Chapitre 49 : elle va me rendre fou

Ecrit par afi92


Moi : (intrigué et ne comprenant rien, pourquoi ma sœur m’embrasse) ola, ola calme toi Rosine, tu es tombée sur la tête, je suis ton frère, mais pourquoi m’embrasse tu ? Ça va, j’espère, tu n’es pas trop secouée faut que j’appelle papa, on doit vite t’emmener à Dubaï, tu commences par perdre totalement la tête.


Elle : Rosine ? qui est Rosine ? De quoi tu me parles même ? Appelé papa t'es sûre que ça va ? Tu as encore pris de la drogue ? C’est bien ça ? Inh Bernard ! Si tu vas continuer à utiliser cette saloperie, je vais te quitter et cette fois-ci, je suis sérieuse. (se levant pour quitter la pièce et marquant un point) Au passage moi, je me nomme Héléna  imbécile trsss.


Moi : (marquant de m’étouffer) quoi ?

Elle vient de dire quoi là ? Rosine ne connaît pas Hélèna, elle est apparu dans nos vies un temps après que Helena ait disparu.  (m’approchant d’elle et la retournant de force pour qu’elle me fasse face)


Elle : (poussant un cri de douleur) mais Bernard, tu es tombé sur la tête ou quoi pour quoi me brutalises tu ? Et pourquoi tu as pris un coup de vieux comme cela même ? (tombant sur son reflet dans le miroir et paniquant) Mais.. Mais… qui est au juste cette fille ? (s’approchant avec crainte et à pas lent vers le miroir) Mais ce n’est pas mon visage ? Bernard qu’est ce qui m’arrive au juste ? 


Moi : (me mettant juste derrière elle, essayant de déceler la mauvaise blague, mais je ne constate aucun jeu d’acteur, les gestes et cette manie de lever le sourcil gauche quand elle parle, cette façon dont elle ma tenue la barbe et s’est pincé la lèvre inférieure, comment Rosine peut-elle imiter tout ceci à la perfection ?) (voulant jouer au jeu) Helena regarde-moi arrête de paniquer. Tu te rappelles de la première fois où on s’est rencontré ? Tu peux me la raconter ? 


Elle : (ne voulant pas lâcher de yeux son reflet dans le miroir, je lui tiens le menton et relève son visage, elle ferme les yeux et pince sa lèvre inférieure mon cœur se serre eh seigneur ! ) c’était (snif) dans le quartier J’étais seul et saouler et je pleurais parce que je venais d’attraper cet imbécile de Raphaël dans le lit avec une fille. Tu passais avec ta voiture et tu t’es arrêté et m’a proposé de me raccompagner chez moi. Mais je t’ai insulté et traité de démon et… (elle sourit toujours les yeux fermés.) Jai même vomit sur ta chemise. Tu n’as rien dit tu es remonté dans ta voiture et m'a suivit avec la voiture par-derrière jusqu’à ce que je n’atteigne la maison. J’ai l’impression que c’était hier.


Moi : (la coupant, une larme coule sur ma joue.) et le lendemain, je suis resté au bord de la ruelle qui menait vers votre maison jusqu’à ce que tu ne sortes de la maison… Ma toute belle Helena, ma belle têtue à moi, ma vielle.


Elle garde les yeux fermés et me serre dans ces bras de toutes ces forces. Cette sensation, mais comment est-ce possible ? Comment Helena peut elle être encore Rosine ? Mais que s’est-il passé qu’est-ce que papa a encore fait ? Je jure sur ma vie que je ne lui pardonnerai pas s’il s’avérait que c’est lui qui est à la base de la disparition de ma Helena la femme de ma vie. Mon amour, ma moitié. Il m’a longtemps fait culpabiliser d’être la cause de la disparition de Helena et il avait raison, c’était moi qui lui ai proposé de venir avec nous à Dubaï pour les vacances.


Feedback (retour au passé) ….


Moi : (passant des baisers sur son dos) la vielle ça te dit de m’accompagner pour les vacances à Dubaï, on va s’amuser et je te présenterai à papa. Il est là-bas pour des affaires et je pourrais te présenter des grands commerçants qui pourront t’aider dans ton projet de magasin. Tu en penses quoi ? 


