Chapitre 4
Ecrit par Sandy's Aby's
Samuel MENDOME.
Je ne savais vraiment pas ce qui m’avait poussé à céder aux caprices de Graziella !
Elle avait une grande attraction sur moi, mélangée au goût de l'interdit.
J'ai pris une chambre à l’Hibiscus et j'étais assis sur le lit pendant qu'elle était sous la douche.
Je pris mon téléphone et composais le numéro de ma femme, elle décrocha à la deuxième sonnerie.
Harmonie (le ton joyeux) : Bonsoir mon Amour ! fit-elle de sa voix la plus douce.
Moi (d'une voix grave) : Euh ! Frottant mon front, excédé.
Bonsoir chérie !
Dit, tu es rentrée ? demandais-je hésitant.
Harmonie (après un moment de silence comme si elle s'attendait au pire) : ...oui mon Amour ...il ne reste plus que toi ! dit-elle d'une voix traînante.
J’ai fait ton plat préféré et je...
Moi (grattant la tête) : Bébé...je ne pense pas pouvoir rentrer ce soir.
Je suis tellement navré et vraiment désolé. Laissais-je tomber.
Une reunion de dernière minute.
Harmonie (laissant échapper une exclamation) : Oh !
Mais tu m’as promis, ce matin, que tu allais rentrer.
Moi (le regard vers la porte de la salle de bain ) : Oui mon bébé mais les choses se sont passées autrement.
[Avant qu'elle n'ai eu le temps de protester, j'enchaînais]
Écoute, laisse-moi voir comment me défiler mais je ne te promet rien.
Harmonie (coupant court) : Ok, travail bien fit-elle déçue.
Moi (fermant mes yeux) : Bonne soirée ! Je t'aime.
Harmonie (le ton cinglant): Pareillement. Ok. murmura-t-elle.
Découcher deux jours de suite me mettait mal à l'aise mais je ne pouvais laisser partir Graziella comme ça !
J'allais trouver une solution.
Déjà, je ne savais pas où elle vivait, seulement son quartier.
Elle me prenait déjà la tête cette fille ! Je n'arrivais même plus à la sortir de mon esprit.
Toutes les positions dans lesquelles je la prenais, me rendais dingue et elle était fang, la même ethnie que moi.
Je finirai par l’avoir dans la peau si ça continue.
Je commencais à ne plus m'en passer.
Aussi, il est vrai que j’aime ma femme, mais il y a certaines choses qu’elle ne peut me donner que Graziella me donne.
Je le dis, pas pour qu’Harmonie me fasse les mêmes choses, je la respecte trop pour ça, mais que tant que j’ai Graziella qui peut me les faire, moi ça m’arrange et je veux garder les deux.
J’étais encore plongé dans mes pensées quand Graziella sortie de la salle de bain dans une tenue émoustillante qui laissait paraître la naissance de ses fesses jaunes et ferme qui pourrait faire bander un mort.
Graziella (essuyant ses cheveux) : Alors, tu l’as fait ? demanda-t-elle la voix sucrée, ce qui déclencha une érection de niveau trois.
Vous allez penser que j'exagère mais soyez à ma place et ensuite, je verrai si vous ne changerez pas votre language
Moi (l'enveloppant du regard) : Oui bredouillais-je.
Graziella OKOME MBA
J’aimais rendre les hommes durs, dociles.
Ça prouvais que je gèrais la situation.
J'avais énormement envie de m’amuser un peu, que je pris ses mains et les dirigeais vers ma poitrine.
Je ne savais pas pourquoi mais j'avais faim de sexe et j'étais si excité par son côté virile.
Il se mit à me caresser maladroitement les globes.
Ses mains étaient si fortes et douces, que je sentis mes seins durcir sur le coup.
Impatiente, je le poussais lentement sur le lit et montais à quatre pattes au dessus de lui, me retournant de sorte à avoir son engin en face de mon visage et mon postérieur au-dessus de son visage.
La fameuse 6.9.
Une corde ultra mince, traversait mon périnée s’étirant longitudinalement de la base du mont du pubis, séparant mes grandes lèvres en deux, jusqu’au milieu des fesses, offrant une vue magnifiquement excitante qui lui donnait une vue parfaite de ma vulve qu’il se mit à lécher à une vitesse calculée.
Parcourue par des frissons délicieux, j'entrepris de le prendre dans ma bouche en même temps, pour qu’il se redresse encore plus.
Jouant avec ma langue en montant et descendant sur son gland.
Du sperme en faible quantité s’échappait de l’extrémité de son membre, je l'aspirais minutieusement avec art et lenteur.
Il laissa échapper un grognement sourd de plaisir, plaisir partagé.
De son côté, il se débrouillait pas mal.
La fellation et le cunnilingus dura quelques secondes.
Lentement, je finissais d’enlever ma lingerie fine, quittant de dessus lui.
***
Cambré à outrance, appuyé sur le chevet, il me prit par les hanches, s’enfonçant aussi loin qu’il pouvait en moi, à un rythme de malade tout en grognant de plaisir.
