Chapitre 7
Ecrit par St Daniel
- Les chroniques de Saint Daniel -
Titre : *Le monde s’écroule*
Auteur : *Saint Daniel*
_Chapitre 07__
Le physique ne défini pas l’être, il ne laisse l’impression que peuvent avoir les yeux d’autrui. Priscilla regardait le ciel de la chambre avec son regard si triste car elle venait de perdre l’amour de sa vie. Monsieur PAKER étant juste à la porte ne sachant pas ce qui s’est arrivé et ce qui se passe s’approche d’elle et la fit un bisou. Après il le suit avec ses mots :
Mr PAKER : Je n’ai que vingt cinq ans, et je ne connais rien en l’amour. Je dirais sur beauté aussi si je n’avais pas rencontré ton amie ce soir. Cependant laisse moi te dire que ce ne serait pas lui ton dernier amour et ce n’est certainement pas lui le dernier homme plus beau sur la terre.
Priscilla : Vous avez raison. Je vous l’accorderais si notre créateur avait fait deux de lui. Mais hélas je ne retrouverai pas un autre amour comme lui.
Mr PAKER : Tu l’aime. Ça se voit dans tes larmes. Si j’avais connu un tel amour aussi je saurai quoi te dire pour apaiser ton petit cœur. Dommage que je ne puisse rien pour cette fois.
Priscilla : Non ne vous inquiétez pas. Vous avez beaucoup fait pour moi.
Mr PAKER : Si tu le dis. Bon je crois que je vais devoir vous laissez. Bonne et agréable nuit à vous.
Priscilla : Merci. De même à vous aussi. Anaïs ? Tu peux me rendre ce service ? S’il te plait connexion mon sauveur jusqu’à la sortie pour moi.
Anaïs accepte et ils s’en vont. Sur la route…
Mr PAKER : Puis-je me permettre de vous inviter à diner ? Je me laisse à la pensé que vous aurez besoin d’un peu d’air à cause de cette soirée qui vous a été très agité.
Anaïs : Ouais vous avez surement raison mais je ne peux pas diner avec vous.
Mr PAKER : Oh pourquoi ? J’ai fait quelque chose de mal ?
Anaïs : Non pas du tout. C’est juste que je n’aie pas dans mes habitudes de trainer avec des inconnus.
Mr PAKER : Ah désolé de ne m’être pas présenter. J’étais si emporter par votre beauté que j’ai oublié les bonnes manières. Je me présente Peter PAKER. Je suis gestionnaire dans l’entreprise de mon père mais je continue aussi mes études afin d’avoir mon master.
Anaïs : C’est bien. Mais c’est toujours un non.
Voilà Marc et Kevin qui arrive.
Anaïs : Les mecs dite où est Christophe ?
Kevin : Il vient juste de partir. Il a dit qu’il est tard et qu’il serait en retard s’il revient jusqu’à vous.
Anaïs : Je vois. J’espère qu’il ira bien.
Kevin : Bon nous on va rentrer. Lydia a dit qu’elle va rester au près de Priscilla. Et toi ?
Anaïs : OK ! Moi aussi je reste. Comme ça la nuit ne serait pas ennuyeux pour elle.
Marc : D’accord ! Nous on rentre. Demain matin on sera là.
C’est ainsi que Marc et Kevin se mettent en route chacun de son coté. Anaïs se retourne pour rejoindre ses amies quand monsieur PARKER la rappelle. Elle l’a dit que son invitation tient toujours. Anaïs a répondu « non » mais il n’était pas décidé à la laisser s’en aller pour passer la nuit avec le ventre vide.
Anaïs : Bon comme vous insistez je viendrais mais que dans ce mini bar qui est juste là.
Mr PAKER : ça me va. Après vous jolie madame.
Quelques minutes après avoir fait les commandes.
Anaïs : Putain de merde ! (dit-elle d’un coup)
Mr PAKER : Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as quoi.
Anaïs : Oh rien de grave. J’avais juste oublié de dire quelque chose à Christophe.
Mr PAKER : Christophe ? Alors c’est lui ton petit ami ?
Anaïs : Petit ami ? Je ne connais qu’un seul amour. Et c’est lui l’amour de ma vie. Je ne veux pas de ses histoires de petites amies. Je veux quelqu’un, un homme et un vrai.
Mr PAKER : Je vois. Vous êtes différente de toutes ses femmes que j’ai rencontrées. Si dans une autre vie j’eu la chance de vivre je prie l’éternel qu’il me mette sur ta route le plus tôt et que je sois plus aimable avec plus de sentiment.
