Chapitre 57

Ecrit par La Vie d'Ielle


Chapitre 57 : The couple 





**Anne-Lily.. 



Marc : Tu me fais confiance n'est-ce pas ? 


Moi : Oui. 


Marc : Alors laisse toi aller et n'ai surtout pas honte. 


Te faire confiance ? Okay,  je peux essayer. 

Ne pas avoir honte ? Je sais pas... Ça me fait tout bizarre d'être là, toute nue devant une autre personne que moi ou à la limite que Cynthia. Sa façon de me regarder n'arrange rien du tout. 

Il me regarde intensément...  

Qu'est-ce que je dois faire là  ?

J'en sais rien, je le regarde furtivement puis replace mes mains sur ma poitrine. C'est bête de ma part de le faire vu que je me suis laissé déshabiller, je devrais assumer mais c'est bizarre. 


Marc ( retirant mes mains )  : Ne me cache rien s'il te plaît Lily... Tu sais que je t'ai déjà vu toute nue non ?


Moi : Oui mais bon, je n'étais pas moi-même. Là, tout m'a l'air... 


Marc : Nouveau ? Réel ?


Moi : Oui. 


Marc : Je connais ton corps Lily...  Depuis cette nuit là j'ai chaque partie de ton corps en tête, chaque petit endroit qui te procure du plaisir...  Je connais. 


Moi : En une courte nuit ?


Marc : Tu n'as pas idée de ce que je peux faire en une courte nuit Lily. 


Cette phrase m'a donné le frisson je ne sais pas pourquoi. Il me regarde puis m'embrasse à nouveau. 

On s'embrasse, nos lèvres se touchent, mais ça n’a pas l'air suffisant. Il me touche, il m'explore je pense et ça a le don de me donner envie de plus... 


Oui, je veux plus... 

Je me surprends à vouloir plus. 


Cette nuit là me revient en tête... Des flashs... 

Ses mains qui se baladent, sa bouche sur mon corps... J'ai l'impression d'être de nouveau à ce jour là sauf que cette fois-ci je suis bien consciente de ce qui se passe. 


Nos mains se baladent un partout.

Les caresses sont douces, tendres et intenses.

Moi, à vrai dire, je ne sais pas trop quoi faire. 

Même si je l'ai déjà fait pour moi c'est ma première fois. Je me contente de suivre ses mouvements, de mettre mes mains ou de l'embrasser là où je voudrais qu'il fasse de même sur moi. 

Il connait mon inexpérience donc il me guide. 

Je suis consciente de ce qu’il fait, je suis concentrée sur lui. Rien que là déjà, ce qu'il me fait avec ses mains et sa bouche, je sens un exquis plaisir et encore une fois... J'en veux plus.   


Je découvre de nouvelles sensations.


J’ai eu une légère appréhension, mais elle a vite été recalée au second plan par le plaisir, par le désir.  

Sa bouche sur mes seins... Sa langue... Sa main qui glisse entre mes cuisses... Je vais perdre la tête et y'a bien des minutes déjà que je me suis surprise à émettre des sons qui l'excitent apparemment.  

Il prend son temps, il prend le temps de me toucher et autre. Si c'est ça les préliminaires alors c'est quoi la suite ? Qu'il fasse ce qu'il veut, j'en peux plus. 

Il prend soin de me dire des mots doux, de me demander si je vais bien et si je veux qu'il arrête... 

Je ne peux pas dire non, je ne veux même pas. 


Il se glisse un petit peu en moi, prends son temps pour le faire, se glisse encore un peu plus puis s'arrête et me regarde. 

Ça a eu le don de m'arracher un cri.


Marc : Je t'ai fait mal ?


Moi  : Non... Un peu... 


Marc : C'est normal...  On considère que c'est ta première fois, ça va se transformer très vite. Si je te fais mal tu me dis d'accord ?


Moi : Oui. 


