Chapitre 46: En mal d'amour.

Ecrit par ngakomal

Quelque part dans une mangrove de Yabassi cerclé de forêts.

~~~ Mike Sanga~~~

Comme je l’avais promis à ma  mère, nous avions pris la route hier pour nous conduire en cet endroit. Trouver le chemin n’était pas facile. Nous nous sommes perdus plus d’une fois. Entre les crevaisons, les guides qui s’étaient improvisés à la vue d’une 4X4 noir fumé, aux multiples dépenses imposées par ceux-ci, à ce chemin boueux et inondé d’eau jonché d’arbres, de lianes pendouillant de toute part, d’insectes piquantes, j’en était arrivé à me demander si les informateurs de ma mère ne s’étaient pas trompés ou encore n’avaient pas organiser mon enlèvement.

J’avançais comme un forçat pourtant je n’avais aucune charge sur le dos. Ma jambe enfoncée jusqu’aux genoux me donnait l’impression de peser des tonnes. « Plouff » était le son qu’elle émettait à chaque pas. La vue de ma paire de mocassin me donnait la migraine quand je pensais à coût. Mais quelle galère !

-          Quand est ce qu’on arrive. Demandais-je tandis que je frappais sur ma nuque un moute-moute parmi tant d’autres qui gravitaient autour de ma tête.

-          Bientôt monsieur. Nous arrivons déjà même. Repondit le guide qui fermait la marche derrière moi

Nous marchions depuis trente minutes et c’est ce qu’il me répondait à chaque fois que je lui posais la question.

-          Vraiment ! depuis que nous marchons ?

-          Mike arrête de faire l’enfant. Je ne suis pas ici de gaité de cœur. Je cherche juste un meilleur avenir pour toi.

-          Mon avenir est tout tracé. Ce sont tes inquiétudes qui je dirais non fondé qui nous entraine dans les bas fonds du Cameroun.

-          Ferme ta bouche ! c’est le village de quelqu’un que tu appelles bas fond ? souviens-toi où nous sommes.

-          Nous c’est rien hein madame. Dit- le guide de devant occuper à couper une branche qui pendait sur la route.

-          Oui madame qu’il arrête sa bouche devant le mbock-mbock (viellard sage ayant des connaissances sur la nature et tradi-praticien). On ne sait jamais. Repris le guide arrière. Ses réactions sont toujours bizarres.

-          Tu as compris ? comporte toi … aaaahhh criat-elle lorsqu’elle faillit glisser. Encore heureux que j’étais derrière elle. Tu vois non ? c’est un mauvais signe... tourne ta langue 7 fois avant de parler.

J’ai préférer me taire. Il valait mieux quand elle allait sur cette piste. Elle te dira comment les baves des yeux présageaient la mort d’un parent de la famille maternelle et qu’une entorse était un mauvais sort.

-          Chuuutt ! nous y sommes. Dit le guide avant. Ne faites pas de bruit. Quoi que vous voyiez ne criez et ne pleurez pas. Surtout marchez comme moi (pour dire sur mes traces).

Nous avons avons aboutit sur une clairière bien entretenue. Nous l’avons contourné et l’avons vu sortie de la forêt comme née en notre présence, une maison en bambou, piquet et paille. Elle était compartimentée et belle. Atypique certes mais d’une beauté que l’on ne s’attendrait pas à voir dans le coin. Je regrettais de n’avoir pas pris mon appareil photo. Le rendu du téléphone ne rendrait pas hommage à ce lieu féerique. Nous nous somme avancés en fille indienne vers la case qui laissait sortir de la fumée. Les deux guides vinrent se mette à une bonne distance de l’entrée ; nous firent signe de ne pas bouger.

-          Bonjour très grand mbongmbock.bje suis fils d’Eboule. Je viens avec des étrangers qui demandaient après toi. Pouvons-nous entrer ? dit-il dans la langue du coin.

-          Oui entrez !

Nous n’avions rien compris de l’échange. Après un moment, ils nous ont demandé de les suivre à l’intérieur.

-          Viens maman, qu’on en finisse afin que je m’en aille d’ici.

