Chapitre 32

Ecrit par Sandy's Aby's

Juste SAJOUX


Ça fait juste trois jours que je suis de retour et déjà, j’ai reçu une invitation !


J’ai dû rentrer dans l’immédiat car j’ai un gros chargement pour le Cameroun et c’est mon premier gros chargement avec ce pays, je n’ai pas envie de donner une mauvaise impression, j’ai donc décider de rentrer m’occuper moi-même de ce chargement.


J’ai informé quelques personnes de l’entreprise que j’étais arrivé il s’agit de Lorna, la réceptionniste et quelques agents.


Présentement, j’ai très envie de revoir Harmonie mais je n’ose pas. Elle a certainement réussi à me sortir de sa tête.

Sur le coup, je lançais un coup de fil bref à Lorna pour qu’elle me prépare le dossier du chargement car j’ai décidé de travailler depuis la maison, histoire de rester incognito.


Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME


J’ai pris ma journée au travail, et décidais de ranger mon linge propre dans le placard toute seule, la porte largement ouverte. Flora, elle, a pris sa journée, elle avait une urgence.


La Keke (devant la porte de ma chambre) : Yaya !


Moi (me retournant, soulagée) : Ah ma petite, merci, j’ai cru que tu n’allais plus venir, bonjour.


La Keke (me rejoignant dans la chambre) : Bonjour yaya !

Je suis là gueh !


Moi (stoppant ce que je faisais pour lui faire deux bisous) : J’ai déjà commencé avec le linge.


La Keke (posant sa sacoche sur le canapé) : Mais, j’ai vu que Flora a déjà presque tout fait.


Moi (les point sur les hanches) : Oui, il ne reste qu’à ranger le linge et préparer.


La Keke (retirant son sac) : Ton mari est où ? 


Moi (une moue de mépris) : Sorti !


Elle (se déplaçant jusqu’à la porte) : Bon ! Je vais à la cuisine !


Moi (souriante) : Ok !

Je pris une valise que je posais sur le lit. Au même moment mon portable sonna, c’était un numéro privé.


Moi (hésitante) : Allô !


Voix de femme à l’autre bout du fil : Bonjour madame Harmonie ! C’est Anabelle, la réceptionniste de Style & Textile (l’entreprise de JUSTE SAJOUX) Juste vous informer que monsieur SAJOUX est de retour.


Mon cœur rata deux battements, Quoi ? avais-je bien écouté ?


Moi (n’en croyant pas mes oreilles) : Vous dites qu’il est en ce moment même au bureau ?


Anabelle : Non ! Nous avons reçu une notification qu’il est de retour mais qu’il travail certainement de chez lui pour l’instant.


Moi (poussant un soupir de satisfaction) : Merci beaucoup Anabelle, tu es un ange.


Anabelle : De rien madame Harmonie.


Je raccrochais avec un sourire exagéré.

JUSTE ! Ici à Libreville quelle joie ! Mais pourquoi ne m’en a-t-il pas informé ?


En avait-il l’intention où restait-il de marbre sur sa dernière décision nous concernant ?


La seule personne capable de répondre à mes questions n’est autre que lui et lui seul.

Je laissais là tout ce que j’avais prévue de faire, et filais à la douche.


Après m’être lavée, habillée, maquillée et parfumée je pris ma sacoche et me dirigeais vers la cuisine où je trouvai ma petite sœur affairée dans les casseroles.


Moi (le sac sur le bras) : Mmmm ça sent bon par ici !

Tu nous concocte quoi comme ça ?


La Keke (se retournant) : Du poisson à l’étouffé et les ragouts dans la pâte d’arachide.


Moi (surprise) : Ekié ! Tu connais les gouts de ton beau-frère hein !


La Keke (la main sur la hanche, une louche à la main libre) : C’est quand même moi ou bien yaya !


Moi (ajustant les corde de la sacoche) : C’est parce que les enfants ont leur fête à l’école demain, ils allaient déjà aller chez leur grand-mère grossir un peu. En tout cas c’est décidé, ils iront passer les vacances là-bas. 


La Keke (posant la louche) : Les autres, à la maison, vont bientôt faire les cours de vacances !