Marc : Eeeh, regarde moi Lily. Pourquoi tu me fuis du regard  ? Regarde moi. 


Moi ( souriant )  : Ne me regarde pas comme ça  ?


Marc : Ça... Souris à nouveau en me regardant ainsi et je te donne tout ce que tu veux. 


Moi : Tout ce que je veux  ?


Marc  : Commence maintenant si tu veux  ? 


Moi : Pour l'instant je ne veux que toi. 


Marc : Eeh mais tu n'es pas timide en réalité. 


Je ne réponds pas, on reprend ce qu'on a arrêté. 

Il s'est mis à bouger en moi, très lentement en me regardant  droit dans les yeux. 

La proximité, les regards, c'est tellement intense que j'en perds mes moyens. 


J’ai mes mains sur ses fesses et je le sers contre moi au plus fort, comme si on n’était pas assez près l’un de l’autre. C'est surtout doux, fort...  C'est intense. 




**Cynthia 





Quand on a laissé les autres nous ne sommes pas directement rentré à la maison. 

J'avais déjà dit à Lily que je ne vais pas dormir à la maison donc Marc ira la déposer. 

En parlant de lui, franchement il vient amplement m'aider. Depuis qu'il est entré dans sa vie elle va d'amélioration en amélioration et ça lui va tellement bien. Elle est plus souriante, plus ouverte quoique sa bipolarité n'a pas totalement disparu.  J'en suis heureuse pour elle et j'espère vraiment que c'est une attitude qui va désormais s'installer, qu'elle retrouvera sa joie de vivre et même ça timidité... Je prends tout si seulement je retrouve ma Anne-Lily. 

Par contre, je sais que derrière leur rapprochement soit disant pour Luc il y'a quelque chose d'autre.  Ça se voit tellement, elle fait juste semblant de ne rien voir ou alors elle ne le veut juste pas. 

Ils se voient presque tout le temps, ils s'écrivent presque tout le temps, ils s'appellent presque tout le temps et quand ils sont ensemble il y'a ce truc là... Ce truc que quand tu les regarde tu te dis que ces deux là vont finir ensemble. 

Est-ce que je le veux ? Oui. 

Je veux qu'elle se redonne une chance de vivre et de connaitre l'amour aussi. Si c'est avec Marc, tant mieux mais dans le cas contraire aussi c'est tant mieux parce qu'elle peut être avec qui elle veut. 

Elle a été assez dans le sombre, il faut qu'elle se permette de vivre. 


La journée était belle, l'ouverture était parfaite et le magasin je compte bien revenir. 

Par contre, c'était vraiment le lieu de retrouvailles apparemment.  Chancia y était, Mira et son fiancé aussi. Mira franchement, je ne la comprends. 

Elle dit quelque chose mais les actes ne suivent apparemment pas. Cette famille me dépasse quand même, personne ne cherche réellement à réparer ce qui s'est passé. On a l'impression qu'ils se fichent pas mal de tout ça  et de ce que devient Anne-Lily. 

Les autres je m'en fiche, celle qui me déçoit autant c'est maman Annabelle. Anne-Lily est sa fille pourtant, comment être aussi démissionnaire envers son propre enfant  ? C'est terrible !! 


Nous sommes allés en boîte, histoire de se dégourdir les jambes parce que j'avais vraiment envie de danser. C'est une chose que j'ai rarement faite dernièrement tellement j'en ai donné de mon temps à Anne-Lily. Pas que ça me dérange, non parce que c'est ma soeur et je ferai tout ce que je pourrai pour elle, juste que maintenant je laisse la charge à Marc et je profite pour m'amuser un peu. 

Nous sommes rentrés, chez Carl, à 01h mais on a dormi bien plus tard. 

J'aurais bien voulu faire la grasse matinée mais il fallait que je me lève tôt pour faire ce qu'il y'a à faire. Être la femme c'est beaucoup de travail mais c'est ça aussi. 