-          Humm. fut sa seule réponse avant de m’emboiter le pas.

D’une main j’ai fait basculer le tissu grisâtre noir  de l’entrée sur le côté pour nous créer un passage. Une odeur acre m’accueillit. Un mélange de senteur d’herbes, d’écorces, séchées et/ou brulées. La pièce était remplie d’amulettes ; de pots en terres cuites, de crânes de différents animaux. J’avais reconnus celui du serpent et du singe. Un vieux papa était assis au fond. Un petit feu allumé devant lui près d’un étalage d’objet sur un tissu rouge. Il nous fit signe d’un geste de la main de prendre place.

-          Mes enfants je vous dis bienvenue. Annonça t-il

-          Merci papa. Repondit les deux guides simultanément.

-          Alors, qu’est ce que je peux faire pour vous ? dit-il avec un sourire édentée. Cela fait longtemps que j’ai pas reçu d’étrangers dans ma demeure. L’accueil vous à plus ?

-          J’ai moi dis tonton ! je ne me suis pas beaucoup perdu cette fois. S’exclama le guide qui était à l’avant en tapant dans ses mains d’amusements. L’autre fois on a fais trois jour dans la forêt à tourner…. Je n’aime pas quand tu cache la route comme ça. Tu fais mes clients pensent je suis fou. Heureusement qu’au village ils savent qu’il n’y a que moi qui connais le chemin. Hum si non hein ta fille et ses enfants allaient manger quoi ?

-          Je ne suis pas idiot mon fils. Ceux là je ne pouvais les revoir sans avoir trouvé ce qui les soulagera. Et il ne fallait pas qu’ils entrent ici avec la légion de démon qu’ils  trainaient avec eux.  Comment vas ma fille ?

-          Bien papa. Elle a demandé que tu lui envoie l’herbe pour Bibi et que j’ajoute qu’elle a vue sa lune le mois passé et ça la dérange. Que tu vas comprendre de quelle herbe elle parle.

Qu’est ce qu’ils racontaient même ? Nous ne nous sommes pas perdu ? Leur conversation me sortait par les oreilles. Ils se racontaient leur vie. Je me suis gratté la gorge dans le but de les interrompre mais ils ne semblaient pas en faire cas. Ma mère me pinça la cuisse essayant de me dissuader mais j’ai raclé ma gorge encore plus fort.

-          Oui mon fils. Un problème ? me dit le mbongmbock.

-          Oui papa. C’est la raison pour laquelle nous somme là.

-          Ahh vous êtes enfin disposé à parler ? demanda t-il avec ce sourire qui me donnait juste envie de lui en arracher un peu plus de ses dents.

-          A parler ? vous ne nous avez posé aucune question. Même les présentations n’ont pas été faites.

-          Si. Mon fils je vous ai bel et bien demandé ce que je pouvais faire pour vous. Vous ne m’avez pas répondu. Puisque vous voulez perdre de votre précieux temps, dit-il en appuyant bien sur le mot les yeux dans les miens, j’en profite. Le temps c’est de la connaissance.

-          Excuse  mon fils papa. Les jeunes de nos jours tu sais ce que c’est….

-           Oui ma fille je sais. Vous deux sortez et arranger les lits pour vous et nos hôtes. Dit-il aux guides qui s’exécutèrent. Vous passerez la nuit ici.

-          Mais nous devons renter ! m’exclamais-je étonné qu’il en décide sans notre avis et du fait qu’il maitrise aussi bien le français. Mis appart l’inflexion de la langue locale.

-          Ferme ta bouche Sanga… on ne parle pas comme ça. Gronda ma mère.

-          Jeune homme regarde ta montre. Ce que je fis. Il était 14h30min. vous avez mis plus de 4h à trouver mon refuge. Supposons que mon travail ne prenne qu’une heure, pensez vous être au village avant la tombé de la nuit ? Humm fit-il un sourire de dérision aux lèvres. Ce qu’entraine l’ignorance est dangereux. Bon ! quel est ton problème ma fille ?

-          En réalité papa c’est lui  mon problème. Me désignant. Mon fils. En fait son père le mari de force à une fille que je n’aurais pas souhaitée pour lui.

