CHAPITRE 5

Ecrit par Jojo D

Lynn Chloé  

           J’étais recrovelie a l’angle de la case tellement j’avais peur de qui pouvais être en train d’ouvrir la porte parce que je sais que ça pouvait pas être les tantes, les parents d’Axel et encore moins Marie-Ange. Quand la porte s’est ouvert, c’était une silhouette masculine qui venais d’entré, j’ai à un moment penser que ça pouvait être l’esprit de mon défunt mari mais après je me suis vite ressaisie parce que je sais que j’y suis pour rien dans sa mort. La personne est totalement entré et a allumé la lumière et je me suis rendu compte qu’il s’agissait de Tonton Felix, l’un des oncles d’Axel que je n’ai jamais apprécié et qui m’a toujours regarder d’une façon très bizarre comme un vieux pervers. Je me souviens qu’un jour quand je suis allé chez les parents d’Axel, il ma regarder d’une certaine façon en me faisant des clin d’œil jusqu’à se passer la langue sur ces lèvres avec désir et dégoût, depuis ce jour je l’évite beaucoup. Je croyais qu’il avait fini par m’oublier mais je me suis trompé, la preuve il est la devant moi torse nue avec seulement un short pour couvrir sa nudité et le regard qu’il me lance me fait trop froid dans me dos, je sens vraiment que ma fin est proche, ehhhhhh Seigneur je suis fini…………..

        Il vient d’arriver à ma hauteur et me sourit de façon dégoutante en se passant la langue sur ses lèvres

Tonton F : comment vas la plus belle veuve qui est jamais existé ? (dit-il toujours avec le sourire)

       Je me contente juste de le fixer parce que franchement je ne sais pas quoi lui répondre tellement il me fait peur

Tonton F : tu sais que tu es très belle habillé comme ça ? Tu devrais porter ce genre d’habit le plus souvent ma chérie

        Je ne réponds toujours pas et je fini par regretter mon silence quand je le vois qui s’avance vers moi a pas lent toujours avec son éternelle sourire. J’ai bien prit le soin de caché le bâton qui était dans la case derrière mon dos au cas il fait un mouvement qu’il ne faut pas.

Tonton F : tu sais que tu es trop bandante avec ce que tu portes la? En plus le blanc te vas à ravir ma veuve…..

Moi : Tonton Felix pardon sort d’ici (dis-je avec une voix qui se veut assurante) tu ne devrais pas te trouvé ici stp va-t’en

Tonton F : comment es que je peux sortir et te laisser comme ça ? Regarde l’effet que tu me fais ma veuve (dit-il en désignant la bosse dans son short) je peux bien prendre soin de toi ma chérie et je peux parier que mon crétin de neveux ne ta jamais fait jouir comme je vais le faire aujourd’hui. Laisse toi faire et je promets d’être très doux avec toi ma veuve…..

       Non mais il se prend pour qui ? Il pense vraiment que si je veux rompre l’abstinence de mon veuvage ça sera avec lui ? Un vieux comme lui avec des grands enfants il est la a courir derrière une qui pourrais être sa fille. Franchement je me demande bien qui m’avait envoyé dans cette famille

Moi : tonton pardon tu ne peux pas faire ça. Les tantes on dit que je ne devrais pas avoir de rapport sexuelle stp sort pardon (dis-je vraiment paniqué)

        Il a continué d’avancé, arrivé net devant moi il a retiré son short et est resté devant moi avec pour unique vêtement son bermuda. Je pense que la vision que j’ai devant moi en ce moment vas me dégouté du sexe masculin pour un bon bout de temps, beurkkkk……

Tonton F : n’est pas peur ma chérie, je serais très doux avec toi (dit il s’humectant les lèvres avec sa langue)

        Il s’est mise à genoux et a tiré mes pieds pour que je puisse être près de lui, j’ai lancé un cri d’effroi quand ma tête a tapé sur le sol mais j’ai fait l’effort de ne pas lâché le bâton que j’avais en mains derrière moi parce que il s’agit de ma seul chance pour m’en sortir vivante d’ici. Il a écarté mes jambes et s’est mise au milieu, et a commencé à me baver dessus et pour lui il appelait ca embrasser, il s’est redresser et à commencer à me regarder en souriant et là j’ai senti que c’était le moment propice pour passer à l’acte, j’ai alors sorti le bâton de derrière mon dos, j’y es mis toute mes forces et je l’es frapper au rein. Il s’est couché et à commencer à se tordre de douleur.

Tonton F : (grimacent de douleur) sale garce, tu vas me le payer, j’ai voulu être gentil avec toi mais tu m’oblige à être violent. Salope…………

Moi : (le poussant de coté) sale pervers, tu n’as même pas honte de venir abuser des gens sans défenses. Connard comme ça.