Hélèna : (se tordant de plaisir elle adore quand je lui fais ça) je t’ai dit de ne pas m’appeler… Tu.. Tu sais bien que ça sera compliqué, je vais dire quoi à papa et maman déjà qu’ils ne te connaissent pas. Ils ne vont jamais accepter que je parte comme ça pour l’autre bout du globe avec un inconnu. Si non J’ai bien envie de te suivre.


Moi : (la retournant et donnant des baisers à ces superbes seins déjà tout tendus par le plaisir) tu es ma vielle à moi seule bébé. Et si on y allait avec tes copines ? Tu n’auras qu’à leur dire que tu pars pour une expédition quelques choses comme ça avec tes amis, ils ne vont pas trouver trop à dire. Et je t’ai dit de me présenter, mais c’est toi qui refuses toujours. Ou bien m’utilises-tu juste pour le sexe ? (arrêtant ce que je suis en train de faire) 


Hélèna : (appuyant ma tête pour que je puisse reprendre ces seins en bouche) tu es bête ou (la mordillant le téton) hu..C’est bon, j’adore quand tu me malmènes comme cela. Hu…Heu…aï.. Je t’aime Bernard, j’attends juste le bon moment pour te présenter à mes parents ne t’inquiète pas. Et je trouverai un moyen de les convaincre pour te suivre à Dubaï maintenant concentre toi sur ce que tu fais.


Moi : (faussement offusqué) tu vois, c’est de ça, je parlais, tu m’utilises juste pour le sexe comme d’habitude. 


Hélèna : ok alors puni moi, je n’ai pas été honnête et gentille (m’offrant son regard le plus sexy)….


Retour au présent…


Moi : dit Helena, tu te rappelles de ce qui s’est réellement passé ? La dernière fois que tu t’es vu dans le miroir c’était quand ? 


Elle :comment ça ? Je… je …. Bernard stp je me sens un peu fatigué, on pourrait parler à mon réveil ? Il Faut que je me couche un peu. (elle me relâche et se couche sur le lit et ferme les yeux.) 


      Je ne dis mots qu’est-ce que je pourrais dire qui aurait vraiment de sens maintenant, là, là ? Je tire juste une chaise et m’assied la tête posée dans mes mains réfléchissant au comment du possible ? C’est quoi encore cette histoire, qu’as-tu encore fait papa ?  


Quelques heures plus tard dans l’appartement de Richard…


Richard


J’ai la tête tellement prise que j’ai négligé Nina alors que c’est son dernier vrai week-end à Lomé pour un bon moment. Je sais qu’elle appréhende beaucoup la journée de lundi, mais elle essaie de ne plus en parler surtout avec tous les malheurs qui nous sont tombés dessus ces deux derniers jours elle doit sûrement ce dire que vivre au village est moins par rapport à tout ce malheur qui s'abat sur la tête de Rosine actuellement. 


Moi : (m’asseyant tout prêt d’elle dans le fauteuil et la prenant dans mes bras) tu penses à quoi ? 


Elle : (hésitant au début, mais finit par se lancer) à toi, moi, Rosine, un peu de tout à vrai dire. Je crois que l’aventure que je m’apprête à vivre a fait que je n’ai pas assez compatis à a douleur de Rosine. J’ai l’impression d’être une mauvaise copine. 


Moi : (la retournant face à moi) hey Nina comment ça ? Tu as été là pour elle et tu seras toujours là pour elle. C’est ça le plus important et déjà le fait même que tu te poses cette question montre combien tu tiens à elle croit moi et elle le sait.


Elle : j’espère qu’elle pense comme toi. J’ai vraiment la tête embrouillé par tous ces événements. (cachant son visage par ces mains)


Moi : (retirant ces mains) je sais qu’actuellement, tu ne sais pas trop ce qui t’attends, mais tu t'en sortiras encore plus forte, je le sens au fond de moi.


          Lui donnant un baiser sur ces douces lèvres, il faut que j’oublie les événements malheureux et me concentre sur ce beau corps qui ne demande qu’à être caressé. Elle me redonne mon baiser et appuie le derrière de ma tête pour approfondir le baiser. Je me laisse faire et la soulève avec beaucoup de délicatesse et de douceur et prends les marches de l’escalier. On se retrouve très vite sur lit. 