Anaïs : (sourire)
Mr PAKER : Maintenant mangeons sinon nos plats vont se refroidir.
Ainsi ils se sont mis à manger. Après le diner monsieur PAKER a ramené Anaïs à l’hôpital avant de reprendre la route pour rentrer chez lui.
En cette nuit, chez Jacques. Il a refusé de descendre pour diner avec son père et sa femme. Il est resté enfermer dans sa chambre soit disant qu’il étudie. Tard dans la nuit à l’heure où tout le monde doit être entrain de dormir il descend chercher son plat et une bouteille d’eau glacé. Alors qu’il retournait dans sa chambre il perçoit la femme de son père qui sort de leurs chambres et vite il entre dans la chambre juste à son porté. Dans la chambre il tombe sur Cécile qui est toute nu devant le miroir, c’était la chambre à couché de Cécile.
Cécile : Jacques !
Jacques : Désolé ! Je ne savais pas que…
Cécile : Tu ne savais pas que quoi ? Tu vas me faire croire que tu es entrain ici par accident ?
Jacques : Je… S’il te plait ne dit rien à mon père. S’il te plait.
Cécile : Qu’est-ce que tu as au visage ? D’où tu sors avec ses rouges.
Jacques : Nulle part. Je me suis juste cogné le visage contre ma porte.
Cécile : Tu ne sais même pas mentir. Et c’était pour ça que tu ne voulais pas venir diner. Je m’en doutais.
Jacques : Moi je te laisse. Je compte sur toi pour ne rien dire à mon père.
Cécile : Tu ne vas nulle part. Si tu veux que je garde le silence tu vas devoir me laisser te faire les premiers soins. Ne faut pas que ça s’infecte.
Jacques : Ok d’accord. Mais tu fais vite. Je dois retourner dans ma chambre le plus vite possible.
Jacques s’est installé au bord du lit de Cécile pendant que celle-ci se couvre d’un pagne et s’en va chercher un trousseau dans ses affaires. Après ça elle vient s’accroupir sur le lit faisant face à Jacques. Là elle lui met de l’alcool sur les rouges avant de poser la glace sur sa joue. Pendant qu’elle lui faisant sa main froide touche la peau de Jacques qui ressent cette sensation en tout son être et l’attrape la main. Jacques tenait fermement la main de Cécile quand celle-ci ressent la pression et lui fait savoir qu’il lui fait mal.
Jacques : Je crois que je devrais y aller. Je me sens soudain si calme. Merci.
Cécile : Tant mieux. Maintenant tu sors de ma chambre et je vais me coucher.
Alors que Jacques s’était levé pour partir…
Cécile : Hé qu’est-ce que tu as là ? Ne me dit pas que…
Jacques : Ce n’est rien.
Jacques dit ses mots et voulant s’en aller quand Cécile le rattrape et s’abaisse de devant lui. Elle approche son regard de sa culotte et lui dit
Cécile : On dirait bien que tu es besoin hein. Dommage que je suis ta cousine.
Jacques ne l’a pas regardé, il prend la porte sans attendre quand Cécile laisse tomber son pyjama afin de dormir toute nuit. Cécile est allongée dans son lit et se caresse les lèvres de sa chatte avec sa main gauche. Jacques dans le couloir avait eu comme un déclic dans sa tête une envie folle de sauter sa cousine.
Cécile : Tu n’étais pas partie ? Tu veux quoi encore.
Jacques : J’aimerai… Non, je vais sauter cette petite chatte.
Cécile : J’espère que tu as toue ta tête hein. Et que les rouges sur ton regard ne t’ont pas fait oublier que je suis ta cousine.
Jacques : Ma cousine et alors ? Après tout je ne serai pas le premier à baiser cette chatte.
Jacques s’est approché de Cécile qui est toujours allongé sur son lit. Il l’a prise par ses jambes et le tiré vers elle. Cécile s’est retrouvée d’un coup assise au bord du lit et ses pieds touchent le sol. Jacques s’est ensuite baissé et a commencé à la lécher la chatte. Cécile prenait son aise pendant que Jacques la fait se sentir désir.
Cécile : Jacques…
Jacques : Ne dit rien qui puisse gâcher ce moment. Laisse-toi juste aller.
Cécile : Jacques je n’ai rien contre toi, le sexe n’est qu’une partie de plaisir pour moi. Mais le faite que tu sois mon cousin…
Jacques : N’y pense pas. Pense juste au présent. Vivons le présent.
Cécile : D’accord. Baise-moi, je veux que tu me baise comme une pute mais je veux sucer ta bite d’abord.
