Chapitre 46

Ecrit par Sandy's Aby's



Désiré NGUIMBI


Je discutais avec ma femme et en même temps la nouvelle directrice des ressources humaines de Gazoline SA nouvellement en poste.


L’assistante (faisant irruption dans la salle sans frapper) : Monsieur, je vous ai pris une bouteille de vin…

[Remarquant la présence de Lizette elle se figea]


L’assistante (marquant un pose) : Oh ! désolée !


Lizette (posa son coude sur la table et se tourna tranquillement vers elle) : Mamzelle typhanie ! l’interpella-t-elle le regard sombre et impérieux.


Typhanie (plaçant la bouteille derrière elle) : Madame ! s’exclama-t-elle en se dressant.


Lizette (calmement) : Nous sommes en plein meeting vous n’avez pas le droit d’entrer dans le bureau du chef sans au préalable avertir.


Thyphanie (plissant le front en ouvrant la bouche) : Mais…


Lizette (sans lui laisser le temps de riposter) : Ne me faite pas regretter de vous avoir accepté dans notre équipe en vous embauchant.


Typhanie (ouvrit grand ses yeux) : Non…madame…désolée ! réussit-elle à dire d’une voix presqu’étranglée.


Moi (le ton calme mais dur) : Du coup, faites votre travail et consultez-moi lorsque vous aurez envie de faire plaisir au chef.


Typhanie (soulagée) : Ok madame ! encore désolée ! elle se confondit en excuse, sortant et refermant derrière elle.


Moi (laissant errer mon regard sur son joli visage avec un sourire en coin) : Tu joues ton rôle de fiancée à la perfection.


Off

En effet, au début du mois nous avons fait les fiançailles chez ses parents.


Lizette (prenant sa tasse de café qu’elle porta à ses lèvres en le fixant) : J’essaie juste d’être la directrice des Ressources humaine de cette compagnie.


Moi (souriant) : Et j’en suis fière…Le travail que tu as accompli jusqu’ici est louable !


Lizette (buvant une gorgée avant de répondre) : Merci pour l’opportunité chef dit-elle en inclinant légèrement la tête.


Moi (le rire franc) : Rohhh ! arrête, je ne supporte pas trop quand tu m’appelles comme ça, je t’assure. 


Lizette (posant sa tasse sur la table): Tu vas devoir t’y habituer chef, car ici on est sur le lieu de travail et tu es Mon chef.


Moi (secouant la tête) : Je n’en disconviens pas chérie… but it sounds weird (Mais ça à l’air bizarre).


Lizette (se mit à rire) : Merci aussi pour ce cadeau que tu m’as fait en m’inscrivant aux cours d’anglais.


Moi (sérieux) : C’est juste que je t’aime et je veux ton bien… en fait je n’ai pas envie qu’on se moque de ma future femme en disant qu’elle ne parle pas Anglais qu’est-ce qu’elle fout là en tant que DRH dis-je sur un ton moqueur.


Lizette (le rire franc) : Ah ah ah ! Tu as bien réfléchi alors ! 


Moi (plongeant mon regard dans le sien) : …


Lizette (se penchant au-dessus de la table) : So, now we have to get back to work we have a company to run (Donc, maintenant nous devons nous remettre au travail, nous avons une compagnie à faire tourner)


Moi (secouant la tête) : Tu fais d’énormes progrès en si peu de temps ! Et je t’aime aussi pour ton professionnalisme. Dis-je sincère.


Juste SAJOUX


Je portais Harmonie jusqu’à mon véhicule en surveillant sa respiration. 

J’ai eu peur pensant qu’elle a attenté à sa vie mais elle s’était simplement évanouit.


Mohamed me vit et sortit de la guérite pour venir ouvrir, précipitamment, la portière arrière.


Moi (posant mon genou sur le siège arrière) : Mohamed, ouvre le portail s’il te plaît lui criais-je.


Mohamed (couru ouvrir) : Oui monsieur.


Je la plaçais sur le siège arrière en position latérale de sécurité.

