment plaisir que tu puisse parler de moi à mon petit fils ou ma petite fille 


Moi : je n’ai jamais voulu d’enfant 


Marie : mais la vie t’en a donner un et crois moi que c’est un pur bonheur, dès que tu va tenir ce petit êtres dans tes bras tu va ressentir quelque chose, seul un père peut ressentir sa 


Moi : .. 


Marie : prend soin de ton enfant comme si c’est la seul choses que tu a à faire dans le monde. 


Moi : .. 


Marie : et aussi , respect sa mère 


Moi : sa mère . Dis-je en réfléchissant 


Marie : oui celle que tu a abandonné enceinte tu rend compte de sa souffrance ?!


Moi : maman j’ai dis que je ne voulais pas parler de De .. 


Marie : depuis que tu est ici tu n’arrive même pas prononcé son prénom, la culpabilité te ronge ! 


Moi : je vais me prendre un verre d’eau 


Marie : c’est sa fuis 


Je me suis levé et j’ai quitté sa chambre, si je serait resté elle aurait pas arrêté et continue de parler de Delinda .. 


Aujourd’hui 


Je pense que cette situation entre Delinda et moi c’est mieux comme ça. 


Je vais quitter Lagos car je n’ai plus rien à faire ici, je vais gère mes sociétés à partir de là où je vais vivre . 



** Delinda K ONWUNKA ** 


Chris : tu est prêt ?! Criant 


Moi : oui. Jetant un dernier coup d’œil au miroir 


Aujourd’hui c’est l’enterrement de Marie, je m’y rend avec Chris, il vient pour soutenir son frère et moi pour faire mes adieux . 


Chris : pourquoi tu a pris autant de temps ?! Me voyant descendre les escaliers 


Moi : je devais me trouver quelque chose à mettre . Arrivant à sa hauteur 


Chris : et sa ta pris tout ce temps ?! Sortant de la maison 


Moi : Plus rien ne me va depuis que mon ventre grossi a une allure incroyable. Montant dans la voiture. En dirait j’ai des jumeaux 


Chris : mais tu a vu aussi tout ce que tu englouti ?! 


Moi : orh Chris arrête 


Chris : tu ne mâche même pas tu englouti les aliments 


Moi : tu ment ! 


Chris : tu ne te vois pas quand tu mange, sur tout quand c’est tes envie bizarre à deux heures du matin 


Moi : je te demande d’être plus tolérant avec moi je suis une femme enceinte 


Chris : tu sais que je vais bientôt partir Delinda. Changeant de sujet. Mais  tu pourra m’appeler quand tu veut à n’importe quel heure quand t’es envies te prend 


Moi : ça va me faire bizarre d’être sans toi 


Chris : mon appartement est prête depuis un mois maintenant mais je n’arrête pas d’allonger mon séjour chez toi par peur de te laisser seul 


Moi : je vais bien , tout va bien 


Chris : je l’espère 


Nous sommes arriver dans les lieux, nous nous sommes installés Chris et moi , de loin j’ai pu apercevoir Ma Yvonne , Jenny, Mike, Jim et Franck mais pas de Devon .


Un moment tout le monde c’est assis, il y’a eu un discours, pendant le discours mes yeux se baladaient en caressant mon ventre, un tic que j’ai maintenant, quand je suis tombé sur le regard de Devon sur moi, il était debout tout fond de la cour habillée tout en noir, les mains dans les poche, j’ai ensuite  tourné la tête en direction de la personne qui donnait son discours . 


Je me doute que monsieur a refusé de dire quelque mots c’est tout Devon sa . 


A la fin de l’enterrement il y’a eu un petit pot je n’ai pas voulu rester trop long temps et Chris je ne le retrouvait plus , donc j’ai décidé de prendre un taxi et rentré . 


A mon arriver à la maison j’étais tellement fatigué que je me suis affalé sur le canapés et je me suis tout de suite en dormi . 