Monsieur PAKER venait de rentrer chez lui à la maison. Il s’est installé dans le divan au grand salon et avait le regard vers le ciel quand il pense à haute voix disant : « Dans cette vie les coïncidences n’existe pas. Tout a une raison d’être. Qui es-tu vraiment ? Tu es belle, élégante. Tu n’as rien à envier aux femmes. Je ne m’étais jamais senti ainsi auparavant. J’ai qu’un désir, l’aimer. Je voudrais l’épouser. Demain je ne voudrais que me faire beau rien que pour te voir, encore et encore. Et après demain ? La vie serait belle avec toi. Regarder comment je regrette de n’être pas renter avec elle. Cette belle Aphrodite, je la veux que pour moi… » Il parlait, il pensait à haute voix quand sa mère surgit au grand salon.
Maman PAKER : Peter ? Tu es déjà renter ?
Mr PAKER : Oui maman. Je ne savais pas que tu étais là.
Maman PAKER : Bah dit moi c’est qui cette femme à qui tu pense à haute voix.
Mr PAKER : Maman je viens à peine de la rencontrer hein mais je l’aime tellement. Je crois que j’ai enfin trouvé la femme de ma vie. Mais elle a quelqu’un dans sa vie. (dit-il avec une aire triste)
Maman PAKER : Si quelque chose n’est pas de ton monde ne cherche pas à l’avoir. Tu pourrais t’en sortir meurtrie.
Mr PAKER : Je me sens si heureux quand suis à ses cotés. C’est un peu comme si je m’étais assise au bord de la mer et ses sentiments me transpercent comme ce vent de la plage. À penser à son nom c’est entendre le doux son des vagues qui heurtent l’horizon dans ma tête. Me souvenirs de ses yeux c’est comme la caresse de la mer sur le sable juste en dessus de mes pieds. Je n’attends qu’une chose, c’est la revoir.
Maman PAKER : Toi tu es amoureux. Pas besoin de t’entendre deux fois pour en être si sûr.
Mr PAKER : Dans mon cœur c’est une histoire fantastique. Mais le riche et le pauvre ne doivent pas se mélanger non ? J’ai peur qu’il lui arrive quelque chose et que je ne puisse plus la revoir. Genre la laisser au fond du gouffre avec un cœur brisé.
Maman PAKER : Je peux connaitre cette femme qui a envouté mon fils en une journée au point qu’il veut protéger son petit cœur ?
Mr PAKER : Maman si l’histoire dit vrai quand il dit quand on s’aime on se reverra, et si le monde est petit. Alors je serai le plus heureux de tous les hommes.
Maman PAKER : En gros tu n’as fait que la contempler aujourd’hui.
Mr PAKER : Oui maman. Et je l’ai aussi pris en photo quand elle discutait avec ses amies. Je pense qu’elle ne le sait pas.
Maman PAKER : Je peux voir ? (Ainsi il montre la photo à sa mère) Mais je la connais cette fille. C’est Anaïs la fille de monsieur Herman JOCKER. Tu sais quoi ? Je pense que votre retrouvaille serait très bientôt.
Mr PAKER : Vraiment ? Maman tu es sûr de toi ? Je n’ai jamais vu une telle femme donc ne me donne pas de faux espoir s’il te plait.
Maman PAKER : T’ai-je une fois menti ? Je suis ta mère. Si tu pense trouver ton bonheur au près d’elle alors je ferai tout pour que tu sois heureux.
D’un jour à l’autre cette belle semaine saupoudré de tragédie et tristesse s’en est allé. Priscilla a été libérée le vendredi et il a supplié ses ami(e)s de garder le secret pour elle car elle ne veut pas que son père l’apprenne. Le père de Priscilla est un général de l’armée, on le connait tous comme l’homme le plus sévère et dangereux du pays.
Le lundi matin le père adoptif d’Anaïs venait d’arriver à son lieu de travail quand il reçoit la visite de maman PAKER. Il la reçoit dans son bureau et ensemble ils discutent au sujet d’un projet qui les tenait à cœur depuis un temps déjà.
Maman PAKER : Bien j’attends que l’on débute cela le plus vite possible.
Père adoptif : Moi de même. C’est un plaisir pour moi de travailler avec vous.
Maman PAKER : Bref il faut que l’on faite ça. Je vous inviterai chez moi volontiers mais je crois que ça ferait beaucoup plaisir à votre femme de me revoir. Et votre fille aussi, elle doit être si grande maintenant.
Père adoptif : Ah oui, oui, ma fille ? Elle est une femme maintenant. Ça me ferait aussi plaisir de vous recevoir chez moi.
