Chapitre 46
Ecrit par Boboobg
.... Gloire Alfred Mbolo....
Je viens de déposer Elodie chez elle, la pauvre elle fesait peine à voir.
Je n'arrive toujours pas à croire que mon frère Elliott puisse y aller aussi fort avec elle. Prenant surtout en compte sans âge.
Je gare et rejoins Clovis au salon.
Moi : il est où ?
Clovis :je l'ai enfermé dans sa chambre. Il a décidé de tout cassé.
Moi : ok, tu peux rentrer je m'en occupe !
Clovis (prenant sa veste) : comment va la petite ?
Moi : elle devra se taper des douleurs corporelles et une cicatrice à la lèvre pendant un moment mais je crois que ça va allé !
Clovis : bordel de merde qu'est ce qui lui a pris ?
Moi : je ne sais pas !
J'accompagne Clovis jusqu'à sa voiture qui est garé dehors et rejoins Elliott dans la chambre. Il est assis à même le sol, recroquevillé sur lui même.
Elliott : comment va t'elle ?
Moi (sarcastique) : qui ça ?
Il se relève et vient s'assoir à côté de moi sur son lit la mine piteuse.
Elliott (en larmes) : elle ne voudra plus de moi c'est sûr !
Il est en train de verser de grosses larmes, comme ceux d'un enfant qui a fait une bêtise et sait qu'il va avoir une grosse punition.
C'est la première fois depuis très longtemps que je le vois pleurer ainsi.
Elliott et Grace ont ce point commun, de ne pouvoir pas se contrôler quand ils arrivent à un certain niveau de colère.
Dans ce genre de moments, l'un laisse libre cours à ses dons et l'autre à sa force physique . Au final, cela se termine toujours mal.
Mais je n'aurai jamais pu penser qu'il pourrait ainsi s'en prendre à elle de cette façon.
Moi(sur un ton de reproche) : merde Mbolo, qu'est ce qui t'es passé par la tête ? Tu aurais pu la tuer !
Elliott (en larmes) : j'ai vu ce petit con la touché, il lui caressait la main en lui disant des trucs à l'oreille. Sniff il l'embrassait dans le cou comme si elle lui appartenait et elle, elle dansait en se collant contre lui ! Je... Je... J'ai pété les plomb !
Moi :...
Elliott : elle me trompe(envoyant sa paire de chaussures contre le mur) elle me trompe avec ce petit connard !
Moi (haussant la voix) : tu vas arrêter bon sang ! Elle a seize putain ! C'est une ado, es que tu te rends compte de ça ? Tu as failli la tuer ! Qu'est ce qui se serait passé, si on était pas arrivé à temps Clovis et moi ?
Elliot (se levant) : je dois la voir, je dois... Je dois lui dire que je suis désolé... Que... Que ça ne fait rien qu'elle m'ai trompé.... Que je suis prêt à passer au delà de ça et... Et... Et effacer tout ça !
Moi : tu l'a cogné comme si elle était un animal ! Elliott, si ça avait été Édith ou même Céleste, l'aurai tu toléré ?
Elliott : mais je l'aime !
Moi : le mieux ça serait qu'on remonte sur Brazzaville,en espérant que ses parents ne portent pas plainte ! Si c'était ma sœur, je t'aurai cassé la gueule avant de te faire croupir en prison pour le reste des dix prochaines années et toi, tu aurais fait pire.
Elliott : elle.. J'ai besoin de la voir Gloire, de voir qu'elle va bien. Même de loin !
Je l'emmène sous la douche pendant qu'il ne cesse de me répéter qu'il doit voir Elodie. Je le met au lit comme un gamin et je suis obligé de l'enfermer dans la chambre après qu'il se soit endormi pour être sûr qu'il n'aille pas retrouvé la petite.
Il est douze heure quand je me lève le matin. Je fais ma valise et je vais ouvrir à Elliott qui est toujours enfermé.