Quand tu veux dormir tu ne peux le faire longtemps parce que tu dois t'occuper de ton homme mais aussi parce que quand tu essaies tu entends la voix de maman te dire  '' UNE FEMME NE DORT PAS JUSQU'À 7H ''. Cette femme, c'est l'armée vraiment. 


Carl  : Tu pouvais rester un peu dans le lit avec moi tu sais  ?


Je me retourne et le regarde. 


Moi : Et dormir jusqu'à 8h ?


Carl : Ça t'aurait permis de récupérer le sommeil que tu n'as pas eu aussi ( venant vers moi )... Bonjour bébé  ( bisou sur la bouche ). 


Plus qu'un bisou, il m'embrasse. 


Moi : Bonjour ( souriant ).  Tu sais bien que je ne dépasse jamais 6h50.


Carl : Comment ne pas vu que tu réveille en sursaut. 


Moi : Ce n'est pas ma faute, c'est maman. 


Carl  : Merci à elle pour ça. 


Moi : Tu t'es brossé les dents j'espère ?


Carl : Je t'ai embrassé donc bien sûr que oui. 


Moi : Chance. 


Carl : Si ce n'était pas le cas tu devais faire quoi ?


Moi : Rien en fait ...  Qu'est-ce que je n'ai jamais vu ou vécu de crado avec toi ? 


Carl : C'est vrai en plus. 


Moi : Tu es un troll, si j'arrive à vivre avec toi c'est que tes baises même bouche sale ne vont pas me tuer. 


Carl : Je suis troll  ? Toi tu es quoi alors  ?


Moi : Ta sauveuse. 


Carl : N'importe quoi ! Tu as des penchants bordéliques. 


Moi : Tu divague toi. 


Carl  : Touchée !! 


Moi : Du tout !!. 


Carl : Femme, fais moi à manger. 


Moi : Que je jette ça sur  le visage  ?


Carl : Essaies pour voir que je te punisse comme je l'entends ( sourire en coin ). 


Moi : Tu es malade. 


J'ai fait la table pour qu'on prenne notre petit déjeuner. 


Carl : Tu viens passer la semaine ici ? 


Moi : Quand ?


Carl : Bha dès aujourd'hui... Anne-Lily est en état de rester seule, elle te l'a dit depuis en plus. 


Moi : Oui mais... 


Carl : Il n'y a pas de mais, cesse de la materner...  Je veux qu'on passe cette semaine et qu'on reprenne l'avancement de notre mariage aussi. 


C'est vrai qu'avec tout ça j'ai négligé ou du moins mis de côté les préparatifs et tout le reste. 


Moi : Tu as raison... Après le petite déjeuner j'irai prendre quelques affaires. 


Carl : Tu as des affaires ici déjà. 


Moi : Certaines petites choses ne sont pas ici. 


Carl : D'accord...  Fais une liste des courses en même temps, on ira parce que le congélateur est vide. 


Moi : Okay. 


On a pris le petit déjeuner puis j'ai fait la liste. 

C'est à 9h qu'on a finalement quitté sa maison. 

Quand nous sommes arrivés j'ai été surprise de ne pas trouver Anne-Lily à la maison. J'ai même failli faire une attaque mais je me suis souvenu que je l'ai laissé avec Marc, je vais donc l'appeler. 



Anne-Lily ( décrochant ) : Allô ?


Moi : Anne-Lily ? Tu es où  ? Tu dors  ?


Anne-Lily : Bonjour Cynthia. 


Moi : Tu es où  toi  ? Tu dors jusqu'à l'heure là depuis quand  ? Tu es où  ? Je suis à la maison et tu n'es pas là. 


Anne-Lily : ... 


Moi : Je te parle Lily. 


Anne-Lily : Je suis chez Marc. 


Moi : Tu es où ? Répète ?


Anne-Lily : Chez Marc. 


Moi : Tu fais quoi là-bas ?