 Elle fronçait déjà les sourcils sans portant ouvrir ses yeux en bougeant faiblement sa tête.

Rapidement, je refermais la portière et composais, tout en marchant, d’une main, le portable de Dorothy tandis que je contournais le véhicule et m’installais derrière le volant.

 J’activais le mode mains libre, accrochait le téléphone sur son support et mis le contact. 


En route pour la clinique la plus proche.


Moi (le regard rivé sur la route) : Dorothy !


Dorothée (à l’autre bout du fils, calme) : Salut Juste.


Moi (dirigeant le volant d’une main et l’autre posée, à l’arrière sur le bras d’Harmonie) : Désolée mais, s’il te plaît, n’alerte personne d’autre, retrouve-moi à El rapha maintenant lançais-je en fixant la route.

 Clic.


                                       ***


J’étais dans le couloir de l’établissement lorsque Dorothée me rejoignit.


Dorothée (affolée) : Qu’est ce qui se passe Juste, j’ai fait aussi vite qu’il m’était permis.


Juste (me rapprochant d’elle, les bras croisés) : Eh bien calme toi, ce n’est pas si grave, le docteur me l’a assuré.


Dorothée (inquiète) : Qu’a-t-elle ?


Moi (baissant la tête en relachant mes bras) : Elle s’est évanouit … après que je lui ai annoncé que je l’abandonnais une fois de plus.


Dorothée (couvrant son visage de sa main en soupirant) : Tout est ma faute !


Moi (posant une main apaisante sur son épaule) : T’inquiète elle va bien. Je pense que c’est juste une baisse de tension.


[retirant ma main de son épaule]


Dorothée (levant ses yeux vers moi, les lèvres serrées) : Merci Juste…


Le médecin (derrière moi) : Monsieur SAJOUX .


Moi (me retournant) : Oui Docteur !


Le médecin (une fiche en main) : suivez-moi s’il vous plaît ! lança-t-il en s’éloignant.


Mon cœur s’affola pendant un court instant.


Moi (me précipitant derrière lui) : Qu’est-ce qui se passe docteur ?


Le médecin (souriant) : Ne vous inquiétez pas.


Dorothée (se rapprocha de nous, inquiète) : Et Harmonie docteur ?


Le médecin (sans arrêter de marcher) : Elle se porte mieux maintenant.


Dorothée (marquant une pause) : Ok, je vais vous attendre ici Annonça-t-elle en prenant place sur une chaise qui se trouvait près d’elle.


Dans le bureau du docteur.


Lorsque j’entrais dans la salle, je trouvais Harmonie assise le dos tourné à la porte. 


Le médecin contournait son bureau tandis que je rejoignais Harmonie, m’installant, sur la chaise, près d’elle en prenant ses mains.


Moi (murmurant) : Ça va ?


Harmonie (hochant la tête) : Oui mon amour. 


Le médecin (s’installant en face de nous) : Je tenais à vous annoncer la bonne nouvelle personnellement, à ce que vous soyez présent tous les deux…pour vous féliciter car votre femme est enceinte.


Harmonie tressaillit avant de se tourner vers moi, nos regards se croisèrent puis mes yeux s’emplir de larmes tandis qu’un sourire, franc, étira ses lèvres.


En une fraction de seconde, Harmonie se jeta presque sur moi.

 Nous étions heureux.


 Je savais au plus profond de moi que c’était le mien et j’étais très heureux d’être enfin père et avec la femme que j’aimais le plus.


Harmonie (les yeux larmoyants) : Sniff, je suis enceinte Juste !


Moi (prenant sa tête entre mes main en la fixant) : Je suis heureux et sache que pour rien au monde, je ne t’abandonnerai avec mon enfant. 

Cet enfant est pour moi une raison de me battre pour nous deux et notre bonheur. Annonça-t-il d’une voix presque rauque en prenant ses lèvres avec avidité.


Harmonie (se tourna vers le médecin qui nous observait joyeux) : S’il vous plait combien de mois ?


Le médecin (joignant ses mains) : Deux et demi.


Harmonie (fronçant les sourcils) : Docteur, j’ai eu mes règles tous ces derniers temps.