Je le trouve debout, bien propre sur lui, il devait attendre que je viennes lui ouvrir.
Elliott : putain mec j'ai grave déconné hier !
Moi : je croyais qu'avec le dojo tu avais appris à gérer ta colère ?
Elliott : je n'arrive pas à expliquer mon acte. Je vais aller chez elle, demander pardon à ses parents et prendre en charge ses frais médicaux. Je dois la voir et m'excuser...
Moi : Elliott, tu vas la laissé tranquille. Au moins pour l'instant. Je l'ai eu ce matin et elle est encore sous le choc même si elle m'a dit avoir raconté s'être faite agressé dans la rue par des bandits !
Elliott : je vais allé, la voir et la forcer à me pardonner!
Moi (haussant le ton) : tu ne comprends donc rien bordel ? Tu l'a battu alors que tu la couches au moment où elle est mineur. Si elle ne t'avais pas protégé tu serai en ce moment inculpé pour coups et blessures plus trafic sur mineur ! C'est ta carrière que tu as mis en jeux, c'est l'honneur de la famille, ton honneur !
Elliott:....
Moi : tu imagine sur tous les journaux ? L'un des fils de la grande famille Mbolo, directeur de son état qui couche une enfant de seize et la bat pour une histoire de jalousie ? Non mais t'a quel âge ?
Elliott...
Moi : dis toi que tu as la chance qu'elle t'aime trop. Parceque si ça avait été une de nos sœur, je lui aurai forcé à te dénoncer.
Elliott : je ne peux pas vivre sans elle !
Moi :alors tu attendra, attend qu'elle ai l'âge nécessaire, si elle veux bien te reprendre !
Elliott : comment j'ai pu me comporter ainsi, faire preuve d'autant de violence avec elle ? (m'étant les mains à sa tête) comment ?
Moi : il y'a un vol dans deux heures. Comme tes valises étaient déjà faites, ça tombe bien. On monte à Brazzaville.
Elliott : je ne l'ai pas encore vu !
Moi : tu n'as pas à la voir pour l'instant. Tu as besoin de redescendre sur terre et être avec des femmes comme tes sœurs te sera bénéfique.
Elliott :merci d'avoir pris soin d'elle frangin !
Moi : j'aurai préféré que cela ne se produise pas !
.... Hope Divine Ngakosso-Onda....
Je tire mon trolley jusqu'aux l'escalier de l'avion. Un homme derrière moi, me propose de la portée. Je la lui laisse à contre cœur, je déteste me faire aider.
Je montre mes papiers à l'hôtesse qui m'enregistre en me souhaitant de faire un bon vol. Je suis en train de rejoindre ma place en première quand mon regard croise celui de verre de terre ! Il me suit ou quoi ? Pas possible, je n'ai pas dit à Mimi que je monte deux jours avant elles donc impossible que Phansia lui ai dit vu qu'elle n'est pas au courant.
Il me fixe comme si il avait vu une statue marché. Ma place est à côté d'un homme beau, carrément mon genre mais un peu trop morose à mon goût. Une année plus tôt, je lui aurai foncé dessus en le draguant proprement et on aurai probablement fini dans les toilettes de l'avion ou à l'aéroport.
Je souris à cette idée, mon psy a raison qand il dit que je fais de gros progrès car je me contente de le regarder en coin.
Verre de terre (venant devant le type trop beau) : Elliott, on peut changer de place ?
Le mec, Elliot je suppose quitte son téléphone des yeux et regarde son interlocuteur perplexe !
Elliott : je croyais que tu détestais les places de l'arrière ?
Verre de terre: je veux me mettre là !
Elliott (se levant) : je suis déjà assez mal donc ne me fais pas chier Mbolo !
Verre de terre (me regardant) : merci mec !
Je détourne mon regard et commence à me mettre à l'aise dans mon fauteuil.
Verre de terre (me souriant) : bonjour Hope!
