PS: Âme sensible s'abstenir. 

**Dans la tête d'Adaya***

Je me réveille dans une pièce qui ne m'est absolument pas familière. Mon esprit embrumé, peine à rassembler les éléments qui m'aiderait à faire une étude complète de la situation. J'essaye de me relever, mais je chute lourdement sur le lit. Je retente plusieurs fois l'expérience, mais obtiens encore et encore le même résultat. Sans trop savoir pourquoi, je suis convaincu que quelque chose cloche et je ressens des élancements dans mes pieds. Je tourne mon regard vers la partie inférieur de mon corps, seulement pour réaliser que je suis entraver des deux pieds par des chaines relié au barre de métal se trouvant au bas du lit. Dans ma panique, je bouge violemment et la morsure des chaines contre ma peau, me fait pousser un cri de douleur. Balayant à toute vitesse la pièce des yeux, j'accroche le regard de James et son sourire mi-amusé, mi-cruel et définitivement narquois me remplit de peur. Je suis totalement dénudé et attaché face à un homme dangereux, imprévisible et qui semble ne pas connaître la pitié. Il s'avance dans ma direction, pendant que j'essaye désespérément de libérer mes pieds des chaînes qui empêchent ma fuite. Ma couverte m'est très vite arraché pour se retrouver par terre, révélant ma nudité que je cache tant bien que mal avec mes mains. L'air frais résultat de la climatisation hérissent mes poils tandis que ses vêtements suivent le même chemin que le drap qui me recouvrait il y'a encore quelque minutes. De sa voix basse, froide et profonde il m'intime l'ordre de m'allonger docilement sur le lit et d'éviter de me débattre.

Lui: Chat sauvage, si tu fais tout ce que je te dis tu n'auras pas trop mal. Au bout de quelques minutes tu auras du plaisir et tu finiras par en redemander.

Je me replie du mieux que je peux et parviens à échappé à sa main. Mon geste décuple son agacement et très vite je suis maîtrise et écarteler par les jambes. Son corps se retrouve sur le mien et son sexe viens frôler le mien.

Lui: Je n'en attendais pas moins de toi petit chat, te débattre te va si bien. Mais tu sais quoi? A la fin, c'est toujours le plus fort qui gagne. En plus, la peur dans tes yeux  en ce moment me mène déjà sur le chemin de l'organisme. J'espère que me perdre en toi, sera aussi jouissif que briser tes résistances une à une. 

Moi: Je vous en supplie monsieur Blake. Je suis vierge, je ne veux pas avoir ma première expérience comme cela. Je vous promet d'être à votre service corps et âme mais s'il vous plaît ne me violez pas.

Lui (les yeux grands ouverts): Tu es vierge a 16ans! Il faut croire que tout compte fait Edgard ne se payait pas ma tête. Alors dit moi petit chat pourquoi tu es toujours vierge?

Moi(les larmes aux yeux): Ma mère nous a toujours expliquer à ma sœur et à moi-même comment notre pureté et notre virginité était quelque chose à chérir. Elle nous à dit que Dieu n'a créer la sexualité que pour être utilisé entre deux époux. Selon elle, ma virginité serait le plus beau cadeau à offrir à mon époux lorsque le temps viendra. Elle n'est plus de ce monde alors préserver ma pureté jusqu'au mariage, c'est ma façon de continuer à l'honorer de par delà la mort.

Lui(se redressant): Intéressant, une mère vieux jeux qui forme ces filles à être des puritaines et des saintes ni-touches. Il faut quand même admettre qu'avec son discours religieux à la con, elle à éviter les grossesses ou les maladies indésirées à ses fifilles.

Moi: Alors vous allez, vous allez m'épargner?

Lui (se redressant toujours plus): Tu sais ce que je crois petit chat, je crois que ta mère avait raison. 

Il se redresse totalement et descends complètement du lit. Ma tension baisse d'un coup et à cet instant je suis heureuse d'avoir suivi les recommandations de maman. Il commence à s'éloigner du lit puis reviens en retirant quelque chose de son sexe. Il caresse mes chevilles et je suis convaincu qu'il s'apprête à retirer mes chaînes.

Lui(Me regardant intensément): Oui, oui petit chat ta mère avait raison sur toute la ligne. Mais si j'étais toi je ne serais pas aussi naïve et soulager. Parce que tu sais quoi ADAYA, je n'ai jamais eu d'honneur et d'égard pour quiconque ou quoi que ce soit. Et quand bien même un cadeau serait destiné à un autre que moi si je le veux je le prends.

En une fraction de seconde je sens le lit s'enfoncer et je n'ai pas le temps de réaliser ce qui m'arrive que je sens quelque chose s'enfoncer au plus profond de moi. Je cris er me débat sous l'effet de la douleur, mais mes bras sont bientôt maintenu au dessus de ma tête. Mon bas ventre prends feu, et les coups dans mon intimité vont crescendo en violence. Mon agresseur me regarde avec une expression d'infime plaisir et moi je réalise que je suis entrain de subir un viol. Un viol, comment est-ce possible? D'après ce que disent les gens, les filles qui se font violer l'ont toujours un peu chercher. Elles s'habillent légèrement, traîne dehors à des heures impossible ou alors se retrouvent à des endroits ou il ne faut pas être. Comment cela peut-il m'arriver alors que je n'entre dans aucune, je dis bien aucune de ces cases. 