Le médecin (souriant) : Ça arrive souvent.


A ces mots, je pris sa main pour la porter à mes lèvres d’un geste plein de tendresse.


Moi (sans arrêté de la fixer) : Merci Docteur.


Le médecin (se tenant debout) : Tout le plaisir est pour moi !


L’entretient terminer, nous nous levons pour sortir.


Moi (prenant Harmonie en la serrant dans mes bras) : Je t’aime princesse.

 Merci de me donner le plus beau cadeau de la vie ! 


                                     ***


Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME.


Je venais de terminer avec la sage-femme, elle m’a paru très gentille d’ailleurs, elle m’expliquait certaines choses, les unes que je savais déjà et d’autres aussi et me donnait la date du prochain rendez-vous, lorsque j’aperçu Juste et Dorothée discuter au bout du couloir.


Sans les quitter des yeux, je m’appuyais nonchalamment contre le mur près de moi alors que la sage-femme vaquait à ses multiples occupations.

 Je les observais, le sourire aux lèvres.

 L’expression de Dorothée était plutôt celle d’une personne qui se reprochait quelque chose. 


Soudain cette pensée fit tilt dans ma tête, mon sourire s’évanoui et je me redressais sur le coup.

 En même temps Dorothée s’éloigna de Juste qui se dirigeait vers la sortie, elle se dirigeait vers moi. Pour faire court, je décidais d’aller à sa rencontre, de toute façon il était temps de rentrer.


Dorothée (heureuse) : Harmonie c’est vrai ce que Juste m’a dit ? Tu attends un autre bébé ? questionna-t-elle avant de pivoter et me suivre.


Moi (secouant positivement la tête) : Oui et cet enfant est de lui car la dernière fois où j’ai couché avec Samuel remonte à plus de six mois l’informais-je sans arrêter la progression vers la sortie.


Dorothée (écarquillant les yeux) : Waouh !

Félicitation.


En signe de réponse, je souri. Puis calmement…


Moi (marquant un arrêt en la fixant, suspicieuse) : C’est toi qui à parler à Juste concernant notre relation ? demandais-je sans attendre.


Dorothée surprise, resta sans voix, déstabilisée et mal à l’aise.


Dorothée (balbutiant) : Euh …c’est lui qui te l’a dit ?


Moi (levant les yeux au ciel en soupirant) : Bien sûr que non ! Juste ne me dira jamais rien si quelqu’un de proche venait à lui dissuader de faire quelque chose. Pour protéger ce dernier… simplement. 

C’est seulement en vous voyant discuter, tous les deux, que j’ai compris que c’était toi…

 [Inclinant légèrement la tête]

 Je me demande juste pourquoi ?


Dorothée (la bouche légèrement entrouverte, retenant inconsciemment son souffle) : Harmonie…je suis désolée.

 Je ne voulais pas que tu regrettes où que tu faces une erreur sans que j’essaie de faire de mon mieux pour t’en empêcher car le divorce n’est pas une bonne chose. Ma tante a eu…


Moi (lui lança un regard outré, levant la main pour l’interrompre) : Dorothy, c’est… mon… choix, Ma décision et Ma vie ! Tu m’entends, la mienne, pas celle de quelqu’un d’autre

…respecte-ma décision et permet-moi de faire des erreurs car ce n’est que comme ça que j’apprendrai ou que je ferai des meilleurs choix à l’avenir opposais-je d’une voix frémissant de rage contenue.


Je suis vraiment déçu de ta manière de faire ! ajoutais-je en soutenant son regard avec colère.


Dorothée (sincère) : S’il te plaît Harmonie, je suis vraiment désolée de l’avoir fait. Je ne compte pas recommencer.


Moi (entre mes dents) : Alors arrête de jouer les héroïnes, ne prend pas ton cas pour une généralité et mêle-toi de ce qui te concerne D’ACCORD ??? m’écriais-je hors de moi.


Dorothée baissa la tête et laissa libre court à ses larmes qu’elle retenait tandis que je me précipitais, en passant devant elle, pour aller rejoindre le père de mon future enfant.