Moi (m’appuyant sur le battant de la porte) : Ils vont aussi les faire en étant là-bas, j’ai appris qu’ils vont commencer tôt cette année.


La Keke (tournant la marmite) : Yes ! et tu sais que tous comptent sur toi pour payer les cours à leurs enfants aussi !


Moi (croisant les bras) : Ne m’en parle même pas mais bon je les aie habitués, à moi de continuer sans me plaindre. Bon ma petite, ta sœur va à une œuvre de charité, lool… Je vais à un rendez-vous d’affaires.


La Keke (suspicieuse) : Humm yaya, habillée de la sorte ?

Et si ton Mari te trouve habillée de la sorte ?

J’avais porté une robe droite rouge qui arrêtais au-dessus de mes genoux.


Moi (sur le départ) : Il ne viendra pas de sitôt, je connais ses horaires !


La Keke : Ok ! Moi, je termine je rentre mais la grande pense à moi j’ai besoin d’argent pardon.

Je revins sur mes pas et fouilla dans mon sac, je ne trouvais grand-chose.


Alors je me dirigeais vers ma chambre je fouillais mon autre sac et trouvais une enveloppe de cent quatre-vingt mille que je remis à ma petite sœur avant de m’en aller rejoindre JUSTE.


Exceptionnellement, je ne pris pas mon véhicule mais plutôt un taxi compteur qui se gara devant le portail de JUSTE, je réglais et il s’en alla pendant que je me dirigeais vers l’immense portail.


Je sonnais et Mohamed apparu quelques secondes plus tard et ouvrit le portillon et s’effaça pour me laisser entrer.  


Moi (nonchalamment) : Bonjour Mohamed !


Mohamed (surpris) : Madame normalement patron ne voulez pas voir personne ici mais comme vous avoir fait tapage l’autre fois ici, moi préféré vous faire rentrer vous réglez ça avec patron, c’est mieux !

Traduction >>(Madame, normalement, le patron à interdit les visites mais comme je sais qu’avec vous ça risque de mal se terminer comme la dernière fois, je préfère vous laisser rentrer, le patron, lui-même saura quoi faire.)


Off 

Tu as intérêt mon frère !!!


Moi (sans tenir compte de ses propos) : Mohamed bonsoir ! Insistais-je car il n’avait pas encore répondu à mon bonsoir.


Mohamed : Bonsoir madame !


Moi (le buste levé) : Bien ! La bienséance voudrait qu’on commence avec un bonjour monsieur ou madame pas le contraire.

Je me dirigeais vers l’entrée, la démarche gracieuse en passant le pas de la porte sans attendre sa réplique.


Juste SAJOUX


Plongé partiellement dans l’obscurité, je suis allongé devant mon poste téléviseur, le coude posé sur l’accoudoir, la main sur mon front, les pensées ailleurs.


Je pense à Harmonie.


Cette femme que j’ai toujours aimé de toutes mes forces que j’ai eues près de moi sans jamais lui sauter dessus, pas que l’envie me manquais, mais par respect pour sa personne.


J’ai pris la décision de m’éloigner d’elle pour qu’elle n’ait pas à se sentir obligée ou redevable envers moi.


Je veux que les choses se fassent d’elles même, sans forcer.


Mieux, je m’éloigne d’elle, mieux se sera et je ne souhaite même pas qu’elle apprenne que je suis de retour.


Je termine avec le chargement et je repars en Chine pour qu’elle m’oublie mais aussi surtout que je ne me laisse aller car je crois qu’en ce moment j’ai peur de ne pas pouvoir résister assez longtemps.


Seigneur, tu as vu combien de fois j’ai dû me maitriser, ne permet pas qu’elle découvre que je suis là car je suis très faible en ce moment pour résister….


Harmonie (derrière mon dos) : Juste ! dit-elle de sa voix la plus douce.


Un frisson me traversa le dos, je me figeais sans pouvoir me retourner, était-ce vraiment elle ou le fruit de mon imagination ?


Je pris mon courage à deux mains et me retournais pour confirmer ma théorie.


