Chapitre 37
Ecrit par D.H
MOHAMED
Diallo
Je ne me maitrise plus ni mes sentiments ni mon
corps. De tout mon être je tremble et mon cœur bats si fort à s’en rompre.
Je l’embrasse délicatement, tendrement et
passionnément. Un baiser langoureux et fougueux. Nos respirations saccadées
emplissent la pièce. Je descends sur son long coup le parsemés de baisers
mouillés et je continue la cadence jusqu’à la naissance de ses seins.
Je soulève les yeux pour voir son visage si je
devrais m’arrêter mais la grimaces
qu’elle fait m’encouragent à continuer et d’ailleurs je ne peux même pas
arrêter même si je le voulais.
Je la fait coucher sur le sofa et de ma main, je
caresse ses cuisses si fines et douces, j’arrive au niveau de son nombril pour
induire ma langue sur sa peau froide. Elle se tord de plaisir et souffle des
mots à peine audible et des chairs de poule envahissent son corps et elle
devient tremblante et grelotante.
J’ouvre d’une petite main le bouton de son pantalon
faisant descendre ce dernier et avec son aide, elle l’enlève complètement. Dans
les yeux je la regarde et je retire ma chemise et elle en fait de même ave la
sienne. Sans attendre mon reste, je la porte délicatement telle une fleur et on
se dirige vers la chambre.
Je la dépose et j’enlève mon pantalon me laissant
avec mon boxeur. Je la rejoins dans le lit pour un autre baiser et cette fois
ci, je dégrafe son soutien-gorge faisant ressortir ses seins telle une soucoupe
venant tout droit de l’orbite.
Je les saisis de ma main comme une coupe et je les
palpe délicatement. Je me couche sur elle et je dépose ma langue sur le bout de
ses tétons durcit déjà par le plaisir. Je les tournaille dans ma bouche au
point de les sentir se gonfler.
Je redescends enlever son string la laissant nu
comme un verre de terre par instinct de pudeur, elle met sa main sur son sexe
et je m’arrête pour la fixer dans les yeux et elle les enlève aussitôt comme un
ordre.
Je soulève sa jambe en les caressant et je dépose
des baisers sur son bouton rose. Lentement elle ouvre ses cuisses et j’ai
céder-passage pour sa grotte. J’enfourne ma langue et elle lance un ouf de
soulagement.
Je fais tourner ma langue durant quelques minutes et
elle appuyant de plus en plus ma tête, elle ne
tarde pas à jouir lui faisant pousser un grand cri à s’en rompre la
voix.
Je m’abreuve de son nectar délicieusement acide et
elle se relève pour voir le spectacle qui s’offre à elle. Je suis tellement
tendu qu’au moindre mouvement je risque de faire sauter mon boxer.
Elle s’approche de moi et je lis désir et la passion
qui y brule. Elle enveloppe ma bouche me faisant tournoyer et elle prend les
commandes en main. Je suis vraiment à l’étroit et une vague de chaud
m’envahis le corps sous ses baisers et
caresses intrépides. Elle masse doucement mon sexe de sa main et fini par
enlever complétement mon boxer. Elle me regarde droit dans les yeux, une
manière de me donner son approbation pour continuer la besogne.
Je la retourne et je m‘installe à l’entrée de son
minou. Je suis téléguidé par mes pulsions et mes envies et comme un robot
j’introduis délicatement la tête de ma verge pour la pénétrer.
-
Prend moi je t’en prie je n’en peux plus
Sans demander mon reste, tout doucement et délicatement
je m’enfonce en elle. Elle est tellement étroite que le passage est presque inaccessible
et je me rends compte qu’elle est
vierge.
Je la sens pousser un grognement de douleur et je
veux me retirer
-
Non, fini stp, je suis à toi, fait en ce
que tu veux
Sans crier garde, je m’introduis totalement et je
commence par de petits coups de reins en rythmant souvent par des plus violents
Nous avons fait à ce moment, nous sommes un et
indivisible, je n’aurai jamais cru ressentir autant de douceur et de plaisir en
même temps. Je viens de trouver un endroit où je pourrai passer le reste de ma
vie si seulement je le pouvais. La conjugaison de nos deux corps et la
transpiration me fait avoir des hallucinations.