                                       ***


Harmonie MAVOUNGOU ép. MENDOME.


Quelques minutes plus tard après avoir pris place dans le véhicule de Juste en direction de sa maison.


Juste (m’adressant un bref regard) : Et Dorothée ?


Harmonie (évitant son regard) : Elle est assez grande pour se débrouiller !


Juste (fronçant les sourcils, le bras gauche posé sur le volant,) : woh ! vous vous êtes disputé ?


Moi (attachant sa ceinture) : Non, j’ai juste mis les points sur les I.


Juste (m’observant avec la plus grande attention) : Concernant quoi ?


Moi (d’un ton un peu brusque en soutenant mon regard) : Le fait qu’elle ait réussit à te convaincre à m’abandonner à nouveau.


Juste (mit le contact) : Mais qu’est-ce que tu racontes mon amour, qui t’a dit qu’elle y était pour quelque chose ?


Moi (lui lançant un regard cynique) : Ce n’est pas la peine de la couvrir, je te connais très bien maintenant et elle me l’a avoué en plus.


Juste (poussant un profond soupir) : Ecoute mon cœur, je t’ai trouvé avec Dorothée et je respecte votre amitié. Je n’ai pas envie que ça change à cause de moi.


Moi (levant les yeux au ciel en soupirant) : Ce n’est pas à cause de toi chérie. J’ai le droit de faire mes propres choix et je souhaiterai qu’on les respecte comme je respecte ceux des autres.

Dorothy est passé par une situation difficile mais elle avait décidé de pardonner et accorder une autre chance à  son mari.

 Je ne me suis jamais opposée au contraire je l’ai encouragé. 

Pourquoi ne le ferait-elle pas pour moi ou même qu’elle ne fasse rien je préférerais.


Juste se rapprocha et m’embrassa avant de se retirer à quelques centimètres.


Juste (d’un ton suave, penché vers moi) : Moi, à ta place, je serai heureux que quelqu’un s’inquiète et prenne des initiatives me concernant dit-il avant de se redresser et actionner le clignotant.


Moi (le fixant en réfléchissant à ce que j’allais lui dire) : …


Juste (manœuvrant le véhicule le regard sur la route) : S’il te plaît mon amour, ne dit rien.


Quelques minutes plus tard nous étions chez Juste à nouveau.


Juste (arpentant la salle) : Nous devons réfléchir à la suite des évènements. 

Tu sais que si cet enfant naît alors que tu es encore marié à Samuel, il sera automatiquement considéré comme le sien et il pourra se venger en le reconnaissant sur les papiers juste pour me faire souffrir. 


Moi (regardant dans sa direction) : Eh bien !

Je ne le laisserai pas faire.


Juste (plissant le front) : Et comment vas-tu t’y prendre ?


Moi (haussant les épaules) : Il ne saura pas.


Juste (un petit sourire, moqueur) : C’est une blague ?!

Ce n’est pas comme si c’était une grossesse extraterrestre où tu n’as pas besoin d’attendre neuf mois !

 La grossesse ne reste pas indéfiniment cachée !


Moi (laissa échapper un soupir agacé): Je sais !

 Espérons juste que le divorce soit prononcé à temps.


Juste (passant nerveusement la main sur sa tête) : Oh ça crains !!! Car ce genre de chose ne se règle pas en si peu de temps : le divorce.


Moi (se redressant) : Ça ira bébé, nous allons y arriver. Et arrête d’être négatif.


                                     ***


Moi (levant les bras en remuant les doigts) : Que constates-tu ?


J’étais allongée sur le lit les jambes tendues.


Juste (Haussant les épaules) : Tu fais remuer tes doigts. 


Moi (baissant mes bras) : Ok… et maintenant ? 

[Faisant des mouvements avec mes jambes repliées esquissant un mouvement comme si j’étais sur une bicyclette]


Juste (esquissant une moue d’une personne ne comprenant pas où je voulais en venir) : Tu pédale dans l’air.