Moi (me tenant brusquement sur mes pieds) : …

Je me retournais lentement en passant nerveusement ma main sur le visage, plus qu’étonné elle était bien là, vêtue d’une robe rouge, toute belle et sexy.


Elle s’avança jusqu’à moi le regard larmoyant.


 Puis, vint se blottir dans mes bras, je lui fis un baiser sur la tête et nous restions là pendant une minute, elle se détacha ensuite de moi en me fixant.


Elle (repoussant une mèche qui lui tombait sur le front) : Pourquoi ne m’as-tu pas informé de ton retour.


Moi (la dévisageant avec admiration) : … 


Mon cœur s’emballa, une panique étrange s’empara de moi sans que je ne sache pourquoi. Je reculais d’un pas et allait dans un coin du salon me servir un verre, j’avais besoin de reprendre mon calme.


Elle se déplaça mais alla prendre place sur le canapé.


Elle : Juste, je n’en peux plus ! j’ai envie de toi…

Le dos encore tourné, le verre m’échappa de la main et se brisa contre le sol. Elle se précipita vers moi, apeurée. Pendant que j’essayais de ramasser les morceau de verre. 


Elle (le regard inquisiteur) : Ça va ?


Moi (l’entrainant vers le canapé pour pas qu’elle ne se blesse) : Ne t’inquiète pas, je n’ai rien.

Elle marqua une pose en laissant tomber sa sacoche, les yeux plongés dans les miens je fais de même et sans comprendre quoi que ce soit je me retrouve en train de l’embrasser langoureusement, caressant, d’une main sa peau douce, l’autre main sa nuque.

C’est presqu’à tâtons qu’on trouva la première marche d’escalier qui menait à l’étage donc, ma chambre.


Dorothée ép. OVONO.


Après avoir passé un agréable moment à table avec un met succulent, Leonel débarrassa la table, aidé par son père. 


C’était si beau de les voir travailler en équipe !

Moi, par contre, je me dirigeais dans la cuisine pour nettoyer la vaisselle mais là encore Guy vint me prêter main forte.


Lorsque vint le moment d’aller se coucher, Leonel s’assura que les portes soient fermées pendant que moi, je regagnais ma chambre pour prier et m’endormir.


Je voudrais être sur pied de bonne heure pour le boulot afin de rattraper les jours perdus.


Guy OVONO


Je finissais de ranger les sets de table et me rapprochais de mon fils pourqu’on discute.


Moi (gêné) : Fiston on peut parler brièvement s’il te plaît ?


Leonel (les bras croisés) : Bien sûr papa !

Je lui fis signe de s’assoir en jetant un coup d’œil au couloir pour voir si Dorothée ne s’y trouvait pas. Rien !

J’entrepris de m’assoir, mon fils en fit autant.


Moi (raclant la gorge) : Fiston ! [Soupir]

Je sais que c’est une grâce d’être avec vous, ma vraie famille. Et surtout que ta mère m’ait pardonné, toi aussi d’ailleurs mais maintenant je suis coincé [Grattant le front, excédé] Je sais que c’est vraiment gênant d’en parler avec toi mais j’ai besoin de ton aide pour convaincre ta mère.


Leonel (suspicieux) : En quoi est-ce que je pourrais t’aider papa ?


Mon regard se troubla, jamais je n'avais pu parler de ce genre de chose avec mon fils.


Moi (fixant mes mains, posées sur la table) : Euh ! J’ai vraiment besoin de ta mère !


Leonel (ne comprenant toujours pas) : Euh ? OK !


Moi (me fixant) : C’est ma femme et… Je voudrais vraiment qu’elle joue son rôle comme au départ !


Leonel (un peu agacé) : Papa, je ne vois toujours pas ce que suis sensé faire !


Moi (perdant patience) : Écoute, j’ai besoin de sexe ! Laissais-je tomber


Leonel étouffa un cri avec ses mains avant de lever les yeux vers moi.


Moi (le fixant) : Désolé. J’ai envie… de ta mère ! Balbutiais-je


Leonel (la main devant la bouche) : Ok papa ! Ça fait juste bizarre de t’entendre me le dire.


Moi (haussant les épaules) : Oh rassure toi je suis au plus mal ! 


