Nékima*

Papa me convoque dans son bureau et je rentre quelques minutes plus tard. 

Lui : Prends place ma chérie 

Moi : Merci papa 

Lui : Comment tu te sens ? 

Moi : Un peu fatiguée , mais ça va aller 

Lui : Tu es à 6mois  déjà je crois bien 

Moi : Oui papa. C’est pas facile mais le mal est derrière nous maintenant. 

Lui : Plus rien ne t’arrivera Nekima ! Je t’en fais la promesse dit-il en prenant mes mains. C’est un incident qui ne va plus se reproduire .

Moi : Oui papa ! Dis je en touchant mon ventre de l’autre main 

Lui : À Allah toute la gloire. Alors , je t’ai fais venir parce que tu as eu 02mois pour te reposer après ce traumatisme. Je n’ai pas voulu te brusquer ni te mettre sous pression à cause du stress que tu avais déjà reçu. 

Moi : Oui papa. 

Lui : Tu penses que tu pourras supporter de faire les études ailleurs qu’ici ? Est-ce que tu te sentiras à l’aise. Je tiens à te rappeler aussi que la sœur jumelle de tante Mirlène du Sénégal vit en France à Paris précisément avec son mari qui est un très grand ami à moi ,  Monsieur John. Tu le sais n’est ce pas ? 

Moi : Oui tante Marlène , nous étions allés en vacances chez elle avec Shekinah quand j’ai eu le bac. 

Lui : Voilà , dans ce temps elle était au Maroc, maintenant elle est en France vu que la marge de temps  Alors dis-moi voudrais tu continuer les études en France ? 

Je vieillis Nekima et chaque jour qui passe j’ai peur que ma femme et moi n’accomplissions pas la promesse que nous t’avions fait à toi ainsi qu’à ta mère. 

Moi : …. Je  ne doute pas que les universités Françaises soient .. 

Toc toc !! 

Lui : Oui chérie !! Entre ! 

Maman vient nous rejoindre et prends place avec son mari et on continue des discussions 

Moi : Je disais qu’étudier à l’étranger est effectivement mieux qu’ici , les diplômes sont plus lourds quand tu reviens et il y a une bonne formation. Mais je me demande si avec ma grossesse je pourrai…. 

Maman : Nekima , avec ce qui s’est passé dernièrement aussi , moi j’ai vraiment envie que tu ailles à l’extérieur,  continuer tes études et t’éloigner un peu des yeux de tout le monde. 

Nous sommes en Afrique et j’ai peur. Tante Marlène est là pour t’accueillir, il y aura les meilleurs médecins à ton service , tu pourras prendre un certificat médical pour justifier ton état de maternité à l’université ce qui va te permettre de faire des cours en ligne et aller à l’université juste quelques fois et prouver que tu es effectivement dans le pays. 

Ton master c’est pour 2ans , après tu enchaînes avec des certifications que tu peux faire même à distance. 

Papa : Après l’accouchement , tu pourras prendre un appartement si tu veux ou toujours vivre avec ma sœur et son mari mais je t’assure que tu es plus en sécurité qu’ici. J’ai peur à chaque fois que tu mets les pieds dehors , je ne suis plus à l’aise depuis votre kidnapping. 

Maman : En ce qui concerne Nabyl , il est toujours entre deux avions , il viendra te voir et passer du temps avec toi. On viendra fêter Tabaski et Ramadan avec toi si il le faut. Mais sache qu’on sera toujours avec toi. Tu ne seras pas toute seule la bas. 

Papa : Et quand ma femme dit cela c’est que nous en sommes capables. Pense à ton avenir.

Rien ne va arriver à Nabyl , il va sûrement aller au Gabon bientôt à cause d’un projet qu’on doit finaliser , il n’a pas le temps. 

Moi : Merci à vous d’être toujours présents pour moi , vous ne m’avez pas lâché jusqu’à aujourd’hui. Vos m’aviez toujours considéré comme votre fille. Malgré ma désobéissance , mon irresponsabilité en tombant enceinte très jeune , vous êtes toujours là à me soutenir. Je suis persuadée que vous ne voulez que le meilleur pour moi. Je suis d’accord pour voyager et obtenir mon master. 

Papa : Tu ne va pas le regretter ma fille ! Merci de nous faire confiance. 