Je fais comme si je n'avais rien entendu, et je mets mes casques beat aux oreilles. Je ferme les yeux pendant que les quatre saison d'Antionio Vivaldi, me mette en extase.
... George Ngakosso.
Moi (regardant Anais) : c'est toi qui te plaignais d'avoir un emploi du temps chargé non ? Et bien laisse ton cher père te déchargé !
Anais (suspicieuse) : qu'est ce que tu as en tête ? Encore un plan entre toi et grand-mère hein ?
Moi (souriant) : c'est ma nièce et pour un peu qu'elle passe du temps ici, je veux juste apprendre à la connaître !
Anais : mais vous connaissez bien tous Hope, si je suis la seule qu'elle appelle en dehors de papi et de tata Sami, elle doit avoir ses raisons. Je ne comprends pas pourquoi grand mère et toi, voulez-toujours lui forcer la main.
Je regarde ma fille me donner sa grande théorie sur les rapports de famille idéale selon elle.
Il est aussi difficile de manipulé cette fille, elle est tellement coriace que ça me fait sourire. Tout le contraire de sa sœur.
Moi : Anais ma chérie, je te le demande comme un service d'accord ?laisse moi aller cherché ta cousine à l'aéroport et demain, je vous paie un déjeuner où vous voulez.
Anais (souriante) : vendu ! Mais je veux que tu lui précise bien que tu m'as forcé la main ok ?
Moi : OK
Anais : bon, ce n'est pas tout mais j'ai a faire (m'embrassant) bonne journée papa !
Moi : bonne journée mon cœur.
Dès que ma fille quitte mon bureau, je passe direct à la salle de bain attenante. Je me brosse les dent pour avoir une haleine fraîche et change de chemise dont je replie les manches pour paraître plus décontracté.
Je passes un peu d'eau sur mon crâne, comment j'ai pu perdre ainsi tous mes cheveux ?
Une bonne dose de parfum et me voilà près pour aller accueillir la princesse.
Je ne me fais pas d'illusions, je sais qu'elle sera froide et hautaine comme toujours mais le simple fait de l'avoir ou de la savoir près de moi me titille.
Il n'y a qu'avec elle que j'arrive à ressentir cette attirance ou devrais je dire, cette connection presque psychique que je ressentais pour l'autre . C'est au delà de l'amour, au delà du fait qu'elle soit ma nièce.
Après que Lovely se soit faite tuer par Alphonse Onda (sourire) j'ai un peu regretter sur le coup. C'est vrai que j'aurai préféré qu'il la quitte, où que son infidélité fasse scandale pour la punir de m'avoir rejeté des années plutôt mais la savoir morte a eu un effet apaisant sur ma jalousie envers mon frère (Jonathan). Je ne sais pas, peut être que je me suis juste rendu compte que Lovely morte, plus personne ne pouvais l'avoir. Donc on était tous perdant au final.
Plus les années passaient, plus je voyais Hope grandir de loin. C'est vrai qu'elle ressemble comme deux goutte à mon frère. Ça, ce n'est que le visage parceque le corps, (sourire aux lèvres) j'ai eu l'occasion de le voir sur tous les angles sur ces photos nudistes. Quel beau métier qu'elle a choisi !
Sa façon de marcher, de se tenir ou même de regarder les gens. C'est Lovely, celle que j'ai connu vingt cinq ans plus tôt.
Je gare a l'aéroport, descend, c'est le dos contre la capot que je l'attend. Elle ne tardera pas à apparaître.
Je la vois tiré son trolley et une valise. Je m'empresse d'aller lui faire la bise et lui prendre ses bagages pendant qu'elle regarde partout sans doute à la recherche de ma fille.
Moi : ne cherche pas princesse, elle avait trop de boulot alors je me suis proposé contre son gré bien sûr !
Hope (pas convaincu) : ok, mais tu aurai pu m'envoyer un de tes chauffeurs !
Moi : j'avais envie de passer du temps avec toi !
