Chapitre 6 : Le Pire

Ecrit par Smumu

Chapitre 6 : Le Pire

 

KYLIE

 

« Qui corrompt l'innocence par un froid calcul est plus coupable que l'assassin qui frappe sa victime. » prenez bien garde au traitement infligé aux autres car le prix pourrait être élevé


J'avais dû être une meurtrière ou quelque chose de bien pire dans une autre vie pour mériter pareil sors avais-je demandé à naitre ? Avais-je demandé un jour à voir le jour ? Pourtant j’étais là sur cette terre et j’étais certaine d’une chose aujourd’hui, DIEU m’avait oublié demain il se rappellerait de moi il le ferait tôt ou tard car si dans cette vie j’expiais les fautes d’une autre vie à mon avis le compte était bon et lui et moi étions quitte et ceux sans rancune!

 

J’avais onze ans lorsque mes premières règles fîmes leur entrée et ceux de la pire des manières ; je débarrassais la table après que caramba et ses princesses eurent finis de diner lorsqu’une crampe me pris en dessous du ventre la douleur était si atroce que je laissais échappé de mes mains le verre que je tenais il se brisa alors et caramba furieuse en ramassa l’un des morceaux pour me viser j’esquivais le morceau et au moment où elle se rua sur moi oncle Pierre arriva et lui demanda de faire marche arrière lui disant qu’elle n’avait pas intérêt à lever la main sur moi je me rappel de leur conversation de ce jour-là

 

Oncle Pierre (furieux): tu n’as vraiment pas intérêt à lever la main sur cet enfant Antoinette

 

Antoinette : elle détruit mes affaires et je dois l’applaudir ?

 

Oncle Pierre : n’as-tu jamais détruit quoi que ce soit de ta vie ? Oh bien sûr j’oubliais tu es un modèle exemplaire

 

Antoinette (hors d’elle) : depuis quand tu te mêles de l’éducation que je donne à cette petite

 

Oncle Pierre : écoute moi bien Antoinette je ne vais pas me répéter t’a pas intérêt à lever la main sur elle parce qu’alors tu auras affaire à moi fait à l’enfant d’autrui ce que t’aimerai qu’on fasse aux tiens !

 

Antoinette (hargneuse): personne ne fera rien aux miens vu que je ne suis pas morte et décomposé dans une tombe !

 

Elle parlait de ma mère, je le savais cela me retourna l’estomac et je senti ma douleur plus vive et ma culotte plus luisante

 

Oncle pierre : ma parole tu es vraiment la plus grande sorcière que je connaisse si je n’étais pas saint d’esprit je dirais que tu as inventé la sorcellerie

 

Antoinette : l’ignorais-tu quand tu m’as épousé ?

 

Pierre (sourire narquois) : pas du tout je l’ai toujours su et si je n’avais pas été obligé jamais écoute moi bien jamais je ne t’aurai épousé ! Je n’y aurai même pas songé tien

 

Antoinette : et bien tu te contentes de ce que tu as mon coco

 

Pierre : tu devrais la fermer parce que comme une vipère tu ne sais que cracher du venin attention Antoinette un jour tu t’étoufferas avec et je serai au premier rang pour te voir chuter !

 

Sur ceux il s’était dirigé vers la chambre et j’avais remercié mes anges qu’il soit rentré parce que ça aurait chauffé pour moi ; ce jour-là, quand j’avais dit à Antoinette que mes règles étaient venues elle m’avait donné trois tissus me disant de les utiliser et de les laver quand ils étaient salles heureusement pour moi Rose était là je le lui avais expliqué au cours d’une conversation dans laquelle je lui donnais les raisons du pull attaché à mes hanches elle m’avait ensuite emmener à la boutique pour m’acheter des serviettes hygiéniques me demandant de bien les cachés et tous les mois elle m’en achetais ; Rose était vraiment mon ange gardien sur terre qu’aurais-je fait si je ne l’avais pas dans ma vie ?.

 

A douze ans, ma tante me tapais les seins avec le pilon du couscous sous prétexte que mes seins sortaient et que c’était trop tôt que je n’étais pas en âge d’en avoir d’aussi développé que cela attirerait le regard des hommes et compte tenu de mes gènes je serais une marie couche toi là, qu’elle ne voulait pas élever de putain chez elle et tout un charabia à vous donner envie de lui coller un scotch sur la bouche.

 

Ceci dit, pendant tous ces année-là, je n’avais pas vécu le pire parce que le pire ce produisit ce matin-là c’était l’année de mes quinze ans il était quatre heures du matin lorsque je m'étais réveillé comme à mon habitude pour faire le ménage avant d'aller à l'école pendant que madame la reine, monsieur le roi et mesdames les princesses en somme la famille royale roupillais dans les bras de Morphée.

 

Si les jours précédents j'avais crus que les coups, les injures et les punitions injustes que m'administrais caramba étaient affreux ce qui se produit ce jour-là fut encore plus atroce que tout ceux à quoi je m'attendais.

