Chapitre 4

Ecrit par YadRosa

                     **Franck**

...Elle a levé la tête vers moi et je n'ai pas pu résister. J'approche lentement mes lèvres... j'ai trop envie de l'embrasser...

Elle me regarde sans bouger, je crois qu'elle en a également envie. 

Soudain, j'entends la voix de ma mère m'interpeller.


Maman : Franck !! 


Liliane se détache rapidement de moi. Je me retourne et je vois ma mère qui s'approche de nous la mine froncée. 

Maman ( sèchement) : bonjour ! 

Liliane : b.. bonjour maman. Bonne arrivée. 


Elle ne lui répond pas et se tourne vers moi. 


Maman : Franck, tu ne me souhaite pas la bienvenue ? 

Moi( visage renfrogné) : Liliane vient de le faire. 

Maman : et ? 

Moi : c'est suffisant. 

Liliane : je crois que je... vais aller dans ma chambre. 

Moi : non, reste ici ! 


Maman fait les gros yeux.


Maman : donc à cause de cette...femme, tu me manques maintenant de respect ? 

Moi ( calmement)  : je ne l'ai jamais fais. Juste que je trouve ton comportement inapproprié. Tu ne.. 

Maman (hurlant) : tais toi ! Tu pense me faire la leçon juste parce que je n'aime pas ta "copine"?Moi : ce n'est pas "ma copine" et s'il te plaît arrête de crier maman. 

Maman : je m'en fiche, et je fais ce que je veux ! Cette femme n'a rien à faire ici, je veux qu'elle parte sur le champ. 


Liliane avait baissé la tête et je sens qu'elle veut pleurer. 


Moi : que t'a t-elle fait maman ? Depuis ton arrivée ici, tu es toujours sur son dos. Tu n'étais pas comme ça avant, qu'est ce qui t'es arrivé au juste ? 

Maman : je ne permettrai qu'aucune arriviste vienne profiter de la fortune de mon fils. Je te dis que cette femme ne te mérite pas. Je répète, fais la sortir de cette maison avant que je ne le fasse moi même. 


Elle a carrément perdu la tête ou c'est quoi ? 


Moi : elle n'ira nul part et pour ta gouverne, je compte l'épouser ! 


Liliane a instinctivement levé la tête extrêmement surprise et maman me regarde comme si elle s'apprête à m'étrangler.


Maman : tu vas quoi ? 


Au même moment, Liliane court vers la maison, je pense que c'est mieux qu'elle parte pour ne pas avoir à continuer a écouté les paroles blessantes de ma mère.Moi : que t'arrive t-il au juste ?  Depuis des années tu ne fais que rejeter toutes les femmes que je trouve. Au début c'était Olivia que tu as chassé à cause de ton comportement envers elle, ensuite ce fut le tour de Taylor mais elle, on connaît tous le pourquoi j'ai rompu avec elle et maintenant Liliane...Explique moi pourquoi tu es comme ça ? 

Maman : Franck tu veux me tuer non ? Comment peux tu vouloir épouser une femme comme ça ? Elle ne sait même pas bien parler et faut la voir manger gauchement à table. Tu veux couvrir ton père et moi de honte, c'est ça ? 


C'est ma mère qui parle là ?? 


Moi ( calmement) : elle apprendra, tout comme tu as appris il y'a des années déjà. 

Maman : ne me compare pas à elle. Jamais tu ne l'épouseras. Tant que je serai en vie, ce mariage n'aura pas lieu. Vas savoir si elle n'a pas couché avec tous les hommes de cette ville... 

Moi : maman ! 

Maman : quoi !? Tu penses que je n'ai pas vu que vous vous apprêtez à vous embrasser ? Qu'elle femme respectueuse embrasse quelqu'un qui n'est pas son mari ? 

Moi : tu exagères vraiment et ça commence par m'énerver maman. Je te respecte beaucoup mais là, c'est trop. 