Maman PAKER : Donc on se dit à ce soir ?
Père adoptif : Oui à ce soir. Bonne suite de journée à vous.
Alors qu’il sonne neuf heures Jacques s’apprête à se rendre à l’université quand il rencontre Cécile au salon.
Jacques : Tu n’es pas encore partie ?
Cécile : Je t’attendais pour que tu me dépose. Tu vas à un rencard ? Tu es très beau ce matin.
Jacques : Merci du compliment. On peut y aller ?
Cécile : Je ne sais pas pour quoi mais j’ai ma chatte qui chauffe là. Je ne crois que rien qu’à te voir comme ça me fout une folle envie de prendre ta bite.
Jacques : Désolé j’ai examen ce matin. Je n’aimerais pas être en retard.
Cécile : Puff dommage pour moi alors. Bon allons s’y.
Dans la soirée après les cours du soir Anaïs et Lydia échange avec Priscilla.
Priscilla : Je vous dis que Joachin ne me regarde plus comme avant. Si on chemine ensemble à la fin pour rentrer c’est juste pour ne pas réveiller les soupçons. Mais ce n’est pas ça qui m’inquiète.
Lydia : Tu sais bien que tout ça c’est de ta faute. Donc tu dois le comprendre et lui laisser le temps qu’il lui faut.
Anaïs : Je pense qu’il est impossible de comprendre quelqu’un et de le pardonner si on n’a pas une part de sentiment à son égard et une part d’amour.
Priscilla : Ok mais combien de temps il lui faut ? Anaïs tu veux dire qu’il ne m’aime plus ? Explique-toi !
Anaïs : Non. Qu’il t’aime encore ou pas, je ne sais pas. Mais je crois qu’il essaie de comprendre ta trahison. Il t’a déjà pardonné j’en suis sûr.
Priscilla : Je lui ai dit que c’était juste le coup d’un soir. Que ce n’était pas voulu mais il ne me croit pas.
Lydia : Si c’était toi tu le croirais ? Je pense que tu feras les mêmes manières et peut-être encore plus que ça. Laisse Joachin tranquille pour qu’il puisse remettre ses idées en place. Tu aimerais qu’il enterre tout par amour et se remette avec toi avec les souvenirs ou qu’il oublie tout parce qu’il t’aime après tout et qu’il te pardonne pour une fois de bon.
Priscilla : Je ne sais pas.
Anaïs : Si cela ne vous gène pas moi j’ai une faim de loup et je voudrais bien renter afin d’être prête avant que Christophe ne rentre. Il m’a promis un diner ce soir donc …
Lydia : Hé on dirait que vous fumez l’amour hein.
Priscilla : Au moins ça marche pour vous malgré tout. Vous vous soutenez même dans le…
Anaïs : Hé ne vous voilez pas la face. La bataille continue encore. Et il faut parfois faire comme de rien pour effrayer la galère et son amie souffrance.
Priscilla : Anaïs ? Je crois que tu as de la visite. Ta mère vient d’arriver.
Mère adoptif : Bonsoir les filles, bonsoir Anaïs. S’il te plait je peux te voir une minute ?
Anaïs : Euh ouais. Qu’est-ce qu’il y a ?
Mère adoptif : Euh je voudrais que tu me rendes un service. S’il te plait. Nous allons recevoir une invité chez nous ce soir et nous aimerions que…
Anaïs : Quand tu dis « nous » tu parles de toi et qui ?
Mère adoptif : Voilà ton père va recevoir madame PAKER ce soir pour un diner à la maison et madame PAKER aimerait te revoir.
Anaïs : Si elle veut me voir pourquoi tu ne l’amène pas ici ? Pour qu’elle me voit. Qu’est-ce que je viendrais faire dans cette maison où on m’a banni ? Qu’est-ce que tu me caches ?
Mère adoptif : Ton père va signer son plus grand contrat avec madame PAKER ce soir après le diner. Et nous aimerions que la famille soit au complet pour le diner.
Anaïs : La famille ? La famille tu dis ? Qu’elle famille ? Celle là même qui ne m’a jamais aimé ? Qui m’a banni ? Pourquoi tu ne le dis pas ? Que vous ne pensiez qu’à préserver votre image à ses yeux ?
Mère adoptif : Anaïs, ma fille ce n’est pas ça. Écoute-moi s’il te plait.
Anaïs : Aller tous aux enfers ! Les filles partons de cette endroit avant que je ne…
A suivre…
Chapitre 08
Auteur : Saint Daniel
Titre : Le monde s’écroule
Les chroniques de Saint Daniel.