Anne-Lily : On en parle plus tard s'il te plaît. 


Moi : Plus tard c'est quand ? 


Anne-Lily : Quand je vais rentrer. 


Moi : Vous avez fricoter hein ?


Anne-Lily : Plus tard Cynthia. 


Moi ( souriant )  : Je dérange ?


Anne-Lily : Pourquoi tu es têtue ?


Moi : Désolée ooh, prends ton temps. 





**Marc 





Elle raccroche. 


Moi : Bonjour toi. 


Anne-Lily : Bonjour Marc. 


Moi : Ça va ? Bien dormi ? 


Anne-Lily : Oui. 


Moi : C'était Cynthia ?


Anne-Lily : Oui, elle m'a cherché. 


Moi : J'aurais dû l'appeler pour lui dire où tu te trouve. 


Anne-Lily : Elle t'aurait bombardé de questions. 


Moi : Ce n'est pas faux. 


Anne-Lily : Il faut que je me lève  ( descendant du lit ). 


Moi : Et tu vas où ?


Anne-Lily : Il faut que je rentre non, j'ai trop dormi. C'est la salle de bain, n'est-ce pas ?


Moi ( allant  vers elle )  : Qui a dit que tu pouvais  rentrer chez toi ?


Anne-Lily : J'ai besoin de ton autorisation maintenant ?


Moi : Tu redeviens agressive ? Tu étais docile la nuit dernière. 


Anne-Lily : Il faut que j'y aille. 


Moi ( je la retiens ) : Qui t'a dit qu'on avait fini ?


Anne-Lily : Comment ça ? Finir quoi ?


Moi : Finir ce qu'on a commencé dans la nuit. Je n'ai rien fait hier, je n'ai fait que me frayer un chemin. Les vraies choses c'est maintenant. 


Elle frémit et ne dit rien. 

C'est contre le mur que je l'embrasse. 

Bien sûr que je n'ai rien fait hier à mon sens. 

J'ai été doux, je lui ai pris ce qui restait de son innocence donc maintenant on peut débuter avec les vraies choses. 

Je veux qu'elle ressente quelque chose plus grand que ce qu'elle a ressenti hier, son plaisir est mien. 

Je l'emmène jusque dans le lit et me replace au dessus d'elle puis j'entreprends de la caresser. 


[ Toc Toc ] 



Nelly : Ya Marc ?


Moi : .... 


Nelly : Ya Marc ?


Moi : Oui Nelly  ?


Nelly : Bonjour, tu ne sors pas aujourd'hui ?


Moi : Si, plus tard. 


Nelly : Okay, je serai peut-être sorti. 


Moi : D'accord. 


Anne-Lily : C'est maintenant que je me rappelle que Nelly était juste à côté. 


Moi : Tu as peur qu'elle t'ai entendu gémir ? Qu'elle t'ai entendu décoller et atterrir ? 


Anne-Lily : ... 


Moi : Tu ne parle plus ?


Anne-Lily :... 


Moi : Tu étais bavarde hier, tu m'as reproché le fait que l'on t'ai appelé par mon nom et que Tina ait dit que tu sois ma petite amie. Oui,  je suis d'accord pour le nom mais pour le reste ? Comment tu nous considère ?


Anne-Lily : Que veux-tu que je te dise ?


Moi : On est en couple ou pas  ?


Anne-Lily : Si je ne réponds pas ?


Moi : Tu ne ferais pas ça n'est-ce pas  ? 


Anne-Lily ( souriant )  : On est un couple Marc. Tu pense bien qu'après ça, après cette nuit les choses auraient été différentes entre nous. 


Moi : Je sais mais  je voulais que tu me le dises en fait. 


Anne-Lily : J'ai juste  une demande. 


Moi : Dis moi. 


Anne-Lily : J'aimerais qu'on parle. 


Moi : De quoi  ?


Anne-Lily : De ce nouveau nous.


