CHAPITRE 8
Ecrit par Bobby21
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« Tu m’as tellement manqué ». Se
dirent-ils spontanément tels des esprits liés. Ils se câlinèrent avec une telle
force que Mariana eut l’impression de s’étouffer.
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Je suis vraiment désolé pour tout ce qui s’est
passé ces deux derniers jours, lança Renaud.
Comme si elle n’attendait
que cela, elle le saisit à nouveau et l’embrassa fougueusement avant de lui lancer
-
Je suis également navrée pour ce qui s’est
passé. Mais tout ça c’est derrière nous à présent.
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Merci ma chérie pour ton amour. J’aimerais
tant t’offrir tout ce que tu veux si seulement j’en avais les moyens, mais
hélas !
-
Pas vraiment, je crois que tu peux m’offrir
ce dont j’ai besoin actuellement.
-
Ah bon ? Quoi donc ?
-
Un très bon massage.
-
Euuuh disons que je n’en ai jamais fait à une
fille auparavant.
-
Disons donc plutôt qu’il y a un moment pour
tout commencer. Allez dis oui ; insista-t-elle avec son regard ‘’revolver’’.
Face à ce regard fou et droit
comme foudroyant, Renaud n’avait d’autres choix que d’acquiescer de la tête. D’un
bon, elle descendit du lit toute heureuse ; se saisit d’une boite de
beurre de karité qu’elle tendit à Renaud avant d’enlever son survêtement.
Telle une claque ; Renaud n’en revenait pas de ce qu’il voyait. Mariana avait
une de ses formes généreuses. Ses hauteurs avaient du mal à se loger dans la
brassière qu’elle portait qu’ils débordaient de côté. Instinctivement et
spontanément son phallus commença à remonter la pente. Mais très vite ; il
maîtrisa la remontée en pensant à autre chose ; mais très vite ; elle
revint en force quand Mariana descendit son pantalon. Le torturait-elle ? Ou
attendait-elle quelque chose de lui ? se demanda Renaud. Elle était tellement à l’aise
en se changeant devant lui que cette théorie de torture n’était pas soutenable.
Une chose était sûre, Renaud se battait contre tous les dieux pour garder son
calme et calmer son chevalier de guerre.
Quelques instants plus
tard, Mariana avait finit. Elle avait enfilé un simple T-shirt sur un pagne wax
qu’elle avait noué autour de sa hanche. Elle s’allongea donc, ventre contre le
matelas et les fesses en l’air. Le pauvre, tout couvert de sueur, surtout au front
ouvrit la boîte de beurre avant de demander à ‘’sa dulcinée’’ :
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Ou veux-tu que je te masse ?
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Tout le corps s’il te plaît bébé.
-
Of course, lui répondit-il en retroussant
les manches de sa chemise.
Renaud décida de commencer
par les pieds en remontant tout le corps. Tel un professionnel qui maîtrise son
boulot et très concentré, Renaud commença par frotter le beurre dans ses mains.
Il l’enduit ensuite sur la jambe droite de Mariana qu’il avait posé sur son
épaule gauche, s’étant agenouillé sur le lit. Il effectuait des mouvements de
va-et-vient dans tous les sens sur la jambe de la donzelle. Celle qui grimaçait
tellement en poussant de petits cris que cela excitait encore plus Renaud. Il posait
la jambe droite qu’il venait de masser afin de passer à l’autre quand malencontreusement,
son phallus qui était tout dressé effleura la jambe de Mariana. Celle-ci le sentit
et aussitôt se retourna d'un coup…