     Je la dépose délicatement sur le lit et lui chuchote de se déshabiller, je tire le fauteuil pour avoir une vue totale sur le lit et m’asseoir en me servant un verre de vodka. Je la regarde enlever un à un ces vêtements à croire qu’elle a lu dans mes pensées, elle faisait exactement ce à quoi j’avais pensé. Chaque pièce de vêtements est enlevée avec tellement de lenteur que je croisais et décroisais mes jambes comme un danseur de danse afro. 


         Je ne tiens plus vraiment dans le fauteuil. Elle passe ces doigts dans ces cheveux volumineux, se lèche et se mordille les lèvres et me lance un regard rempli de désirs, mon cerveau s’arrête, les choses aussi cochonnes les unes après les autres ont pris domicile. 


      Elle tient mon regard et fait des cercles avec ces doigts au tour des bouts de ses seins et les descend délicatement jusqu’au niveau de ces orteils. Ma respiration s’accélère. 


     Elle me tourne le dos s’assied sur ces jambes sur le lit les pieds jointes, pousse ces fesses en arrière les soulèvent légèrement m’empêchant de voir son sexe (mais l’imbécile que je suis, penche la tête pour essayer de voir quand même.) et effectue des mouvements de rotation avec beaucoup de tendresse et de lenteurs. (je passe la main sur mon visage, j’ai tellement chaud seigneur, je n’avais pas remarqué qu’il faisait aussi chaud, le climatiseur doit sûrement être tombé en panne apparemment.) 


   Je ne sais pas à quel moment, je me suis retrouvé sur elle. Je l’embrasse avec fougue comme si ma vie dépendait des mouvements de mes lèvres et de ma langue elle ne se fait pas vraiment prier et empoigne mon sexe et se met à lui donner de doux massage le pauvre résiste comme il peut, mais c’est sans compter sur les doigts de Nina. 


    Elle me fait tomber sur le dos, part quelques secondes et revient avec du miel et des cubes de glace putain la fille-ci veut ma mort, je ne pourrais pas tenir encore plus longtemps avec ce rythme. 


Elle s’approche de moi me fixe dans les yeux et met un cube de glace dans sa bouche (j’avale ma salive.) elle prend la bouteille de miel qu’elle laisse tomber goutte par goutte sur mon sexe et se met à le lécher avec sa langue refroidir par le glaçon. C’est confirmé je suis mort, je me mets à chialer comme un imbécile, mais heureux plus que tout. 


     Je la relève moi-même sinon je risquais de mettre fin à ce super jeu qu’elle vient de commencer.


Je tends les mains et prends un cube de glace que je mets dans ma bouche, c’est à mon tour.  


    Je la tire vers le bord du lit et lui écarte les jambes et renverse une bonne dose du miel sur sa partie intime, je fais juste un mouvement de haut vers le bas avec ma langue, elle n’est que crie, elle tremble dans ma main, je peux sentir tout son corps secouer par des spasmes comme si je la bousculais pourtant, je suis doux, très doux, je dépasse doux même. 


   Je la retourne brusquement (je n’en pouvais plus.) et la pénétré d’un coup sec ( orh je grogne de plaisir) cette sensation est vraiment magique. je perds tous mes mots


Au même moment dans la demeure de Mr KOUESSAN…


Bernard 


Je n’arrive pas toujours à comprendre vraiment ce qui se passe. J’attends que Rosine ou je ne sais vraiment pas qui se lève pour voir si elle se souvient de quelques choses. 


Elle : (se mettant à bouger dans le lit) orh ma tête j’ai trop mal à la tête, (remarquant ma présence) mais toi, tu fais quoi ici à me regarder avec ces yeux ? 


Moi : Helena faut qu’on discute vraiment, attend, je t’apporte un truc pour ton mal de tête.


Elle : qui est Helena ? …


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À très vite pour la suite, bisous..


Je n'ai aucun droit sur l'image.


Écrit et publié par MC

Le chemin du destin