Maman : tu vas faire quoi ? Me frapper peut être ? Gare à toi si tu demandes cette femme en mariage, tu es prévenu ! 

Elle a tourné les talons et s'en est allé en insultant Liliane dans sa langue maternelle. 

Je suis vraiment dépassé. Je la regarde partir et soudain nos années de misère me reviennent en mémoire. Je revoie la manière dont sa belle famille l'a mise dehors après la mort de mon père... Comment nous avions vécu dans la pauvreté avant que je ne rencontre mon père adoptif. Je n'arrive pas à croire que c'est cette même femme qui dénigre ainsi Liliane juste parce qu'elle vient du village. 

Je secoue la tête d'un air déçu et je rentre dans la maison. Je vais ensuite dans la chambre de Liliane. Elle est accoudée à sa table d'étude et regarde la fenêtre l'air pensif. Elle tourne la tête dès qu'elle sent ma présence. 

Moi : désolé pour tout à l'heure. Maman n'est pas comme ça d'habitude. 

Liliane : ce n'est rien. Je la comprend, on n'a pas le même niveau social... 

Je m'approche d'elle et je m'assieds sur une chaise vacante.

Moi : écoute, avant d'avoir tout ce que j'ai aujourd'hui, j'étais encore plus pauvre que toi. La chance m'a juste sourit et me voilà aujourd'hui donc ne me parle pas de rang social. 


Je me suis tus et elle a détourné le regard. Les paroles de maman l'ont blessé je le sais, mais elle est trop polie pour l'admettre. Et voilà que j'ai dû parler de mariage dans ces conditions.... pfff ! 


Moi ( m'éclaississant la gorge) : Liliane je... au fait... à propos du fait que j'ai dis que je vais t'épouser...je... regarde moi s'il te plaît.

Ce qu'elle fit. Je n'ai jamais manqué ainsi de mots de toute ma vie. 

Moi : je sais que le moment est mal choisi, je ne voulais pas le faire de cette manière mais maman m'a poussé à bout. Au fait.. tu me plais beaucoup et.. je... me demandais si tu accepterais sortir avec moi. Je ne veux pas que tu penses que j'essaie de te forcer à faire quelque chose que tu ne veux pas faire juste parce que tu vis chez moi... c'est juste ce que je ressens et si ce n'est pas réciproque, je peux parfaitement le comprendre. 


Ça m'étonne que depuis le début de mon discours, elle me regarde dans les yeux. C'est la première fois qu'elle me fixe aussi longtemps. Moi qui prévoyais organisé un dîner en tête à tête et lui déclaré ma flamme... 

Elle ouvre soudain la bouche et je me sens bizarre comme un candidat qui attend son résultat d'examen. Mon coeur bat très vite. Et si elle disait non ? pourrais je le supporter ? 

Liliane : Franck je... tu sais, j'avoue que j'aime ta compagnie mais je ne sais pas si c'est ça qu'on appelle amour. Et même si c'était le cas, ta mère n'acceptera jamais que je sorte avec toi. 


Elle s'est exprimée clairement et sans hésitation. La seule chose qui me font le coeur, c'est la teinte de tristesse dans sa voix. J'ai envie de l'enlacer et lui dire que tout ira bien, que personne ne pourra s'opposer à notre relation.. 

Moi : Liliane, je comprends tes craintes et crois moi tout ira pour le mieux. Je vais parler à maman et je suis sûr qu'elle finira par comprendre.Liliane : elle ne m'aime pas... 

Moi : non, c'est juste qu'elle est sur protectrice. Laisse moi lui parler tranquillement. Tu veux qu'on essaie ? 


À nouveau le silence s'installe. 


Liliane : c'est d'accord mais s'il te plaît, ne te dispute pas avec elle pour moi. 



             **Chief Olamide**

Ces incapables n'ont pas réussi à enlever cette fille. Je pense que je dois utiliser une autre tactique, mais laquelle ? À présent je sais où elle fréquente donc.. en parlant d'école, comment se fait-il qu'elle étudie ? Ça ne veut dire qu'une chose, quelqu'un la protège et je dois découvrir qui c'est.