Leonel (un regard de commisération) : Je crois que certainement elle voudrait la même chose. Il suffit juste de la prendre par les sentiments. Tout ce que tu as fait pour elle jusqu’à présent est formidable, elle apprécie et moi aussi. Tu es redevenu celui que tu étais au départ et mieux encore. Mais il faudra juste oser c’est la seule chose que je peux te proposer, ça marche à tous les coups, quand la personne à des sentiments pour toi et maman a ce regard qu’elle avait pour toi il y’a des années.


Moi (secouant lentement la tête, le regard vitreux) : Je ne réalise pas que je parle de ça avec mon propre fils mais je suis prêt à tout pour reconquérir ma femme.


Leonel (fit une grimace et posa sa main sur mon épaule) : Bonne chance papa fit-il en se levant.


Moi (posant ma main sur la sienne) : Merci !


Leonel (se déplaçant) : Je dois me lever de bonheur pour que maman me dépose à l’Ambassade !


Moi (le menton posé sur mes mains jointes, les coudes sur la table) : D’accord fiston, bonne nuit.


Leonel (s’éloignât) : Bonne nuit papa !


Moi : Bonne nuit fiston.


Je me levais avec peine, éteignis la lumière avant de longer le couloir en direction de ma chambre.

Triste et frustré, je regagnais ma chambre en passant devant celle de ma femme. Elle a tenue à ce que je dorme près de la sienne.

Allongé sur le lit, je pensais à elle. Je n’arrivais pas à fermer l’œil, me posant mille et une questions et repensant à ce que mon fils m’avait proposé de faire.


Dorothée ép. OVONO


Le regard fixé au plafond, je me demandais jusqu’à quand j’allais résister à l’envie de lui sauter dessus. D’ailleurs, c’est à lui de le faire. Guy a changé et je suis convaincu qu’il ne m’abandonnera plus pour quelqu’une d’autre, il m’a juré fidélité une fois de plus en me promettant de respecter sa parole et m’a demandé pardon.


Qui suis-je pour ne pas accepter son pardon ?

Je lui ai pardonné depuis longtemps mais je n’ose pas me lancer de peur qu’il me voie comme une femme de petite vertu.


Qu’est-ce que j’ai envie de lui !


Soudainement on donne un léger coup à ma porte, je me redresse, mettant en marche la veilleuse.


Moi (m’adossant sur ma taie, le drap jusqu’à la taille) : Entrez !


La porte s’ouvrit sur Guy, mon cœur manqua un battement.


Guy referma la porte derrière lui, une taie d’oreiller contre son torse, prostré devant la porte, hésitant.


Guy (pointant du doigt vers le lit) : Je peux ?


Moi (le fixant) : vas-y


Il referma la porte lentement et marcha jusqu’au lit et s’allongea à ma gauche.

Je me recouchais en le fixant.


Lui (la tête posée sur sa taie) : Je n’arrivais pas à dormir !


Moi (souriante, fixant le plafond à nouveau) : Eh bien on dirait que tu n’es pas le seul dans ce cas !

[Tournant mon regard vers lui]

J’aime te voir torse nu !


Il sourit et se tourna complètement vers moi en posant sa main droite sur sa taie et sa tête sur sa main.


Lui (me détaillant du regard) : …


De sa main libre il caressa ma joue.


Lui (murmurant) : Tu es très belle !


Moi (un peu gênée) : Merci !


Il plaça son buste au-dessus de moi en s’appuyant sur ses coudes, mon cœur battait à un rythme vertigineux dans ma poitrine, mes yeux plongés dans les siens implorant son baiser. Ce qu’il fit sans hésiter.


Le baiser se prolongea jusqu’à ce que nous nous retrouvions nus


                                     ***


Celia MIKALA ép. MEVIANE


Depuis ma grossesse, je suis facilement irritable, j’en veux à la terre entière et surtout mes parents qui ont insisté à ce que je sois enceinte de mon mari.


Martin (entrant dans la chambre, vêtu de son peignoir) : Tu vas mieux ?


Moi (plissant le visage avec dégoût) : Pas du tout !

Il retira son peignoir puis enfila une culotte qu’avait laissé la dame de ménage sur la table de massage, pliante.