 

Penché sur une bassine en aluminium entrain de faire la vaisselle j'entendis quelqu'un s'approcher de moi mon cœur se mit alors à battre comme jamais, on aurait dit que quelqu'un ou quelque chose tenait à me prévenir de ce que je m'apprêtais à vivre oh je me rappelle clairement de ce jour car il m'a changé, il m'a presque détruit et pire il m'a même hotté tout espoir d'une vie meilleure j'en ai encore les larmes aux yeux.

 

Cela faisait deux semaines que j'avais eu mes quinze ans mon corps était précoce ma poitrine était déjà certes bien développé, mon corps lui ressemblait déjà à celui d'une jeune femme il n’en restait moins un corps d’adolescente précoce !

Sursautant je me retournais et fut soulagé quand je vis mon oncle Pierre il avait toujours été le plus gentil avec moi vu qu'il se contentait juste de verser de l'eau sur mon corps nue avant de lui asséné des coups de fil de fer, de ceinture où de tuyaux à gaz je sais vous vous demandez si cela signifie être gentil avec qui que ce soit pour moi c'était ça la gentillesse et je l’aimais bien car il lui arrivait de me défendre face à caramba malheureusement il était si rarement à la maison ; quand il n’était pas en voyage il sortait tôt et rentrait tard je voyais très bien qu’il ne pouvait supporter caramba après tout qu’elle homme saint d’esprit pouvait supporter pareil femme ? Sérieusement il méritait une médaille pour l’avoir épousé j’ignorais pourquoi il l’avait épousé mais j’étais sûr d’une chose ce n’était pas par amour il ne pouvait la supporter jamais je ne leur ai vu ce dire de mot gentil ou avoir une conversation normal, il mangeait très rarement ce qu’elle cuisinait et ça, c’était encore plus anormal mais après tout qu’es ce que je connaissais de la normalité ? Je n’ai jamais su ce qui l’était ! Je vous disais donc que des deux il était mon favori  parce que caramba me faisait bien pire avec elle jamais je ne passais une semaine sans une partie du corps cassé, tuméfié où endolori j'avais de la chance car mon corps effaçais les cicatrices sinon que serait-il aujourd'hui ? Enfin bref ce matin la mon univers a à tout jamais vacillé !

 

Oncle pierre : viens avec moi Kylie je t’accompagne chercher de l’eau au puit ce matin

 

Pour une surprise s’en était une, il ne m’avait jamais aidé pour les tâches ménagères mais après tout de l’aide ça ne se refuse pas m’étais-je dis laissant les assiettes en plan je pris deux seaux et le suivis dans le champ qui menait au puit c’était calme il n’y avait personne sur notre chemin ceci dit, il y’avait des airs de calmes avant la tempête dans l’air et mon cœur lui persistait à battre comme si j’étais en danger cependant comment aurais-je pu imaginer que c’était le cas ?

 

Oncle pierre : as-tu déjà embrassé un garçon Kylie ?

 

Cette question me déstabilisa et me mis mal à l’aise et j’eus envie de fuir le plus loin possible le pressentiment que j’avais eu des instants plus tôt était plus fort comme s’il fallait que je lâche les seaux et que je m’enfuis sans demander mes restes mais je ne le pouvais cela aurai été mal poli il me tira de mes pensées quand brusquement, il s’arrêta et me bloqua dans une impasse

 

Oncle pierre : répond Kylie

 

Moi : non

 

Sans un mot il se pencha et m’embrassa je le repoussais en lui demandant ce qu’il fessait il ne pipa pas mot et son regard me glaça le sang je m’apprêtais à m’échapper lorsqu’il me bloqua la voix sortant une corde de la poche de son pantalon il me plaqua au sol et attacha mes bras j’essayais de me débattre mais rien il devait faire le double de mes kilos voir plus j’avais à peine quarante-cinq kilos alors je vous laisse imaginer.

Les larmes se mirent à couler de mes yeux et ma bouche n’arrêta pas de le supplier d’arrêter au moment où je voulu crier il m’embrassa je lui mordis la lèvre et poussait un cris qu’il étouffa avec sa main puis avec mon t-shirt qu’il avait remonté à mon cou, il se mit alors à sucer mes seins remontant de ses mains ma jupe puis il arracha ma culotte  et la mon cerveau pris conscience que mes mains étaient attachés mais pas mes pieds je lui donnait alors des coups de pieds puisant toute la force que j’avais il rigola et immobilisa mes jambes

 

Oncle pierre : tout doux mon petit chaton reste calme et je ne serai pas brutal !