Moi (arrêtant mon geste) : Ce qui veut dire que je peux encore faire de l’exercice [Me redressant en m’appuyant contre l’oreiller] ça veut encore dire que je ne suis pas malade.

 Je suis enceinte bon sang ! 

Tu m’as porté de ta voiture jusqu’ici, tu as refusé que je nettoie le verre que j’ai brisé, tu m’as forcé à manger, de boire de l’eau, tu me demandes maintenant de me reposer alors que je ne suis pas fatiguée ?


Juste gratta sa tête en faisant une grimace avant de venir s’installer sur le côté du lit près de moi.


Juste (une mine de chien abattu) : Je suis désolée princesse, c’est juste que je suis excité à l’idée d’être père pour la première fois !

 En quelque sorte mon instinct paternel prend place reprit-il en pinçant ses lèvres.

Brièvement nos regards se croisèrent et sans la quitter des yeux il ajouta.


Dit-moi n’y a –t-il pas un moyen d’accélérer la croissance du bébé ?

 J’ai grave hâte de le prendre dans mes bras lança-t-il en caressant mon ventre encore plat.


Moi (l’attirant vers moi pour le prendre dans mes bras) : Ouh ! C’est trop chou !


On restait enlacé pendant plusieurs secondes, puis en se détachant de l’étreinte, les yeux de Juste, restèrent accrochés aux miens.


Juste (baissant la tête) : J’avais perdu espoir lorsque j’avais atterri sur le sol étranger, plus précisément en Chine pour mes études.


Déjà, je sortais d’une rupture et je pensais que je n’étais pas fait pour me mettre en couple.

Et pourtant, plusieurs filles me couraient après et étaient prête à tout pour être avec moi, mais aucune ne me plaisait vraiment, pour tout ce qui était de la beauté intérieure…pff ce n’était pas gagné.

[Plongeant ses yeux dans les miens]

 Mais lorsque j’ai croisé ton regard ce jour-là, ça a tout changé dans ma vie, j’ai regagné espoir et dans ma tête, tu étais faite pour moi. Mais ensuite, j’ai découvert que tu étais déjà avec quelqu’un.


 Princesse, j’ai gardé espoir. 


J’ai admiré la façon dont tu étais battante douce et le fait que tu étais irréprochable. 


Au fur et à mesure, je t’ai eu dans la peau malgré que je t’observais de loin. Ça ne m’était jamais arrivé avec une autre fille. J’avais compris que je ne pouvais plus vivre sans toi. 


J’ai pensé à toi à chaque instant, ton sourire, ton bon cœur. Puis, lorsque je suis rentré au Gabon, j’ ai commencé à perdre espoir jusqu’à ce que ce jour-là… tu apparaisses… dans mon bureau et aujourd’hui tu portes une partie de moi en ton sein. 


Harmonie, je t’aime depuis la première fois où j’ai croisé ton regard.


Si je t’ai abandonné la première fois, c’était parce que j’avais peur que tu acceptes d’être avec moi seulement par dépit ou parce que tu voulais essayer ailleurs pour voir ce que ça donnerait. Je ne voulais pas de pitié de ta part mais que tu ressentes ce que j’ai ressenti pour toi...

Je voulais me convaincre, moi-même, que tu pouvais me regarder plus qu’un ami. Comme ton homme, ton amour.


 Que tu n’allais pas m’abandonner et me dire que tu voulais juste essayer et retourner chez ton mari.


Présentement, j’ai juste envie de t’épouser et reconnaître notre enfant. Je ne veux pas rester avec le remord à chaque fois que tu vas rejoindre ton mari. Je veux être capable de vous protéger mon enfant et toi.


Il rapprocha lentement son visage du mien, inclinant la tête et savoura mes lèvres avec une passion non feinte, puis, il se retira en posant sa joue contre ma poitrine. 

Il se lova contre mon corps chaud, se laissant apaiser par mes battements irréguliers alors que je caressais sa tête en y déposant pleins de baiser, il ferma ses yeux.

 Nous demeurons ainsi un moment interminable. C’était si merveilleux.


À  suivre...


Photo credit : Google.

Model : Keke Palmer.

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