Chris : Delinda ?! Delinda ?! Me caressant les cheveux 


Moi : ah Chris . Ouvrant les yeux . Tu est rentré ?!


Chris : oui .. retournant sa tête 


J’ai pu a percevoir qu’il avait l’œil violacé 


Moi : Chris ?! 


Chris : hum ?! 


Moi : retourne toi vers moi s’il te plaît 


Chris : Delinda je suis fatigué , on se voit demain . Il paraît en direction des escaliers 


Je me suis levé, je me suis mise devant lui pour lui barrer la route, j’ai pu voir que son œil été tout rouge, sa lèvre inférieure saignée 


Moi : mais qui t’a fait sa ?! Lui attrapant le visage sa avec ma main 


Chris : ce n’est rien .. 


Moi : mais comment sa c’est rien ?! C’est grave , tu t’ai battu Chris ?! 


Chris : non .. c’est Devon qui m’a fait sa .. 


Moi: pardon ?! Dise je choqué 


Chris : vient on va s’asseoir 


Nous sommes partir nous asseoir sur le canapé 


Chris : quand tu est parti, Devon a appris que je vivais avec toi et il m’a reproché le faite que je ne lui ai pas tenu au courant, sachant que moi aussi j’au eu des choses à lui reproche des choses dont je n’avais pas encore eu l’occasion d’en parler avec lui, verbalement c’est un peut parti loin et sur le coup de la colère je lui ai dit «  qu’est-ce qu’il y’a, tu a peur que je termine quelque chose que tu a commencé ?! » et de la il m’a frappée 


Moi : pourquoi tu a dis sa ?! 


Chris : je ne suis pas tellement fier de moi, mais à ton arriver ici Devon ma demander de te séduire 


Moi : pardon ?! Dise-je choque 


Chris : voilà , la raison pour la quelle je t’avais suivi dans la chambre 


Moi : c’est une blague ?! 


Chris : je suis désolé 


Moi : non ce n’est pas toi le problème mais c’est le psychopathe qui te sert de grand-frère, il doit s’excuser. Mais c’est un grand malade celui là ! Je vais lui en toucher deux mots 


Chris : ne fait pas sa 


Moi : non mais c’est bon la sa suffit ! Au bout d’un moment y’en a marre que ton frère prennes les gens pour des imbéciles, des moins que rien. Demain je suis dans son foutue bureau ! 


Chris : Delinda c’est pas la peine 


Moi : oh que si , si sa ne tenait que à moi, je serais même parti maintenant ! Il n’a pas a levé la main sur toi, tu n’est pas son enfant ou même son esclave, il se croit tout permis, certes ici c’est chez lui mais il y’a un minimum de respect, je suis désolé il n’a pas à faire sa ce malade mental ! 


Je suis monté dans ma chambre très en colère, qu’est-ce qu’il ne fonctionne pas chez cet homme ?! Me suis-je posé la question , même quand il n’y a pas lieu d’être il ramène sa colère, je le déteste ! 


Le lendemain matin 



Ce matin je me suis réveillé de bonheur et déterminé à aller touché deux mots à l’autre malade, contrairement au autres, moi je n’ai pas peur de lui, devant ses grand air de monsieur je fait peur à n’importe qui , sa ne marche pas avec moi. 


Quand j’ai eu fini de me préparer je me suis rendu dans la chambre de Chris 


Moi : tu est prêts ?! 


Chris : prêts pour ?! 


Moi : on y vas, on voir ton frère 


Chris : tu est sérieuse ?! 


Moi : Chris , on y vas, il faut lui en toucher deux mots, regarde toi Chris , regarde ton œil et ta lèvre ?! Il n’a pas à te frappé 


Chris: je vois que tu est déterminé, je t’accompagne juste, je ne pas monte dans son bureau, je n’ai pas envie de le voir 


Moi : comme tu veut 


Quelque minutes plus tard nous étions devant l’immeuble de Devon . L’immeuble devait comporte dix étages et dire comment il a bâti je ne sais rien du tout . 