Hope (sur ses gardes) : pourquoi faire ?
Moi : Ngakosso je suis ton oncle, je fais partie de ta famille .
Elle se contente de me regarder sans rien ajouter. Je lui ouvre la portière en bon gentleman. Deux hommes passent devant nous, l'un d'eux regarde Hope avec un peu trop d'insistance à mon goût. Je ne sais pas mais ils m'ont l'air familier tous les deux.
Je rejoins Hope dans la voiture et démarre. Direction l'hôtel Exaunel.
Moi(me garant) : tu vas voir, ils font des plats locaux super bon.
Hope (me fixant) : George ?
Moi :tu peux m'appeler tonton tu sais ?
Hope : Georges, je peux savoir à quoi tu joue ?
Moi(souriant) : comment ça princesse ?
Hope : que je sache, Godé et toi avez toujours formé la paire. Quand tu fais quelque chose, ça a toujours un lien avec elle alors que tu viennes me chercher sans qu'elle ne soit là et que tu m'emmène au restaurant, désolé mais je trouve ça louche !
Moi(rire) : tu es ma nièce Hope. Je sais que tu as toujours été plus proche de ta tante que nous autre mais comme je l'ai dit à Anais, tu fais partie de la famille. On sait tous que ta carrière est mis en pause à cause de la divulgation de la tragédie d'il y'a seize ans, c'est dans ce genre de moment qu'une personne a besoin de sa famille. Et je suis ton grand oncle, celui qui a ouvert la porte à ton père pour qu'il vienne au monde. Je te considère autant que Anais et Anni comme ma fille, il te suffit juste de nous laisser joué notre rôle de parents.
Hope (yeux malicieux) : donc tu veux être un oncle modèle c'est ça ?
Moi (lui tirant la chaise): c'est ce que j'ai dit !
Hope : alors si tu me disais pourquoi Godé détestait ma mère.
Le serveur vient prendre nos commande, le temps pour moi de réfléchir à ce que je vais bien pouvoir lui dire. Ce qui est sûr, c'est que je ne peux pas avancer le fait que c'est en pensant protégé ses enfants que maman a tout fait pour l'éloigner.
Moi: ma mere est une personne très complexe et tu le sais. J'ai beau être son confident mais il y'a certaine chose qu'elle a toujours gardé pour elle. Et cette rivalité qui a existait entre ta mère et la mienne ce dès la première fois qu'elles se sont vus, je crains de ne pouvoir t'en donner les raisons !
Hope :je vois.
Moi : parles moi de toi princesse,de ta vie et tout.
Hope :il n'y a rien à dire, si tu es dans les réseaux sociaux tu sais déjà tout.
Moi : il n'y a pas un petit copain reste aux usa ?
Hope (me fixant) : je n'ai pas la patience d'entretenir une relation mon cher oncle et je n'aimerai pas discuté de ce genre de sujet avec toi.
Moi(sourire) : tu peux me parler de tout tu sais. Demande aux filles, elles te diront qu'elles me confient tout.
Hope : et moi je préfère me confier à Daddy.
Cette réponse me refroidi mais elle ne fait rien pour attendre cette petite.
Le serveur nous apportent nos plats et s'en va en nous souhaitant bonne appétit.
Hope : ça à l'air bon !
Moi :je te l'avais dit.
Hope (prenant un bout) : et si je te posais une question sur mes origines, pourrais-tu me répondre ?
Moi : si j'en ai la connaissance pourquoi pas ?
Hope : je n'ai jamais eu le courage de demander ça à Daddy mais je sais que ce n'est pas possible que papi soit son père, père biologique !
Moi (levant un cil) : pourquoi penses tu cela ?
Hope (mangeant calmement) : papi et Godé sont sombre de peau, ainsi que toi, tata Sami et Frank. Sauf papa, qui ressemble à un mulâtre, je dirai même qui est mulâtre . Et moi, qui suis sa fille, j'ai hérité de cette même peau. Ce ne peut être expliqué que par le fait que papa ai eu un père blanc.