-          Maman c’est pas la force c’est un contrat. Rectifiais-je

-          Sanga on se mari par amour pas par contrat bon sang ! et surtout pas pour de l’argent. Ne me distrait pas. Papa en fait je sais que dans l’univers où il entrera bientôt sera néfaste pour lui s’il n’a pas les idées clair dans ses prises de décisions. Je sais qu’il n’est pas mauvais juste un peu vantard sur les bords.  En fait je veux pour lui un traitement pour qu’il reste saint d’esprit toute sa vie. Que s’il arrive qu’il se compromette, que ce soit en âme et conscience.

-          Je vois… et toi jeune homme que désires-tu ?  me questionna t-il

-          Faire plaisir à maa mère et atteindre mon indépendance financière.

Il sortit d’une sacoche accroché au mur des coris qu’il lança  sur le  sol. Il reprit la manœuvre plusieurs fois de suite. Il prit une cola qu’il donna à ma mère en lui demandant de faire pareil que lui. Il jeta des écorces au feu qui produisit une grande quantité de fumés. Contraint de respirer par la bouche, je restais assis là dans l’attente après 20min de consultation des esprits, enfin c’est ce qu’il a dit quand il a commencé les incantations.

-          Je vais être direct avec toi ma fille. Annonça t-il lorsqu’il eu fini. Ton fils n’est plus un enfant arrête de le couver et de lui cacher des choses qu’il sait déjà. S’il ne savait pas que tu avais raison, il ne serait pas ici avec toi, s’il ne t’aimait pas, il serait parti loin de tout depuis fort longtemps. A toi mon fils. Les cieux et les Dieux acceptent ta demande. Mais retire de ton esprit de te séparer de cette fille lorsque ton objectif sera atteint. C’est ta femme. Votre ligne de vie se croisent et ne se quittent plus. Expliqua t-il avec conviction. Comme si ce simple fait mettait de la logique dans ses affirmations. Ne prend pas cet argent de ton père s’il réussit te faire accepter cet argent, tu seras lié à son cercle que tu le veille où pas.

-          Et comment vais-je faire pour renflouer les caisses de mon entreprise. Je cours à la catastrophe.

-          Ne désespère pas. Les cieux ne ferment pas une voix sans en avoir ouvert une autre. Dans la maison de cette fille, elles sont deux. La seconde est la solution.

-          Comment ? lui demandais-je

-          Je ne suis pas Dieu. Seul lui sait les chemins qu’il emprunte pour accomplir les objectifs de vie de chacun de nous. Je ne suis que messager. Les esprits savent que ton cœur refuse cette fille. Ils me chargent de préciser que cette femme qu’est sa mère n’influera plus sur elle dès que tu la ferras tienne. Impose toi et soit aussi viril que possible. Ton traitement remettra les compteurs à zero.

-          Merci papa. Dit ma mère. Pour le traitement ça se passe comment?

-          Je vous appellerais le moment venu. Je ne décide de rien je travail selon la nature.

-          Combien nous vous devrions pour le traitement.

-          Tout dépend de la nature. Tamack criât-il tandis que l’un des guides accourait. Allez-vous reposer. La nuit sera épuisante.

Nous sommes sortis et dirigés vers une case non loin. Je me suis affalé sur le lit en bambou près de la porte laissant celui du fond à ma mère. J’avais au moins pris soin d’enlever mes chaussures et mon pantalon. Je n’arrivais pas à exprimer la surprise agréable d’avoir un lit à matelas aussi fin soit-il dans ces lieux, tellement les révélations de ce monsieur me troublaient. S’il disait vrai, mon père ne serait qu’un vrai trou du cul. Je le jure. Je préfère encore mettre fin à mes jours que le suivre dans ses conneries. 

