
CHAPITRE 39: LA CLÉ DORÉE 1
Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE
39 : LA CLÉ DORÉE 1.
**LUCRÈCE
MEFOUMANE**
Pasteur
Lilian : Que Dieu soit béni. Vous pouvez regagner vos places maintenant
(ce que nous faisons tous) Comme vous l’avez sans doute compris. Les enfants
ont été visés par des flèches contenant du venin de serpent au niveau de leur
cœur. Si Mommy ne l’avait pas vu à temps, ils auraient commencé à se plaindre
de douleur dans la poitrine et cela n’allait être que le début. Si ce n’était
pas un arrêt cardiaque, ce serait un AVC qui aurait tué ces enfants sans
compter des hémorragies internes. Qui que ce soit qui est derrière tout cela,
cette personne ne voulait en aucun cas s’amuser mais bien tuer les enfants de
façon rapide et très douloureuse (Me regardant) Fais très attention Lucrèce car
cette personne te veut vraiment du mal.
J’ai
eu le frisson.
Pasteur
Lilian : Dieu est bon. Comme tu es en contact avec Mommy, elle te parlera
plus en profondeur dessus. Pour le reste, remerciez le Seigneur et aussi vos
parents qui ont bien voulu protéger les enfants afin que si cette personne
essaye à nouveau de les atteindre, elle ne puisse le faire.
Moi :
D’accord.
Pasteur
Lilian : Myr stp, recommande les à la grâce de Dieu.
Maman
Myrna a prié pour nous et nous sommes partis en les remerciant. Il faut que je
pense à faire une offrande d’action de grâce à l’église. La pasteur Lilian a
retenu les parents dans la pièce et nous sommes allés les attendre à l’accueil.
Lucia :
Ça c’est qui qui peut te vouloir du mal comme ça ?
Moi :
Je ne sais pas.
Lucia :
Mon Dieu. Pourquoi les gens sont méchants et carrément ce sont les enfants à
qui ils ont lancé ça (Regardant Brain qu’elle tenait et mettant une petite
pression sur sa poitrine) Mon cœur, tu as mal ici ?
Brain
Jr : (Bougeant négativement la tête) Non ça fait pius may.
Lucia :
Donc ça faisait mal ?
Brain
Jr : (Bougeant affirmativement la tête) Oui.
On
se regarde. On fait de même avec Leslie et elle dit la même chose. Pourquoi ne
se sont ils donc pas plaint de douleurs dans ce cas ?
Lucia : Ils n’ont même rien dit.
Loyd :
Ils l’ont fait.
Nous
le regardons.
Loyd :
Cette journée quand on s’amusait, ils m’ont dit avoir mal à la poitrine mais
j’ai cru que c’était dû au fait qu’ils s’étaient énormément amusés et qu’ils
devaient être fatigués. Apparemment c’était plus profond que cela.
Les
parents nous ont rejoints et Loyd s’est mis en retrait.
Maman :
(Prenant la petite dans ses bras pour lui faire un câlin et caressant Brain par
la tête) Tu as emmené les enfants là quelque part en partant de la
maison ?
Moi :
Non. Ils étaient seulement avec leur père qui les a pris ce matin pour la
journée et les a ramenés ce soir.
Ils
ont regardé le concerné au loin.
Maman :
En tout cas, nous nous sommes en train de rentrer à la maison. Prends bien soin
des enfants et fait attention à l’endroit où tu les emmènes.
Moi :
J’ai compris et merci pour ce que vous avez fait pour eux.
Maman :
Ok. (Faisant un bisou sur le visage de Leslie) Homo tu restes bien hein et puis
tu surveilles petit Archy d’accord ?
Leslie : D’accord.
Maman :
(Regardant le petit) Surveille ta sœur.
Brain
Jr : Oui mamie.
Papa
leur a caressé la tête et ils sont partis. Nous l’avons fait à leur suite et
Loyd est revenu avec nous jusqu’à la maison. J’ai essayé de rappeler Mommy mais
elle était occupée.