Moi : On le fera mais pour l'instant j'ai autre chose en tête. 


Je prends un préservatif et le lui tend. 


Moi : Regarde l'effet que tu me Fais. 


Elle regarde furtivement puis met le visage à côté. 


Moi : Regarde, ne te sens pas gênée... On est en  couple, tu l'as dit. 


C'est timidement qu'elle le fait. 

Je lui donne le préservatif en lui disant qu'elle doit me le mettre ... Elle est toute timide et c'est tellement excitant franchement, j'en perds moyens. 

Baisers, caresses, regards, tout est intime... Tout est intense à tel point que je n'ai même pas envie que ce moment s'arrête. 


Moi : Tu sais quoi  ?


Anne-Lily ( gémissant )  : Non. 


Moi : Hier tu boudais mais hier encore tu as tout livré finalement, à domicile en plus. 


Anne-Lily : Tu... 


Je ne lui donne pas l'occasion de répondre que je me glisse en elle. 


Moi ( à son oreille )  : Tu voulais me dire quelque chose?


Elle s'agrippe à moi et à chacun de mes mouvements je sens ses ongles dans ma peau. C'est quelques fois douloureux mais c'est aussi excitant et ça a une pointe de ' j'aime ce  que tu me fais  ' ou de ' encore plus  '. 

La première fois nous avait été volée mais maintenant on en est bien conscients. 

Je prends mon temps, elle doit sentir chaque mouvement que je fais en elle. L'entendre gémir est une belle mélodie, ça a le don de me faire grogner. 

Mutuellement, chacun exprime son plaisir jusqu'à ce qu'il devient trop grand et insupportable... Jusqu'à ce qu'on explose. 


Après une bonne douche on sort enfin de cette chambre... La faim est bien présente maintenant. 

J'ai été surpris de voir Nelly, elle disait sortir je pense. 



Nelly : Anne-Lily ?


Anne-Lily : Nelly ? Bonjour !


Nelly : Bonjour... Je ne t'ai pas arriver. 


Anne-Lily : Euh oui...  J'ai passé la nuit ici. 


Elle nous regarde à  tour de rôle. 


Moi : Tu n'as pas  dit que tu sortais  ?


Nelly : Je n'étais pas loin, je suis revenu il y'a quelques minutes. 


Moi : Okay. Lily prends place, qu'on prenne le petit déjeuner. Tu t'occupe de ça s'il te plaît Nelly  ?


Anne-Lily : Mais je peux le faire. 


Nelly : Ne t'inquiète pas, je vais le  faire. Ne te dérange pas. 


Elle s'est chargé de disposer la table et faire ce qu'il faut puis est restée debout à nous regarder. 


Moi : Pourquoi tu nous regarde ainsi ?


Nelly : Je vous regarde depuis et j'ai une question à poser. 


Moi : Vas-y. 


Nelly : Ce ne sont pas mes affaires mais bon, vous êtes en couple ou pas ?


Moi : Pour aller vite raconter à maman  ?


Nelly : Non,  je te jure. 


Moi : On est en couple. 


Nelly ( rire )  : Maman va te faire le bruit, elle t'a dit de laisser l'enfant d'autrui. 


Anne-Lily : Je ne comprends pas. 


Nelly : Elle lui a dit de s'éloigner de toi s'il veut s'amuser. 


Anne-Lily : Oh. Il ne l'a pas fait... C'est plutôt  bon signe non ?


Nelly : A toi de nous dire Ya Marc. 


Marc  : Et tu pense que je vais le faire devant une piplette de première  ?


Nelly : Je ne vais rien répéter... Promis. 


Marc : Tu es pointue comme vous dites souvent. 


Elle a insisté mais elle n'a rien eu donc elle nous a laissé. 


Anne-Lily : Tu me dis la réponse à moi ? 


Marc : Tu sais bien que je ne peux pas me permettre de jouer avec toi, je ne le ferai pas. 



Un début de conséque...