Apres des minutes de danse endiablée de mes reins,
elle reprend le dessus et s’installe au-dessus de moi pour un tuerk digne d’une
star porno. Des minutes après en symbiose, je sens de mon cerveau jusqu’à mon
orteil une décharge qui finit par me transporter vers un monde de jouissance et
à l’unisson, nous atteignons l’extase.
S’en est suivie
une journée endiablée de sexe dans tous les coins et recoin de cette maison
avec rage, amour et passion. Je lui transmettais toutes mes peurs, mes
craintes, mes doutes et mes frustrations. Nous avons fait l’amour comme si
c’était la dernière journée sur terre. Bien que ce fût un exercice fort j’avais
une force d’enfer.
Essoufflés, nous nous sommes endormis les bras l’un
de l’autre. Je ne sais pas si un jour je pourrai m’en lasser d’elle. On aurait
dit que sa chate a été créé uniquement pour moi
NABILAH
ZAHRA
Connaissez-vous la sensation de l’interdit ?
Cette chose même que vous savez interdite mais vous suivez votre cœur et vous
le faites ? Je l’ai vécu aujourd’hui. Je ne l’aurai jamais crue de ma vie
mais je viens de me donner à un homme qui n’est pas mien. Je devrai normalement
avoir des remords ou le regretter mais je suis surpris de me trouver satisfaite
et le refaire si j’en avais encore l’occasion. Je n’aurai pas pu espérer mieux
pour une première expérience sexuelle.
Dans ses bras, je le regarde endormi à point fermé
et si fatigué. Je suis épris d’un sentiment de tristesse car tout ceci s’arrête
ici et aujourd’hui. Bien que je donne tout pour finir mes jours ainsi, je me
dois de partir oui parce que quand on n’aime une personne, on doit souvent la
laisser partir ou partir soi-même parce que c’est aussi ça l’amour.
Je m’endors à mon tour et des heures plus tard
j’émerge de mon sommeil morte de fatigue. Et la place à mes cotes est vide. Je me
recouvre du drap et je vais au salon où Diallo n’y est pas et des ruissellements
d’eaux venant de la douche attirent mon attention et je vais le retrouver.
Sous la douche, j’entre et je me tiens derrière lui
posant mes mains sur son torse mouillé lui étant de dos. Il prend ma main les
embrasses pour les redéposer sur son corps.
Il me retourne et accélère le jet d’eau qui
enveloppe nos deux corps. On s’embrasse de façon plus violente cette fois ci.
Je prends le gel de douche et je l’étale sur ses tas de muscles il prend la
bouteille et en fait de même sur mes seins qui durcissent juste au contact de
ses mains.
Il soulève mon pied et d’un juste vif et rapide, il
me pénètre et le gout peut me tuer. Je ne sais pas si je vais m’en sortir
vivante mais ce que je ressens est
indescriptible. Ces moments resterons à jamais dans mon cœur. L’entre jambe en
feu, il me laisse de justesse et chacun prend sa douche a part pour ne pas
retomber dans cette histoire.
-
Tu n’as pas besoin de t’habillé tu sais ?
-
Pourquoi ?
-
Ca ne sert à rien justement
-
Non j’ai eu ma dose pour ce soir
-
Tu en as assez ?
-
…………
-
Je le savais, plus cochonne tu meurs.
Je fais un petit plat vite fait et nous le mangeons
ensemble sous ses blagues.
-
Honey ?
-
…..
-
Chérie?
-
Eu oui ?
-
Tu m’as l’air bien loin
-
Désole
-
Dis-moi à quoi tu penses ?
-
Rien mon amour, je suis juste heureuse
Il me prend la main et de toute sa sincérité il me
dit :
-
Nous allons surmonter ces moments
difficiles, ne t’inquiète pas.