Loyd :
Tu la rappelleras plus tard et si jamais il y a quoique ce soit d’autre, fais
le moi savoir.
Moi :
D’accord.
Loyd :
Je vais rentrer, on reste en contact pour la suite et on va trouver un jour
pour parler
Moi :
Ok.
Il a
pris les enfants dans ses bras et a prié pour eux avant de les laisser venir vers
moi. Lucia l’a raccompagné au portail et est revenue me trouver avec les
enfants que je serrais tous les deux dans mes bras. Quand je pense que j’ai
failli les perdre comme ça pour rien, je ne peux pas m’empêcher de couler des
larmes. Que ce serait il passé si je n’avais pas décidé d’écrire à Mommy
aujourd’hui ?
Leslie :
(Caressant mon visage) Maman pourquoi tu pieures ?
Brain
Jr : (Me regardant) Tu as may au vencre*?
Moi :
(Essuyant mon visage en reniflant) Non je n’ai pas mal au ventre. Je pleure
parce que je suis contente d’être là avec vous.
Brain
Jr : Quand on est content, on pieure ?
Moi :
(Esquissant un faible sourire) Parfois. Parfois on pleure, parfois on rit.
Tata
Luce est revenue nous trouver et elle nous a rejoints sur le canapé pour nous
faire un grand câlin. Nous avons passé le reste de la soirée à prendre soin des
enfants jusqu’à l’heure du coucher. Quand Mommy nous a rappelées, ils dormaient
déjà.
« Mommy :
Excusez-moi, c’est maintenant que je me libère. »
« Moi :
On comprend. »
«Mommy :
J’ai parlé tout à l’heure avec Lilian et il m’a dit qu’il a pu prier pour les
enfants et que tes parents aussi l’ont fait. »
« Moi :
Oui. »
« Mommy :
Gloire à Dieu. Où sont-ils maintenant ? »
«Moi :
les enfants ? »
« Mommy :
Oui. »
«Moi :
Ils sont déjà en train de dormir. »
«Mommy :
Ok. Tu n’as pas à t’inquiéter. Dieu est bon Rebecca alors il n’a pas permis
qu’on fasse du mal à tes enfants. »
«Moi :
Qui est derrière cela Mommy ? Qui a voulu faire du mal à mes
enfants ? »
« Mommy :
(Après un moment) Tu n’as pas besoin de le savoir pour le moment car si je te
le révèle, tu ne sauras pas comment le gérer. Le plus important c’est que les
enfants aillent bien. Tu comprends ? »
«Moi :
Oui. »
«Mommy :
Ok. Où est ta tante ? »
« Moi :
Elle est là. »
Tata
Luce est venue s’asseoir à côté de moi.
«Mommy : J’ai beaucoup de choses à te
dire mais pour l’instant on va se concentrer sur ce rêve que tu fais. Tu veux
bien me le raconter toi-même pour que si jamais Rebecca ait fait un oubli que
l’on puisse tout remettre en ordre. »
«Lucia :
D’accord. Dans le rêve je suis dans un endroit sombre. On ne voit vraiment rien
puis………et c’est quand il veut me toucher que je me réveille. »
Mommy est restée en train de la regarder
quelques minutes en silence.