Il vint me rejoindre sur le lit en s’asseyant près de moi.


Lui (posant sa main sur la mienne) : Tu n’es pas heureuse à l’idée d’être bientôt maman ?


Moi (sur un ton de reproche) : Est-ce un trophée ? 


[Le regard assassin] Écoute, ne cherche pas que je sois désagréable avec toi !


Lui (quittant le lit en se dirigeant vers le placard) : Je mets le tout sur les hormones ! Mais n’en fait pas trop non plus.


Moi (vociférant) : Je te déteste !


Lui (sans se retourner) : Moi aussi je t’aime mon trésor.

Et je suis trop fière de t’avoir engrossé et je prie que ça soit des triplets fit-il en éclatant de rire.


Qu’il m’énerve celui-là !


Lui (se rapprochant de nouveau en ajustant sa cravate) : Je vais voir comment va ta rivale ensuite je fonce au bureau.


Il se pencha vers moi et voulu me faire une bise, je jetais la tête sur le côté en l’esquivant, la moue boudeuse. Il n’insista pas et se dirigea vers la sortie prenant son sac au passage. 


Lui (marquant une pose) : Tu n’as envie de rien aujourd’hui ?


Moi (sarcastique) : Bien sûr mon amour ! Si tu peux me débarrasser de cette grossesse je t’en saurai gré !


Lui (soupirant) : Tu es folle ! 


Moi (me tenant debout, hautaine) : Eh bien tu vas me supporter car quand tu es allé pleurnicher chez mes parents pour me forcer à te faire un enfant tu t’attendais à quoi ?


Que je te remercie peut-être ? Questionnais-je en fronçant comiquement les sourcils.


Je retirai ma robe devant lui en désignant de la main les parties de mon corps ravagées par les vergetures.


Moi (le ton larmoyant) : Regarde comment ça me gaspille le corps hein ! Tu veux que je devienne un monstre ?


Lui (revenant sur ses pas le regard attendrissant) : Chérie calme toi s’il te plaît, tu ne deviendras jamais un monstre à cause d’une grossesse.


Il se rapprocha de moi et tendit sa main vers moi, je reculais d’un pas les yeux embués de larme, je ne comprenais même pas pourquoi je pleurais.


Lui (soupirant) : Ne t’inquiète pas mon amour s’il te plaît laisse-moi te chouchouter, t’aimer comme au début de notre relation, laisse-moi prendre soin de toi et notre futur bébé. Ne voudrais-tu pas avoir de descendance avec ton mari ? demanda-t-il en posant son sac sur le lit.


Moi (pleurant comme une madeleine) : …


Lui (prenant ma tête dans ses mains) : Je t’aime mon amour et c’est le plus beau cadeau que tu puisses m’offrir, un enfant s’il te plaît ne te plaint pas !


Moi (un peu plus calme) : Et pourquoi tu as aussi enceinté ta maitresse ?


Lui (agacé) : Oublie là mon amour ! Elle est juste là pour t’aider à ne pas porter les grossesses seule. Pour ton information, je veux six gosses au total …


Moi (faisant une grimace) : Hein ??


Lui (levant la main en signe d’apaisement) : rassure-toi, tu me feras un seul de plus et le reste, Nouna s’en chargera.


Moi (posant la tête sur mon épaule) : Elle a intérêt !


Lui (me retirant, l’obligeant à lever la tête) : Ah maintenant tu l’acceptes ?


Je descends du lit et fait comme si je n’avais rien entendu me dirigeant vers la salle de bain.


Moi (depuis la salle de bain) : J’irai voir mes parents aujourd’hui.


Lui : Tu veux que je te dépose ?


Moi (roulant des yeux) : Je n’ai pas des bras cassés je te signale !


Lui : Tant pis alors ! à ce soir ! Tu es jolie avec ta grossesse. Ça te va à merveille.


Moi (agacée) : Bye !


Lui (revenant sur ces pas) : On fait l’amour ce soir ?


Moi : Va te faire fouetter MEVIANE !


Lui (en s’éloignant) : Krkrkrkrkr j’aime te taquiner ! Bonne journée.


À suivre...

Le club de tchizas