Chapitre 67: tu as intérêt à coopérer.

Ecrit par afi92

Chapitre 67 : tu as intérêt à coopérer.

Le lendemain matin au commissariat de Baguida

Mr Romaric KOUESSAN

Moi : tu vas bien m’écouter parce que je crois que tu n’as vraiment pas encore saisit ce qui est en train de se passer et je ne vais pas encore te le raconter où est la clé USB, soit pas bête et pense à tes enfants personne ne sait ce qui peut bien les arriver cette vie est imprévisible tu ne crois pas ?

Cinna : vous n’aviez pas honte ? Non je reprends tu n’as pas honte ? Tuer votre propre fils à cause de je ne sais quoi, ma mère avait raison vous n’êtes qu’un démon sous des airs d’ange. Vous me donnez de la nausée rien qu’à l’idée que j’ai pu vous donnez du respect, espèce de sorcier.

Moi : (surpris par son insolence) c’est à moi tu parles ainsi sale fille de pauvre de merde ? J’ai l’impression que tu ne veux pas voir ce qui se passe et tu veux jouer aux filles fortes et insolentes mais les filles comme toi j’en ai connu des tas dans ma vie et croit moi tu ne feras pas long feu toi aussi. Alors sale petite gamine tu bien ouvrir tes oreilles de merde et tu écouter tout ce que je vais dire sans en rater une seule phrase. Je veux la clé USB sinon je ferai tout pour que tu sortes ici moi-même. Et je t’emmènerai à quelques parts dans un coin bien éloigné avec tes sales gamins qui me répugne déjà et là je t’attacherai à une chaise et tu me verras chaque matin torturer tous ceux que tu aimes jusqu’à ce que tu ne perdes complètement la tête.

Elle : (choquée) seigneur ! Vous êtes un montre un vrai malade qui ne mérite pas d’être en liberté. Je vous signale que maintenant j’ai un avocat et je n’ai aucune confiance en toi rien ne me dit que tu me laisseras en paix une fois que la clé USB sera à votre disposition.

Moi : (rire) looll avocat ? Tu crois ma chère ? Si seulement tu savais ce qui est entrain de se passer et comment la vie est une garce tu n’auras même plus envie de dire ce mot, en tout cas je vais laisser le destin vous ouvrir les yeux sur votre fameuse avocat, les expériences corrigent mieux ne dit-on pas souvent ? Donc tu as la clé ! Voilà ce qui est intéressant. Que tu te décides à coopérer ou pas j’aurai cette clé et pour m’avoir fait perdre du temps je tuerai ces sales mômes en guise de dédommagement. Mais je pourrai avoir pitié de tes enfants si tu me donnes la clé maintenant. Je leur enverrai dans un internat loin de moi je sais que c’est ce que tu veux et ils ne manqueront de rien à toi de voir la balle est dans ton camps.

Elle : mais non de…. (La coupant)

Moi : non prenez votre temps ma chère belle fille, je te donne jusqu’à demain pour décider du destin que tu veux tracer à vos mioches. (Rire) allez je te laisse, comme tu le sais un grand-père doit être aux petits soins de ces petits fils et là ils ont besoin de moi. Bizut ma très belle fille (rire)

Je me lève sur son regard apeuré et d’espéré. La sale pute elle croit qu’elle peut jouer avec moi Romaric KOUESSAN ? Je n’ai pas fait tous ces sacrifices pour qu’une affamée comme elle vienne tout foutre en l’air. Elle a intérêt à coopérer sinon je vais faire descendre l’enfer sur sa misérable vie. Ah j’adore quand mes journées se passent ainsi, je vais aller maintenant inviter ma très chère femme au restaurant Orh j’adore ma vie.

Au village de laouware

Nina

Au téléphone

Moi : hi chéri de moi tu me manques aussi et on est déjà au vendredi demain jusqu’à midi tu seras ici et ensemble on retournera à Lomé comme convenu, ne t’inquiète pas.

Richard : d’accord si tu le dis, sinon rien n’est plus pareil avec toi là-bas et moi ici. Tu peux imaginer que j’ai simulé une conversation avec toi et je jouais les deux rôles ta folie me manques la vielle. J’ai trop hâte d’être à demain et je te signale que je n’attendrai pas jusqu’à midi. demain déjà à 8h tu me verras. J’attendrai que tu finisses pour qu’on puisse rentrer. Je te ramène quoi ?

Moi : (rire) ah je te l’avais dit que le jour où je partirai tu auras vraiment du mal tu vois ? Donc tu as intérêt à prendre plus soin de moi (rire). Il n’y a pas de soucis tu peux venir à l’heure que tu veux et comme c’est tôt là achète moi ayimoulou de Congotoh (riz mélangé avec de le haricot vendu par une dame qui a fait le Congo se trouvant à bè-Kpota un quartier de Lomé) et n’oublie pas de me prendre un jus bien frais

Lui ; (rire) chuan elle n’a même pas honte c’est nourriture qui va te tuer un jour ca au moins tout le monde le sait.