~~~ Le mbongmbock ~~~

La nature savait y faire. Tout avait été programmé. Etait-ce d’eux que j’avais rêvé ?  Si oui, les évènements n’allaient pas tarder. J’en avais maxi pour deux heures. La forêt avait parlé. Je ne connaissais pas son rôle dans ce qui se préparait mais il y participait. La nature avait ceci de remarquable qu’il mettait sur les chemins des hommes simples des actions décisives pour l’avenir du monde. Dans mes réflexions,  j’arrivais à la conclusion que lorsque tu ne connaissais pas les enjeux d’un acte, tu le fessais selon ton cœur. L’univers tablait sur le cœur des hommes. Dommage qu’il ne soit plus aussi bon qu’autre fois. L’illusion de la richesse matérielle avait corrompu les cœurs. L’homme n’avait pas saisit qu’il ne possède rien sur terre, rien de physique et de matériel appart son corps. Seule la connaissance était sienne car nul ne pouvait te l’enlever lorsque tu l’avais acquit et après la mort, elle te servait dans d’autre sphères.

Je me suis lever et pris mon sac en raphia direction la forêt. Les instructions étaient claires. La première herbe de traitement devait être coupée à 16h. Vue la distance à parcourir si je ne me dépêche pas je vais manquer de temps. J’ai demandé à Tamack d’utiliser le reste de mon gibier de la veille pour faire le repas avant de partir. J’avais quand même chassé pour eux.

Je suis arrivé au lieu dit dans les temps. A l’heure dit, j’ai sentit une décharge électrique bien que faible et j’ai cueillit les feuilles. En osmose avec la nature, je ressentais leur allégresse une puissance sans nom transparaitre des arbres. Je cherchais à regarder par mon œil spirituelle. Oui cette énergie leur donnait comme une seconde vie. Elles luisaient de partout. J’ai pris le chemin retour. La décharge électrique intervenait toutes les 15 min et toujours plus importante que la première. Elle influait aussi sur moi car je mis moins de temps au retour qu’à l’aller. L’irradiation était imminente, la prêtresse était de retour. Un peu d’ordre dans ce monde ne serait pas de refus. J’ai tout apprêté et mise en œuvre pour leur traitement. En réalité mon travail était de créer la voix en leur corps et esprit pour que la lumière qui venait en ce jour les traverse de par en part et les rend fils de l’univers.

~~~ Béthanie Blairon~~~

-          Oui … oui …oooouuuiii !!! plus fort ! comme ça !

-          Tu aimes Anie ?

-          C’est ….  C’est …. Aaahhh aaaakrrrck. Criant mon plaisir en tremblant de toute part.

Il s’est retirer de moi et m’a tourné sur le ventre comme une crêpe. Les muscles lâches et le minou chauffant.

-          Replis les genoux et montre moi ta proue Anie.

-          Je suis fatigue Math en plus mes fesses chauffent déjà.

-          Mamie si tu voyais ce que j’ai sous les yeux, tu comprendrais pourquoi tu me donne autant envie. S’il te plait puce.

Comment résister à cette voix si tendre. Il s’avait comment me parler et m’émoustiller. J’ai juste prix appuis sur un oreiller remonter mes genoux et lui envoyer mes fesses.  La claque qu’il y administra me fit rire.

-          Trop bonne je te dis. Ta mouille perle comme un burger dégoulinant. Dit-il en passant un doigt caresse dessus, de l’’entrer jusqu’au clitoris qu’il prit soin de titiller. Tu mouilles bébé, j’ai soif.

-          Bois …

Il eux un rire de gorge très sexy avant de mettre sa langue dans ma fente. C’était électrique il savait y faire. Sa langue allait de mon anus à mon clitoris en passant par les lèvres. Aucune n’était jalouse et le plaisir était au rendez vous. Dès que mes ronronnements ont repris, il s’est enfoncé en moi tel un taureau.

-          Je ne serais pas tendre… accroche toi !

Il m’a besogné d’une façon si intense que j’ai sentit mon cœur lâcher.  Les coups de rien étaient propres, secs et énergiques. Il a maintenu mes bras dans le dos d’une main en agrippant ma hanche de l’autre. Je le sentais passer et j’aimais.

-          Tu es trop bonne…. Je perds la tête bébé….. tu veux boire ?.....  tu veux boire ?

-          Oui papa nourrit moi.

