Chapitre 44: les nouveaux mariés
Ecrit par Rhema 241
Chapitre 44: les nouveaux mariés
Belle Moussounda Épouse MAÏSSA
Avec Glenn nous nous sommes finalement changés pour la remise des cadeaux .
On a eu plein de cadeau mais pour avoir soulever les cartons je sens que je ne manquerai plus jamais de verres dans ma maison .
Pourtant dans la liste des cadeaux j’ai fais exprès de ne pas mettre les verres à l’intérieur, mais bon.
On continue la fête jusqu’au petit matin, Vic me colle tellement que je ne peux pas bouger, elle est entrain de bien m’énerver seulement.
Moi: Vic c'est bon déjà , tu peux me laisser marcher tranquille.
Vic : Maïté m'a demandé de te surveiller, elle me fait un peu peur .
Moi: pfff elle est gentille
Vic : mais elle ne sourit jamais, elle trop sérieuse.
Moi: j'ai chaud , j'ai envie de me changer
Vic : non ! Je ne vais pas te laisser .
Je m'avance vers Glenn et elle me suit .
Glenn: tu peux nous laisser deux minutes s'il-te-plaît Vic ?
Vic : OK
Elle s'éloigne et nous nous dirigeons sur la table où se trouve ma sœur et les enfants .
Je porte Mathéo et Glenn Mathis .
Ils sont trop beau , en plus de ressembler a leur père .
Moi(a ma sœur ): merci , merci du fond du cœur.
Elle: c'est normal mon trésor, félicitations
Nous : merci
David : félicitations, vous le méritez
Nous : merci .
On accompagne les invités vers ma sortie en remettant des agendas avec nos photos dessus.
Petit cadeau souvenir.
Une fois les vrais invités partis , on se retrouve avec mes cousins et ceux de Glenn .
Ils dansent comme des fous sur des chansons de bébé Lilly, mais quand tu les vient dehors , tu peux penser que tu as trouvé ta vie , mais plus immatures qu'eux , tu meurs .
On quitte la salle de réception à 1 heures du matin finalement la seule envie que j’ai a cet instant c’est de dormir.
On prend l'ascenseur et j'en profite pour retirer mes talons .
Une fois hors de l'ascenseur je me positionne devant le miroir du couloir pour délicatement retirer mon diadème.
Pendant ce temps Glenn ouvre la porte de la suite et rentre.
Je le suis toute fatiguée, il pouvait quand même me soulever nan ? Je suis à bout de force.
J'ouvre grandement la porte et reste stoïque à la vue de cette magnifique décoration, des ballons flottant, des bougies, des roses .
je suis tout émue, que mes yeux brillent .
La chambre est juste magnifique.
moi(reniflant): merci mon cœur
Glenn( secouant la tête): l'archevêque
Moi: quoi ?
Glenn( se rapprochant): ce soir c'est l'archevêque, si tu m'appelles autrement on arrête tout .
Glenn me soulève jusqu’à la douche, quand je vois la baignoire je souris timidement.
Il prend le temps d'ôter un à un mes vêtements.
Glenn : tu es prête ?
Moi( souriant): oui mon archevêque
Glenn : je pensais que tu étais fatiguée
Moi: tu pensais très mal mon archevêque.
Je rentre dans la baignoire en le fixant droit dans les yeux.
Glenn ( prenant le gant de toilette): à chaque mauvaise réponses tu auras une fessée, a chaque bonne réponse, tu pourras jouer avec mini archevêque.
L'excitation dans la pièce était à son comble .
Glenn: on prend les bus où pour aller dans mon village ?
Moi( surprise) : sérieusement? J'en sais rien.
Il me retourne , je pose mes coudes sur la baignoire et il a une vue complète sur mes fesses .
Je ne vois pas ce qu'il fait mais par contre je ressens une de ses mains s'abattre sur mes fesses , je me mord la lèvre en levant les yeux vers le haut.
