-Vianney : je quitte le restaurant en direction de ma maison. Je ne sais pas exactement quel sentiment m’anime, mais je ressens de la colère oui de la colère envers Marlène. Tout ce que j’ai vécu avec elle me revient en pleine face. Quand une femme te trompe, tout ce que vous avez vécu de bien avec elle disparaît et il n’y a que la douleur qui reste. Je me rappel de ce jour comme si c’était hier, j’ai failli y laisser ma vie.

Flashback

-Vianney : Aujourd’hui ca fait 1an que je sors avec Marlène, c’est une femme que j’aime oui je l’aime.je pourrais décrocher la lune pour elle. Je prévois un dîner romantique ce soir.  Au menu  en entrée une salade niçoise, du tournedos Rossini accompagné d’un gratin dauphinois comme plat de résistance et de la crème brulée en dessert. Je ne sais pas cuisiner donc je vais tout commander. C’est une surprise que je ferais dans mon appartement privé. J’y vais rarement, donc je vais y aller tout à l’heure pour nettoyer et tout préparer. Mais avant, je dois aller à Erevan acheter du vin et quelques provisions par ce qu’on passera la nuit ensemble. Je compte lui faire un petit déjeuner très chic demain matin.

-Marlène : j’ai rendez-vous avec mon amant dans 15min dans l’appartement de Vianney, il ne vient presque jamais ici sauf quand on a besoin d’intimité. J’ai le double des clés, aujourd’hui c’est massage sensuel avec ma dernière collection de gel comestible. J’ai cuisiné un bon repas  et de bons cocktails pour le réveiller, il doit être chaud patate pour moi. Je suis prête il est 18h, il doit déjà être en route. On a juste deux heures à passer ensemble par ce que j’ai rendez-vous avec Vianney dans un restaurant chic dans deux heures. J’ajuste ma tenue et mets quelque goutte de parfum, la sonnerie retentit.

Ah juste à temps !

-Lui : Bonsoir ma beauté, toujours aussi bandante. Tu es très belle, alors qu’est ce que tu me réserve ce soir ?

-Marlène : Doucement mon lapin, on passe d’abord à table.

-Lui : j’ai envie d’autre chose là maintenant

-Marlène : Sans tarder il malaxe mes seins et introduit deux doigts en moi, je n’ai pas le temps de respirer qu’il s’introduit avec brutalité en moi. C’est ca qui m’attire vers lui, il me culbute sans arrêt.je l’entraîne dans la chambre et je décide de prendre les rênes.

-Vianney : je viens de garer dans le parking d’Erevan, à cette heure de la journée c’est dure de trouver une place de parking. Tout le monde vient faire ces courses surtout que c’est le week-end. Je me dirige vers l’entrée où j’aperçois la mère de Marlène. Ça fait un moment qu’on ne c’est pas vu.

-Elle : Bonsoir mon fils. Ça va ? Ça fait un moment, tu as abandonné ta maman

-Vianney : non, maman tu sais avec les cours ce n’est pas facile

-Elle : Je comprends, avec Marlène tout se passe bien ?

-Vianney : oui maman ne t’en fait pas

-Elle : Très bien, bonne soirée et pense à venir me voir

-Vianney : Je passerai

-Vianney : je me dirige vers les rayons et choisi un cabernet sauvignon de 2005.Marlène apprécie du vin de qualité alors je dois mettre les petits plats dans les grands. Je prends des bougies quelque fruits et légumes ainsi que des œufs pour le petit-déjeuner. Je paye à la caisse puis je prends le chemin en direction de mon appartement qui se trouve non loin de la plage.

-Marlène : Mon amant gémit sous mes coups de reins, je me retourne et lui offre une vue bien dégager sur mon postérieur.il me laboure sans ménagement.

-Vianney : Je viens d’arriver à mon appart, j’insère la clé mais je constate qu’elle est déjà ouverte.je pénètre dans l’appartement, je vois un pantalon, un soutient gorge rouge et des chaussures qui trainent.je me demande qui squatte mon appartement. Je continue ma marche vers ma chambre où des gémissements attirent mon attention, je pousse la porte et le spectacle qui s’offre à moi est juste surprenant que le seul son qui sort de ma bouche est un cri.