« Mommy :
La prochaine fois que tu verras cet homme, n’essaye pas de fuir. Reste calme et
il te dira le message qu’il a à te communiquer car il veut te dire quelque
chose. »
«Lucia :
Hein ? Mais est-ce qu’on doit parler avec les morts ? »
«Mommy :
Pourtant tu as vécu plusieurs années avec un homme qui le faisait, t’es-tu posée
cette question ? »
« Lucia :
(Silence) »
« Mommy :
Voilà. La parole de Dieu nous interdit de les invoquer car il ne devrait avoir
aucune relation entre eux et nous. Lorsque quelqu’un meurt, nous devons le
laisser tranquille et ne pas chercher à le rencontrer pour lui parler ou lui
demander des choses car c’est très dangereux de le faire. Dans ton cas, tu ne
fais aucune invocation, ce n’est pas toi qui cherche à lui parler mais sa
présence là est pour te faire comprendre quelque chose. Alors si tu le revois
dans ton rêve, reste tranquille car de toutes façons il ne pourra rien te
faire. »
« Lucia :
D’accord. »
«Mommy :
Maintenant on t’a dit que ce qui t’appartient est derrière cette porte alors
que tu es plongée dans un lieu sombre »
« Lucia :
Oui. »
«Mommy :
Cela signifie que le lieu où tu te trouves présentement n’est pas ta place. »
« Lucia :
Je ne comprends pas. »
«Mommy :
Si tu es dans les ténèbres Lucia c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne
pas normalement. Les ténèbres supposent qu’il n’y a pas de vie où tu te trouves
car nous ne sommes pas censés vivre dans les ténèbres alors si tu y es dans ton
rêve c’est qu’on est en train de te montrer ta condition actuelle, tu dois
impérativement quitter cet endroit pour rentrer dans ce qui t’est réservé et
qui se trouve derrière cette porte dont tu possèdes déjà la clé. »
«Lucia : Justement je ne possède aucune
clé. »
« Mommy :
Où est la clé que cet homme t’a donné ? »
Lucia
fronce les sourcils.
«Mommy :
Je viens de voir un homme assis sur un lit te remettre une petite clé
dorée. »
Lucia
se fige et écarquille les yeux.
«Mommy :
Tu vois de quoi je parle n’est-ce pas ? »
«Lucia :
Oui. »
«Mommy :
Où se trouve cette clé ? »
«Lucia :
Je ne sais pas. »
« Mommy :
Retrouve cette clé car tu en auras besoin pour ouvrir cette porte fermée qui te
maintient dans cette condition. »
Nous
avons entendu quelqu’un prononcer le nom de Mommy et elle nous a dit qu’elle
devait nous laisser et que nous continuerons à parler une prochaine fois…
**LUCIA
MANGA MFOULA**
Mommy
vient de raccrocher et Lucrèce et moi on est restées en train de nous regarder.
Je n’en reviens pas qu’elle puisse me parler de cette clé qui m’était
complètement sortie de l’esprit.
Lucrèce :
(Me sortant de mes pensées) Bhernie parle aux morts ?
Je
la regarde.
Lucrèce :
Tout à l’heure Mommy a dit que tu as vécu pendant des années avec un homme qui
parlait aux morts. C’est bien de Bhernie dont elle parle n’est-ce pas ?
Moi :
(Après un moment) Oui.
Lucrèce :
Donc il parle aux morts ?
Moi :
Pas exactement, mais des esprits de sa famille lui parlent.
Lucrèce :
(Choquée) Hein ?
Moi :
(Soupirant) C’est bien plus compliqué que ça Lucrèce. Bhernie n’est pas simple.
Toute sa vie n’est pas simple. Il a des contraintes qui lui sont imposées à
cause de sa position.
Lucrèce :
Quelle position ?
Moi :
Bhernie est le responsable de sa famille aussi bien sur le plan physique que
sur le plan spirituel. Si tu te rappelles pendant le décès de son père, c’était
lui qui gérait tout et même moi j’avais eu des grosses responsabilités
Lucrèce :
C’est vrai. On en avait même parlé avec la famille que pourquoi c’était à
Bhernie de prendre toutes les grandes décisions alors que les aînés étaient
là ? Après nous avons pensé que c’était certainement parce qu’il était le
premier fils de son père et que c’était déjà un adulte.
Moi :
(Esquissant un sourire) Eh bah non. Cela n’avait aucun rapport avec ça mais
beaucoup plus avec le fait qu’il soit devenu le chef de la famille en
remplacement de son père qui l’était avant lui.
Lucrèce :
Je comprends maintenant.