J'entends des grognements provenant de l'homme qui prends son plaisir au détriment de ma dignité en tant qu'humaine et en tant que femme. Je ne souhaite que mourir ou tout au moins pouvoir arracher cette peau, ses seins, ses mains et surtout ce sexe qui lui donne tant de plaisir. De la pire des manières, je suis désormais convaincue qu'aucune femme, jamais ne mérite de subir une telle violence. Mes forces m'abandonnent et je décide d'arrêter de lutter. Quel importance de toute façon, je me sens tellement sale et si quelqu'un a pu me faire cela; c'est certainement que je n'ai aucune valeur. Au fond, je le méritais certainement, forcément n'est ce pas? Mon esprit s'envole loin de cette chambre, je cours dans les bras de maman; là pour toujours je veux rester, ici ou je me sens en sécurité. 

La nuit où j'ai été faite femme, les sanglots de la frêle enfant que j'étais ont laissé place au silence de la femme dangereuse que je me suis jurée de devenir. 

****Dans la tête de James****

Cela fait quelques minutes que chat sauvage s'est évanouie, et je ne peux cesser de la trouver belle dans son sommeil. 

Je me dirige vers mon balcon et tire une bouffé de cigarette, en me demandant si ce soir je suis allez trop loin. 

Quel ironie, si on m'avait un jour dit que moi le grand Blake James; je considérerait que violer une femme c'était aller trop loin, j'aurais ris d'incrédulité. Tant de fois, j'ai pris ce qui n'était pas à moi. Ce n'est pas la première fois que je dépucelle une vierge contre son accord, et pourtant jamais je n'ai eu de regret. Même pas lorsque j'ai du tuer pour la première fois de ma vie, pas même lorsque une arme pointer sur ma tête mon père m'a obliger à sodomiser et violer ma première petite amie. Au contraire, avec les minutes passant j'ai pris de plus en plus de plaisir. Qu'à cette fille de si spéciale pour que les morts viennent hanter ce soir le vivant que je suis. Combien de fois n'ai je pas pris plaisirs à torturer et à violer des jeunes femmes pour afficher la suprématie de mon clan? Combien de fois n'ai-je pas sodomiser des hommes pour les briser et obtenir ce que je voulais? Bon sang, James vas-tu te reprendre? Tu es le plus jeune chef, d'un trafic d'humain et de drogue dans le monde. Pourquoi, une gamine comme elle te trouble autant et te fait perdre pied. Bon sang, pourquoi je me sens autant oppresser? Adaya, qui est-tu et avec tu pactise tu donc?

****Lara, Canada, le même jour****

Depuis quelques minutes, je me sens extrêmement mal, je n'arrive pas à expliquer de quoi il s'agit; mais je ressens une peine et une douleur qui n'est ni physique, ni émotionnelle. Je demande la permission au professeur et je me rends au toilette. La, je ressens le désir de prier et de confier cette peine à Dieu. Alors que je suis sur le point de m'arrêter, j'ai comme une vision de ma petite sœur évanouie sur le bord d'une route. J'entends dans ma tête, le Saint Esprit qui me demande d'élever la voix et de prier en langue pour Adaya. Quelque chose de terrible se passe, j'en suis convaincu alors, je me mets à genoux et j'obéis. Une jeune femme entre et me regarde comme si j'étais folle mais je m'en fous ma sœur est en danger. Elle ressort des toilettes, et je suis pousser à sortir du campus et à trouver un coin calme ou prier. 2 heures plus tard, mon coeur est toujours en proie à l'inquiétude, mais je sais que ma prière est monté jusqu'à mon père. 

Je compose le numéro d'Adaya, sans aucune réponse. J'essaye celui de tata Yasmine, mais elle non plus ne décroche pas. Je suis sur le point de composer le numéro de tonton Edgard, quand je me sens pousser à ne surtout pas le contacter. 

Saint Esprit: Jusqu'ici tu as toujours voulu porter ta soeur toi même; mais avant d'être ta soeur c'est mon enfant. Dépose là, au pied de l'autel et va en paix en me laissant gérer.

Moi: Mais Seigneur, je n'ai plus qu'elle et j'ai promis à maman de toujours veiller sur elle

Saint Esprit: Bérouria, lorsque j'ai demandé à Abraham de me sacrifier Isaac, malgré son amour et le prix de cet enfant avait à ses yeux; il me l'a offert sur l'autel du sacrifice. A partir de là j'ai pu mettre en marche mon plan et j'ai par la suite été appelé le Dieu d'Isaac. Si tu ne me la donne pas sur l'autel, tu porte une charge trop lourde pour toi; et en plus je ne pourrais jamais devenir son Dieu.

Moi: SE(forme contacté de Saint Esprit), lorsque j'étais en passe de faire les mauvais choix tu es venu et depuis tu ne m'as jamais abandonner ou trahit. Il n'y a rien de plus difficile que de t'abandonner Adaya, mais à tes pieds je veux la déposer. Prends tout Seigneur et glorifie ton nom

Saint Esprit: Et à mon nom je donnerais gloire. Va Bérouria et sois en paix.

De façon instantanné une paix profonde me saisit, je ne comprends pas tout mais je sais que je peux faire confiance à Dieu. Je range mon téléphone et retourne en cours. Je sais que mon rédempteur est vivant et qu'il se lèvera le dernier. Adaya est dans les mains du roi de l'univers, je n'ai aucun soucis à me faire.

PS: Coucou mes loulous j'espère que vous allez superbement bien. Voilà votre suite. Much love