Glenn : on prend les bus où pour aller au village de mon père .
Moi( fermant les yeux): je ne sais pas
Slap slap
Moi( sentant l'excitation monté): hummm
Glenn : le nom du village de ma mère
Moi( souriant): Fougamou
Glenn: exact .
Je me retourne en vitesse et pose ma main sur son sexe en soupirant d’aise ça m’a manqué de faire ça .
Glenn ( sourire vicieux) : tu l’aimes nespa ?
Moi : je la-do-re
Je met tout mon énergie a joué avec son membres , encourager par ses grognement je descends vers ses bourses et m’applique d’avantage .
Il me stop malgré qu'il soit gonflé à bloc.
Glenn : le nom du village de mon père
Moi: Omalo
Glenn: exacte
Cette fois ci c'est ma bouche qui est allé saluer son membre , en le léchant , le suçant , ensuite je l'ai fait rentrer dans ma bouche au point de m'ettoufer avec, je retire ma bouche en laissant couler ma salive, mais quand je veux y retourner il ramène une nouvelle question.
Glenn: Qu'est-ce-que je déteste le plus ?
Moi: les cachotteries
Glenn : exact
Je voulais y retourner mais il m'a brusquement retourner en me donnant une claque sur la fesse droite , qui en passant ma fait hyper mal .
Glenn: mais tu adores en faire
Slap slap
Glenn: tu adores me désobéir nespa ?
Moi ( haletante): noooooon...ohhhh
Slap slap
Glenn : non qui
Slap
Moi: oh .. non mon archevêque
Au même moment j'ai senti sa langue sur mon vagin .
Je n'avais plus qu'un seul pied dans la baignoire, le deuxième était au sol pendant que mon corps se trouvait au rebord de la baignoire.
Moi: orrhhhh.... Oui .... Ohhhh Glenn..
Il s'est brusquement arrêté .
J'ai réalisé mon erreur
Moi: désolé archevêque
J'ai ressenti deux autres claques sur les fesses.
Je gémis de surprise sans pour autant m’arrêter .
Glenn( avec autorité) : dans la chambre !sur le lit et vite .
Je me lève et marche devant lui , il me palpe les fesses avant de me mordre le cou.
Je m'allonge sur le lit en écartant mes pieds en forme de v .
Glenn : je vais tellement te prendre cette nuit qu’il te sera impossible de faire sortir un son ce matin , quand tu sera fatiguée, dis Glenn
avant que je ne puisse répondre , il s'est enfoncé en moi .
J'ai planté mes ongles dans sa chaire, en hurlant de plaisir.
Je jure mon père ce qui se passe en moi en ce moment n'est pas normal .
Je me met à tourner les reins comme une danse de ikokou, mais il me retourne et coince mes bras de sa main droite, de l'autre il me cambré d'avantage avant de la posé sur ma nuque et commencer la danse
Moi ( gémissant): achhh orhhhhh oui oui oui
Je criais tellement qu'il m'a donné un té d'oreillers pour fermer la bouche
Moi( jetant le té): je veux que tu m'embrasse [ remuant mes fesses ] embrasse moi .
Il a libéré mes mains et d'un geste rapide je me suis retrouvé sur lui .
Jai introduit son sexe en moi et je me suis mise à danser sur lui en me carresant .
Il m'a soulevé légèrement avant de faire des va et viens en moi a nouveau.
Il y allait tellement vite que je n'ai pas pu suivre, je me tenais les cheveux tellement c'était bon .
Il m'a remis en missionnaire en envoyant mes pieds par dessus mon visage.
La position n'est pas très confortable mais le goût en question m'a donné le hoquet, avant de me donner un violent orgasme.
Moi: glennnn
Glenn: ah non , je n'en ai pas fini .
Il m’a pénétré a nouveau avec une telle douceur que jen n’ai coulé des larmes.
Tout les recoins de la chambre y sont passés, sur la porte , la table le lit le sol la baignoire la cabine de douche .