Maman : Le bébé ne manquera de rien et toi non plus. Tu auras une nounou , et tout ce qu’il fait pour que tu puisses étudier sans milles et une difficultés. 

Moi : Tout ce que vous ferez me conviendra. Je vous fait confiance. Et pour quand sera le départ ? 

Lui : Quand tu te sentiras prête. Dans 1 mois au plus grand tard. Parce qu’il faut que tu t’installe et t’habitues au lieu avant d’accoucher. 

Moi : D’accord papa. 

On finit notre discussion en parlant de la filière que j’ai  choisi.

 Papa me conseille quelques livres de certains auteurs pour alourdir ma culture générale dans ce domaine. On passe un bon moment tout les trois avant que je ne me retire plus tard me reposer. 

**Nabyl** 

Je rentre vers 20h  et je constate que tout le monde m’attendait pour le  dîner. 

Je fais la bise à ma mère et je demande immédiatement d’après Nékima. 

Maman : Elle dort depuis 17h. J’avais pas envie de la réveiller avant ton arrivée. 

Moi : Je vais la rev…. 

Je n’avais pas fini ma phrase qu’elle vient vers moi précipitamment et me serre contre elle malgré le ventre qui nous bloque un peu le chemin. 

Elle ne me lâchait pas , me serrait tellement fort mais je ne pouvais rien dire parce que madame est des nerveuse ces temps ci. 

Elle me relâche finalement et je lui fais un baiser sur le front. 

Elle : Tu m’as manqué aujourd’hui 

Moi : Toi aussi chérie.. 

Maman nous sers à manger et venez nous voir encore entrain de supplier Nekima de manger. 

Elle ne mange presque pas et maman se plaint de ça tout les jours. Normalement quand on est enceinte de surcroît dans le second semestre , on mange tel un coq mais pour ma femme c’est le contraire. Elle dort juste , elle peut dormir de 10h jusqu’à 20h  sans avoir mal aux yeux. . Sa nouvelle habitude c’est que je lui donne à manger. Genre , je lui met le repas dans la bouche et elle mange. 

Moi : Si tu me mange pas , je ne serai pas d’accord avec toi 

Elle : Je vais manger 

Maman( s’adressant à Nekima) : Tu as pris le complément alimentaire aujourd’hui ?? 

Elle : Non pas encore 

Moi : Et tu comptes le prendre quand ? Tu as mangé quoi de la journée ? 

Elle : du riz…. 

Moi ( fronçant les sourcils ) : Ne me mens pas !

Elle : J’ai pris du Kaolin 

Moi : Tu es toute pâle , et blanche , on aurait dit qu’on te maltraite Nekima , l’enfant va grandir comment si tu ne manges pas , si tu le prives de nourriture , il seras en bonne santé comment ?? C’est pas toi qui voulait d’un gros bébé à la naissance ? Tu n’as rien avalé encore de cette journée… Regarde comment tu maigris. Tu n’es pas sérieuse. 

Elle commence à pleurer à chaude larmes et je ne comprenais pas. 

Moi ( regardant mon père ) : Mais… 

Il me fait signe de ne rien dire et fais un sourire. 

Je me lève et l’amène sur la terrasse. 

Elle pleure comme une petite fille sur moi et je lui caressais les cheveux. 

Moi : Je suis désolée de t’avoir fait pleuré dis-je pour qu’elle se calme 

Elle : C’est pas ma faute si j’ai pas souvent faim. Mais tu es tellement sévère avec moi. 

Moi : je me suis emporté je suis désolée. Je t’amène le repas ici ? On s’assied dans le jardin pour manger en regardant les étoiles et l’eau du jacuzzi. 

Elle ( souriant à pleines dents ) : Bonne idée 

Je vais donc prendre son repas et papa me demandait d’y aller doucement avec elle. 

Elle insiste pour qu’on s’assied au sol et je lui donnait à manger moi-même avec la fourchette. 

Moi ( remarquant qu’elle boudait ) : il y a quoi encore ? 

Elle : Encore ? Tu veux dire que c’est toujours moi qui te fatigue 

Moi : …. 

Elle : Je veux que tu me donnes à manger avec la main 

Moi : je vais essayer dis je en allant me laver les mains une fois encore. 

Elle finit son plat de pâte de maïs avec de la sauce de manioc correctement et suçait bien mes doigts. Ça me procurait un autre effet qu’elle ne savait pas. 