Moi : quitte la tu aimes trop ça, la nourriture c’est la vie c’est le bonheur c’est une fin en soi. Qui n’aime pas un repas bien copieux et bien fait. Même les problèmes le redoutent.

Lui : krrr la folle, tu es bête.

Moi : wep je sais. Bref et Lomé c’est comment tu as vu Rosine ces temps-ci je l’ai souvent au téléphone mais je sens qu’elle n’est vraiment pas elle-même je la connais.

Lui : (silence) bof pas vraiment ces temps-ci j’étais super o coupée au boulot des nouveaux contrats et projets donc je me concentre la dessus, ça me pompe tout le temps mais je vais l’appeler dès que je raccroche pour prendre de ces nouvelles peut être le soir je lui amènerai un truc pour mieux jugé par moi-même sur place si tu veux.

Moi : oui, oui fait le stp, je t’aime même si tu ne le mérites pas (rire)

Lui : tu ne peux que m’aimer ma chère ce n’est pas comme si tu avais le choix qui peut ne pas aimer un beau gosse comme moi. (Rire) je t’aime aussi ma vielle. Prend soin de toi. Bizut

Moi : bizut

Lui : attend c’est mon bizou tu fais avec nonchalance comme cela ? Hum j’ai le cœur brisé en même temps.

Moi : (rire) Orh arrête je ne l’ai pas fait avec nonchalance mais je le refais si tu veux, biiiiiiizuuuuuuu

Lui : o c’est bon maintenant. A+

Moi : a+ take care. Click

Richard

Je raccroche et pose les yeux sur le dossier qui est en face de moi sans les voir en vrai. La folle elle me manque tellement (je secoue la tête quand je repense à toute la folie qui l’anime une vrai immature) amis du coup Nina a raison ces temps-ci je me suis un peu détaché de cette famille KOUESSAN comme me la dit Mr Didier. Quand j’y pense j’en ai encore la chair de poule. Hum j’espère que Didier avance bien dans son enquête, connait-on vraiment les personnes de notre entourage ?

Je pose le stylo et reprend mon téléphone je vais plutôt appeler Didier avant Rosine

(Bip sonore d’appel sortant)

Moi : allô ?

Didier : oui allô on cher Richard comment tu te portes ? Et le boulot ?

Moi : Bien inspecteur, bien j’essaie de m’occuper la tête comme vous me l’aviez dit mais là je viens aux nouvelles. Vous en êtes où ?

Didier : ah c’est bien croit moi c’est la meilleur des choses que tu puisses faire, laisser les professionnels s’occuper de cette histoire. Et rassure toi on est sur de très bonne voies et des portes s’ouvrent donc tranquillise toi on finira par comprendre ce qui est arrivé à votre sœur.

Moi : ok si vous le dites, mais si je peux aider n’exister pas à me faire signe je serai disponible et ravi de vous aider. Bref je vous laisse et tenez moi au courant pour la suite des événements. Bonne journée

Didier : ok comptez sur moi. Allez mon grand bonne journée.

Je raccroche et relance le numéro de Rosine en même temps faut pas que Nina commence par me bombarder de texto pour avoir du retour.

Moi : hey, La belle ! Comment tu vas ?

Elle : ah Richard je vais bien je rends grâce et chez toi ?

Moi : bien ma grande, tu sais comment ça se passe le boulot encore le boulot et toujours le boulot.

Elle : en tous cas tu as intérêt je suis la chargée de t’espionner si tu fais des trucs louches alors ça vaut mieux pour toi de travailler à fond dans ton entreprises. Rire

Moi : krrrrrr wep c’est ça, je suis sérieux moi comme d’habitude, mes yeux même refuse de voir les autres filles. Dit tu fais quoi ce soir ?

Elle : wep c’est ça tchip, ce qui est sure moi je suis bien attentive le moindre faux pas et gbich je lui enlève les yeux avant que ma sœur e débarque et qu’on lui fasse son enterrement toutes les deux. Bof pas grandes choses je serai avec les enfants de mon frère comme c’est moi je m’en occupe maintenant.

Moi : (rire les folles) hum la vie, courage ma chère je suis sure que là, où il se trouve il serait fière de toi. Je vais passer le soir te faire un coucou. 18h ? Ça te va ?

Elle : merci Richard (rire) ça je suis sure que c’est Nina qui t’envoie jouer au psy, hum elle est bête cette fille. Wep ça ne me gêne pas alors je serai là.

Moi : elle s’inquiète pour toi donc je viens faire l’état des lieux et te donner un peu de ma ^précieuse personne. Ok bisous à ce soir alors.

Elle : tship où est bonne personne la même. Biz à ce soir click

Je raccroche et sourit c’est vrai que depuis cette fameuse soirée qui a coûté la vie à son mari quelques choses à changer en elle. Je n’imagine pas ce par quoi elle passe actuellement. Hum est ce qu’elle sait au moins que leurs mères et en vie ?.........

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Un partage à très bientôt pour la suite, bizut


Le chemin du destin