Je me suis rendu à l'appartement de Prisca. Ça fait longtemps que je ne l'ai plus vu celle là. C'est ouvert donc j'entre sans sonner. Elle est dans la salle de bain à ce qu'il paraît. Automatiquement j'enlève ma veste et je me rend dans sa chambre où j'enlève le reste de mes vêtements. Elle sursaute en criant lorsque je lui prend la taille.

Prisca : qu'est ce que tu fais ? 

Moi : ça ne se voit pas...? 


Mon membre est déjà tendu. Je lui caresse les fesses un moment et d'un coup de rein sec, je la pénètre par derrière. 

Prisca : aïe !  Tu devrais arrêter de faire ce genre de chose...

Moi :mais tu aimes pas vrai ? 


Je me mets à la pilonner sans ménagement. Les mains contre le mur, elle gémis bruyamment. Je lui donne des claques sur ses fesses qui ne tardent pas à rougir. 


Prisca : ummmmh, aaah.. vas y plus fort ! 


Elle aime être cochonne cette femme. Je me rappelle qu'au début, elle n'arrivait pas à supporter de coucher avec moi. J'aime frappé, gifler.. lorsque je baise et elle n'acceptait pas celà mais au fil des années, elle s'est habituée...

Elle se retourne et prend mon sexe dans sa bouche en s'agenouillant. Elle me suce jusqu'à la moelle et j'adore ça. Je ne tarde pas à jouir et elle prend le tout dans sa bouche avant de l'avaler goulûment. On prend ensuite la douche ensemble avant de sortir de la salle de bain. 

Prisca : j'ai l'impression que tu te radouci..avant tu étais beaucoup plus brutal que ça ! 

Moi : détrompe toi ma belle. C'est juste que je sais que tu es habituée à tout ça donc je n'y vois plus trop l'intérêt. À présent c'est de Sirèna que j'ai envie... je veux lui faire mal en la baisant ! 


Elle arque un sourcil. 


Prisca : Sirèna ? 

Moi : oui, je parle de Liliane ! Elle ne t'a pas dis que je lui ai donné un surnom ? 

Prisca : non ! Et d'ailleurs je ne sais vraiment pas où la trouver. 

Moi(riant) : ça montre à quel point tu es i-n-u-t-i-l-e ! Moi je sais où elle est ! 

Prisca : sérieux !? 

Moi ( l'air satisfait) : évidemment que oui. J'obtiens toujours ce que je veux. Au fait où la tu déniché ? 

Prisca : au fait... euuh, c'est ma cousine. 


Je suis surpris. 


Moi : ta cousine ? Et tu voulais la prostituer ?

Prisca : il est où le mal ? N'est ce pas un être humain comme moi ? Si moi je l'ai fais, pourquoi pas elle ? 

Moi : c'est ton problème. De toute façon je la veux ! Mes hommes l'ont aperçu dans une université privée dans le centre ville. 

Prisca ( étonnée) : université ? Mais comment ? 

Moi : aucune idée. J'ai l'impression que quelqu'un la protège sinon où aurait-elle pu trouver l'argent pour s'inscrire dans une aussi grande école. Tu vas aller la voir ! 

Prisca : quoi !? 

Moi : tu es sa cousine, elle ne peut pas refuser de te voir. 

Prisca : j'ai essayé de la forcer à se prostituer ! 

Moi : et alors ? Tu vas aller et te comporter comme si tu regrette tout ce qu'elle a dû endurer à tes côtés. Elle finira par te pardonner et la suite, je m'en charge. 

Prisca : humm ok mais ça ne sera vraiment pas facile.

Je me rhabille tout en lui parlant. 

Moi : oui mais pas impossible. Fais tout comme prévu et tu verras qu'on l'aura bientôt. En plus je te réserve une récompense si tu arrive à l'amadouer... 

Prisca : ok. Je vais le faire.




Une vie de pute : To...