Elle finit par se coucher sur mes jambes et j’essaie de lui parler mais c’est peine perdue madame ne veux pas se redresser. 

Moi : chérie tu ne peux pas te coucher directement  après avoir mangé 

Elle : J’ai envie de dormir 

Je la prends sur mon épaule et je l’amène dans la chambre. C’est étonnant comment elle ne pèse pas du tout et ça me fait flipper. Djenaba avait presque doublé de poids pendant sa grossesse mais ma femme rien du tout et cela me rends encore plus anxieux. Est-ce que le bébé va bien ? 

Je la dépose sur le lit et je lui massais ses pieds enflés pendant qu’elle était allongée. 

Elle : Et ta journée ? Aich ça fait mal temi fais doucement 

Moi : okay okay  dis je en faisant un baiser au pied. Ça va c’était très bien aujourd’hui, des journalistes sont venus mais j’ai pas eu d’interview avec eux , j’ai pas voulu en parler. 

Elle : D’accord tu as raison 

Moi : Tu as pu discuté avec papa ? 

Elle : oui oui j’ai discuté avec les parents. Viens monte dit-elle en me faisant signe de me coucher à côté d’elle. 

Je viens donc me coucher à côté d’elle et elle reprends. 

Elle : Ils m’ont proposé d’étudier dans une école d’architecture à Paris pendant 2 ans pour mon master. 

Moi : Je m’en doutais dis-je silencieusement 

Elle : Dans 1mois.. 

Moi : heinnnnn ???? Combien ? Mais bb tu es toujours souffrante , tu vas pas te retrouver seule dans un appartement avec une grossesse …. Dis-je paniqué, je ne pourrai pas être là H24. 

Elle : Je vais rester chez tante Marlène 

Moi : Hum d’accord. Ce qui veux dire que tu as déjà accepté

Elle : Ça serait très égoïste de refuser Nabyl. Tes parents ont pris soin de moi des cheveux jusqu’aux orteils , je n’ai jamais manqué de rien et j’ai toujours été traité comme un enfant légitime HYNJO. J’allais même en vacances chez tante Marlène au Maroc au même titre que Shékinah. 

J’avais un rêve en venant ici , et quand j’étais au village , ta mère avait pour habitude de dire qu’il voyait une grande femme en moi , qu’elle va m’aider jusqu à ce que je réussisse. 

Moi : C’est juste parce que tu n’as pas envie de les décevoir ou l’université te plaît vraiment 

Elle : Dans une partie de mon cœur , étudier à l’étranger est l’un de mes meilleurs rêves mais avec cette grossesse et ma relation avec toi , j’ai beaucoup de mal à décider 

Moi : ….. 

Elle : J’ai donné mon accord aux parents 

Moi : …. 

Elle : Je t’ai attendu pendant 06ans Nabyl , c’est à ton tour de faire preuve de patience et de me prouver une fois de plus ton amour en dehors de cette maison. 

Moi : Tu sais bien que c’est différent, avant rien ne nous liait , maintenant si. Je t’ai prouvé mon amour de milles manière Nekima. Ne me parle donc pas de preuves. 

Elle : Et tu pourras voyager et venir me voir 

Moi : …… 

Elle : Nabyl reste pas silencieux stp. Je préfère quand tu parles parce que quand tu es silencieux, tu affiches un visage neutre , on ne sait pas ce que tu penses. 

Moi : Je pense que tu es jeune et que tu as le droit d’étudier et de faire ton avenir 

Elle : Merci

Elle s’allonge sur mon bras et s’endort des minutes plus tard. 

Ma faim avait disparu , et j’avais subitement envie d’aller voir maman et discuter avec elle. Je me sentais triste bizarrement et je n’assimilais pas encore bien l’information ? 

Je toque à la porte de sa chambre et elle m’ouvre 

Maman : Oui Nabyl , tu as besoin de quelque chose ? 

Moi : Je veux discuter avec toi dis-je sans laisser d’émotions paraître sur mon visage 

Maman : Eh ben rentre ! Je suppose que tu veux parler de Nekima. 

Moi : Tout à fait , je trouve que vous n’avez pas fait un choix judicieux ton époux et toi 

Maman : Ah bon ? Explique 

Moi : C’est très égoïste maman de l’amener vivre à l’étranger alors qu’elle est enceinte et qu’ici on veille bien sur elle. 