 

 j’étais terrifié là allongé au sol sur le dos les mains liés et les pieds immobiles j’étais effrayé, terrifié cependant, je ne pouvais pas abandonner sans me battre je devais me battre même ma peur ne m’arrêtais pas je devais me battre et ceux de toute les forces donc j’en étais capable j’essayais de reprendre le contrôle de mes jambes mais son corps sur moi était lourd beaucoup trop lourd et mes larmes se mirent à couler de plus belle sur mes joues je sentis la rage me nouer les tripes du fait de mon impuissances «  je subirais les coups de caramba le reste de ma vie mais pas ça »  pensais je « pas ça » je sentis son haleine sur mon visage l’odeur me rappela celui du dentifrice « reste calme tout se passera bien » me chuchota-t-il à l’oreille droit « juste une fois Kylie, juste une fois » poursuit ’il « tu ne peux pas imaginer combien de fois j’ai rêvé de toi nue sous moi »  continua t’il « s’il te plait pas ça » continuais-je à penser « je veux juste être ta première fois te sentir tu verras c’est très bon tu aimeras » continua t’il en m’embrassant et en caressant mon corps son attention étais si porté sur mon corps qu’il ne remarqua pas que j’avais réussis a libérer mes mains je cherchais alors une pierre autour de moi mais rien alors je pris l’un des sceau et je lui dosait sur la tête il se recula et lorsque je me redressais je me rendis compte que mes pieds était eux aussi ligoté alors j’essayais de les détacher mais j’étais trop lente et de nouveau il etait sur moi mes deux mains ferment tenus par sa main gauche et là, une douleur à m’arracher le cœur me plongea dans une torpeur ou j’entendis juste un « oui c’est bon » puis plus rien il me caressa et je restais là allonger immobile puis de nouveau j’eus l’impression qu’il recommençait que ma reddition lui avait poussé a baissé la garde ; il lâcha mes bras et de nouveau dit « oh ouii c’est bon» lorsqu’il me caressa et mordis de nouveau mes tétons son sexe nu était alors collé au mien il avait baisé son pantalon puis j’eus l’impression que des heures venaient de s’écouler j’avais perdu tout espoir lorsque a mon oreille j’entendis une voix me dire à ta gauche regarde me retournant, je vis un morceau de bois et mes câbles neurologiques se reconnectaient il était trop absorbé par le fait de se frotter à moi je compris alors que d’une minute à l’autre il me volerai la seule chose de sacré que j’avais la seule chose qui m’appartenais réellement et que je devrais donner mon autorisation pour un tel truc alors ramassant le bois je l’assommais comme un petit diable une fois deux fois trois fois et avant qu’il ne comprenne ce qui lui arrivait il était évanoui à côté de moi la tête ensanglanté alors je me dépêchais de libérer mes jambes en me levant je lui donnais un coup de bâton entre ses jambes et je commençais à m’enfuir lorsqu’il repris connaissance et se mit à me suivre.

je sentis que j’étais arrivé à la maison lorsque le regard de caramba se posa sur moi à ce moment-là, j’eus l’impression que durant les minutes qui se s’étaient écoulés quelqu’un avait agi pour moi je ne saurais l’expliquer mais un être invisible l’un de mes anges gardien surement mais peu importait il venait de me sauver comprenant cela et ce qui venais de se produire je me retournais et je vomis sur Pierre puis sans un mot je levais ma main droite et sans m’en rendre compte je lui giflais j’avais envie de le tuer m’étais-je dis en pleurant puis la douleur de mon corps c’est-à-dire mes pieds qui avaient été ligotés mes mains qui avaient été maltraités et mes seins mordus et surtout son sexe nu contre le mien me remontais la bille et de nouveau mon esprit quitta mon corps. caramba me hurla dessus me demandant ce que je foutais et pourquoi son mari était dans mon dos cependant elle ne me demanda pas pourquoi j’étais dans cet état et pour vous dire vrai je m’en fichais d’elle ne voyant aucune réponse elle prit la bassine d’eau salle des assiettes et m’aspergea avec puis s’apprêtant à me frapper avec la bassine je saisi un couteau dans la vaisselle revenant en moi je compris que mon bien le plus sacrés avait failli m’être dérober sans mon autorisation ma virginité avait failli m’être volé il m’avait en quelque sorte violé et j’étais folle de rage et pour la première fois de ma vie je refusais de la fermer de supplier et pire de subir alors quand Antoinette s’approcha de moi je la menaçais du couteau dans mes mains

 

Moi (hurlant) : il m’a violé ! Ne me touche pas !

 

Elle rigola puis me traita de souillon et dit que jamais son mari ne toucherai une saleté comme moi et blablas s’approchant de nouveau pour me frapper sans un mot je l’ouvris la peau et elle se mit à saigner tel un porc sur son visage hurlant comme ce dernier je vis passé l’étonnement, la colère puis la stupéfaction sur son visage cependant cela ne m’arrêta pas car pour la première fois de ma chienne de vie je n’avais pas peur, je ne ressentais rien et mieux je savais que je n’avais plus rien à perdre alors je me dis plus jamais je ne serais le martyr ni de Pierre ni de Paul je pris donc mon courage et je dis

 

Moi : tu n’as plus intérêt à me toucher Antoinette plus jamais ! sinon je jure sur ma vie que je mets le feu à ta maison lorsque ta famille et toi dormirez ! Sur ceux je jetais le couteau et je me mis à courir sans destination fixe, je sus où j’étais seulement lorsque sa porte s’ouvrit me regardant elle comprit qu’un malheur c’était produit et lorsque dans un murmure je dis « Pierre m’a violé » elle se mit à pleurer hors d’elle me prenant dans ses bras je la vis se saisir de son téléphone et puis plus rien ……

 

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