-Marlène : je sentais la jouissance venir, quand mon amant s’arrête tout d’un coup.je me retourne et je vois Vianney devant la porte, merde qu’est ce qu’il fout ici ? Mon amant qui n’est autre que son meilleur ami se précipite pour se couvrir. Je n’ai pas eu le temps de m’habiller que Vianney se jette sur Loïc et le roue de coup, c’est un vrai combat de coq.

-Vianney : Putain, tu es mon meilleure ami .comment as-tu pu coucher avec ma meuf ? Qu’est ce que je t’ai fait ?

-Loïc : Tu ne la baise pas bien c’est pourquoi elle venue chercher la chaleur, tu n’es qu’une mollesse. Elle aime que je la baise bien, apparemment elle n’aime pas les petits pé****

Gboum !

-Marlène : c’est le bruit que fait le poing de Vianney sur le visage de Loïc, son visage est en sang. Vianney tu vas le tuer, je t’en supplie arrête.

-Vianney : Tais –toi pétasse, ferme la

-Marlène : je cours chercher de l’aide, mais avant de sortir de la chambre j’entends un bruit sourd qui m’arrête dans mon élan. Vianney est allongé par terre avec du sang qui coule de sa tête.

Mon DIEU !

-Marlène : Loïc fais quelque chose, réanime le.

-Loïc : Laisse le crever, comme ca je pourrais t’avoir à moi seul. Réfléchis on pourrait l’enterrer quelque part ou brûler son corps, qu’est ce que t’en penses ?

-Marlène : Tu es malade ? Je ne le quitterais jamais pour toi.  Tu n’étais qu’un passe-temps pour moi. J’appel une ambulance

-Loïc : Je croyais que tu étais amoureuse de moi et que je comptais pour toi.

-Marlène : Je ne serais jamais amoureuse de toi

-Loïc : ce n’est pas ce que tu disais quand tu gémissais tout à l’heure sous mes coups de reins.

-Marlène : Dégage si tu ne veux pas m’aider

-Loïc : Je me barre, tu n’es qu’une pétasse.

-Marlène : Je me dépêche pour appeler une ambulance, je ne veux pas avoir la mort de Vianney sur la conscience.15min plus tard, une ambulance arrive, j’explique que c’est une bagarre qui a dégénérer, ils l’amènent au CNHU.

Je dévale les escaliers et prends ma voiture .je suis l’ambulance qui amène Vianney à l’hôpital, j’ai tellement peur. Tout est de ma faute.

Arrivé à l’hôpital, je paye son admission pour qu’on le prenne vite en charge.

Ca fait une heure que j’attends des nouvelles de Vianney, mais j’ai l’impression d’être là depuis des heures.

-Voix : la famille de Vianney Kodja

-Marlène : c’est moi docteur, il va bien ?

-Docteur : oui, il a un traumatisme crânien. On l’a plongé dans un coma artificiel, on attend juste qu’il se réveille.

-Marlène : il faut que je prévienne son frère.

-Marlène : Allo oui Manuel, c’est Marlène.

-Manuel : Oui comment tu vas ?

-Marlène : Manuel, je t’appel pour te dire que Vianney est à l’hôpital.

-Manuel : Quoi ?qu’est ce qui c’est passé ?

-Marlène : je t’explique quand tu viens à l’hôpital

-Manuel : mon frère, mon ami qu’est ce qu’il fou à l’hôpital. J’espère que Marlène a des explications qui tiennent la route, je ne l’ai jamais sentie cette fille.

-Marlène : je réfléchis à la version que je servirais à Manuel, on ne sait jamais entendue lui et moi. S’il ne me croit pas, il va chercher Loïc pour connaître la vérité. Tel que je connais Loïc, il parlera vu qu’il déteste la famille Kodja.

-Manuel : je viens de garer devant l’hôpital, j’entre dans le hall et je cherche Marlène .je la vois tête baissée, elle a les yeux bouffis.pfff

-Marlène : oh Manuel, tu es là ?je suis  si désolée

-Manuel : Désolée ? Qu’est ce que tu as fait à mon frère ?

-Marlène : Il s’est battu avec Loïc

-Manuel : Pourquoi ? Loïc est son meilleur ami

-Marlène : Je ne sais pas, je l’ai trouvé la tête pleine de sang dans son appartement.

-Manuel : C’est bizarre cette bagarre entre Vianney et Loïc, mon frère est quelqu’un qui a un sang froid contrairement à moi. S’il s’est battu c’est que c’était vraiment grave. Loïc me doit des explications.

Le temps que Vianney se réveille, je vais mener ma propre enquête.