Là bas elle ne connaît personne , même tante Marlène , elle n’est pas habituée à elle.  C’est un master , elle peut faire des cours en ligne. Pourquoi voulez vous forcément qu’elle se déplace ?? Et moi dans tout ça ? Dis je alors que le ton montait. L’enfant qui est dans son ventre n’est pas également le mien ?? 

Maman : Baisse d’un ton 

Moi : Votre soucis , c’est juste de m’éloigner d’elle , et je trouve cela très égoïste de votre…

Papa : C’est qui ce individu qui  se croit tout permis dans Ma chambre dit-il en insistant sur le pronom possessif. 

Moi(me calmant ) : Papa 

Papa : Tu te prends pour qui pour hausser la voix sur ma femme dans ma chambre. 

Moi : Je suis désolé dis-je en passant la main dans le visage. Mais je suis désespérée. Maintenant que je suis entrain de faire une relation stable avec cette fille , vous l’envoyez loin , je …. 

Papa : Tu as toute la richesse du monde pour aller la voir chaque 2semaines 

Moi : Père !! Tu fais exprès !! Tu sais très bien que je travaille plus dans les pays de la sous région et que je n’aurai pratiquement pas tellement le temps pour aller la voir. 

Papa : Si tu veux , tu peux t’arranger , tu es PDG. 

Moi :…… 

Maman : … Mon fils , nous avons toujours la main sur Nekima 

Papa : Et ce , jusqu’à ce qu’elle se marie. 

Moi : Je peux prendre soin d’elle papa. Je vais m’occuper de son éducation, tout ce dont elle aura besoin pour…. 

Papa : C’est pas ton rôle. Tu l’as déjà mise enceinte c’est un grand exploit 

Moi : Arrête de me le rappeler père. Ça ne va rien changer. 

Papa : Je ne suis pas ton collègue. 

Moi : Nous avions failli y passer elle et moi et tout ce que vous trouvez à faire c’est de nous éloigner , nous séparer. Vous êtes des égoïstes tout les deux. 

Papa : Toi encore plus 

Maman : El hadj…. 

Moi : … je donne un coup de pied au mur qui se trouve en face de moi , un peu plus énervé que je n’étais rentré 

Maman : Nabyl tu te fais mal….. 

Je sors de la chambre sans fermer la porte et elle se ferme d’elle-même en faisant un bruit. Je ne me retourne pas et je continue mon chemin quand papa m’appelle depuis sa  chambre 

Papa : Reviens ici Nabyl 

Je me retourne et j’ouvre la porte 

Moi : Quoi ? 

Papa : referme la porte comme cela se doit. 

Maman : Tu es très dur avec lui chéri 

J’obéis et je descends de leur balcon pour ma chambre. 

Je prends un bain très froid et je me couche dans mon lit très anxieux. J’étais en éveil jusqu’à 03h du matin et je ne trouvais toujours pas le sommeil. 

Je mets mes sandales et descends les escaliers quand je croise mon père monter avec un verre d’eau en main. 

Lui : Tu vas où ? 

Moi : Tu vas m’empêcher aussi de me balader dans Ta maison ? Dis je en insistant sur le Ta. 

Lui : je ne suis pas ton ennemi Nabyl.

Je ne réponds rien et descends les escaliers en me dirigeant vers la cuisine. 

Des qu’il rentre dans sa chambre, je me dirige vers la chambre de Nekima. J’ouvre sa porte avec la clé qu’elle m’avait remise. 

J’entre et j’allume la lumière. 

Elle est entrain de dormir comme une petite fille et recoquiller sur elle-même. 

Je m’assieds à côté d’elle 

**Nekima** 

Je sens d’un côté du lit , quelqu’un s’asseoir et automatiquement je sais que c’est mon chéri. Je ne me retourne pas et je souris en attendant qu’il me réveille. 

Il passe sa main sur mon bras et me fais un baiser a l’épaule. 

Il commençait à pleuvoir et j’avais très froid.

Il se couche à côté de moi , m’entoure de ses bras et me mets le drap.

 Je sentais son souffle chaud sur ma nuque , il envoyait sa main toucher mes fesses et au fond de moi j’étais heureuse. 

Il caressait mes fesses et me faisait des baisers dans le dos. 