Quelques secondes après, il s’allongea sur le dos, son membre dur comme la manche d’un outil de travail manuel, je m’empalais graduellement avec une grimace de douleur et de plaisir mélangés, gémissant à n'en plus finir.
Étant de dos, il me donnait des fessées, en grognant.
Me tenant par la taille, me soulevant et me faisant descendre sur son membre aussi lentement que possible.
Mince, comment ne plus pouvoir me séparer de lui ?
Il était à moi, je scellais nos sexes par ces paroles que je prononçais intérieurement.
J’accélérais la houle de mes hanches pour nous redonner du plaisir en alternant.
Montant et descendant et dessinant des figures arabesques sur son engin aussi lentement possible. il hurlait de plus en plus avec moi en écho.
Puis, j’accélérais sans ne plus pouvoir me contrôler la tête rejetée en arrière.
J’eu mon orgasme dans un râle de plaisir, enfonçant mes ongles dans sa chair au niveau de se cuisses.
Puis je me laissais choir épuisée.
Il fallait que je me reprenne, la partie n'était pas encore terminée.
Je me retournais, le dos posé sur le lit en écartant mes jambes.
Je l'invitais à me dévouer par interdit.
Le souffle court, je pris son membre raidi que je plaçais à l’entrée de ma vulve, il s’empressa de me donner des coups secs et brefs, les yeux révulsés à cause du plaisir.
Moi (m'écriant) : Prend moi par l’arrière.
Il s’exécuta, me donnant le temps de me retourner à nouveau.
Il me besogna, me faisant pousser de petits cris qui l’excitais d’avantages sans cesser de me donner de petites tapes sur les fesses.
Oh que c'était bon !
Sam acheva de m’investir, d’un coup de reins grognant de plus belle.
On se laissa tomber sur le lit, épuisés et à bout de souffle.
Harmonie MAVOUNGOU ép MENDOME
Il est vingt-deux heure déjà !
J'arpentais les coins de la chambre en m'imaginant les pires besognes que Samuel pouvait se permettre.
Je n’arrive pas à le croire ! Encore une fois, et sans gêne !
Cette fille est le diable en personne.
Il fallait que je garde mon calme sinon je risquais de faire quelque chose que j'allais regretter.
Qu'avait-t-elle que je n’avais pas ?
Elle me faisait passer deux nuits sans mon mari pour me montrer que c'était elle qui tenait les rênes ?
Donc, si je comprenais bien, mon mari me trompait depuis mais ce n’était que maintenant qu’il découchait !
En deux jours Samuel avait changer drastriquement
Certainement, ils le faisaient en journée chaque fois qu’il se rendait au travail.
Elle devait peut-être même faire partie de son effectif au bureau, qui sait ?
Tchouo ! MENDOME!
Je croyais que tu avais arrêté ça ! Que tu étais sincère la fois où tu m'avais demandé pardon et que tu m'avais promis ne plus recommencer.
Moi, j’avais dû affronter mes parents à cause de toi, et toi, pour me remercier, tu me trompes à nouveau !
N'en pouvant plus, je me mis à pleurer à chaudes larmes.
Qu’avais-je fait pour mériter tout cela ?
Je savais qu’il se faisait tard mais je ne pouvais m’empêcher d’appeler Dorothée si non, je risquais de faire une bêtise.
Elle décrocha à la première tentative.
Dorothé (calmement) : Madame MENDOME ! Qu’y a-t-il ?
Moi (essuyant mes yeux) : Désolée madame OVONO !
Excuse-moi de te déranger à cette heure mais je croix que les choses vont un peu loin fis-je fondant en larmes.
Dorothé (concernée) : Ne me dit pas qu’il va encore découcher ? questionna-t-elle sceptique.
Moi (la main sur le front) : Oui, il me l’a dit ! Qu'il est fort probable qu'il passe la nuit dehors. Vu l'heure qu'il fait...
Dorothé (calmement) : Tu ne lui a pas demandé pour quelle raison il le faisait ?
Moi (la voix presqu'inaudible) : Non Dorothy !
Quelle idée ?!
Dorothé (déterminée) : Ok, donne-moi une heure, je viens te rejoindre.
Moi (me ressaisissant) : Oh, non ! Et ton mari ?
Il risque de ne pas bien prendre ça !
Je ne voudrais pas qu'à cause de moi vous vous chamaillez.
Dorothé (intervint) : T’inquiète je vais gérer.
Moi (me calant sur une taie d'oreiller) : Ok répliquai-je rassurée.
Je coupais la communication en étendant mes pieds sur le lit.
Essayant de me calmer.
La dernière fois où j'avais soupçonné mon mari, remontai à très longtemps.
Qu'est-ce qui l'arrive ?
Pourquoi maintenant ?
***
Alors que j'étais sur mon téléphone, j’écoutais le bruit de pas dans la maison.
Celà ne pouvait être que Flora qui allait vérifier si les enfants étaient vraiment endormis.