A vrai dire je n’ai jamais vu la richesse de Devon ou même dans quoi il travaille car je m’en fiche complètement, mais je comprends maintenant pourquoi il se croit tout permis . 


Chris : bon je t’attend dans la voiture 


Moi : tu est sur de toi ?! 


Chris : je n’ai pas envie que sa dégénère entre nous, déjà que tu ne va pas par visite de courtoisie 


Moi : oh que non ! 


Je suis descendu de la voiture , en rentrant dans le hall j’ai directement pris l’ascenseur car Chris m’a dit que son bureau de trouvait au dernier étage. Arriver à celui-ci il y avais sa secrétaire à ma sortir de l’ascenseur 


Moi : bonjour .. 


  • Bonjour madame que puis-je faire pour vous ?!

Moi : votre patron est il la ?! 


  • Oui , avez vous un rendez-vous ?! 

Moi : non .. 


  • je suis navré mais le patron reçois uniquement sur rendez-vous 

Moi : ah bon il a dit sa ?! 


Je me suis dirigé vers la seul grande porte qui se trouver la, je l’ai ouvert, avec les crie de la secrétaire derrière moi 


  • Monsieur, je lui ai dit que vous ne recevez personne mais elle est quand même rentré. Rentrant dans le bureau derrière moi 

Devon: c’est bon laissez nous 


Il été assis derrière son bureau, aussi vaste que celui à la maison 


Elle est sorti en refermant la porte derrière d’elle 


Devon : un problème ?! Levant un sourcil 


Moi : tu sais très bien la raison de ma venu  ici ! 


Devon : j’ai une n petit idée mais éclaire moi 


Moi : espèce d’idiot ! Comment tu peut te permettre de levé la main sur Chris ?! 


Devon : tient sa , il t’envoie maintenant ?! 


Moi : il ne manpas envoyer ! C’est moi de mon pleins grès qui est venu ici , tu te crois tout permis, mais bordel Devon calme toi ! 


Devon : je peut savoir la raison pour la quel sa te met toi en colère ?! 


Moi : parce que tu n’a pas a levé la main sur une personne qui ramasse tes peau cassé 


Devon : vous êtes en couple !? Dit sur un ton sarcastique 


Moi : va te faire foutre ! Dis-je au tac 


Il c’est levé d’un bon 


Devon : je ne te permet pas de venir dans mon  bureau et m’insulter !!! 


Moi : et puis quoi encore ?! Moi je ne te permets pas de me manquer de respect ! Ton frère a un cœur pas comme toi ! 


Devon : .. 


Moi : ce n’est pas parce que toi tu n’a pas de cœur et que tu l’être le plus ignobles du monde que tout le monde doit être comme toi !! Ton petit frère je te signal occupe une responsabilité que toi tu a fuis comme un lâché que tu est ! 


Il c’est dangereusement avancé vers moi 


Devon : répète un peut c’est qui le lâcher ?! 


Moi : toi Devon ! Tu pense vraiment que je vais mâcher mes mots ?! 


Devon : ah , donc je comprends bien le but de ton arrivé ici, sa n’a rien avoir avec Chris mais avec moi , tu n’a toujours pas tourner la page ?! 


Moi : si tu savais à quel point tu représentes que de mépris pour moi 


Devon: dans ce cas la, c’est la dernière foi que tu rend dans mon bureau 


Moi : si tu savais à quel point tu me dégoûte .. 


Devon : tant mieux ! 


Moi : mais sache que ce n’est pas en mettant ta colère d’homme seul sur Chris qui va t’apaiser, tu est seul , et tu restera seul tout au long de ta vie. Tu ne mérite ni amour, ni respect. Sur ce bonne continuation à toi 


Devon : j’ai n’ai pas besoins 


Moi : imbéciles ! Sortant de son bureau 











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