Je souris timidement mais en réalité, je sais ce qui
nous attend et même si c’est tellement difficile, je n’ai pas d’autres choix.
-
D’accord. Tu ne rentres pas ?
-
Tu veux me chasser ?
-
Non mais juste trop fatigué, j’ai envie
de me coucher, dormir et avec toi dans les pattes, je suis sure que ça ne peut
pas être possible.
-
Tu as de la chance et surtout que je
dois me rendre à Saint-Louis très tôt le matin pour un séminaire avec les
employés
-
Et tu feras combien de jour ?
-
2 ou 3jours ca dépendra de la masse de travail
-
Ok
-
Tu veux venir avec moi ?
-
Oh que oui mais je ne peux
malheureusement pas, j’ai le dosser du Client AfriDar a bouclé.
-
D’accord. Je vais aller finir de
préparer mes documents pour demain et profiter pour me reposer aussi.
Plus tard, avec des baisers en a plus finir on se
dit au revoir. Un au revoir pour lui mais un adieu pour moi. Je le serre
tellement fort dans mes bras.
-
Tu ne veux pas que je parte ? je
peux rester tu sais, si tu me donne ton Pc, je ferai tout d’ici ou bien même
j’annule le séminaire
-
Ce qui te définit, c’est bien ta
pertinence et ton engagement pour ton travail, caractère que j’adore d’ailleurs
-
Bon j’y vais donc, je t’appelle dès que
j’arrive chez moi
-
Ok. Sache que quoi qu’il arrive, je
t’aimerai de toutes mes forces et toute ma vie
-
Moi aussi et rien n’arrivera.
Il s’en va sous mes yeux, impuissante de faire quoi
que ce soit. Je sens une douleur, un choc m’envahir le cœur et des larmes en
trombe.
Je vais dans ma chambre faire mes bagages et prendre
un billet simple pour la France. Je ne compte pas retourner chez moi, non pas
pour le moment.
……….
« Les passagers à destination de PARIS-CDG sont
priés de passer en salle d’embarquement pour le décollage prévu dans 30 minutes ».
Assise dans cette salle d’attente, je vois défiler
tous mes jours passés dans cette ville. Du jour de mon arrivé, à ma rencontre
avec Diallo, tout ce qu’on a vécu et partagé.
Je puise de toutes mes forces pour me diriger vers
la salle d’embarquement. Je ne regarde pas derrière moi, j’avance tête baissée
et j’entre dans l’avion m’asseoir la tête contre le hublot et les larmes
pleines le visage.
-
Vous allez bien madame ?
-
Oui merci
Quelques minutes plus-tard, je décolle pour encore
une autre destination, fuyant mes problèmes comme toujours. On a beau dire
qu’il faut se battre pour la personne qu’on aime mais il faut avoir des armes
pour et aussi être cap à affronter l’ennemi. Je n’ai ni la force ni la capacité
de faire face à sa mère. Traiter-moi de lâche oui j’accepte mais ma décision
est prise.
Mohamed
Diallo
Le séminaire à Saint-Louis s’est bien passé et je
n’ai qu’une seule envie, rentrer à Dakar et retrouver ma chère et tendre. Je
suis avec mon chauffeur mais j’ai l’impression qu’il ne roule pas assez vite et
je pense même qu’il somnole presque.
-
Tu n’as pas bien dormi ? tu m’as
l’air bien fatigué
-
Non monsieur
-
Je peux prendre le volant si tu n’es pas
d’attaque
-
Non monsieur, ça va
Nous avons continués le chemin et moi sur mon
téléphone. Nous n’avons rien vu venir et quand le feu s’est mis au vert, un
camion de l’autre côté de le voie à vive allure sort de nulle part et nous
percute violemment.
Des sons sonores ca et nous faisons un tonneau. Je
sens la fumée sortir de la voiture et des gens se dépêcher et puis trou noir.
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be continued