Il me retourne d’un coup et s’allongeait sur moi de toute sa grande taille 

Moi : Ehh oohhh ça se fait pas de réveiller une femme enceinte de cette manière 

Lui : Tu ne dormais pas… tu penses que je ne te connais pas 

Moi : Il se fait tard qu’est ce que tu cherches ici à cette heure.. dis je en le regardant droit dans les yeux 

Lui : Je n’arrive pas à respirer sans toi. Ma chambre était trop grande pour moi 

Moi : Hummmm

Il m’embrasse délicatement et j’étais aux anges. Ça avait le même goût que notre premier baiser. Je ne voulais plus qu’il s’arrête , je profitais de mon homme à ce instant précis et lui aussi. 

Il me débarrasse de mon haut et empoigne mes seins de ces deux mains.. 

Lui : Ooohh 

Moi : hmhhhhhh je t’aime temi tu m’as manqué 

Lui : je t’aime ifè 

Il me suçait délicatement les seins et avait les yeux fermés , il prenait son plaisir et de petits sons de satisfaction se faisaient entendre de sa gorge. 

Nabyl et les seins , c’est devenu une autre histoire d’amour. Lui qui était accro à mes petits seins pointus , maintenant avec la grossesse il est trois fois plus fan de mes gros seins. C’est le seul truc qui grossit chez moi et c’est le repas préféré de mon homme. 

Moi : Oohhhhhh gémissais-je alors qu’il venait de mordre tendrement le téton droit 

J’envoyais la main dans son short pour caresser son membre tout dur. J’avais l’impression que sa pine avait doublé de volume depuis la dernière fois. Raison pour laquelle il se concentre sur les préliminaires. 

Les inconvénients de sortir avec un sportif ,bref je ne sais pas ce que je raconte. 

Il descends de mon ventre jusqu’à mes cuisses et je savais déjà ce qu’il voulait faire. Mon corps entier réclamais cela depuis des mois. 

Il m’écarte les jambes et titillait  ma doudoune avec mon slip qu’il n’avait pas encore enlevé. 

Moi : Shhhhyyyyy hhmmmmmmmm 

Lui : Garde tes jambes ma jolie… 

Il insère du doigt en moi et admirait l’effet que cela me faisait. Je n’arrivais plus à tenir mes jambes en l’air comme il me le demandait , le plaisir était un peu trop. 

Moi : Oohhhhhhh 

Il se relève et sors deux tissus de mon dressing 

Lui : Tu me permets ? 

Moi : Vas y.. je suis à toi Nabyl hummmm 

Il m’attache légèrement les pieds contre le lit et ma cave était à sa merci comme il le désirait. 

Cette position était un peu trop osée mais c’est ce que mon homme préfère. Quand je suis tout à lui. 

Il reprends son manège avec deux doigts maintenant et prenais un plaisir à me voir me tortiller dans tout les sens. Il tenait fermement mes reins avec une autre main et il grognait juste en me voyant gémir comme une folle. 

Il m’écarte ma doudoune de ses deux doigts avant d’y passer la langue toute chaude 

Moi ( criant ) : Ahhhhhhhhhhh papa 

Lui ( me fermant la bouche ) : shutt 

Il aspirait , soufflait dessus et léchait en passant aussi les doigts. Ce que Nabyl est entrain de me faire ne me permet pas de ….. hmmmmmmmmmmm aiiiieee 

Il me baisait avec sa langue presque , ses doigts s’enfonçaient en moi dans des vas et viens très rapides et il me buvait la cave. 

Moi : bb…… ahhhhhhhhh… hummmmmmm 

Il passe à la vitesse supérieur et sans m’en rendre compte je me retrouvais avec mon bébé en levrette et il n’avait pas cesser de me lécher comme un Dieu. 

Moi : oohhhhh bb je …. Hmmmmmm…. Bébé  

Votre frère là aussi deh on peut manger enfant des gens comme ça , mes pieds sont toujours attachés et ma chatte passait un sal quart d’heure… je jouissais et il continuait sans s’arrêter.. 

Je tremblais toujours en essayent de me remettre de mes émotions quand il rentre en moi délicatement , ce qui eut don de me donner un cri aigu de satisfaction. 

Moi : Aieeeeeeeee hmmmm ouiii tu es délicieux 

Sa pine était bien rempli en moi et j’en étais fier. Il avait du mal parce que ma cave n’était pas très grande et je le voyais sur son visage. 