Moi :
Bhernie a toujours été un peu particulier Lucrèce par exemple, il ne doit pas
trop se mettre en colère sinon son corps réagit et il fait une crise qui peut
le tuer.
Elle
écarquille les yeux de surprise.
Moi :
Oui. C’était déjà comme ça quand nous étions au lycée et pour le calmer, il
devait s’injecter une seringue dans le bras pour l’aider à faire passer sa
crise sans arrêter son cœur. On lui avait dit que c’était une malformation avec
laquelle il était né mais ce n’est qu’après la mort de son père que nous avons
appris que c’était le revers de sa position, en tant que chef de la famille,
toute les paroles qu’il prononce sur la vie des membres de sa famille ont du
poids alors s’il le fait dans un moment de colère, il peut facilement détruire
la vie de cette personne et donc cette sorte de maladie est là comme pour lui
servir de temporisateur afin qu’il ne dépasse pas les limites. C’est à la mort
de son père qu’il a appris toutes ces choses et moi aussi. Papa Éloge m’avait
prise à part juste quelques minutes avant de mourir et il m’avait parlé de la
place et la condition de Bhernie et m’avait demandé de l’épauler du mieux que
je pouvais car il devait avoir gros à porter. C’était pendant cette discussion
qu’il m’avait remis cette petite clé dorée dont Mommy a parlé. Et donc après la
mort de papa Éloge les choses ont vraiment changé pour Bhernie qui a commencé à
développer des capacités spirituelles pas du tout naturelles. La famille a
commencé à se faire plus présente dans sa vie car il devait à chaque fois
régler les problèmes de tout genre mais aussi, des esprits ont commencé à lui
parler. Il s’est fait initié pour essayer de mieux apprendre et comprendre
l’étendue de son pouvoir mais c’était difficile parce que personne parmi les
vivants n’avait été à sa place avant lui et donc personne ne pouvait le guider,
il apprenait tout sur le tas. C’est ainsi qu’il a commencé à avoir des visions
de jours comme de nuit et parfois des songes où il voit des choses qui doivent
se passer dans la famille. À chaque fois par exemple que quelqu’un doit mourir,
il le voit et si la mort n’est pas naturelle, il doit tout faire pour aller
récupérer l’âme de la personne avant que cela ne se manifeste sur le plan
physique.
Lucrèce :
(Fronçant les sourcils) Je ne comprends pas, comment ça il part récupérer
l’âme ? Il récupère ça où ?
Moi :
(Levant les épaules) Je ne saurais concrètement te le dire mais je sais juste
que son esprit quitte son corps et part pour revenir 1 ou 2h après. Il y avait
des jours où quand il partait il revenait avec des blessures et cela se
manifestait sur le corps comme s’il s’était vraiment battu de façon physique
avec quelqu’un qui avait des armes blanches mais ces blessures guérissaient
très vite.
Lucrèce :
(Se levant du coussin) Pardon attends d’abord stp parce que là tu es en train
de me raconter les choses qui dérangent mon cerveau, donc attends un peu. (Se
retournant pour me regarder) Donc tu veux me dire que tout ça c’est vraiment
passé devant tes yeux ?
Je
la regarde.
Lucrèce :
Et que Bhernie est en fait un vrai sorcier qui sort en vampire ?
Moi :
(Silence)
Lucrèce :
Et puis tu étais là dans cette relation tu n’as pas cherché à fuir tata
Luce ? Un homme qui sort en vampire devant toi ? Mais tu as même quel
genre d’esprit au juste ?
Moi :
(Silence)
Lucrèce :
Seigneur Jésus. Mais heureusement que tu es sortie de là-bas, ça c’est quelle
histoire encore ? Oh donc on voyait Bhernie là alors qu’il sortait en
vampire ? Mais c’est terrible.
Moi :
Lucrèce reste concentrée, il ne sortait pas en vampire comme tu dis pour aller
faire du mal aux gens mais uniquement pour protéger sa famille afin que
personne ne soit tuée. Bhernie est tout sauf un sorcier, du moins pas dans le
sens que tu veux lui donner.