Toute la chambre m'a entendu hurlé de plaisir.
Entre les plus vite , moins vite, encore, regarde moi , oui comme ça, je ne savais plus où donné de la tête .
J'ai crié Glenn fatigué mais il ne s'est pas arrêté pour autant.
On a fait deux jours à l’hôtel à se sauter dessus comme des lapins .
C'est moi qui ai mal mais je ne rate pas une occasion pour le provoquer.
Aujourd'hui on doit rentrer pour dire au-revoir à ma sœur et son mari ainsi que les petits.
Je vais seule chez mes parents .
Aujourd’hui se fera le dépôt de la mariée , donc moi , dans ma nouvelle maison par ma belle famille.
Je me lève en grimaçant, sincèrement , l'eau chaude l'eau glacée , ne font plus l'affaire, je vais appeler mon Gygy pour qu'elle me conseille autre chose, ma lune de miel n'a même pas débuté pardon.
Une fois à la maison je me dirige directement dans la chambre de ma sœur, je prends la peine de cogner car on ne sait jamais.
Quand elle ouvre je rentre avec le sourire, à la vue des jumeaux sur le lit je fond directement.
Moi( la voix cassé) : Mathéo mon amour
( prenant l’autre ) Mathis !
Je les regarde amoureusement, les enfants de la réconciliation.
Moi( à leurs oreilles) : merci , merci mes amour .
Ma sœur : madame Maïssa la voix c’est comment ?
Moi : je suis un peu grippé
Elle( amusé) : la grippe même est étonné de ta démarche.
Au même moment ma mère rentre dans la chambre.
Maman : madame Maïssa, vous êtes là ?
Moi( répondant difficilement) : oui
Maman : c’est quoi la voix la
Ma sœur ( rigolant): elle est grippé, elle a surement trop chanter les deux derniers jours.
Maman : ne me fais pas seulement honte je te préviens.
Moi : je vais saluer papa.
J’ai soulevé mes fils avant de sortir tout doucement.
Maman : regarde comment elle marche , ne fait pas tomber mes petits enfants pardon .
Ma sœur : la démarche de la honte .
Tout d’un coup j’ai honte d’aller voir mon père , honte des sous entendus qu’il pourra se faire a cause de mon état actuel.
Le pire c’est que si Glenn vient tout de suite et tente quelque chose je vais accepter malgré la chaleur entre les cuisses , les maux de tête que j’ai fini par avoir à force de crier et les hanches qui font mal , non pas juste les hanches mes tout le corps, avec les positions compliqués que Maïssa me sort .
Je m’asseois doucement sur le fauteuil , mais pas sans grimacer .
Papa ( inquièt): tu vas bien ma princesse ?
Moi( souriant) : un peu fatiguée mais ça va .
Papa (arquant les sourcils ) : ok... mais il faut vous préparer bientôt l'heure.
Moi: oui oui .
Je reste quelques minutes avec lui avant de monter me préparer avec ma mère et ma sœur.
la famille nous rejoins peux de temps après.
Quand on arrive à la nouvelle maison.
Les tantes de Glenn me portent pour me faire rentrer .
Vic me remet les clés et me souhaite la bienvenue chez moi .
Les membres de la famille de Glenn ce sont surpasser , la fête est belle .
De mon coté aussi ils nous ont offert un magnifique salon , des séries de marmite et plein de Moulinex, et autres ustensiles de cuisine.
Maman : comme ça tu pourras bien préparer pour mon fils .
Glenn( derrière moi): vraiment. chérie tu peux venir un moment ?
Moi( intrigué) : ok .
Je le suis de près, il ouvre la porte de la chambre et quand je rentre il me soulève directement avant de refermer la porte .
Moi: nonnnn Glenn
lui( poussant mon string sur le côté): tu peux même m'appeler Maïssa si tu veux.
Moi(haletante): ma pe-ti-te voix qui me reste orhhhh.