Lui : Ghrrrrrrrrr merdee !! Je … humm.. tu es toute serrée. 

Il me détache , me maintient par la hanche et me baisait tel un Dieu , une main me ramenait à lui par la hanche et l’autre me donnait des fessées très dur et sévères. 

Je suis sûr que mes fesses étaient toutes rouges à ce instant précis parce que Nabyl est un fou au lit. 

Il éjaculait un moi et reprenait  vie aussitôt 

Moi : Aichhhh je mmmmhhhh… 

Lui :  Tu es à moi répète le 

Moi : Je ahhhh 

Lui : répète dit-il en me fessant durement 

Moi : je hm je suis à toi papa ooohhhhhhhhhhhhhhh pardonnnnn je hmmmmmmm j’ai maaaa hummmmmmmm vas-y je ….. 

Il me cambre encore bien comme il le désire et tenait mes deux mains derrière. 

Nabyl est très autoritaire au lit , au lit , c’était un autre homme , très dur , très jaloux en me rappelant sans cesse que je lui appartenais corps et âme. Je m’abandonne ainsi à lui et il faut  reconnaître que j’aimais aussi cela.

 Qu’il me donne des ordres au lit ou me fesse pour me signifier que je dois lui obéir, qu’il me domine. 

Moi : Tu es un dieu bb .. je t’aime dis-je alors qu’il venait d’ejaculer  

Lui : J’en ai pas encore fini avec toi.. 

Moi : Je suis à toi. Vas-y comme tu en a envie mon bébé. Je suis uniquement à toi. 

Il me colle contre le mur et attache mes mains en haut contre un bois et me défonçait énergétiquement la cave 

Lui : Cambre toi 

Moi : J’ai mal…. Je… ahhhhh 

Lui  ( me fessant ) : Cambre toi j’ai dis 

Moi : Hummmmmmmm aichhhhh c’est délicieux 

Lui : Tu obéis normalement quand je te parle 

Moi : Ahhhhhhhhh ouiiiiiiii ooohhhhhhhbh bb pardon je vais ahhhhhh obéir shuuuuuuuuuuuuuu ouais oohhhhhhrr ma maman hummmm bb pardon fais oohh doucement je mhhhh 

Il y allait pas de main morte et je tremblais de tout mon être , j’avais un homme fou derrière moi , je perdais l’équilibre de mes jambes. 

Moi : Pardonnnnnnnn 

Il me met en missionnaire contre la table et tout les deux nous jouissons des minutes plus tard en criant nos noms respectifs. 

Il transpirait  malgré la pluie et la Climatisation . 

Lui : Je vais devenir fou si tu te donnais à un autre homme que moi 

Moi : Ça ne risque pas d’arriver. Tu es un Dieu mon amour

Lui : laisse moi ta porte ouverte les soirs 

Moi : Nabyl tu.. 

Lui : Mon bébé a besoin de force puisque tu ne manges pas 

Moi : je mange … mais bae je veux pas te savoir proche d’autres femmes aussi ça me fous les boules. 

Lui : Je sais que tu es une petite folle dans ta tête et que tu adores te bagarrer 

Elle : On ne change pas les anciennes habitudes Krk. 

Lui : Tu n’as pas à t’inquiéter 

Elle : Tu as une autre face la nuit et une autre le jour 

Lui : C’est toi qui est divinement belle quand tu gémis 

Moi : Toi encore plus beau quand tu es sévère au lit. J’adore quand tu me domines de cette manière.   

Il rejoins sa chambre vers 07h du matin après notre petite sieste et se lave pour le bureau tandis que moi je suis toujours au lit. 

Il a dormi avec mes seins dans sa bouche jusqu’au petit matin. Et le matin , il m’a cogné bien fort dans la salle de bain avant de s’en aller. 

Il ne me laissait même pas en placer une , tellement il était chaud. Il s’est réveillé avec son érection matinale et j’ai bien subi sa Fustration avant qu’il n’aille au boulot. 

Que voulez-vous que je dise ? Je lui appartiens et son bébé a besoin de le sentir. Il m’a copieusement lessivé avant de s’en aller. J’étais toute courbaturée. 

Il m’avait prévenu que quand il allait me toucher j’allais le sentir passer  et c’est ce qui m’arrive actuellement.  

Moi : tu es un sorcier HYNJO dis je en marchant difficilement jusqu’à me prendre une douche froide.