Je souris. Papa qui nous a élevé n'a compris ça que le jour où cette fouineuse tata Judith a déballé le poteaux rose à table mais cette petite, a su en moins de deux comprendre qu'il y'a anguille sous roche sur les origines de Jonathan . Je revois Lovely en elle.
Moi : là, il s'agit de la vie privée de ta grand-mère. Je ne peux rien te confirmer !
Hope (me fixant) : tu viens de le faire !
Moi :tu es une sacrée femme !
Hope :c'est ce que dise les paparazzi !
On fini notre repas et je la raccompagne chez elle.
Moi :on devrai avoir plus de moment comme ça, tu ne penses pas ?
Hope : bof pourquoi pas !
Je suis sorti lui ouvrir la portière et sortir ses bagages. Je voulais l' accompagné jusqu'à l'intérieur mais deux énormes pitbull sont sorties de nulle part et se sont mis à aboyer. Obliger de dire au revoir et de retourner à la voiture.
Je regarde ma montre en garant chez moi, deux heures. Un sourire bea ne quitte mon visages. Deux heures ! Je suis resté deux heures avec elle.
J'en ai même la chair de poule.
C'est à grandes enjambées que je rejoins ma femme Petula dans la chambre. Afin d'assouvir le désir qui brûle en moi.
Petula est avec moi depuis deux ans déjà. Cela m'a valu de grosses disputes avec Anais mais je ne pouvais laisser une femme aussi petulante(rire).
Après que la mère des jumelles m'aient quittée, il y'a huit ans, je n'ai pas eu la volonté de me remarié et puis un jour, dans un coin mal famé où je traîne à mes heures perdue à la recherche de viande fraîche car là bas, les putes sont prêtes à tout pour se faire de l'argent. J'ai vu au loin une Hope passée, c'est en me rapprochant que je me suis rendu compte que ce n'était pas elle. Elle a le même âge que les filles, trente ans.
J'ai rencontré Petula. Métisse de deuxième génération comme Hope, grande, belle, j'ai tout de suite vu en elle une photocopie pas très mais quand même assez ressemblante de ma nièce.
Avec elle, je peux assouvir mes fantasmes.Elle aime l'argent, je le lui donne et pour la peine, moi j'ai ce que je veux.
Moi(la regardant) :Hope à quatre pattes !
Petula se jette à terre et se met à aboyer comme la chienne que je veux qu'elle soit.
Je vais sortir ma mallette d'en dessous du lit, en sort du fils de fer avec lequel je l'attache. Les pieds,les mains dans cette position de chienne.
Je déchire ensuite son tailleur Chanel au niveau des fesses avant de sorti mon fouet en liane tressé.
Je commence par de petit coup en imaginant les jambes interminable de Hope, ses lèvres roses comme la fraise, ses yeux qui traduisent tellement de tristesse. C'est à en devenir fou !
Moi(la fouettant plus fort) : Hope !
Petula : oui tonton
Moi : Hope ma petite chienne, dis moi que tu aimes ça !
Petula (aboyant par moment) : oui tonton, je suis ta chienne et j'aime ça !
Je la fouette jusqu'au sang. Jusqu'à ce qu'elle n'arrive plus à jouer le jeux et que fatigué et en proie à la douleur, elle se mette à pleurer en me suppliant d'arrêter !
Petula(pleure) : je suis ta chienne sniff ouf ouf ouf sniff je suis ta chienne et j'aime ça !
C'est en imaginant qu' elle est Hope et qu'elle est ma chienne que j'ejacule dans mon pantalon dans un râle.
Si le fait juste de l'avoir vu, procure à nos petits séances de fouet, un goût aussi délicieux que je n'imagine pas comment ça sera le jour où elle sera là avec nous !
Je m'écroule fatigué sur le lit en oubliant même de délivré ma femme de ses files.