       Je me suis lever et le peu de temps que j’ai perdu pour m’abaisser et récupérer le bâton du sol, il ma sauter de dessus et ma plaquer au sol

Moi : (criant) tonton pardon laisse-moi partir

Tonton F : tu n’iras nulle part, ta voulu joué à la maligne n’est-ce pas ? Maintenant tu vas souffrir

      Il s’est mise au-dessus de moi et pris la peine de maintenir mes bras au-dessus de ma tête, il a recommencé à me baver dessus, quand il a voulu m’embrasser je les mordu la lèvre inferieur jusqu’au sang, il a lancé un de ces cris, s’est redresser et ma donner un gifle mémorable que j’ai bien cru que mes dents allaient sortir de ma bouche

Moi : (criant de plus belle) Aie, sale con. Dégage sur moi, espèce de lâche, quitte vite imbécile

Tonton F : j’espère que la gifle la vas te rendre plus docile sinon je vais te battre jusqu’au sang avant d’assouvir mes désirs, idiote de ton état.

      Il a maintenu mes mains avec sa main gauche et avec l’autre main il a commencé à me toucher de partout et à me baver sur tout le corps. Tout ce que je pouvais faire à ce moment était d’essayer de me débattre et de crier pour avoir l’espoir que quelqu’un m’entendent même si je doutais un peu. Quand il entreprit de défaire le tissue qui couvrait mes fesses j’ai commencé à crier plus fort, il m’a écarté les jambes, s’est mise au milieu et a retiré son membre déjà dresser de son bermuda (vision horrible)

Moi : (criant) a l’aide…… venez m’aider, il essaye de me vio……..

            Et PAFFF, encore une gifle, il pense vraiment que je suis son punching ball ou quoi ?

Tonton F : je t’es demandé de la fermer, idiote…….

            Il s’est bien mise au milieu de moi et à commencer à frotter son sexe sur le mien, je criais de plus belle et mes larmes ont commencé a coulé, il voulait déjà entrer en moi quand soudainement il s’est affaisser sur moi, je regarde au-dessus de son épaule et je voie Marie-Ange debout avec un bâton en bois

Marie-Ange : cava ? (me lançant un regard noir) Tu comptais te laisser abuser par se pervers ? Tu es même comment ?

Moi : (soulagé) pardon évite moi le bavardage et aide à le pousser, il et trop lourd

        Elle ma lancer un regard noir et m’a aider à le pousser de côté, quand je me suis lever elle ma aider à renouer mon tissus autour de ma taille et nous avons tiré Tonton Felix hors de ma case après avoir vérifié qu’il était encore vivant. Quand on eut fini, nous somme entré dans la case et nous avons fermé la porte à clé.

Marie-Ange : maintenant tu m’explique ce qui s’est passé ? Il est entré dans ta case comment Lynn ?

         Je lui est tout raconter et comme je m’en doutais elle m’a bien sermonné disant que je suis trop imprudente

Marie-Ange : je devrais même te donner une 3eme gifle pour te remettre les idées en place, idiote. Imagine un peu si ma chambre n’était pas proche de ta case et que je dormais déjà, qui allait venir te sauver ? Et tu as une arme pour te défendre, au lieu de frapper la tête tu le caresse le corps avec, tu n’es même pas normal.

Moi : (baissant la tête) désolé……

Marie-Ange : pardon ne me dit pas désolé parce que ça ne sert à rien, continu à être imprudente, je te signale que je rentre demain après ton retour du marigot, continu de joué à l’idiote et on verra alors qui vas venir te sauver, pfffff. Tu m’énerve trop

Moi : j’ai compris Maire, je ne me couche plus sans avoir fermé la porte a clé, je m’excuse vraiment weehhhhh. (Changeant de sujet) Tu seras debout le matin avant mon départ pour le marigot ?

Marie-Ange : (me regardant avec colère) …… tu pars à quelle heure ?

Moi : (souriant) à 5h je pense

Marie-Ange : oh c’est justement à cette heure-là que le sommeil est sucré et tu me demande d’être debout ? Non oohh, je vais plutôt retarder mon départ et partir quand tu seras revenu du marigot et ce n’est pas négociable……

Moi : okay, pas de problème, on se revoit alors demain dans l’après-midi…. ma bichette (souriant)

Marie-Ange : c’est ça, tu veux déjà m’amadoué n’est-ce pas ? Pardon laisse moi je pars dormir (dit-elle en se dirigeant vers la porte) et de grâce pardon viens fermer la porte clé, je ne tiens pas à me recoucher et de devoir revenir pour te sauver de je ne sais quoi ou qui…..

Moi : okay bichette, j’ai compris

          Quand elle est sortie j’ai directement fermé la porte à clé et je me suis couché. Si elle ne m’avait pas entendu je ne sais pas ce qui serait arrivé. J’ai commencé à ressasser tout ce qui m’est déjà arrivé depuis la mort d’Axel et malgré tout je peux dire que Dieu ne m’a pas oublié et rien que pour ça je dois refaire une prière pour lui dire merci. Apres ma prière je me suis endormi l’esprit et le cœur plus léger afin d'être capable de géré la journée de demain.

SOUS LE POIDS DE LA...