Lucrèce :
Hum.
Moi :
Et pour avoir vécu avec lui, je peux te dire que ce qu’il fait et vit n’est pas
facile, n’importe qui ne peut le faire car il faut avoir des épaules très
larges sinon tu risques de mourir très jeune.
Lorsque
je dis cette phrase, je repense à l’état de Bhernie la dernière fois que je
l’ai vu et du fait qu’il soit sérieusement mal en point. Je me fais la
réflexion que peut-être est-ce ce qui est en train de lui arriver mais je
chasse ça rapidement de mon esprit. Il ne peut pas mourir, pas maintenant, il
est beaucoup trop jeune pour ça.
Lucrèce :
(Se rasseyant) Maintenant où penses-tu que cette clé se trouve ?
Moi :
(Encore perdue dans mes pensées) Hein ?
Lucrèce :
La fameuse clé que le père de Bhernie t’avait donné, tu crois que c’est
où ?
Moi :
Je n’en ai aucune idée. Je sais que j’avais emmené ça en Belgique et que j’étais
partie de la Belgique pour le Gabon avec ça. Mais je ne sais plus si j’avais
laissé ça au 11 ou si j’étais partie avec ça quand j’avais emménagé avec
Bhernie dans notre maison.
Lucrèce :
Donc c’est dans l’une des deux maisons.
Moi :
Certainement.
Lucrèce :
Tu dois aller vérifier car Mommy t’a demandé de retrouver cette clé si tu veux
sortir de cette condition.
Moi :
Et c’est d’abord quoi la condition en question ? Je t’avoue que je n’ai
pas compris quand elle a dit que le lieu où je me trouve n’est pas ma place.
Lucrèce :
(Soulevant les épaules) Je ne sais pas. La prochaine fois on va lui demander.
Pour l’instant retrouvons d’abord cette clé.
Moi :
Demain après le boulot, je vais passer au 11 pour essayer de chercher ça.
Lucrèce :
Ok. Je vais aller t’y attendre pour pouvoir t’aider .
Moi :
Ok.
Nous avons continué à parler jusqu’à l’heure
de la prière après j’ai appelé mon homme pour prendre de ses nouvelles, il était
de garde aujourd’hui (…)
Moi :
Maman stp, quand tu as fait nettoyer ma chambre ces dernières années, vous
n’avez pas vu une petite clé dorée dans mes affaires ?
Maman :
Pas à ma connaissance. C’est la clé de quoi ?
Moi :
(Disant n’importe quoi) La clé d’un de mes coffrets où je mettais mes bijoux de
valeur. Je cherche ça depuis là je ne retrouve pas.
Maman :
La dernière fois que tu as vu ça c’était quand ?
Moi :
Quand je rentrais de Belgique après mes études.
Maman :
Hein ? Loin là-bas ?
Moi :
(Silence)
Maman :
Ah ça. Je ne sais pas si j’ai vu une telle clé à l’époque. Essaye de demander à
Nadine peut-être qu’elle avait vu ça à l’époque quand elle nettoyait ta chambre.
Je
suis allée demandé à la concernée qui repassait le linge et elle m’a dit que
non. Elle n’a pas le souvenir d’avoir vu cette clé. Lucrèce et moi l’avons
cherchée dans toute la chambre au point même de passer la nuit au 11 mais cette
clé n’était nulle part.
Lucrèce :
Je crois que cette clé est peut-être dans l’ancienne maison.
Moi :
Oui.
Lucrèce :
C’est là-bas que Bhernie vit avec sa famille non ?
Moi :
Non. Confidence m’avait dit qu’il n’habitait pas là-bas. Ils vivaient d’abord
dans un de nos studios et que plus tard il a construit une maison pour elle.
Lucrèce :
Ah d’accord. Donc tu pourras t’y rendre pour essayer de chercher.
Moi :
(Songeuse )Dans l’espoir que sa mère n’ait pas brûlé mes choses qui étaient
restées là-bas…