-          Non …. Je veux déverser…. En toi… oui…. En toi….. bouge chérie …

Je le sentir partir. Sa respiration devint saccadée. Il agrippa mes fesses des deux mains et me donna la fessé de ma vie. Son plaisir s’étouffa dans un râle de gorge qui m’entraina aussi. Nous nous sommes écrouler et j’ai glissé dans un petit sommeil réparateur.

-          Tami… Tamara. Arrête le téléphone S’il te plait. Dit-il me secouant a moitié en dormi.

Je rêve où il vient de m’appeler par le prénom de sa femme ? Je renvoie quand même l’appelle et met son téléphone en mode avion avant de recoucher. Je Ta,ipréfère faire comme si je n’avais pas entendu pour le bien de tous.

-          Tami vient te coucher sur mon torse. Tu sais bien que je n’aime pas quand tu  es loin de moi. Dit-il toujours dans sa demi-conscience.  Non mais il me prend pour qui ?

-          Je dis hein ?  qui est que tu appelle Tamara ? le bousculant pour de bon. Reveil toi espèce de porc. Tu as fini de mettre gros machin sale là en moi pour venir m’appeler Tamachinchose ?

-          Mais qu’est ce qui te prend Tami… dit-il en ouvrant les yeux. Son regard transparaissait la surprise mélangé à l’incompréhension. Mais … mais vous n’êtes pas ma femme ! qu’est ce que je fiche ici ?

-          Donc c’est aujourd’hui que tu sais que je ne suis pas ta femme ? pardon ta sorcellerie va loin  avec.

Il est sortit comme une fusée du lit et a porter son bermuda.

-          Je ne sais pas ce qui se passe madame mais je ne vous connais pas. Et quel est cet endroit.

-          Tu te fiche de moi Math ? dis me redressant. Tu te fiche de moi ? ce n’est pas toi qui est venu à l’école me chercher  soit disant que je te manquais pour m’emmener dans cet hôtel ?

-          A l’école. Fit-il d’incompréhension. Seigneur une mineure. Je fous ma vie en l’air pour une mineure. Tamara va me tuer.

Je n’avais pas eu le temps de réagir qu’il me saisissait par la gorge et me craiait de lui dire ce que je lui avais fait. Rien ne m’avait préparé à ça. Qu’est ce qui  n’allait pas.

-          J’attends une réponse. Souffla t-il contre mon visage furieux.

-          Je ne sais pas … de .. de quoi tu parles. On s’est rencontrer avec Miranda et c’est toi qui est venu vers moi.

-          Miranda Njeck ? je fis oui de la tête. Et qu’est ce que je fais à coucher avec sa copine ? tout ceci m’a l’air d’un envoutement. Mais pour que ce soit clair. Je ne te connais pas et tu ne me connais pas. Efface-moi de ta mémoire. Tu ne sais pas de quoi je suis capable et prie pour que dans ta bêtise tu n’es pas entrainer ma famille.

Il m’a lâché brutalement et j’ai cogné ma tête sur le montant du lit. Le temps que je me ressaisisse, il s’était habillé, pris ses affaires et appeler sa femme.

-          Allo Tami….. fut la seule chose que j’entendis avant qu’il ne ferme la porte. heureusement qu’il avait payé la chambre avant que nous ne montions.

Je me rendis compte avec effrois qu’il se rappelait de Miranda mais pas de moi. Les larmes se sont mis à couler seules. Qu’est ce qu’elle avait de plus que moi ? Qu’est ce Reine avait de plus que moi. Les hommes préféraient toutes les autres à moi. Pourquoi fallait-il que je passe toujours après tout et tout le monde ? Je le suis lever et me suis couler un bain. Se faire rejeter tout le temps fessait mal et rongeait l’âme. Si je ne servais a personne il me suffirait de me laisser aller dans ce bain et d’ici demain je ne serais plus une nuisance pour personne. Non. Je compte au moins pour maman. Elle au moins m’aime. J’ai pleuré mon soul et me remise derrière mon masque de légèreté. Je suis sortie de cet hôtel et ai remarqué qu’il m’avait bloqué de partout. J’ai supprimé son numéro de mon répertoire.  C’était bien le peu de temps que cela avait duré.

Par les Eléments